L'ECRIT DE JOIE

L'ECRIT DE JOIE

Estelle, la jeune fille du conservatoire (Episode 35)

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                                                 Le samedi après-midi avec Estelle

Je suis entrain de passer l’aspirateur. C'est le téléphone fixe qui se met à sonner depuis le salon. Il est dix heures en ce matin pluvieux. Cette journée de samedi s'annonce morose. Une journée qui va sans doute encore se dérouler sous une météo plutôt maussade. Je décroche. Je reconnais la voix de ma surprenante étudiante. << Je suis chez vous pour quatorze heures ! C’est bon ? >> me lance t-elle avec un accent anglais caricatural. Elle le fait de plus en plus souvent pour parodier mon accent écossais qui l'amuse toujours beaucoup. Je réponds en riant : << No problem miss. It's perfect ! >>. Elle dit : << It's good, see you later ! >>. Je continue mon ménage.

Quatorze heures. Les trois coups de sonnette retentissent. J'ouvre le portail depuis l'interphone dans le hall d'entrée. Sur l'écran je vois Estelle qui tient sa bicyclette. Je sors sous le parapluie pour venir à sa rencontre. Estelle entre rapidement. Je la débarrasse de sa cape de pluie. Elle retire ses bottes en caoutchouc. Elle me saute au cou. Les jambes passées autour de ma taille, se maintenant à mes épaules, ma jeune étudiante m’embrasse avec sa fougue habituelle. Nous restons ainsi de longues minutes. Tout en la tenant contre moi je l’entraîne au salon. Sans ménagement, mais doucement, je la jette comme un sac sur le canapé. Elle se redresse pour sauter dessus en riant. << Je peux rester jusqu’à minuit. J'ai tout prévu. Je suis censée être chez Solène qui est dans la combine ! >> s'écrie t-elle toute contente.

Je vais à la cuisine pour préparer des infusions. Sur le plateau, je dépose un paquet de gâteaux, deux bols, deux petites cuillères, le sucre roux. Je n’ai pas terminé que ma visiteuse, entrée en silence, m’attrape par les hanches. Se jetant à genoux sur le carrelage, elle me mordille le tissu de la braguette. Estelle m’ouvre la braguette avec des gestes d'une incroyable précision. Sans hâte. La tête relevée pour me fixer. Pour apprécier l'émotion qui m'envahit totalement. La coquine en extrait une érection en devenir. Soupesant mon sexe encore mou, elle me fait le plus adorable des sourires. Visiblement heureuse de l'effet produit sur ma psyché. J'en ai la tremblotte.

L’eau est entrain de bouillir. Je le fais remarquer à Estelle qui joue avec mon érection naissante. Elle se redresse. Prenant le plateau, la jeune fille me précède au salon. J’arrive avec la théière que je dépose sur la table basse devant le canapé. Estelle, s’étant emparée d'un des coussins en velours carmin, sautille en le jetant au plafond. Je la regarde faire la clown. Elle est tellement adorable quand elle se laisse aller à son tempérament extraverti. Vêtue d’un jeans noir, d’un pull fin, je lui fais remarquer qu’en chaussettes elle risque fort de glisser et de se retrouver sur les fesses. << Oh oui, les fesses ! > fait -elle en riant aux éclats. Elle se les tapote en s'écriant : << Le cul cul ! >>.

Soudain, s’immobilisant, ma belle hystérique de circonstances retrouve tout son sérieux. Elle me lance un long regard emprunt d'une certaine gravité. << Jusqu’à hier je croyais être amoureuse de vous cher professeur. Depuis aujourd’hui je sais que c’est pire ! Je vous aime ! >> me dit elle en déposant le coussin au sol. Estelle me fixe longuement. Nous restons tous deux silencieux. Je reste pantois. Au bout de quelques minutes la jeune fille se met à genoux sur le coussin. << Viens ! >> me lance t-elle en appuyant sa demande d’un mouvement de son index. Je reste hésitant. Tant d'agitations durant quelques minutes avant ce soudain retour au calme ont de quoi me déstabiliser.

