L'ECRIT DE JOIE

L'ECRIT DE JOIE

Gaëlle - (14) - Visite impromptue

 

 

 

                                                   La maman

 

Je suis entrain de préparer mon repas du soir. La petite musique de mon téléphone m'avertie de l'arrivée d'un message. Je m'empare de mon portable pour le lire. C'est Gaëlle qui m'envoie un mot. " Stop ! On arrête tout". Presque de suite, la jeune fille m'appelle. < J'en ai assez de me prendre la tête avec ma mère ! Elle a vu les taches sur ma veste  ! > me fait-elle sans doute en larmes. Je m'empresse de la rassurer : < Pas de soucis. C'est préférable. on en reste là ! >.

 

Je raccroche. Je trouve parfaitement inutile de disserter sur ces évènements. Plusieurs jours passent. Je ne pense plus à tout cela. Ce mercredi soir, je suis assis à mon bureau. Je réponds à quelques courriels. Je classe quelques documents administratifs. Trois coups de sonnette. Je me lève pour aller voir. Qui donc peut bien venir à vingt heures et sans prévenir. Sur le haut de l'escalier il y a la mère de Gaëlle. < Bonsoir ! Il faut qu'on parle ! Vraiment ! >.

 

Je la fais entrer. La jeune femme me suit au salon. Je la débarrasse de sa veste. Elle est élégante. Je l'invite à prendre place. Cette fois la dame accepte le thé que je lui propose. Elle reste silencieuse. Je reviens avec le plateau. Je dépose les tasses et la théière sur la table basse. Afin de ne pas lui permettre de s'abstraire dans d'autres considérations que les miennes, je précise : < Si c'est pour m'entretenir de propos moralisateurs, il faut repartir immédiatement ! >.

 

La jeune femme semble déconcertée par ma froide détermination. < Non ! Ce n'est pas le sujet. Gaëlle et moi, nous avons eu une conversation ! > me fait la jeune femme. Je verse le thé. Elle rajoute : < Vous vous êtes revus au bord de l'étang ! >. Je la fixe avec sévérité. Je pose la question : < Est-ce interdit ? Les étangs ne sont pas à votre goût ? >. Je sens bien que la dame, déstabilisée, se retrouve à court d'arguments.

 

< Je me demande ce qu'une jeune fille de vingt ans peut bien faire avec un homme de votre âge ! > me fait la jeune femme d'un ton péremptoire. Je la fixe en répondant : < Moi aussi, figurez-vous, je me le demande ! Mais que diable se passe t-il donc dans la tête de ces jeunes filles ! >. La dame ne sait pas si je suis dans le registre de la dérision ou si je suis sérieux. Je lui fais un grand sourire désarmant. Elle reste dubitative.

 

Je rajoute : < En fait, je m'en moque éperdument ! Ce qui importe c'est de passer du bon temps ! N'est-ce pas ? >. La jeune femme semble prête à exploser. Je savoure l'instant. Si elle devait le faire je la mettrais tout simplement à la porte. La dame reste silencieuse. Elle touille le sucre qu'elle vient de mettre dans son thé. Nous restons longuement silencieux. La jeune femme a retrouvé tout son calme.

 

Je viens m'assoir à ses côtés sur le canapé. Je fais : < Nous n'avons rien fait de mal. Il n'y a pas de délit. Il n'y a que l'objet ! >. La jeune femme me regarde, interrogative et me demande : < L'objet ? Mais de quoi parlez-vous ? >. Je me lève. Je me place bien droit face à elle. Je pose la main sur ma braguette. Je lui fais : < L'objet des désirs et des fantasmes de Gaëlle ! Vous aviez les mêmes, rappelez-vous ! Il n'y a pas si longtemps ! >.

 

Pour la jeune femme s'en est trop. Cette vérité, véritable tranche d'évidence crue, est imparable. Le nier serait mal venu et somme toute ridicule. J'enfonce le clou : < Rappelez-vous, il n'y a pas si longtemps vous aviez vingt ans ! >. Il y a un long silence. La jeune femme se lève. Elle fait mine de vouloir s'en aller. Je me lève pour aller chercher sa veste. Lorsque je reviens la jeune femme est assise dans le canapé et déguste son thé.

 

La dame a un sourire énigmatique. Une expression qu'elle tente de dissimuler. Elle pose sa tasse. Je pose sa veste sur le dossier d'une chaise. J'ouvre lentement ma braguette. Je sors mon sexe en disant : < Voilà "l'objet". Et comme je suis chez moi, il n'y a aucun délit ! >. La jeune femme ouvre de grands yeux. Elle essaie de dire quelque chose. Elle referme la bouche et reste consternée. Silencieuse. J'agite mon sexe dans sa direction.

 

Je m'approche. Je me masturbe sans érection. La jeune femme regarde. Je me saisis de sa tasse. J'éjacule presque machinalement et sans véritable plaisir. Il y a du sperme qui flotte sur le fond de thé. Je m'approche encore. La jeune femme me fixe avec étonnement. J'ai mon sexe à quelques centimètres de son visage. Je la saisis par ses cheveux pour la forcer à gober mon sexe mou.

