L'ECRIT DE JOIE

L'ECRIT DE JOIE

Estelle, la jeune fille du conservatoire (Episode 7)

 
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                                                         Le comportement d'Estelle

Comme tous les soirs, ce mardi, j’arrive à l'école de musique à dix sept heures trente afin de préparer mon cours. Mon cours qui commence à dix huit heures. Je pose mon attaché-case à côté de ma chaise. Je sors le dossier contenant les partitions que je fais étudier à mes huit élèves présents ce soir. Je les dépose sur le bureau. Je suis là à faire des annotations au crayon dans les marges des portées. Soudain, brisant le silence, il y a trois coups frappés contre la porte. D'une voix forte, je fais : << Oui , entrez ! >>. Quelle n'est pas ma surprise. Je vois entrer Estelle. Vêtue d’un pantalon beige clair, portant sa veste "trois quart" noire et cintrée à la taille, chaussée de souliers bruns de style mocassins. Ses cheveux flottant en toute liberté sur ses épaules.

<< Bonsoir monsieur. Je ne vous dérange pas ? >> fait elle en s’avançant vers moi pour me tendre la main. Je réponds : << Bonsoir Estelle. Non non, vous ne me dérangez pas du tout. Vous allez d’ailleurs me conseiller pour une petite application musicale ! >>. Je me lève pour lui serrer la main. Intrigué par sa présence si tôt, je demande encore : << Qu’est-ce qui vous emmène tellement en avance ? Un soucis ? J'espère que tout va bien ! >>. Estelle a cet air amusé. Mystérieux comme souvent.

<< Non. Je voulais simplement vous remercier pour samedi. J’y ai pensé presque tout le temps ! >> me dit la jeune fille en s’asseyant sur une chaise face au bureau. Toujours aussi interrogateur je fais : << J’espère que tout cela ne perturbe pas trop l’organisation de vos journées et surtout de vos études ? >>. Toujours cet énigmatique sourire. << Oh non ! Au contraire, avec la perspective d’un nouveau cours, tout est plus facile. Je suis à me réjouir. Cela serait-il possible samedi ? Je peux être chez vous à quatorze heures trente ! >> dit encore Estelle. Elle me fixe de son regard perçant. C'est extrêmement troublant.

Je reste à réfléchir quelques instants. Tout en inventoriant mentalement mes activités et mes projets pour le week-end à venir, je dis : << Aucun soucis Estelle. Je vous attends pour quatorze heures trente. Avez-vous une requête particulière pour ce second cours ? Une révision peut-être ? >>. Rajoutant un sourire entendu à ma réponse, la jeune fille tout en baissant la voix, comme de peur d’être entendu, me fait : << Toujours dans le domaine de la flûte, j’aimerais passer à un autre domaine ! La révision sera pour ce soir, après le cours. Maman ne vient me chercher que pour dix neuf heures quarante cinq ! >>. Cette manière bien personnelle de marteler chacune de ses syllabes.

Je reste sans voix ! Le cours de musique va commencer dans une dizaine de minutes. Je propose à Estelle de retourner dans le hall d’entrée afin de ne pas éveiller l’attention de qui que ce soit. Je ne veux pas permettre le moindre soupçon. J'ai cette curieuse culpabilité qui remonte en moi. Je précise : << Vous êtes surprenante Estelle. D’accord pour une rapide révision ! >>. La jeune fille se lève et sort de la salle. Sur le pas de la porte, juste avant de la refermer, elle me fait un délicieux sourire. Cette présence est envoûtante. Il y a quelque chose de l'ordre de l'ensorcellement. Je m'en veux. J'ai beau faire le tour des questions qui se pressent dans ma tête. Rien à faire. Je ne reconnais plus mon caractère d'habitude bien affirmé.

Le cours commence à dix huit heures et se terminera à dix neuf heures. Tout se déroule normalement. Les violoncelles résonnent, les pages des partitions se tournent. Je fais exécuter des passages ardus à plusieurs reprises. Pas un seul instant je ne peux discerner la moindre inattention dans la concentration de la jeune fille. Tout juste si elle regarde à la dérobée, et à plusieurs reprises, ma braguette. A dix neuf heures, tout le monde se lève. Je dépose discrètement un petit billet plié en deux sur le pupitre d'Estelle. Je salue tout le monde. Sur le pas de la porte Estelle, faisant semblant d’avoir oublié son sac, revient le chercher. Dépliant le papier elle peut lire : "Les toilettes hommes - Deuxième étage - 19 h 10 - Soyez totalement silencieuse - Secrète".

Une fois seul,je prends mes affaires. Je monte au second étage. Je sais que nous y serons parfaitement tranquille. Le concierge ferme cette partie du bâtiment à vingt heures quinze chaque soir. Le second étage est toujours désert en soirée. Ce sont pour la plupart des salles de conférences destinées à des comités d'entreprises. Les toilettes y sont spacieuses, modernes et d'une propreté exemplaire. J'y monte quelquefois en curieux pour explorer. J'ai récupéré dans les salles quantité de stylos oubliés par les intervenants. Une collection que je distribue généreusement à mes élèves.

J’entre dans les toilettes. Je ferme la porte. J’entre dans la petite salle où se trouent les urinoirs muraux. Derrière-moi je laisse la seconde porte entre baillée. Je me mets devant un urinoir. J’ouvre mon pantalon pour le laisser tomber jusqu’à mes genoux. Cambré en avant, les jambes fléchies, je me masturbe lentement. Il me suffit de penser à Estelle. De me faire un "film". Tout en décalottant mon gland humide je savoure l'instant. J'en frissonne. Ce mélange d'impatience, d'inquiétude et d'excitation. Repoussant la peau de mon prépuce avec le pouce et l’index je fais perler cette goutte opalescente de liquide séminal.

