L'ECRIT DE JOIE

L'ECRIT DE JOIE

Estelle, la jeune fille du conservatoire (Episode 6)

 
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                                   Je passe évidemment un moment exceptionnel

Estelle est assise à mes côtés sur le canapé depuis cinq minutes. Un lourd silence presque pesant règne dans la grande pièce. Je peux entendre la respiration de la jeune fille installée confortablement à ma droite. Sa tête se tourne régulièrement vers ma braguette ouverte. Mon sexe pend à l’extérieur, reposant sur le tissus tâché de mon pantalon. A mon tour je tourne la tête et regarde mon invitée. Elle penche la tête dans ma direction pour me fixer de son regard fier et plein d’une certaine noblesse. Ses yeux vont de mon sexe aux miens.

Je me lève pour aller ouvrir la porte du petit meuble sur lequel est posé mon téléphone fixe. J’en sors une boîte contenant de larges élastiques. La porte en bois est sertie de carreaux de verre fumé. Je sais l’angle exacte pour pouvoir, comme dans un rétroviseur, voir le canapé. Je tends un élastique à Estelle en demandant : << Voulez-vous bien attacher vos cheveux en catogan afin de ne pas être gênée ? >>. La jeune fille, fouillant dans la poche de son jeans en sort un "chouchou". Ces tissus d'élastique souple qui ne risquent pas de blesser le cheveux. Elle me fait : << J’ai tout prévu. J'en ai toujours un sur moi ! >>. Je reviens m’assoir, laissant la porte ouverte dans l’angle voulu.

Lorsque je suis à nouveau installé je montre l’horloge murale à Estelle en disant : << Il n’est que seize heures quarante cinq ! Nous avons encore tout ce temps ! >>. Un silence. << Il passe beaucoup trop vite. Je vous propose de le ralentir ! >> me fait la jeune fille. Elle noue ses cheveux en catogan. Estelle, se laissant doucement glisser vers moi, descend sa tête à la hauteur de mon ventre. Sa bouche juste à quelques centimètres de mon sexe qui pend en avant. Je peux la voir dans les carreaux de verre fumé de la porte entre baillée. Elle scrute. Estelle observe "l’objet" de sa présence ici, chez moi. Avec une grande attention. De profonds soupirs s’échappent de ses narines.

Lentement, animé par l’excitation, mon sexe se redresse. Il est à présent raide devant le visage de la jeune fille. Il se passe un petit moment. Je retiens ma respiration. Mon rythme cardiaque accélère. Estelle relève la tête. Du bout de ses lèvres elle saisit ma turgescence. La jeune fille goûte du bout de la langue. Longuement. L’extrémité de mon sexe à présent dans sa bouche elle reste d’une immobilité totale. Je ne bouge pas. Je peux entendre sa respiration régulière. Concentrée. Dans le verre fumé je peux la regarder tout à loisir. Les yeux fermés, immobile. Les battements de mon cœur sont presque douloureux. Je les sens jusqu'aux extrémités de mes membres. Ma poitrine va exploser. Je suis en sueur.

Le bout de mon sexe dans la bouche de la jeune fille, baigné dans une douce chaleur, je savoure l’instant. Je ne ressens aucune succion. Par contre je sens la langue d'Estelle qui fouille entre la peau de mon prépuce et celle de mon gland. Cette langue explore consciencieusement. Sans s’arrêter. Parfois je la sens sur mon méat, comme si elle voulait en pénétrer l’orifice. Je reste sans bouger. Cette "dégustation" dure depuis une bonne dizaine de minutes. Estelle continue son "exploration" linguale. Doucement, je contracte mon périnée. Serrant les fesses, par mouvements réguliers, je fais bouger mon sexe dans la bouche de la jeune fille. C’est alors que pour la première fois je sens Estelle se mettre à sucer. Dans un souffle long et profond.

Les épanchements de liquide séminale doivent êtres conséquents car Estelle déglutit par saccades régulières. J’arrête les contractions de mes muscles fessiers. Estelle continue maintenant de pomper. Nul doute. Elle savoure silencieusement en cessant de respirer. Dans le verre fumé je la vois. Ses joues creusées par l’effort de succion. Elle aspire avec soin. Cela fait une bonne vingtaine de minutes que les choses perdurent ainsi. Je pose ma main droite sur sa tête. J'appuie légèrement, introduisant mon sexe un peu plus profondément. Je la maintiens de cette manière. Quelques instants avant de relâcher. C'est passionnant de sentir cette jeune fille se laisser faire. Comme lascive.

