L'ECRIT DE JOIE

L'ECRIT DE JOIE

Estelle, la jeune fille du conservatoire (Episode 38)

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                                        Samedi après-midi avec Estelle - (Partie 4)

Je suis assis dans le canapé. J’observe Estelle. Je viens de retirer le bandeau qui masquait ses yeux afin qu’elle puisse voir. Les chevilles et les poignets attachés, elle semble ravie d’être vue ainsi. Elle me sourit et me regarde d’un air espiègle. Peu à peu elle redevient cette jeune fille fière, au port de tête altier. Son naturel presque aristocratique qui reprend le dessus. Elle se ressaisit toujours très vite. Au bout d’une dizaine de minutes ma jeune étudiante me fait : << J’adore ce que vous faites. Je savais que j’avais quelques tendances exhibitionnistes. Je découvre à présent qu’elles me procurent de délicieuses émotions ! >>. Les filles belles ont le plus souvent ce plaisir secret d'êtres vues.

Même si le fait d'entrer dans une pièce, sans aucun souhait ostentatoire de leur part, attire tous les regards, c'est quelquefois une épreuve difficile à surmonter. Pénible dans certains cas. Christine, mon ancienne compagne disparue, m'en faisait souvent la confidence. Je ne réponds pas. Gardant le silence, souriant, je me contente d'observer Estelle. Ce silence participe du plaisir que je procure ainsi à ma chère complice. Elle a parfois un spasme qui secoue tout son corps. Je peux à peine m’en rendre compte. Le phénomène est si peu perceptible. << Venez, s’il vous plaît. Donnez-la moi encore ! J'ai envie ! >> s'écrie la jeune fille avec un regard implorant et en ouvrant la bouche.

Ma belle étudiante recommence à me vouvoyer. Je vais appliquer le même fonctionnement. Je me lève. Je viens me placer devant elle. Le haut de mes cuisses contre le dossier de la chaise. Je me penche pour toucher son sexe au travers du tissus de son pantalon. Estelle, fermant les yeux, poussant un gémissement, jetant sa tête en arrière, est secouée d’un frisson. J’insiste en imprimant un mouvement régulier du bout de mes doigts. La jeune fille bouge du bassin au rythme de mes palpations. Je suis à la fois insistant, vulgaire et délicat. Son plaisir est intense. J'adore sentir le souffle de sa respiration contre ma joue. Je l'approche encore davantage en scrutant de très près.

Je reste ainsi à la masturber de longues minutes. Parfois je fouille sa bouche de ma langue avide. Nous avons de la salive qui coule sur nos mentons. Quand nos bouches se décollent, je scrute le visage de ma jeune étudiante. Chaque relief. Chaque détail. Les petites pustules à peine visibles autour de la bouche. Elle m'en prétend responsable en précisant que : << La pipe ça donne des boutons ! >>. Elle n'est pas la première à me le dire. Soudain, dans une crispation, Estelle cesse tout mouvement. Poussant un râle de plaisir, la jeune fille a un orgasme. Je retourne m’asseoir pour la regarder à nouveau. Haletante, elle me fixe avec des yeux pleins de reconnaissance. Comme elle est belle !

Je reste ainsi quelques minutes. Estelle insiste une nouvelle fois : << Viens ! Je la veux ! >>. Voilà qu'elle me tutoie à nouveau. Je reviens vers elle. Je me débraguette. Une nouvelle fois, longuement, je lui passe mon sexe sur le visage. Je suis trempé de liquide séminal. J’en macule ses joues, ses lèvres, son front et son nez. << Tu me chatouilles ! >> fait elle en riant. Je le lui enfonce dans la bouche. Avec un nouveau gémissement, profond et modulé, Estelle se remet à me sucer. Je me penche pour murmurer : << Gourmande ! >>. Elle rit en gloussant. Elles sont tellement belles quand elles font ça. Une fois encore j'essaie de tatouer ce moment au plus profond de mes souvenirs.

Il lui faut se donner beaucoup de peine pour déglutir le fruit de mes excitations. Je la tiens par la nuque, par le menton. Je me sens un peu honteux d'infliger cela à une jeune fille de 20 ans. Je dois me raisonner. Après tout, si elle n'appréciait pas, elle ne serait pas là, ficelée sur cette chaise avec un pénis ruisselant dans la bouche. Et à pousser de petits râles de ravissements. Les yeux fermés, les traits de son visage reflètent d'ailleurs son bonheur. Estelle suce avec cette avidité gourmande dont elle est coutumière. Parfois, lorsque les quantités de substance la font suffoquer, elle lève les yeux pour me fixer d’un air interrogateur. Je retire alors mon sexe de sa bouche pour lui permettre de reprendre son souffle. Comme une noyée qui emplit ses poumons d'un air frais et vivifiant. Ça me gêne. J'ai honte. Peut-être qu'elle aussi !

Je passe plusieurs fois ma turgescence sur la peau de son visage. Je la frotte sur les minuscules boutons autour de sa bouche en murmurant : << J'entretiens tes purulences ! >>. Je dis cela en récupérant les filaments laiteux et épais de mes substances pour les ramener sur le bord de ses lèvres. Avec des mouvements de tête gracieux, Estelle essaie d’attraper, de gober mon sexe. Je la maintiens par les cheveux pour l’en empêcher. De sa langue elle essuie les commissures de sa bouche en gémissant. Je m’introduis encore. Je reproduis à plusieurs reprises la même situation. Estelle en glousse de bonheur. Elle est toute rouge. De fines gouttes de sueur perlent sur ses joues, le bout de son nez. Sa respiration, son souffle, ses halètements trahissent la jouissance cérébrale de ce moment passionnant. Partagé dans le plaisir.

                                                                     

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26/10/2015

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