L'ECRIT DE JOIE

L'ECRIT DE JOIE

Estelle, la jeune fille du conservatoire (Episode 20)

 

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                                Une nouvelle initiation pour Estelle - (partie 3)

Estelle vient me rejoindre à la cuisine. Sautillant autour de moi, me touchant le sexe, la jeune fille que je fuis en tournant autour de la table, me poursuit en riant. Tout ce bonheur, pour moi tout seul, me cause soudain ce malaise qui me rattrape parfois lors de prises de conscience subites. Je voudrais tant que le temps s’arrête, là, pour nous emprisonner dans l’éternité de ces instants d’une si profonde intensité. À tout jamais. Il n'est pas plus pauvre que celui qui vit seul. Cette maxime m'habite chaque jour depuis le décès de mon ancienne compagne.

Je me laisse rattraper. Je me saisis de ma jeune étudiante pour la serrer contre moi. Elle m’embrasse de sa bouche encore aux effluves de mon sperme. Nous restons ainsi longuement, les bassins serrés, cambrés l’un contre l’autre. Estelle m’enlace comme le ferait le lierre. Je suis le tronc de l'arbre. Heureusement qu’elle ne peut voir mes yeux humides de bonheur. Je veux absolument préserver cette douce jeune fille d’une inquiétude sentimentale qui pourrait la dépasser.

Enfin séparé de son étreinte, j’ouvre le buffet puis le réfrigérateur pour saisir tout ce dont j’aurai besoin pour préparer le repas du soir. Me tenant par la taille, collée contre mon dos, Estelle suit mes mouvements. Parfois, une de ses mains exploratrices s’engouffre dans ma braguette ouverte. Elle se met sur la pointe des pieds pour me chuchoter des douceurs. Des propos tendancieux ayant trait à ses fantasmes. Je ris de ses aveux totalement loufoques. Lubriques. Je m'amuse de ces confidences insolites, souvent surréalistes. Nous nageons en plein bonheur. Que c'est bon.

Assis tous deux à la table de la cuisine, l’un à côté de l’autre, nous épluchons les petits oignons sauciers, les petites gousses d’ail tout en devisant. Je prépare des tomates farcies d’un délicieux pâté de lentilles aux bolets. Je suis excellent cuisinier et j’aime régaler mes invités. Quand l’ensemble est au four, à cuire trente minutes à feu moyen, Estelle revient se serrer contre moi. En frottant son bassin contre moi, elle m’embrasse longuement, fouillant ma bouche de sa langue exploratrice, véloce et agile. Quelquefois elle s'apprête à parler pour se raviser instantanément. Préférant garder un silence soudain.

Je sens l’humidité de mon sexe collant contre le tissus de mon slip. Cela me procure une gêne que devine ma coquine. Régulièrement, engouffrant une de ses mains dans mon pantalon, elle me sort le sexe en jouant avec. Moi, par jeu également, je le remballe aussitôt qu'elle le lâche. << Vous jouez à cache-cache ? J'adore ! >> lance t-elle. Mutine et espiègle elle rajoute : << Je sais où vous la cachez ! Je la retrouverai tout le temps ! >>. Puis elle me saute au cou. Sur la pointe des pieds elle se hisse pour poser ses lèvres sur les miennes.

Je suis en érection permanente, le méat dégoulinant de liquide séminale. Estelle, se plaçant derrière moi, son bras gauche autour de ma taille, penchée sur le côté, me masturbe de sa main droite en regardant avec attention. Me léchant la joue, elle me fait: << Un jour prochain je baise avec vous, mais j’ai encore un peu peur ! Je veux découvrir "ça" aussi ! Et avec vous ! >>. Je reste pantois. Je l'observe avec de grands yeux qui la font éclater de rire. << J'ai dit quelque chose qu'il ne fallait pas ? >> s'exclame t-elle avec un air tout innocent. Adorable.

C'est enfin le moment de passer à table. Les activités sexuelles mettent en appétit. C’est bien connu.

Le repas est réellement délicieux. La jeune fille se régale de ces tomates farcies accompagnées de petites patates sautées. Il reste un peu de sauce, de lentilles et de champignons au fond de son assiette. M’invitant à me lever, elle me saisit par la taille pour m’attirer sur sa droite. Me sortant le sexe au dessus de son assiette, elle me dit : << Un peu de vinaigre serait un condiment des plus agréables, cher cuisinier ! >>. Je suis pris de vertige. J'hallucine. Je n'ai pas le temps de réagir. Mais ? Me laisse t-elle un autre choix ?

