L'ECRIT DE JOIE

L'ECRIT DE JOIE

Estelle, la jeune fille du conservatoire (Episode 30)

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                                                      La première fois - (Opus 3)

Nous somme là, tous les deux, depuis une vingtaine de minutes, vautrés sur le canapé. Je suis assis confortablement, le dos contre le moelleux du dossier. Estelle, couchée à mes côtés, avec les pieds relevés sur les coussins. La jeune fille me suce avec cette passion dont elle est coutumière à la moindre occasion. Je suis nu. Mon peignoir est resté aux toilettes. Malgré les radiateurs allumés, je suis couvert de frissons. Je caresse les cheveux de ma suceuse. Lui murmurant des douceurs. Je regarde les flammes danser dans la grande cheminée.

Nous avons fait l’amour pour la toute première fois Estelle et moi cet après-midi. Elle y a volontairement laissé sa virginité. Nous y avons pris un plaisir divin. Je suis pourtant terriblement excité sur l’instant. Je contrôle toujours parfaitement mes orgasmes et leurs épanchements. Il arrive toutefois que j’atteigne des limites. Aussi, je retire mon sexe de la bouche de la jeune fille. Je l’oblige à s’asseoir à mes côtés. D'un ton professoral je dis : << Estelle, vous allez finir par me rendre fou ! >>. Elle me répond, ingénue, tout en s’essuyant la bouche : << Moi, je le suis déjà ! Folle de vous. Il n’y a donc plus qu’à nous interner ! >>. Mon étonnement ne dure qu'un bref instant.

Nous éclatons de rire. Je me lève pour aller récupérer mon peignoir. Estelle se lève immédiatement pour me suivre. Elle me fait : << Si c’est pour pisser, j’en veux aussi ! >>. A ces mots surréalistes je perds une fois de plus le bon sens le plus élémentaire. Je me tourne pour la saisir par les épaules. Je réponds : << Non, j’ai froid, je vais récupérer mon peignoir et chercher des pantoufles fermées. >>. Estelle se met à me frotter les épaules pour me réchauffer en riant. Je dépose une bise sur son front. Je passe à la cuisine pour y éteindre le four et entrebâiller la porte. Ma jeune étudiante ne me lâche ni la main, ni le bras. C'est adorable de la voir faire des pas de danse à mes côtés.

Je reviens au salon chaussé de mes charentaises à carreaux, (d’un érotisme très "vieille France"), et vêtu de mon peignoir. Je suis à nouveau prêt à affronter les assauts buccaux de la jeune fille. Je n’ai pas le temps de m’asseoir à nouveau qu’elle est déjà à genoux sur un coussin qu’elle pose au sol. Je murmure : << Vous êtes incorrigible, Estelle ! >>. Amusée et espiègle elle me répond : << J’ai développé une véritable addiction au sperme. Et à cause de vous ! Vous devriez avoir honte ! >>. Nous rions aux éclats avant qu'elle ne rajoute : << Sans compter sur une addiction à "vous" ! >>.

Je me mets bien face à son visage qui n'est qu'à faible distance. Je la saisis par les cheveux que je tiens en queue au-dessus de sa tête. Je glisse mon sexe entre les pans de mon peignoir pour le lui passer sur les lèvres. << J’aimerais comprendre "ça" ! >> dit elle un peu comme si elle s'interrogeait elle-même. Je réponds : << Il n’y a rien à comprendre Estelle, c’est vicelard, tout simplement ! >>. Je lui frotte les joues de ma turgescence humide. La jeune fille glousse, amusée, tout en observant ma main qui guide mon sexe sur son visage. J'ai un peu honte de me comporter de cette façon avec ma jeune étudiante.

Je me penche pour murmurer : << A présent que c’est possible nous pourrons faire l’amour quand l’envie vous en prendra chère demoiselle ! >>. Je ne lui laisse pas le temps de répondre. J'introduis mon sexe dans sa bouche. Estelle se retire, déglutit avec peine et dit en se touchant l'entre-jambes : << Je me sens un peu congestionnée "là", je crois que je vais laisser reposer un peu ! >>. Je comprends parfaitement. Aussi, je n’insiste pas. Je reste sous la merveilleuse impression d’avoir pénétré cette jeune fille il y a quelques heures à peine. Ce sentiment d'irréalité pourtant tellement présent dans toute la réalité des sensations de mon corps.