Parfois Estelle ouvre les yeux pour regarder avec attention le cylindre de chair qui pénètre sa bouche. Quelquefois, entre deux pressions de ma main, Estelle se retire pour lécher la peau du prépuce. Elle tente de pénétrer l’orifice avec sa langue afin d'avoir accès au méat suintant. Je l’admire dans mon "rétroviseur". Je me sens un peu "pervers" de l'observer ainsi sans qu'elle ne le sache. Je culpabilise d'être aussi vicelard avec cette jeune fille "novice". Tout ce qu'Estelle vit là est totalement nouveau pour elle. Elle n'a strictement aucune référence antérieure. Je ne suis pas réellement un adepte des "premières fois". J'aime quand les filles ont de l'expérience. Je peux plus facilement me faire des "films". Mais là c'est exceptionnel. À la fois étrange, insolite et excitant. Je suis certain que c'est un sentiment partagé.

Je demande : << C’est votre première pipe, Estelle ? >>. Je ne la laisse pas répondre. Je rajoute : << Sans doute la première d’une longue série ! >>. La jeune fille retire sa bouche. En se redressant elle me fait : << J’espère de tout mon cœur que vous me donnerez des cours de perfectionnement ! >>. Je regarde sa bouche lorsqu’elle me parle. Des filaments laiteux s’étirent à l’intérieur. Entre sa langue et son palais. Sa tête penchée vers moi, sa bouche sent le sperme. Je dis : <<< Il faudra apprendre à faire des pauses afin de bien faire durer. Et sans avoir de crampes à la mâchoire ! >>. Estelle s'écrie : << Vous allez tout m’apprendre ! >>. Elle a les lèvres et le menton trempés de liquide séminale. De la jute autour de la bouche et sous une de ses narines. Je murmure : << Il faudra apprendre à sucer proprement ! >>.

Je me lève. Je suis debout devant la jeune fille qui écarte ses genoux pour me permettre de me rapprocher. Je lui tends mon sexe. Estelle se penche en avant pour le reprendre en bouche. Cette fois-ci elle se met à pomper avec fougue. Des gargouillis se font entendre. Des bruits bulleux entrecoupés de gémissements vicieux. La pompe est amorcée et le jus coule. Je suis bercé par des gloussement vicieux. Aigus. Doucement, j'imprime un mouvement de va et viens dans la bouche de la jeune fille. Je fais l’amour à sa bouche. Je fais très attention. Je contrôle l’introduction de mon membre dans l’orifice buccale de la jeune étudiante. Estelle pompe avec passion. Au bout de quelques minutes je cesse de me masturber dans sa bouche. Je reste à nouveau immobile de longues minutes. Je sens monter le jus. L'aspirateur.

Dans un bruit de bulles et de gargouillis, Estelle, en gémissant, déglutit probablement de bonnes quantités de jus. Parfois par intermittences, je fais bouger mon sexe. Ce qui a pour effet de "l’essorer". De le vider sous l’effet de succion dans la bouche de cette ravissante jeune personne. Je me retire. Je murmure : << Bon appétit mademoiselle ! >>. Je m’assois à ses côtés. << Après un premier moment surprenant, je dois reconnaître que c’est un délice. C'est salé ! >> me répond t-elle, la bouche et les lèvres trempées. Sur son menton des gouttes épaisses et gluantes collent à la peau. Je le lui fais remarquer. De son index elle récupère le "reliquat" pour le lécher religieusement.

Je glisse à son oreille : << Quelles sont vos impressions mademoiselle ? >>. Estelle déglutit encore une fois. Mon foutre est épais, visqueux et gluant. Elle a de la peine à l'avaler. Avec un sourire espiègle, elle répond : << C’est le premier cours de flûte. Et il est concluant ! Je m’inscris ! >. Je demande : << Vous deviendrez rapidement une virtuose ! >>. Estelle éclate de rire pour rajouter : << J'ai donc les compétences requises pour jouer en duo ? >>. Nous rions en prenant chacun un petit gâteau. Estelle suce le sien en me fixant d'un regard on ne peut plus suggestif. Je chuchote : << J'adore les vicieuses. Je m'ennuie tellement avec celles qui ne le sont pas ! >>. Je suis debout.