Estelle tient mon sexe soudain turgescent. D'une poigne ferme. Vers le bas pour contrer mon érection. N’hésitant pas à tremper l’extrémité dans les aliments. Je dois me tenir à son épaule car je vacille. Je me concentre longuement. Au bout de deux à trois minutes, je lâche une goutte. Puis une giclée. Quelques courts jets de pisse dans l’assiette que rapproche la jeune fille. Continuant à me tenir le sexe d’une main, avec l’autre, elle se saisit de sa cuillère pour recommencer à manger. Me fixant dans les yeux à chaque fois qu’elle porte la cuillère à sa bouche. Estelle mâche mais sans avaler.

Je peux voir ses joues se gonfler à tour de rôle lorsqu’elle fait tourner tout cela dans sa cavité buccale avant de déglutir. Je ne suis pas loin de la tachycardie. Mon cœur va exploser dans ma poitrine. De violentes décharges électriques parcourent ma colonne vertébrale. À nouveau un vertige. Victime de l’excitation que me procure ces incroyables moments de vice intense, je ne suis plus qu'un pantin. Vais-je me liquéfier, me disloquer, m'effondrer, perdre connaissance ? Mon corps est secoué de frissons. Ce qui amuse considérablement ma tortionnaire. Elle comprend certainement là et bien plus profondément encore l'immense pouvoir qu'une femme peut exercer sur un homme.

Elle vide son assiette et la lèche comme le ferait un petit animal. Lorsqu’elle a terminée, Estelle lève les yeux pour me fixer. Comme si elle cherchait à pénétrer au plus profond de ma psyché. Elle me fait encore : << J’aurais mon dessert ? >>. Je me dégage pour aller au réfrigérateur en titubant presque. Comme je me sens stupide avec mon sexe qui pend de ma braguette ! Je ramène deux tranches de tarte aux poires que je dispose sur deux petites assiettes. Cette activité me faire revenir à la réalité. Pendant ce temps Estelle commence à débarrasser la table.

Une fois confortablement installés devant nos tranches de tartes, mon étudiante me présente son assiette. Je m'attends à une nouvelle facétie. Elle demande : << Vous me mettez un peu de sauce dessus s’il vous plaît ? >>. J’avais bien compris où elle venait en venir. Me levant, je viens au près d’elle. Je tiens mon sexe à sa base entre le pouce et l'index. Juste au dessus de la tranche de tarte sur laquelle je le frotte. Estelle, penchée en avant, scrute avec une grande attention. Je découvre qu'elle tremble légèrement aussi. Tout comme moi, percluse de cette affolante excitation qui nous gagne une fois encore.

Après quelques instants de concentration, je noie la tranche de tarte aux poires de pisse. Estelle, ramenant l’assiette devant elle, se saisissant de la petite cuillère se met à manger son "dessert". C’est à la fois dégueulasse et excitant de voir cette jeune fille entrain de se régaler d’un truc plutôt dégoûtant. Les filles de 18 ans, quand elles sont éveillées, osent les choses les plus folles. Ma jeune étudiante se régale comme à son habitude. Dans le silence, je l'entends mastiquer. Déglutir. Elle lève les yeux pour me sourire. Un regard terriblement vicieux. Mon érection est soudain presque douloureuse. Je me masturbe un peu sous le regard attendrit de ma "goûteuse" qui a un hoquet.

Je suis à la cuisine. Pendant que je prépare le café, prise de spasme qui la secouent, la faisaient tousser, Estelle se précipite aux toilettes pour aller y vomir son repas. Je l’entends véritablement dégueuler depuis la cuisine. Je me rends au WC pour la voir à genoux devant la faïence, la bouche dégoulinante de filaments jaunâtres. Tout est remonté et flotte dans l’eau au fond de la cuvette. Je suis certainement dans un état d'écœurement comparable au sien en m'accroupissant à ses côtés. Mon bras autour de ses épaules j'évite de regarder au fond de la cuvette. Estelle est toute rouge, en sueur, à tenter de retrouver une respiration normale.

Lorsque la jeune fille a récupéré ses facultés, elle se rince la bouche. Je l'essuie avec une serviette. Elle tient mes poignets pour que surtout je ne la laisse pas toute seule. Encore un peu pâle elle dit : << Il y a des jours où c’est plus dégueulasse que d’autres. Et ce sont ces jours-là que je préfère ! >>. Je reste totalement consterné par cet aveux. Je dépose une bise sur son front. Nous revenons au salon. Assis côte à côte, nous restons tous deux silencieux. Je propose quelques options possibles pour la soirée. << On se fait une toile ! >> suggère Estelle.

Nous terminons la soirée au cinéma. Estelle me demande de venir la voir au concours hippique de Noël, demain, dimanche…                                                                         

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29/07/2014

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