L'ECRIT DE JOIE

L'ECRIT DE JOIE

Gaëlle - (3) - La récidive

 

 

                                                Gaëlle s’enhardit

 

Lentement, se réajustant, se tenant à mon bras, Gaëlle se redressa. < Putain, comme c’était génial ! A refaire absolument ! > me fit-elle en tombant lourdement sur le canapé. La jeune fille me demanda du papier Sopalin. Je lui tendais le rouleau. Arrachant deux feuilles, les cuisses écartées, elle s’essuyait avec soin. Puis elle disposa deux autres feuilles entre ses fesses et sa jupe.

 

Je regardais cette touffe avec un vrai ravissement. Des poils jusqu’au sur le bord du haut des cuisses. J’aime ce côté "négligé". J’adore. Cela m’excite.

 

Je vins m’asseoir à ses côtés. Gaëlle reprenait ses esprits. < En forêt, je ne peux pas donner libre cours à mes penchants. Surtout en hiver ! > me fit-elle. La tête tournée dans sa direction, j’observais avec attention cette jeune fille étonnante. je la scrutais.

 

< Quoi ? > me demanda t-elle en souriant. < Je te regarde, tu es belle ! > lui fis-je. Elle regardait mon sexe mou qui pendait entre mes jambes. < Tu coules ! > me fit-elle en se penchant pour regarder au plus près. Un filament laiteux et visqueux s’échappait du bout.

 

Comme elle le fait en forêt, elle aime à porter son visage tout près de mon sexe. Elle sait que cela ne me laisse pas indifférent. A tel point que, parfois, je peux sentir son souffle chaud dans le froid de l’air de la campagne. Gaëlle resta ainsi, longuement, à scruter. J’étais presque gêné.

 

Au bout d’un petit moment, la jeune fille saisissant un des deux coussins, le posa au sol, devant moi. < Je veux ma première fois ! Tu n’as pas le droit de me la refuser ! >. Je voulais dire quelque chose mais la jeune fille posa sa main sur ma bouche en se levant. J’étais "piégé"…

 

Lentement, me fixant dans les yeux, elle se mit à genoux sur le coussin. Je retenais mon souffle. Cet instant est toujours, pour moi, d’une intensité indescriptible. Je savais ce qui allait se passer. Je savais ce qui allait nous arriver.

 

< Tu m’apprends ? > me fit Gaëlle en posant ses coudes sur mes cuisses. Je saisis ses cheveux que je maintenais en catogan. < Il n’y a qu’à te laisser aller à tes plus bas instincts ! > lui répondis-je. Elle éclata de rire avant de me dire : < Et tu les connais bien, maintenant, mes instincts ! Ils sont si bas que ça ? >.

 

Je la tenais par ses cheveux. Gaëlle eut plusieurs légers mouvements de la tête. Elle me fixait de ses yeux noisettes. Je plongeais mon regard dans le sien. Je voulais que cet instant se grave en elle à tout jamais. Un instant qu’elle savait sans doute déjà source de souvenirs pour la vie entière.

 

Nous nous souvenons toujours de notre première fois. Cette première fois que nous tentons parfois désespérément de reproduire. De revivre une nouvelle fois…

 

Je pris mon sexe entre le pouce et l’index. Je le lui secouais devant le visage. Elle approcha encore pour le renifler longuement. Je me décalottais légèrement pour lui offrir les effluves de mon gland. Je tenais ma bite molle sous son nez. Juste sous ses narines. Je lui tenais les cheveux. Je lui fis profiter de ce parfum quelques minutes. Elle avait fermé ses yeux pour apprécier l’intensité de ce que je lui offrais.

Je l’entendais respirer les odeurs. Plusieurs petites respirations. Gaëlle semblait s’enivrer de mes parfums.