Je m’assois à ses côtés. Estelle, prenant mon sexe pour la première fois dans sa main, se met à le secouer lentement de gauche à droite. Puis vers l’avant, éclaboussant un peu plus mon pantalon. << C’est super ! >> me fait elle. Elle rajoute : << Pour le moment, ce que je préfère, c’est d’être assise à côté de vous et de sucer ainsi. J’ai l’impression que c’est plus facile et je peux la prendre plus profondément ! >>. J'écoute cette explication avec un étonnement teinté de surprise. La jeune fille se penche à nouveau sur le côté en posant le bout de gâteau sur la table basse. Elle saisit mon sexe du bout des lèvres de sa bouche avide. Elle pousse un râle profond. Un râle d'enchantement.

A nouveau nous restons sans bouger. A nouveau je peux sentir la langue de la jeune fille qui explore l’extrémité de ma turgescence. Mes couilles sont pleines. Je sens même le foutre y bouillir. Possédant une maîtrise totale de mon sexe, je savoure cette extrême jouissance, Je joue aux extrêmes limites. Même si Estelle en est à sa toute première pipe, elle devine se qui se passe en partageant mon intimité . Estelle se met à pomper. Elle a compris le fonctionnement d’une bite. Comment la stimuler pour en savourer les substances. A nouveau je bouge mon sexe dans la bouche de la jeune étudiante. Vulgaire, je m'épanche du trop plein de jute. C’est tout simplement délicieux. Il me faut à nouveau calmer les ardeurs de la jeune personne. Les filles apprennent très vite. En peu de temps elles devinent le vicelard, le salopard.

La saisissant par son catogan, je lui relève la tête. Lui laissant juste l’extrémité à sucer du bout des lèvres. Par moments je lui enfonce le sexe plus profondément en guidant sa tête. Estelle semble beaucoup apprécier ces initiatives. Je l’entends respirer par les narines en accélérant le rythme. Je l'entends se mettre en apnée puis se relâcher en gémissant. Pas l'ombre d'un doute, ma suceuse se régale. Elle alterne les suçotements timides avec les pompages passionnés. En fonction de l'abondance du liquide séminale qu'elle tire du fond de mes couilles.

Saisissant ses cheveux attachés en "queue de cheval", je soulève lentement sa tête de ma braguette. Dans le verre fumé je distingue les filaments de foutre qui relient sa bouche à mon sexe. Je redresse sa tête pour que la jeune fille puisse retrouver sa position assise. Du foutre lui coule de la commissure de ses lèvres. Son menton est maculé de sperme. Il y en a jusque sur son nez ! Assise à ma droite, à nouveau en position verticale, je continue à la maintenir par ses cheveux. Lorsqu’elle ouvre la bouche je peux voir des coulures de sperme épais. Estelle essaie une fois encore de déglutir la substance gluante qui emplit sa cavité buccale. Visiblement ça colle. Ses efforts durent des secondes.

Je murmure : << Après le plat de résistance, si nous passions au dessert ? >>. Elle me fixe de son regard interrogateur. << Avec plaisir monsieur ! >> me répond la jeune fille en récupérant le foutre sur son menton avec son index. Cela fait près de deux heures, entrecoupées de pauses de quelques minutes, que la jeune fille me pompe. Je lui donne là un cours magistrale. Deux heures où je n’ai pas arrêté de jouir. Presque un orgasme permanent. Je devine le plaisir qui habite la délicieuse jeune fille. Estelle se penche à nouveau sur le côté. La pipe reprend de plus belle. La jeune fille pompe à présent comme si sa vie en dépendait. Nous restons immobiles. De temps à autre je fais bouger mon sexe dans la bouche de la jeune fille. A entendre les gargouillis et les gémissements je sais que le jus abonde en quantité.

