L'ECRIT DE JOIE

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Gaëlle - (1) - La rencontre

 

 

                                               Je rencontre Gaëlle

 

Lundi, je m’offre une petite randonnée dans la campagne. Après une heure de marche, pris d’une envie naturelle, je m’arrête pour lisbroquer tranquillement. Je suis là, sifflotant, dirigeant le jet contre un tronc d’arbre. Soudain, sur ma droite, une voix : < Bonjour. Alors ? C’est la pause ? >. Je regarde. C’est une jeune fille, dix neuf ou vingt ans. Grande, brune, mince et souriante. Elle avance doucement.

 

Prestement, je me tourne et je remballe. Mouillant mon slip dans cette précipitation bien légitime. La jeune fille, plutôt belle,  entame la conversation. Elle promène un petit chien blanc, Milka. Nous bavardons. Nous nous mettons à marcher. Nous faisons ainsi une grande boucle en faisant connaissance. Elle s’appelle Gaëlle. En première année d’université. Elle vient d’avoir dix neuf ans.  Nous échangeons nos numéros de téléphone et nos adresses E-mail. Je n’y pense plus.

 

Hier, vers midi, je reçois un SMS. C’est Gaëlle. La jeune fille m’invite à une entrevue sur les hauteurs de Barge-les-Ecluses. Pour les environs de quinze heures. Je prépare mon repas avec une certaine hâte fébrile. La perspective d’une nouvelle rencontre avec la promeneuse, cet après-midi même, me met en joie. Pour quatorze heures je quitte mon domicile.

 

Surtout que dans son SMS, Gaëlle précise qu’elle aimerait beaucoup revivre les "émotions" de la première fois. Même situation…

 

Le lieu n’est pas clairement fixé, aussi, arrivée en haut du chemin, devant cette vue magnifique sur Fontaine-le-Sec, je regarde ma montre. Il est quatorze heures quarante cinq. Je mets à profit le temps qui me reste pour mettre au point les derniers détails de la stratégie que j’ai préparé depuis quelques jours. Je redescends le sentier sur une cinquantaine de mètres, jusqu’au virage.

 

De cet endroit je peux la voir arriver depuis trois points différents. Sans qu’elle ne puisse m’apercevoir immédiatement. Je reste aux aguets. Je surveille les alentours. Il y a souvent un emmerdeur qui vient gâcher l’instant par sa venue inopinée et non souhaitée. Mais la forêt est à tout le monde n’est-ce pas. Même, et surtout, aux promeneurs. J’attends ma "promeneuse".

 

Certain d’être seul, j’ouvre ma braguette. Je sors mon sexe. Il ne fait pas très chaud. Aussi, pour réchauffer le "petit jésus", je le berce doucement. Rapidement, semi-rigide, il me remplit la main droite. Il est bien chaud. J’ai envie de pisser car je me garde de le faire depuis le SMS. Je suis légèrement excité. Tant par ce que je fais que ce que je vais faire.

 

Je regarde sur ma droite. Là, tout en bas du sentier, une silhouette apparait. C’est Gaëlle. Il me reste peut-être une minute. Je me mets en position. Les jambes légèrement écartées, bien campé sur mes pieds. Le sexe en érection, bien dressé, je retiens mon souffle. Je suis très concentré. L’excitation fait battre mon cœur. Je devine la silhouette qui arrive sur ma droite.

 

Je lâche un premier jet tout en me masturbant doucement. Gaëlle doit être à une trentaine de mètres. Elle me voit. Je lâche un second jet. Avec mon érection, la pisse gicle loin devant moi par de petits jets précis. Soudain, la voix de la jeune fille résonne dans le silence de la forêt : < Wouahhhh ! J’arrive au bon moment ! Décidément ! >.

 

Je fais semblant d’être surpris. Je tourne ma tête sur la droite, excellent comédien. < Bonjour Julien ! > me fait-elle en riant avant de rajouter : < Décidément, nous sommes fait pour nous rencontrer ! >. Je lui fais un sourire. Je suis à la fois gêné et excité. C’est un instant absolument délicieux. Je réponds : < Bonjour Gaëlle ! Oui, il semblerait que ce soit dans des situations bien particulières ! Une fois encore ! >.

 

La jeune fille s’arrête près de moi. Elle se penche en avant pour bien voir. Je continue de lâcher quelques jets tout en me masturbant doucement. Je me décalotte légèrement pour que la pisse gicle plus loin. Gaëlle fixe mon activité en souriant. C’est bien le genre de fille que je devinais. Passionnante et passionnée. Elle me fait : < Putain, c’est génial ! J’en rêvais tu l’as fait ! >.

