L'ECRIT DE JOIE

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Gaëlle - (2) - Le rendez-vous

 

 

                                              Gaëlle vient me voir

 

Gaëlle est arrivée un peu avant l’heure prévue. Par contre, elle pouvait rester plus tard. Sa mère, en rentrant du théatre, passerait la récupérer, devant chez sa "copine", pour vingt trois heures. Il était dix neuf heures trente lorsque résonnèrent les trois coups de sonnette convenus.

 

J’allais ouvrir. Elle était là, grande, absolument superbe. En tenue "ville". Je ne l’ai toujours vu qu’en tenue "forêt". Ma surprise fut donc tout à fait à la hauteur. Une hauteur d’environ un mètre quatre vingt !

 

Vêtue d’une jupe "kilt", rouge, d’un pull bleu nuit sur un chemisier blanc, elle se débarrassa de son manteau noir. Des bas noirs, en coton, des bottes noires à talons hauts, achevaient de donner à sa silhouette cette élégance toute "British".

 

Assis sur le canapé, nous avons bavardé. Elle m’a raconté sa semaine. Passionnée par ses études, la jeune fille évoque son intérêt pour l’économie. J’écoutais d’une oreille distraite en préparant la table. < Tu m’écoutes ? > me demandait-elle parfois.

 

Nous nous sommes régalés de ma préparation culinaire. Gaëlle est retournée s’asseoir sur le canapé. Mimant une masturbation masculine, la jeune fille me demanda : < Tu t’es branlé en pensant à moi, depuis lundi dernier ? >. Je l’observais en souriant. Je restais ainsi sans répondre en observant sa main s’agiter sur sa jupe. < Je suis certaine que tu n’as pas arrêté ! > me fit-elle encore, ponctuant son affirmation d’un clin d’œil.

 

Elle était discrètement maquillée. Aussi, chacune de ses expressions était soulignée, sublimée et appuyée. Elle resta ainsi plusieurs minutes à mimer une branlette.

 

Je terminais de ranger ma vaisselle. Je me tournais pour découvrir la jeune fille, cuisses largement écartées. Ses bas, retenus par un porte-jarretelle noir, laissait découvrir une chatte très poilue. La jeune fille ne portait aucun sous-vêtement. Mon sang ne fit qu’un tour ! Mais quel tour.

 

Je la savais voyeuse, je la découvrais exhibitionniste. Elle m’observait avec une certaine fierté et avec un mystérieux sourire. Je regardais cette superbe touffe noire. Admiratif.

 

Je pris un tabouret pour m’asseoir. Je croisais mes bras et je regardais, le souffle coupé. Je suis indifférent à la lingerie. Même si je trouve ça beau, cela n’a que très peu d’incidence sur ma libido. Mais là, c’est la façon effrontée, délicieusement vulgaire, qui sut me ravir. J’étais très loin de la jeune fille un peu spontanée de mes balades forestières. J’étais en compagnie d’une salope de rêve. Du moins, en compagnie du personnage que Gaëlle avait décidé d’interpréter ce soir. Rien que pour nous. Une superbe initiative.

 

< Sors-là, s’il te plaît, j’y pense tout le temps, je veux la voir, je veux aussi l’avoir ! > me fit Gaëlle, presque suppliante. Je me levais. Ouvrant ma braguette, je sortis mon sexe. Les mains sur les hanches, je le faisais bouger en contractant mes muscles fessiers. < Descends ton pantalon, tu veux bien ? > me demanda t-elle en riant aux éclats. Je fis tomber mon pantalon sur mes genoux. Elle porta la main à son sexe. Gaëlle poussa un profond soupir. J’éteignais la lumière pour conserver la lueur d’une bougie.

 

Gaëlle observait mon sexe avec la même attention qu’elle le faisait en forêt. Par contre, d’un geste lent et régulier, elle caressait son petit bouton de plaisir. C’était hallucinant. Bien sûr, je me suis souvent retrouvé dans ces situations. Mais à chaque fois, c’est nouveau. Je regardais cette grande fille, les cheveux flottant sur ses épaules, une jambe relevée sur le canapé, se masturbant en respirant par souffle court. < J’ai l’impression que tu fais "ça" souvent aussi ! > lui fis-je. < Tout le temps ! > me fit-elle dans un souffle.

 

< Je te préviens. Ce soir je n’en resterais pas là ! > me fit-elle d’un ton plutôt autoritaire. Je l’observais. Je me tenais le sexe et je commençais à me masturber doucement. L’instant était tout simplement divin. Nous étions tous les deux, l’un en face de l’autre, à nous masturber en nous scrutant. Tapotant le canapé à ses côtés, Gaëlle me fit < Viens à côté de moi, tu veux bien ? >. Je vins m’asseoir mais le plus loin possible. J’ai toujours un peu peur des filles. Elles m’ont toujours impressionné…

 

Gaëlle se leva. Debout devant moi, cambrée en avant, les jambes écartées, elle se masturbait en soufflant de plus en plus fort. < C’est la première fois que je fais "ça" devant un mec ! > me fit-elle. S’accroupissant devant moi, les cuisses largement écartées, elle resta parfaitement immobile. C’est moi qui me masturbait en observant. Quel spectacle ! Absolument divin. < J’aimerais que ça dure toujours ! > fis-je. < Il ne tient qu’à toi ! > me répondit-elle.

 

J’arrêtais le léger mouvement entre le pouce et l’index de ma main droite. Nous étions là, tous les deux, à nous observer. Nous restâmes ainsi un long moment. Gaëlle me souriait, puis le regard par en dessous, me lançait des regards terriblement vicelards. Soudain, par terre, sur le linoleum, la jeune fille lâcha un petit jet. Je venais de comprendre que, depuis quelques minutes, si elle était ainsi immobile, c’est parce qu’elle se concentrait pour pisser.

 

Je me levais. J’allais à la salle bain pour revenir avec une cuvette en plastique bleu et une serpillère. Bien m’en a pris car, j’assistais à un spectacle absolument sublime. Gaëlle s’enfonçait un doigt et le secouait assez rapidement. Puis sortant son doigt tout aussi vite, elle lâchait de petits jets. < Tu vois, moi aussi je peux faire comme toi ! > me fit-elle en soufflant de plaisir. Le fond de la cuvette était plein de pisse dans laquelle flottait de petites flaques de cyprine. Sublime.

 

Je crois que pour la jeune flle, cette "épreuve" dut être au-dessus des capacités de se maîtriser. Serrant soudain ses jambes, une main pour se maintenir en équilibre au sol, l’autre entre ses cuisses, elle poussa une série de petits râles. Sa tête baissée, son visage caché sous ses cheveux, cette salope avait un orgasme fantastique. Des spasmes secouaient tout son corps. Elle frissonnait de plaisir.

 

Je vins m’accroupir à ses côtés pour écarter ses cheveux, je voulais voir ce visage. Gaëlle se mordait la lèvre inférieur dans quelques convulsions de bonheur intense. < J’ai honte ! > me fit-elle. Je la rassurais : < La honte, est un sentiment inhérent à ce genre de situation ! C’est parfaitement normal ! Peut-être même l’absolu ! >.

 

Je n’étais qu’au début de cette fameuse "surprise" dont elle m’avait tant vanté l’imminence dans plusieurs messages, durant toute la semaine. Les choses à venir allaient me le confirmer…

 

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08/03/2017

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