Je me lève pour venir me placer devant la jeune fille. Elle se saisit de mon sexe. Approchant son visage elle se met à le renifler longuement. Rapidement mon érection devient contraignante. Estelle, concentrée, me décalotte pour ensuite faire remonter la peau fripée de mon prépuce. Recouvrant la totalité du gland. Ma coquine s'amuse ainsi et le fait à plusieurs reprises. Elle cesse. Reste immobile. Me fixe dans les yeux, la tête relevée. Estelle prend ma turgescence en bouche pour se mettre à la sucer. Je regarde ce visage innocent. Comme les filles peuvent parfois êtres surprenantes, paradoxales et pleines d'initiatives étonnantes ! Ses presque dix neuf ans ne se lisent toujours pas sur ce visage encore juvénile. Nubile. Une fois de plus cela me met mal à l'aise. Un peu comme si je flirtais avec le plus défendu des interdits.

Estelle cesse au bout d’une dizaine de minutes. << J’en avais trop envie. Depuis qu’on baise j’oublie à quel point je préfère "ça" ! >> me fait elle pour rajouter : << Et toi ? >>. Je reste quelques instant silencieux à regarder son sourire espiègle. Je me penche pour lui déposer un baiser sur le front. Je réponds : << Moi ? Et bien je me prête à tous tes désirs, à toutes tes envies. Avec toi tout est si bon que je n’ai plus de réelles préférences ! >>. Ma jeune étudiante se met à glousser de plaisir. Elle ouvre sa bouche pour y faire tourner sa langue. Me faire une hideuse grimace.

Estelle reprend sa fellation. Les yeux fermés, les joues creusées par la succion, ses gémissements en disent long sur son plaisir. Ses cheveux, noués en une longue natte, brillent d’un éclat qui donne un certain luxe à la scène. Je me saisis de cette natte. De la main gauche je guide la tête de la jeune fille. De la main droite, passée sous son menton, je guide sa bouche. Estelle est belle. J'en ai des frissons qui se transforment en décharges électriques le long de ma colonne vertébrale. Impossible de contrôler ce réflexe. Dans ces moments d’une intensité sexuelle si troublante, sa beauté s’en trouve encore étrangement sublimée. Je suis le jouet d'un mélange de honte et d'excitation.

Ma jeune étudiante adore que je la guide ainsi. Elle me la confié mardi soir encore, lorsque nous faisions l'amour dans les toilettes de l'école de musique. Ses gloussements, s’amplifiant davantage, m’indiquent son degré d’excitation. Sans doute supérieur au mien. Estelle a passé une main dans son pantalon ouvert. Entre le pouce et l’index de chacune de mes mains je la tiens par les oreilles. Je peux ainsi la guider avec précision. Je regarde la jeune fille tellement concentrée sur son activité. Je suis pétri d'une grande émotion. Tant de douceurs, tant de délicatesses, rien que pour nous deux. Cette simple idée me fait vaciller. Parfois je lâche ses oreilles pour caresser sa tête. Cette situation dure longtemps. Lorsqu'elle cesse de sucer pour laisser reposer sa mâchoire c'est pour me demander : << C'est bon monsieur ? >>.

La prenant par les épaules, je la force à se redresser. Estelle pousse un gémissement de contrariété. Elle cesse de se masturber. Une fois debout, elle colle sa bouche contre la mienne en s’écriant : << Je la veux encore sil te plaît ! Donne-la moi, tu veux bien ? >>. Je l’embrasse longuement avant de l’entraîner dans le couloir. Elle me suit en sautillant. << Oh oui, oh oui ! >> s'exclame t-elle. Elle me dépasse, me devance. À présent c'est elle qui me tire par la main et ouvre la porte. Elle pénètre la première dans les toilettes pour me positionner devant la cuvette, s'accroupir à ma droite. Son regard suppliant, elle chuchote : << Je veux la totale ! >>. 
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08/10/2015

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