 

Doucement, je passais mon sexe trempé par le liquide séminal qui s’échappait de son extrémité sur les lèvres de sa bouche. Le bout de sa langue dépassa pour lécher la peau de mon prépuce. Quelques gémissements témoignaient de son intense plaisir. Gaëlle vivait enfin son fantasme. J’étais bien décidé à lui offrir une pipe inoubliable. Une pipe à la hauteur de ses qualités d’ingénue, de vicieuse et de vraie salope.

 

Dans le terme de "salope", il n’y a jamais, de ma part, la moindre insulte. C’est toujours un compliment. J’aime la compagnie des salopes car je m’ennuie tant avec celles qui ne le sont pas…

 

Gaëlle ouvrit la bouche. De quelques légers mouvements de tête, la jeune fille tentait de gober mon sexe. J’enfonçais, pour la première fois de sa vie, une bite dans la bouche de cette jeune fille. Poussant un gémissement de bonheur, Gaëlle referma ses lèvres sur l’extrémité de mon sexe. Elle se mit à sucer doucement. Je pouvais sentir le bout de sa langue fouiller la zone entre la peau et le gland.

Je secouais doucement mon membre dans sa bouche.

 

Je regardais la jeune fille. Un bonheur indicible se lisait sur les traits de son visage. Un peu comme dans une expression d’extase. Ses joues se creusaient doucement. Gaëlle pompait en lâchant quelques gémissements. Je commençais doucement à retrouver une érection. Je pouvais entendre les gargouillis caractéristiques. Le liquide séminal, aspiré de façon continu, montait lentement depuis mes couilles pleines de jus. Je contractais mes muscles fessiers. Cette activité permet de secréter quantité de foutre.

 

Je restais parfaitement immobile. Gaëlle également immobile, suçait en gémissant. A chaque arrivée de sève, la jeune fille poussait un gloussement. < Tu te régales ? > lui demandais-je. Surprise par ma question, elle releva sa tête. Cette "méthode" permet à la fille de reposer un peu sa mâchoire. Gaëlle ne pouvait pas encore le comprendre, tout cela étant tellement nouveau. Mais moi je le savais.  Des filaments épais et visqueux lui pendaient de la bouche, collant sur son menton et liant mon prépuce à sa bouche.

 

Déglutissant avec peine, ayant vidé sa bouche, elle me fit : < Je n’imaginais pas ce goût ! >. Je lui passais la main sous le menton et lui demandait : < Tu es écœurée ? Tu veux qu’on arrête ? >. Elle me regarda, surprise.  Sans même me répondre elle retourna pomper. J’avais la certitude qu’elle prenait un plaisir immense à cette découverte. Quelques gémissements vinrent encore me rassurer. J’allais pouvoir la surprendre par quelques "surprises" que je lui réservais.

 

Dans un bruit de bulles, Gaëlle tentait à nouveau de déglutir. Je savais ce qui se passait. Sous l’effet de la succion, le liquide séminal, fabriqué en continu, arrivait en quantité. Une fois encore, lui saisissant les oreilles, je retirais sa tête. Gaëlle la bouche ouverte m’observait, interrogative. L’intérieur de sa cavité buccale était emplie de foutre. Des filaments visqueux engluaient sa bouche. < C’est génial ! > me fit-elle en tentant une fois encore de déglutir avec des mouvements de tête appuyés.

 

Elle se redressa pour m’embrasser. Sa langue fouilla ma bouche avec une avidité folle. Je goûtais mon foutre. Nous restions ainsi à nous embrasser longuement. Puis, soudain, avec un râle de plaisir, s’arrachant à mon étreinte, Gaëlle retourna à sa pipe…

 

_____________________________

Tous droits réservés - © - 2017 -

 

L'utilisation, toute ou partie, d'un texte, (ou photographie) sans le consentement de l'auteur, constitue une violation de la propriété intellectuelle.  Délit sanctionné par l'Article. L.335-2. du Code pénal.

La divulgation d'information relative à la vie privée, où à l'identité, constitue un délit sanctionné par les articles 706-102-1 (Informatique) et 88-227 du code pénal .

 



08/03/2017

A découvrir aussi