Cinq minutes minutes se passent. Peut-être davantage. Dans l'état mental où je me trouve le temps est devenu un concept abstrait. J’entends la première porte des toilettes s’ouvrir tout doucement. Je sais qu’il n’y avait qu’une seule personne à l'étage. Il n'y a qu'une seule personne pour venir ici à cette heure. Dans le reflet du carrelage murale je vois la tête d’Estelle. Je discerne bien son visage. Derrière la seconde porte entre baillée, la jeune fille regarde la scène. C'est comme une soudaine décharge électrique qui parcourt mon échine. C'est fulgurant. Je dois me reprendre pour ne pas vaciller. De me savoir épié est réellement vertigineux.

De longues minutes s’écoulent ainsi. Estelle observe avec attention. Puis elle frappe contre la porte avant d’entrer. << Qu’est-ce que vous faites ? >> me demande t-elle, debout à un mètre de moi, regardant mon activité. Je me tourne. Je lui fais face, les mains sur les hanches, faisant bouger mon sexe raide. J'articule en faisant comme elle. Marquant chaque groupe de mots d'un court silence : << Je me branle Estelle. Et rien que pour vous ! Je voulais vous offrir ce spectacle. J’ai passé un bon moment à me branler dimanche en pensant à vous et ce qui c’était passé samedi. Et là, maintenant, je vous prépare la "révision" que vous souhaitez ! >>. Estelle me regarde avec une curieuse expression. << C’est vrai, vous vous branler en pensant à moi ? >>. Je reste silencieux . << Moi aussi. Je n’arrête plus depuis samedi ! >> me fait -elle dans un long soupir.

Je regarde le sol. Le carrelage est parfaitement propre. Je me couche par terre. Le pantalon baissé. Je m’allonge sur le côté. Les jambes repliées je me masturbe en regardant la jeune fille toujours debout. Elle me dit : << Je ne vous aurais pas imaginé ainsi ! Vous pensez un peu à l’état dans lequel vous me mettez monsieur ? >>. Je réponds : << Si vous voulez réviser Estelle, il vous reste à peine un tout petit quart d’heure ! >>. Je coupe ainsi court à toute analyse dont je devine la jeune fille friande. Je rajoute : << Nous développerons tout ça samedi prochain. Nous aurons un excellent sujet de conversation ! Passons donc à la pratique ! >>.

Estelle hésite un instant. Elle regarde le sol et se couche à mes côtés. La tête à la hauteur de mon sexe. Je la saisis par les cheveux pour lui emmener la bouche à l’endroit convoité. Elle se met à sucer, à pomper, avec une conviction qui ne laisse aucun doute quand à son état d’excitation. Je bouge le bassin dans un mouvement régulier. Je me masturbe dans le bouche de la jeune fille. Au bout de quelques minutes je cesse. Je peux la sentir pomper. Il y a du jus. J'entends les premiers gargouillis. Je sens le liquide séminale passer dans mon sexe, tiré des couilles où il est fabriqué de façon quasi "industriel". Mon excitation étant à son comble.

Estelle gémit vicieusement. Le bruit de la succion m’excite. Je me remets à bouger le bassin, maintenant la tête de la jeune fille des deux mains, me masturbant dans sa bouche. Au bout de cette quinzaine de minutes, je crache mon sperme dans la gorge de la suceuse. Je gicle. Je jute. J’éjacule. Mon corps secoué de saccades régulières, frissonnant de spasmes jouissifs, je me vide les couilles en gémissant de plaisir. Estelle pompe toujours, ne gâchant pas la moindre giclée. Je n’ai pas besoin de lui maintenir la tête. Elle enfonce mon sexe dans sa bouche jusqu’à l’avaler. Sa tête collée contre mon bassin, dans cette intimité totale avec mon sexe qu’elle désirait tant sucer.

Il me faut la repousser à cause de ce fichu timing !

Je me relève. Estelle, assise au sol, les jambes repliées, termine de déglutir mon foutre épais et gluant. Elle s’essuie la bouche du revers de la main. Je l’aide à se relever. De sa poche elle sort un chewing-gum. Prenant un mouchoir en papier de son petit sac, la jeune fille entreprend de s’essuyer les restes de jute autour de la bouche . << Il faut que je file, maman est peut-être déjà en bas. Merci monsieur c’était superbe ! Pour samedi, s’il vous plaît, faites-moi découvrir quelques développements de la séance de ce soir ! A jeudi soir pour le court ! Au revoir monsieur ! >> me dit elle en se réajustant.

J'ai le temps de lancer : << Pour samedi nous allons donc étudier la "contrainte". Soyez bonne élève ! Au revoir Estelle ! >>. S’enfuyant presque, Estelle se met à courir. Je l’entends dévaler les escaliers. Je remonte mon pantalon. Je vais vers la fenêtre. Là, en bas, dans la cour, la Mercedes identique à la mienne de la maman d'Estelle. Je la regarde entrer dans l'auto. Je suis habité d'une étrange impression. Toujours cette culpabilité. En descendant les escaliers je me raisonne. Après tout cette jeune fille est majeure. Elle est en demande. Elle a tout fait pour que ces évènements se produisent. Pour assouvir son désir. Réaliser ce fantasme. J'ai la conscience tranquille. Mêmme si ce sentiment de culpabilité ne me quitte pas.

Avant samedi après-midi, il y aura le cours de jeudi soir…                                                        
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29/07/2014

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