L'ECRIT DE JOIE

L'ECRIT DE JOIE

Estelle, la jeune fille du conservatoire (Episode 37)

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                                    Samedi après-midi avec Estelle - (Partie 3) -

Je tiens Estelle par la nuque. Je tourne sa tête pour regarder son visage. Elle me fixe avec fierté. Presque hautaine. Je la ramène au salon. Au milieu de la pièce je la prends par les épaules. La jeune fille se serre contre moi. Je l’embrasse longuement. Le goût de sa bouche est sans équivoque. Une odeur de pissotière. Du foutre coule encore de ses narines. De légers soubresauts commencent à agiter son corps. Je devine ce qui est entrain de se passer. Quittant mes bras, Estelle se précipite aux toilettes. Je la suis quelque peu inquiet. Tombant à genoux devant la cuvette, elle se met à vomir. << Ça me brûle jusque dans le nez ! >> murmure t-elle d'une voix plaintive, agitée de hauts le cœur.

Lorsqu’elle termine, les yeux larmoyants, elle passe à la salle de bain. Je suis toujours à la suivre comme un petit chien apeuré. << Excuse-moi. A chaque fois c’est pareil. J’adore mais mon estomac lui, n’apprécie pas du tout ! >> me fait elle en se rinçant longuement la bouche. Je me tiens derrière elle, la tenant par ses hanches. Me voilà à nouveau rassuré. Je place ma bouche à son oreille pour dire à voix basse : << Dorénavant, je me limiterai au sperme ! >>. Ma jeune étudiante a un sursaut en ouvrant de grands yeux. << Oh non, ne te limite pas je t’en prie. Ne te censure pas. Je finirai par surmonter, j’aime trop les excès ! >> me fait elle en se tournant pour se lover contre moi.

Estelle me prend la main pour m’entraîner jusqu'au salon. Passant derrière le bureau, elle s’empare de la chaise pour la placer au milieu de la pièce. Elle s’assoit à l’envers, le dossier entre ses jambes écartées. Les bras en appui sur l'accotoir. << Punis-moi s’il te plaît ! >> me fait-elle d'une voix implorante. En me tendant ses poignets. La jeune fille articule chacune de ses syllabes presque à l'excès. Je sais maintenant que c'est pour traduire une exigence. Je la regarde longuement. Ses yeux implorants me fixent avec insistance. << S’il te plaît ! >> dit elle une nouvelle fois. Résigné, je passe à mon tour derrière le bureau. Du dernier tiroir, je ramène quatre grosses cordelettes de coton blanc.

Je cale les pieds de la jeune fille contre ceux de la chaise. Je les fixe solidement en n’ayant aucune crainte de serrer trop fort. Le cuir de ses bottes d'écuyère reste un élément protecteur. Prenant ses mains, je fixe chacun de ses poignets à un des montants du dossier. Je bande ses yeux à l’aide de son foulard que je récupère sur le canapé. Estelle respire fortement. Son souffle traduit une excitation qu'elle ne peut contenir. A chacune des bises dont je couvre son visage, je peux l’entendre glousser de joie. Gémir de contentement. L’émotion intense de l’instant est partagée. Lorsque je saisis sa main entravée, nos frissons les font trembler dans une osmose parfaite.

Je reste longuement à la regarder. Je tourne plusieurs fois autour de la jeune fille attachée sur sa chaise. Je m'assois dans le canapé. Le spectacle est passionnant. Je vois le léger mouvement de son bassin. Ma jeune étudiante se frotte sur l'assise de la chaise. Je prononce des mots que je lui demande de répéter. Je place ces mots dans des phrases volontairement vulgaires. Des phrases tressées pour la circonstance. Estelle les répète en articulant chaque syllabes. Je me lève pour la rejoindre. Je passe ma main dans son pantalon. Je suis penché, debout derrière ma captive à toucher son sexe. Un sexe humide et suintant qui ne laisse aucun doute quand à son état d’exaltation.