Je prends Estelle par les oreilles pour maintenir sa tête ainsi. Je me masturbe longuement dans sa bouche. Je bouge le bassin avec une régularité métronomique. Le trop-plein la fait tousser. Elle a du mal à déglutir le liquide séminal que je produis ainsi en grande quantité. Je suis couvert de sueur. Une intense excitation m'envahit tout entier. A présent j’ai trop chaud. Je cesse de m’agiter pour rester immobile. Estelle savoure les "arrivées" juteuses. Je regarde l’horloge murale. Il est vingt deux heures trente. Je sens faiblir ma suceuse.

Je me penche pour chuchoter : << Et si nous allions nous coucher ? Je suis mort de fatigue ! >>. Je me retire de la bouche passionnée de ma gourmande. << Moi aussi, je n’en peux plus ! >> me fait-elle. Elle bâille en prenant conscience de son état d'épuisement. Je me mets à genoux pour la tenir par ses épaules en disant : << Pipi et au lit ! >>. Rires. << Oh oui ! >> s’écrie Estelle. Une fois encore c'est le prétexte à un un éclat de rire épuisant. << J’y vais la première ! >> fait la jeune fille en m’entraînant par la main. J'entre avec elle dans les toilettes. Se mettant à cheval au-dessus de la cuvette sans s'assoir, fléchissant légèrement les genoux, elle se met à pisser. Debout.

Je tombe à genoux pour regarder le merveilleux spectacle qu’elle m’offre là. Lorsque le petit jet de la fin se tarit enfin, j’approche ma bouche. Je veux goûter à ce "fruit" merveilleux et encore juteux. Lorsque ma bouche touche son sexe, Estelle a un spasme. Un petit cri de surprise. J’enfonce ma langue en suçant. Estelle se met à gémir. Soudain, la jeune fille me repousse en me disant : << J’ai un peu mal là ! >>. Je comprends très bien. Aussi, après avoir léché l’intérieur de ses cuisses éclaboussées, je me relève pour me mettre en position.

Estelle me tient le sexe pour en diriger les jets. Cela l’amuse considérablement. Ce n'est pas la première fois. Elle connait bien. Aussi, pour la divertir, je lâche une multitude de petits filets drus qui viennent se briser dans l’eau du fond de la cuvette. Lorsque j’ai terminé, ma jeune étudiante s’accroupit à nouveau pour me sucer. Je reste ainsi quelques minutes pour lui offrir une de ses "préférences". Puis, la relevant en la tenant par ses cheveux, je l’entraîne dans la chambre à coucher. Je la jette sur le lit. Elle rit en sautant dessus et en s'exclamant : << Je suis avec vous, je suis avec vous ! Je suis si heureuse ! >>.

En tirant le draps nous découvrons cette tache rouge. Un peu du sang d'Estelle. Elle se pend à mon cou en disant : << Je ne le ferai plus c'est promis ! >>. Nous éclatons de rire. Couché sur le dos, je me fais sucer pendant un bon moment. Enfin, je lui offre le fruit de ses efforts. J’éjacule avec une rare abondance. Je la tiens par la nuque. Elle déglutit avec peine. Estelle reste encore cinq minutes pour bien "m’essorer". La saisissant par les cheveux, je la force à venir se blottir contre moi. Je murmure à son oreille : << Maintenant c’est fini, il faut dormir ! >>. Elle me dépose un baiser. << Oui monsieur. Je serais sage. Bonne nuit ! >> me répond t-elle en se serrant contre moi.

Je glisse ma main entre ses cuisses pour caresser tendrement sa vulve. << Je n'ai plus mal ! >> murmure t-elle. Quelques minutes plus tard je l’entends respirer avec cette régularité que procure un profond sommeil. Comme je suis heureux. Envahi d'une béatitude un peu stupide, je sombre rapidement à mon tour dans les profondeurs de la nuit. Le gratin sera réchauffé une seconde fois, demain, pour midi… 

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18/02/2015

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