L'ECRIT DE JOIE

L'ECRIT DE JOIE

Estelle, la jeune fille du consevatoire (Episode 36)

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                                   Samedi après-midi avec Estelle - (Partie 2)

Lorsque j'ai entraîné Estelle en la tenant pas ses cheveux dans les toilettes elle gloussait de plaisir. La jeune fille apprécie d’être "guidée" ainsi. Elle est à présent debout, là, entre la faïence des toilettes et le mur. Je la regarde longuement. Les traits fins de son visage angélique offrent un curieux paradoxe avec la situation dans laquelle nous nous trouvons. Estelle me fixe presque avec défi. Comme elle est belle. Conquérante, si fière et empreinte d'une noblesse naturelle. J'en ressens une fois encore cet amalgame psychologique de gêne, de honte et d'excitation. Je me sens un peu "minable" devant tant de beautés.

Vêtue d’un pantalon noir, moulant, d’un pull noir cintré, chaussée de ses bottes d'équitation, Estelle présente cette silhouette anorexique que j’aime tant. Sa taille menue presque sans hanches, ses longs cheveux qui flottent en liberté jusqu’au milieu de son dos, tout cela participe du trouble qui m’envahit une fois encore. La jeune fille est coutumière du fait. Elle sait bien évidemment les sortilèges qu’elle exerce sur moi, sur ma psyché. Les filles apprennent ces choses très jeunes et très vite. Elles grandissent avec ce sentiment diffus d'être maîtresse du jeu avec les garçons. Souvent dès le collège. Là, en me souriant, son appareil dentaire brille de mille feux sous la lumière du plafonnier.

Tout en me fixant de son regard insistant, lentement, Estelle s’accroupit devant moi. La tenant toujours pas sa chevelure, j’attire sa tête au-dessus de la faïence des toilettes. Tombant à genoux, la jeune fille me saisit de ses deux mains, par les hanches. De ma main libre, doucement, je passe mon sexe sur son visage. J'hésite. Puis je prends le courage de le frotter sur toute la surface de sa peau. La jeune fille bouge doucement, me présentant chaque angle de son adorable minois. Je passe ma virilité sur ses joues, le bout de son nez. Je le cale sous ses narines afin qu'elle en respire les effluves masculines si caractéristiques. Ma jeune étudiante, une expression d'extase sur ses traits, hume à plein poumon.

Parfois, j’enfonce ma virilité molle dans sa bouche pour l’en ressortir immédiatement. Estelle, d’un mouvement de tête, cherche à le retenir à plusieurs reprises. De la main gauche, je tiens toujours encore ses cheveux. De ma main droite je guide mon sexe encore mou. Le passant à nouveau sur ses joues, sur son nez, son front, insistant sur les lèvres de sa bouche. Là, maintenant, je m’introduis une nouvelle fois pour y rester. J'essaie de rester conscient. De garder mes yeux ouverts. Un vertige me gagne. Je lâche mon sexe pour me tenir au mur. Je me sens vaciller tellement l'indicible caresse me bouleverse. Ses lèvres cherchent à se caler contre la peau fripée de mon prépuce. C'est ainsi qu'elle le décalotte légèrement. Le contact de sa langue qui titille mon gland procure une décharge électrique le long de mon dos.

Je reste ainsi quelques minutes. Estelle commence à sucer véritablement. Gobant l'extrémité de mon sexe. Je peux ressentir la douceur chaude et humide de l’indicible caresse buccale. Je me concentre. Je ne veux surtout pas que mon érection empêche la surprise que je réserve à ma douce suceuse. Je ne veux pas seulement jouir physiquement. Je suis un cérébral. J'ai besoin de jouir de tous mes sens. Tout particulièrement psychiques. Tout comme ma jeune étudiante qui pousse de petits halètements. Soudain je lâche une première giclée. Estelle se cabre. Je sens ses doigts se crisper sur mes fesses. D’un mouvement de la tête, elle essaye d’enfoncer davantage de longueur dans la bouche. A chaque giclée suivante, tentant de déglutir proprement, elle émet des gloussements de bonheur. Je suis mort de honte.

Je me tiens au mur. C'est vertigineux de pisser ainsi. Parfois, lorsque j’insiste en laissant des giclées plus longues, ne pouvant tout avaler, Estelle, tout en toussant, en laisse dégouliner. Elle relève alors la tête pour me fixer, arrogante et fière. De son menton s'écoule de l'urine jaunâtre à laquelle se mêle déjà de l'épais liquide séminal. A chaque fois, après avoir dégluti, elle revient me pomper en gémissant. Je vacille plusieurs fois sur mes jambes flageolantes. Le vertige me gagne une nouvelle fois. Des frissons le long de ma colonne vertébrale. Ce n'est pas la première fois que j'ai ce comportement. Mais c'est tout comme. Je voudrais pouvoir suspendre le temps. Ouvrir une fenêtre d'éternité afin que cela dure à tout jamais. Difficile de garder tous mes esprits. Une vie entière d'entraînement ne suffirait certainement pas.

Estelle, le visage collé à ma braguette, concentrée, les yeux fermés, gémit de plaisir. Elle me suce avec l'avidité habituelle qui m’étonne tant. Son comportement me surprend un peu plus à chaque instant. Je l’observe. Mais que les filles sont belles quand elles nous offrent ces moments divins ! Une profonde émotion m’envahit, créant un nouveau trouble dans ma psyché. Je cesse les giclées régulières. A présent, la jeune fille savoure la "soupe", ce mélange dont elle est si friande. Sublime gourmande. C'est très excitant mais également fortement déstabilisant. Estelle manifeste son plaisir par d'involontaires gémissements. Ces murmures de bonheur intense qui ponctuent chacune des arrivée de sécrétions.

Nous sommes ainsi depuis une bonne vingtaine de minutes. Les mouvements du bassin de la jeune fille témoignent de l’inconfort qui la gagne ainsi. Estelle est à genoux sur l'épais petit tapis des toilettes. Aussi, la saisissant par le menton et la nuque, je la force à se redresser. Debout devant moi, le menton dégoulinant, le visage trempé par un mélange de sa sueur et de mes substances, Estelle m’embrasse avec fougue. Des mèches de cheveux collent sur ses joues, dans son cou. Le haut de son pull est maculé de coulures écœurantes. Elle décolle mouillés qui s'agglutinent sur son œil droit. Au gout de sa bouche, je suis saisis d'un véritable haut le cœur. Comment peut-elle se régaler ainsi de telles "liqueurs" ? Ça m'écœure. Elle comprend et insiste en riant. Elle s'accroche à moi comme une désespérée. Je l’entraîne vers le salon…                                                             

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14/10/2015

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