L'ECRIT DE JOIE

L'ECRIT DE JOIE

Estelle, la jeune fille du conservatoire (Episode 39)

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                                              Samedi après-midi avec Estelle - (partie 5)

Je laisse Estelle assise sur sa chaise. Je retourne m’asseoir dans le canapé. << Me laisse pas toute seule ! >> me fait elle, implorante, presque suppliante. Je reste silencieux en la fixant dans les yeux. De la laisser ainsi participe après tout de ce qu’elle désire sur l'instant. Et sans doute le plus au monde. La jeune fille n’en a tout simplement pas encore conscience. Estelle me sourit. Elle est belle et semble si "innocente" que la situation en est paradoxale. Surréaliste. Peut-être quelque peu "dérangeante". Mon étudiante reste bouche ouverte.

Au bout de quelques minutes je viens la rejoindre. A nouveau je passe mon sexe sur son visage. Longuement. L’empêchant de pouvoir le saisir avec sa bouche. J'insiste sur ses lèvres. Glissant mon prépuce sur ses joues où il y colle, évoquant une limace rampante. Je passe derrière Estelle. Doucement, avec une douceur infinie, je la caresse au travers de la laine de son pull. Je m’attarde sur ses seins minuscules, presque inexistants. Ses tétons offrent une raideur qui ne laissent aucun doute sur son état d’excitation. Je peux deviner les toutes petites protubérances qu'offrent ses extrémités. La laine est fine et douce, épousant parfaitement les formes les plus intimes. C'est prodigieux.

Je passe mes mains sous ses vêtements pour caresser sa peau bouillante. Estelle est trempée sous les aisselles. Autant que l’est son sexe que je touche avec de délicates attentions. La jeune fille, assise là, offerte selon son désir le plus intime, m’est aussi précieuse que le plus fin cristal. Aussi, presque avec crainte, dans un élan plein de respects et de dévotions, je passe mes doigts partout pour en toucher la suave douceur. Estelle se pâme de plaisir. Lorsque je lui fais face elle lève les yeux pour me regarder avec interrogations. Comme si elle était déjà en attente de ma prochaine initiative. Adorable jeune étudiante dont je suis une fois encore le professeur pour des cours complémentaires.

Je détache ses pieds. Je passe mes doigts dans le haut de ses bottes. Je la fais se relever en la tenant par les cheveux. Estelle, les mains toujours attachées dans le dos, me regarde avec cet air interrogateur qui ne la quitte plus. Bien évidemment je peux parfaitement saisir et comprendre chacun des délicieux frissons qui l’animent. Chacun de ses soupirs est éloquent. Laissant transparaître les troubles de ma violoncelliste. La plupart d'entre nous avons le même fonctionnement. Nous aimons tant que quelqu’un s’occupe de nous. Un privilège qui est offert à ma jeune "captive" et qu'elle apprécie à sa très juste valeur. Moi aussi… Je suis d'ailleurs en sueur et c'est assez désagréable.

La tenant par ses cheveux je l’emmène "visiter" le salon. Nous voilà dans le couloir. Nous passons dans l'atelier. Je lui montre les toiles achevées et celles en devenir. Les rares visiteurs qui pénètrent ce lieu restent sous le charme des découvertes. Tout ici est ordonné, rangé. L'ordre parfait. Ce n'est pas l'atelier d'un peintre "bohème". Je la maintiens fermement pour l'entraîner dans la cuisine. Dans la salle de bain je m’arrête pour lui toucher le sexe au travers de son pantalon. L’humidité suinte à travers le tissus. A chaque fois, agitée d’un spasme, se fléchissant sur ses jambes pour se cambrer, Estelle, en gémissant, m’offre la plus large amplitude possible. Écartant ses cuisses en gémissant. La visite guidée semble convenir à ma jeune touriste. J'approche mon visage pour ressentir le souffle de ses profonds soupirs.

Elle tente de m’embrasser. Lorsqu’elle y parvient, sa langue me fouille avec une avidité passionnée. Elle fait couler sa salive dans ma bouche. Crachant dedans parfois. Je savoure cette liqueur avec un bonheur fou. Le jus de chacune de ses muqueuses est un régal. Dans les toilettes, je la prends dans mes bras. La jeune fille se serre contre moi, frottant son sexe sur le mien. Tâchant son pantalon de mon liquide séminal. Nous nous embrassant avec tant de fougue, dans un concert de gémissements lascifs que nous en ressentons tous deux le vertige. Si ce n'est pas moi qui vacille, c'est Estelle qui manque de perdre son équilibre. Nous voilà entre le mur du fond et l'étagère. La stabilité.

Estelle lèche la peau de mon visage, me mouille de sa salive. En gémissant, les mains toujours attachées dans son dos, elle s'appuie contre le mur en me disant : << Prends-moi ! Prends-moi n’importe où, mais prends-moi, je deviens folle ! >>. J’ouvre son pantalon. Je le tire vers le bas. Il est sur ses chevilles. Avec sa culotte dont le fond est mouillé. Ses bottes empêchent de les retirer complètement. Estelle pousse des halètements sonores entrecoupés de petits cris d'animal blessé. Mon érection est douloureuse. Contrariée par les boutons de ma braguette. Je me cambre sur mes genoux fléchis pour pouvoir glisser mon sexe entre ses cuisses. Le frotter contre le sien. Je cesse très vite.

Je tombe à genoux pour la lécher en gémissant comme un dément. L'accès à sa vulve m'oblige à d'horribles torsions de la nuque. Je parviens à atteindre ses lèvres. Son sexe est trempé. De la cyprine commence à couler sur sa cuisse droite. Estelle pousse un râle de plaisir. Cambrée sur ses cuisses écartées, le bassin projeté en avant, elle m’offre le meilleur angle possible. Son jus, absolument divin, me coule dans la bouche, sur le menton. Soudain, la jeune fille, pour la première fois, se "lâche". Je suis rapidement trempé de pisse…                                                                

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06/11/2015

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