Estelle cambre sa taille. Droite. Tremblante sous ma caresse. Elle tortille du bassin sur la chaise. Ce, afin de permettre à ma main d’avoir un accès parfait à son intimité. Rapidement mes doigts sont trempés de cyprine chaude et visqueuse. J’ai le désir fou de me régaler des substances de la jeune fille. J'adore les rapports génitaux buccaux. Dans ma psyché, la bouche est beaucoup plus expressive qu'un sexe. Je garde ce désir en projet pour la suite de la "séance". Estelle gémit de plaisir. Les traits fins de son visage témoignent d'un véritable état extatique. Les lèvres humides de sa bouche m’invitent à quelques débordements que nous aimons à vivre tous deux dans un échange intense.

Je me place devant la chaise, léchant mes doigts pleins de "mouille" délicieuse. De mon autre main, j’ouvre ma braguette pour en extraire un sexe turgescent. Du liquide séminal, causé par l’excitation, perle à l’extrémité de mon prépuce. Je passe mon membre sur le visage d’Estelle, le maculant de mes substances. La jeune fille gémit d'exaltation. Tout en essayant, avec sa bouche, de s’emparer de la chose. Je le frotte sur ses lèvres, longuement, avant de m’y engouffrer. C'est à mon tour de pousser un cri d'extase. Un cri primal et libérateur. Celui du nouveau né poussant son premier hurlement pour inspirer la première bouffée d'air de sa nouvelle existence. Sur l'instant j'en ai l'innocence.

Dans un râle de plaisir, Estelle se met à sucer avec cette passion, cette avidité qui m’étonnent toujours chez les filles qui adorent la fellation. Ses joues creusées par l’effort de succion, son menton mouillé, des cheveux collés sur son nez par mon liquide, la jeune fille se livre à sa préférence avec une certaine voracité. Sous l’effet de l’indicible caresse je dois me tenir d’une main, les jambes fléchies, à un des montants de la chaise. De l’autre, je tiens ma complice par la nuque. Parfois, avec un élan des plus vicieux, j'appuie pour enfoncer davantage de chair. Quand je me concentre pour reprendre mon équilibre, je la tiens sous le menton. Estelle soupire de bonheur. Elle adore être guidée et maintenue de cette façon. Ma jeune étudiante me l'a confié à plusieurs reprises et je peux le vérifier ce soir encore.

La quantité de mes sécrétions doit être importante car Estelle déglutit régulièrement avec peine. Moi, je ne m'en rends pas vraiment compte. Je ne ressens que la douceur d'une ventouse divine. L'ébullition du fond de mes noix bouillonnantes. Les gémissements emplissent la grande pièce d’une mélodieuse mélopée. Parfois, quelques gloussements m’informent de ce qui se passe. Je me sens vaciller. Je me fais "vider". Nous n’en sommes pas à notre coup d’essai. Aussi, Estelle et moi, nous savons exactement ce que nous aimons lors de nos nombreuses fellations. Nous restons ainsi de très longs moments à savourer ce que nous faisons. Je suis en sueur. Pris de vertige lorsque j'observe son visage. Mais comme les filles sont merveilleusement belles quand elles font "ça" ! Ce n'est pas humain, c'est au-delà de tout...

Régulièrement, afin d’accorder un peu de répit à ma pompeuse, je me retire. Pleine de compassion pour mes attentions Estelle m'adresse le plus beau des sourires. Toute rouge, en sueur, comme une expression de honte sur ses traits. M’accroupissant alors, avec une tendresse infinie, je caresse son visage, sa tête, en y déposant des millions de baisers. Elle murmure ses enchantements en témoignant de son intense plaisir. << Je t’aime ! >> me fait elle à d’innombrables reprises. Je pose mes lèvres sur les siennes pour l’empêcher de continuer. Ces aveux répétés presque à l'infini me plonge dans une angoisse morbide. Puis, une nouvelle fois, me faisant violence, je me redresse pour lui offrir son "délice". C'est moi qui pousse de petits cris d'animal blessé tellement c'est bon...                                                            
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22/10/2015

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