 

Je suis un peu étonné par sa réaction et son affirmation. Je demande : < Tu souhaitais cette situation ? >. La jeune fille se redresse pour me répondre : < Oui ! C’est super ! C’est comme si c’était programmé ! Merci pour la surprise ! >. Elle me fixe avec des yeux terriblement vicelards et avec ce regard par en dessous caractéristique. Elle affiche un sourire espiègle. Je bande comme le salop que je suis !

 

Je me tourne franchement vers Gaëlle. Je termine mes derniers jets en visant juste à ses côtés. Elle éclate alors de rire en disant : < Je n’ai pas de quoi me changer ! La prochaine fois j’y penserais ! >. J’ai terminé. Je range mon sexe. Elle s’approche pour me faire trois bises. Elle est grande. Sans doute un mètre quatre vingt. Ses longs cheveux noirs flottent en liberté sur ses épaules.

 

Nous nous mettons à marcher pour remonter jusqu’à la vue. Nous observons la plaine un long moment. Nous bavardons en évoquant d’autres choses. Elle me parle de ses études, (Master en économie d’entreprise). Son petit chien qui est resté à la maison. Son grand-père qui part faire un trekking dans les Alpes. Bref, nous sommes loin de nos préoccupations de tout à l’heure.

 

Nous nous mettons à marcher vers la forêt, direction Ridelle-les-Essieux. Je la regarde. Elle est belle. C’est une jeune fille qui semble avoir un caractère bien trempé. Elle a du "chien". Elle pratique la dérision et s’exprime avec aisance. Nous arrivons au second embranchement. L’endroit  où il y a ce chemin qui redescend sur la petite route. Elle s’arrête et  me fait : < Tu veux bien qu’on reproduise "la rencontre" ? >. Je reste silencieux. Elle me fait un clin d’œil en riant. Elle mime une branlette de sa main droite.

 

Je la regarde. Elle mime une masturbation masculine, là, debout à deux mètres devant moi. Je suis à la fois profondément troublé, un peu étonné et je sent une légère excitation monter en moi. < J’adore voir "ça" ! Tu veux bien qu’on refasse ? > me fait-elle sans cesser son mouvement devant sa braguette, cambrée en avant, sur ses jambes. Je l’observe, admiratif, j’ai du mal à déglutir. Quelle belle salope !

 

Je la vois partir à marche rapide. Je regarde à gauche et à droite, je me mets contre un gros arbre, j’ouvre ma braguette. Je suis rapidement en érection. Je me masturbe doucement. La peau de mon prépuce, fripée par le froid, est trempée de la branle précédente. Une longue coulure visqueuse pendouille de mon méat. De la jute d’avant. Gaëlle revient et s’arrête à deux mètres : < Bonjour ! > me fait-elle une nouvelle fois. Nous restons ainsi quelques minutes. Soudain, il y a le bruit d’une voiture.

 

Je remballe. Nous repartons vers Barge-les-Ecluses. Gaëlle me demande de reproduire cette situation qu’elle aime tant à trois autres reprises. Sur le dernier tronçon qui descend vers les prés, je marche avec le sexe qui pend de ma braguette. < Tu es génial ! > me fait-elle en arrivant aux champs. Là, il me faut remballer à toute vitesse, il y a deux femmes qui se promènent. Nous les saluons le plus poliment du monde.

 

Nous faisons la boucle jusqu’au calvaire. Là, nous reproduisons la scène devant ce Christ qui n’en demandait peut-être pas tant. Gaëlle s’assoit sur une des marches. Elle tient ses cheveux en chignon. Elle m’observe. Me fait des sourires vicelards. J’ai une maîtrise totale de mon sexe. Aussi, pour conclure cette aventure, sans bouger, j’éjacule. Mais j’éjacule comme j’aime le faire. Je laisse couler mon sperme sans à coups, sans spasmes apparents, simplement en jutant. Je conclu en lâchant une giclée de pisse.

 

< Putain, c’est génial ! > me fait Gaëlle, les pouces en l’air pour manifester son admiration. Nous remontons jusqu’au dernier embranchement qui descend vers Barge-les-Ecluses. < Je suis libre jeudi après-midi ! On se refait une séance ? Tu veux bien ? Je te confirme par SMS ! > me fait-elle avant de me faire les trois bises réglementaires. Je reste debout pour la regarder partir d’un pas rapide. Elle se retourne plusieurs fois pour me faire "coucou" de la main.

 

Je suis rentré dans un état très particulier. Un peu comme si j’avais marché une journée entière…

 

Nous nous sommes revus trois fois. Nous avons reproduit sensiblement les mêmes situations. Nous nous sommes beaucoup amusés. Je sentais bien que Gaëlle souhaitait passer à une autre dimension. Mes scrupules et mes trente trois ans de plus, me posaient toutefois un cas de conscience.

 

Finalement, après avoir insisté, j’ai accepté sa proposition. < Vendredi soir, je viens chez toi. Je te fais une "surprise" > me fit-elle en me prenant par le bras.

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08/03/2017

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