 

A mon grand étonnement la dame n'a aucun réflexe de résistance. Elle se laisse faire avec docilité. Presque avec douceur. Je viens d'éjaculer dans sa tasse de thé. Il y a donc encore du sperme dans le conduit séminal. Je vais de surprise en surprise. La jeune femme se met à me sucer passionnément. Je peux l'entendre respirer avec force. Bientôt quelques discrets gémissements se font entendre.

 

Je n'ai toujours pas de véritable érection. Mon excitation monte toutefois doucement. Je sors mon sexe de la bouche de la dame. Je me penche pour me saisir de la tasse. J'y pisse d'une petite giclée courte et précise. Je remets mon sexe dans sa bouche. Elle n'a pas le temps de comprendre. Je lâche une nouvelle giclée qui la fait tousser. Elle tente de se retirer. Je l'en empêche. Je lâche une nouvelle lampée. Elle s'étouffe.

 

La jeune femme a des hauts le cœur. Tout en toussant, tout en cherchant à reprendre sa respiration, elle tente de se soustraire à mon étreinte. J'observe son beau visage de bourgeoise. Une larme coule de son œil gauche. Je la sens pourtant sucer comme si sa vie en dépendait. Je lui murmure : < Belle salope, hein ! >. Elle ouvre les yeux tout en pompant et me fixe d'un regard vide. Je l'entends à présent pousser de petits cris de ravissements. Du liquide séminal gluant et visqueux lui coule de la bouche. En filaments sur le menton.

 

J'ai une terrible érection. Mon sexe lui empli la bouche. La jeune femme suce avec avidité. Je la trouve belle. Elle ressemble tellement à sa fille. Je lui dis : < Si Gaëlle savait ce que fait sa mère en ce moment ! >. La dame tente de se soustraire à mon étreinte. Je la maintiens fermement. Une main sur sa nuque. L'autre sous son menton. J'ai un mouvement de va et vient. J'accélère. Je ralentis. Je l'entends déglutir avec difficulté. Elle glousse.

 

Je distingue nettement les gargouillis à l'intérieur de sa bouche. Ses joues, creusées par l'effort de succion, sont humides de sueur. J'éjacule une nouvelle fois. Elle veut se retirer. Je l'en empêche. Elle n'a d'autre choix que d'avaler. Je reste bien enfoncé dans sa cavité buccale. Je la tiens bien.

 

Je l'entends déglutir avec peine. La dame pousse un cri entre chaque respiration. Son visage est couvert de sueur. Ses mains sont crispées sur mon pantalon. J'ai envie de lui imposer une troisième dose. Je sais que ce sera difficile. Impossible. Et puis je ne veux pas abuser de l'hospitalité de sa bouche accueillante, douce et délicieuse. Une vraie ventouse.

 

Je reste ainsi, immobile sans me retirer. Quelques minutes passent. Je me concentre. Je lâche une giclée de pisse. La dame essaie encore une fois de se dégager. Peine perdue. Ma poigne est ferme et vigoureuse. Je lâche plusieurs petites giclées qu'elle est obligée d'avaler. Elle souffle. Elle pousse des gémissements. Je me retire enfin pour éviter de lui pisser le tout dans la bouche. Je ne veux pas la noyer.

 

Enfin libre de ses mouvements elle se redresse. Assise droite, s'essuyant la bouche, elle me fixe d'un regard lourd de reproche. Je lui dis : < Maintenant tu sais ce que ta fille venait faire chez moi ! >. La jeune femme s'essuie la bouche et le visage avec un mouchoir en papier. Elle me répond : < Oui ! Je suis fixée ! >. La dame me tance d'un regard plein de reproche et rajoute : < Espèce de vicelard ! Salopard va ! Vous devriez avoir honte ! >.

 

Je lui fais, d'un air amusé : < Mais pour vous servir, madame ! >. Je ne m'y attends pas du tout. La jeune femme éclate d'un rire franc et sincère. Je me penche pour lui déposer un baiser sur le front. Curieusement, elle a un mouvement de recul avant de me dire : < C'est la première fois qu'on me pisse dans la bouche. C'est la première fois qu'on me fait "ça" ! >. Je lui demande : < Et tu as aimé ? >. Aucune réponse. Je vais d'étonnement en étonnement.

 

La jeune femme saisit la tasse de thé qu'elle porte à la bouche. Avec un regard terriblement vicieux, elle en avale le contenu. Le thé, le sperme et la pisse. Je suis médusé ! Elle a fait ça avec un tel aplomb ! Je lui murmure : < Félicitation madame ! Bienvenue au club ! >. La jeune femme, pour la première fois, m'adresse un vrai sourire. Sincère et chaleureux. Elle se lève pour me faire : < Il faut que je me sauve ! >.

 

Je lui passe la veste. Je la raccompagne. Sur le pas de la porte nous nous serrons la main. < Au revoir ! > me fait la jeune femme. Je lui dis : < Tu as du foutre dans le cou, collé à tes cheveux, salope ! >. Elle me fait un sourire et s'essuie de la pointe de ses doigts qu'elle lèche. Je rajoute : < Pas qu'on te fasse une scène à la maison ! >. Cette fois-ci, nous éclatons de rire ensemble. Elle dévale les escaliers. Elle entre dans sa voiture. Je la regarde s'éloigner.

 

Juste avant de disparaître au coin de la rue, la voiture s'arrête. La jeune femme en sort et me fait un dernier signe...

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14/03/2017

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