L'ECRIT DE JOIE

L'ECRIT DE JOIE

Estelle, la jeune fille du conservatoire - (Épisode 40)

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Samedi après-midi avec Estelle - (partie 6)

 

Estelle, les mains toujours attachées derrière le dos, tout en pissant, se laisse glisser doucement le long du mur. Jusqu'au sol. Elle lâche plusieurs petits cris. Son pantalon et sa culotte, sous les genoux, retenus par ses bottes, sont également trempés. Une fois encore je comprends pourquoi la jeune fille apporte son petit sac de sport lorsqu’elle vient me voir. Il contient de quoi se changer. Précautions toutes féminines. Avec les week-end qui se sont enchaînés, les expériences vécues, elle préfère probablement anticiper. Je regarde son expression d'extase. Rien n'est jamais surfait chez ma jeune étudiante. Pourquoi jouerait-elle ici le personnage de l'élève de l'école de musique ?

 

Estelle ouvre les yeux. Reprenant rapidement ses esprits. Couchée au sol, son regard implorant, elle écarte ses cuisses autant que le lui permettent ses vêtements. Malgré la position inconfortable, elle me fait : << Viens ! >>. Je la couche au sol, je me mets sur elle. Je la pénètre doucement. D’un dernier coup de reins, la jeune fille s’enfile mon membre turgescent. Une fois encore l’intense douceur du sexe étroit de ma complice se referme sur ma virilité. Je reste en appui sur mes bras. Les mains dans la pisse qui recouvre le carrelage. Je dois prendre garde. Le risque de glisser est permanent. J'en prends conscience en bougeant prudemment. Il y a même quelques rétablissements.

 

Je reste sans bouger. C'est bien plus prudent. Je me contente de contracter mes muscles fessiers. Ce qui a pour effet de faire bouger mon sexe. De petits à coups dans celui de ma partenaire enchantée. Estelle imprime un rythme régulier de son bassin. Lent. Parfois à peine perceptible. Je peux deviner autant que ressentir des contractions indéfinissables. Ses mains attachées ne lui permettent pas la liberté de mouvements qu’elle souhaite. Elle m’embrasse avec sa fougue habituelle. Soudain, excitée par tout ce qui vient de se passer, sans pouvoir se contrôler, la jeune fille connaît un orgasme. Une jouissance qui lui fait pousser quelques nouveaux cris. Cris suivis d’un long râle de plaisir.

 

Je me retire. Je reste un peu étonné de la rapidité avec laquelle Estelle a atteint le zénith de son plaisir. Je me redresse. Saisissant la jeune fille par ses cheveux, je l’oblige à se lever. Je lui retire ses bottes et ses vêtements mouillés. Le sol est trempé. Nous évoluons dans une flaque de pisse qui commence à devenir froide et désagréable. Écœurante. Je l’emmène à la salle de bain pour libérer ses mains. Je dénoue les cordelettes de coton blanc. Estelle se frotte contre moi, toute nue, m’embrassant avec une fougue passionnée. Je retire mes vêtements mouillés. Me voilà nu à mon tour. Le contact de nos dermes est magique. La même température. La même douceur. Les mêmes frissons.

 

Nos corps fins et tendus, serrés l’un contre l’autre, nous procurent d’intenses émotions. Je garde les yeux fermés pour jouir de cet instant. C'est au-delà de mes sens. Impossible de me concentrer. Ma conscience vagabonde. Quelquefois je dois retenir Estelle qui chancelle. Elle vit les mêmes affres de l'étourdissement. Au bout d’un long moment, nous reprenons nos esprits. Je ramasse les vêtements pour les mettre dans la machine. Pendant notre douche, il en sera lavé une partie. Sous le jet d’eau dans l’étroite cabine, nous partageons la douceur de nos peaux. Je savonne Estelle qui me savonne aussi. Nous rions aux éclats. Nous alternons avec de douces caresses. Parfois intimes. Des bisous.

 

Nous nous essuyons. Estelle me présente son dos que je frotte énergiquement avec la serviette. << J'adore ! >> fait elle dans un souffle. Je sèche ses cheveux. Je passe consciencieusement le sèche cheveux. Je la coiffe longuement. Devant le miroir, Estelle nous regarde. << Tu as vu comme on est beaux tous les deux ! >> me fait elle en déposant un baiser dans sa main pour le souffler vers le miroir, dans ma direction. Elle demande : << Tu t'es occupé de toutes les filles que tu as connu avec les mêmes attentions ? >>. Je ne sais quoi répondre et je me contente de lui sourire. Comme elle est belle, à la fois si fragile et si vivante. Je finis par dire : << Oui, parce que je leurs fais à toutes la même chose ! >>. Estelle éclate de rire en s'écriant : << Salaud ! >>. Je me penche pour chuchoter : << Car vous aimez toutes ! >>.

 

De son sac de sport, Estelle tire un pantalon noir et sweat-shirt identiques à ceux qui sont dans la machine. Ce sera pour n'éveiller aucun soupçon quand elle sera de retour chez ses parents. Elle s’en revêt en me disant : << Il ne faut plus que je fasse de bêtises ! >>. Je ris en précisant : << Tes autres vêtements sont déjà au sèche-linge. Tu peux t’oublier quand tu veux ! >>. Elle se précipite dans mes bras en s’écriant : << Je t’aime, je t’aime, je t’aime ! >>. Retenant mes larmes, je garde soigneusement mon visage caché dans ses cheveux pour répondre, en chuchotant : << Moi aussi ! >>. Je n'en mène pas large. Mon cœur entrain de fondre pour une élève qui pourrait être ma fille. Faisant semblant de garder tous mes moyens, j'en ressens subitement cette honte qui me donne envie de fuir une réalité douloureuse.

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17/11/2022

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