Au bout d’un nouveau quart d’heure je me concentre. Parfaitement immobile je lâche le contenu de mes couilles. De longues giclées. Par saccades. Des coulées qui emplissent la bouche de la jeune fille. Estelle, aussi concentrée que moi, déglutit la grande quantité de foutre avec une certaine peine. Mais non sans un intense plaisir. Elle a attrapé ma main pour la serrer. Comme si elle avait besoin d'aide. De me sentir l'encourager. Dans les carreaux de verre fumé j'aperçois les différentes expressions de son visage. Du ravissement à la grimace, de la concentration à l'extase en passant par le dégoût. Selon ce qu'elle se "ramasse". C'est sa toute première éjaculation. Une grande surprise en découvrant la quantité de sperme que peuvent dégurgiter des couilles. Surtout que je suis extrêmement juteux.

Je me sens pompé, sucé, vidé. Estelle qui pompe toujours, soucieuse de ne pas en perdre la moindre goutte. Je comprends rapidement qu'elle est en pleine improvisation. Que faire après une éjaculation ? Continuer ? Cesser ? Au bout de quelques minutes, la saisissant par les cheveux pour la redresser, je lui dis : << Une première pipe magistrale ! Ne brûlons pas les étapes Estelle, il faut en garder pour la prochaine fois ! >>. Sa bouche est encore pleine de sperme qu’elle a bien du mal à déglutir. Sans doute épais, gluant, visqueux, il reste collé avec une insistance sournoise. Pourtant Estelle semble ravie. Aux anges.

Il est dix neuf heures trente. La jeune fille, ayant enfin réussi à vider sa bouche, reste longuement les yeux fermés, la tête renversée en arrière. Au bout de quelques minutes elle se tourne vers moi pour me dire : << C’était magnifique monsieur. Je m’inscris pour le prochain cours dès maintenant. C’est au-delà des choses les plus folles que j’avais imaginé ! Merci ! >>. Je réponds : << Estelle, vous avez un potentiel extraordinaire. Il faut absolument approfondir vos compétences ! >>. Elle rit : << Je compte sur les vôtres ! >> me fait elle encore. Elle se lève pour s'approcher de la porte du buffet. Estelle me montre les carreaux de verre fumé en murmurant : << Vicieux ! >>. Je suis soudain tout rouge. Couvert de sueur. Je suis démasqué. << Je connais les garçons ! >> se contente t-elle de rajouter...

Nous restons ainsi, plutôt épuisés, pendant une quinzaine de minutes. Je propose à Estelle un chewing-gum afin de faire disparaître cette odeur de sperme qui parfume son haleine ! << Non non, je veux en garder le goût toute la soirée. Je mangerai plus tard. Rassurez-vous je monte directement dans ma chambre en rentrant ! >> me fait la jeune fille en s'essuyant la bouche avec un mouchoir en papier. << Je n’ai plus aucune sensation dans la mâchoire ! >> me dit elle encore. Je me lève pour poser mes mains sur ses épaules. Je murmure : << Avec de l’entraînement vous apprendrez à éviter les crampes de mâchoires vous verrez ! >>. Elle s'écarte comme sur ses gardes. Estelle redevient en un instant cette jeune fille réservée. Comme si rien ne s'était passé. J'adore ce comportement féminin. C'est merveilleux.

Je raccompagne Estelle jusqu'à la porte. Je lui passe sa veste. Elle insiste une nouvelle fois : << N'oubliez pas. Je veux me perfectionner ! >>. Je ne sais quoi dire. De nous deux je suis certainement le plus embarrassé. Le plus gêné. Je respecte totalement cette jeune personne. Mais je respecte également sa demande. Elle regarde une dernière fois ma bite qui pend de ma braguette. Elle détourne la tête. Je remballe en me sentant un peu stupide. Nous traversons le jardin jusqu'à la voiture. Sur le trajet, Estelle reste silencieuse. Je respecte également ce silence.

Je gare l'auto à une centaine de mètres de la propriété de ses parents. Il faut prendre toutes les précautions. Surtout les plus élémentaires. Estelle me serre la main comme si j'étais un inconnu. Sans un regard elle quitte la voiture pour marcher vite le long de la route.

Nous nous voyons mardi soir à dix huit heures. Le prochain cours. Mais cette fois bien réel et à l'école de musique …
                                                              
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29/07/2014

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