Gaëlle - (4) - Les découvertes
Gaëlle est aux anges
Je regardais avec beaucoup d’attention cette jeune fille de 19 ans. Elle avait les yeux fermés. Un sentiment de bonheur se lisait sur les traits de son visage. Une intense concentration se reflétait également. Gaëlle, avec de petits mouvements de bouche, suçait ma bite avec un ravissement étonnant. Par cycles, des gargouillis se faisaient entendre. Je pouvais la voir et l’entendre renifler tout en pompant. De la morve lui coulait de la narine droite.
Avec mon pouce je récupérais cette coulure de morve. Je portais mon doigt à la bouche pour en savourer le goût salé. J’aime le jus de toutes les muqueuses. Celles d’une jeune fille offrent les saveurs les plus enivrantes. Je me concentrais. Avec des efforts insensés, au bout de quelques minutes, je laissais couler un filet de pisse. Gaëlle, ne sachant absolument pas ce que je faisais, absorbait ce "mélange" en gloussant de plaisir.
Après un nouveau moment de concentration, je lâchais une petite giclée. Croyant sans doute avoir affaire à mon éjaculation, elle enfonça mon sexe au fond de sa bouche. Je lâchais une nouvelle giclée. Toussant, manquant de s’étouffer, la jeune fille se retira. Crachotant, ne gardant que l’extrémité de la bite pour en pomper le jus, elle ne lâchait pourtant pas sa "proie".
Elle devait comprendre ce que j’étais entrain de faire. Elle ouvrit les yeux pour me fixer. Je lâchais un nouveau petit jet. Elle venait d’avoir la confirmation de la "qualité" de mes épanchements. Un autre goût…
Les gargouillis, ce bruit de bulles, devenait une constante dans les instants qui suivirent. Gaëlle poussait des gloussements de ravissement. A nouveau la jeune fille avait enfoncé une grande partie de mon sexe dans la bouche. Elle pompait avec avidité. Les joues creusées par l’effort elle pompait comme si sa vie en dépendait. Je laissais couler mon sperme dans une éjaculation délicieuse. Sans bouger. Une longue coulée de jute qui envahit la bouche de la jeune fille.
Ne sachant pas ce que je lâchais exactement, mais désireuse de ne pas en perdre la moindre goutte, Gaëlle redressa son buste pour sucer de toutes ses forces. Elle poussa un profond et long râle de plaisir. Je restais sans bouger. Vautré sur le canapé, la jeune fille entre mes jambes, j’admirais sa ferveur, son plaisir authentique et l’intensité incomparable qu’elle y prenait. La jeune fille suçait. A présent, après avoir dégluti à plusieurs reprises, elle restait avec juste le bout de ma bite entre ses lèvres. Suçotant délicatement.
Je lâchais une nouvelle giclée. Poussant un petit cri de plaisir, ne se laissant pas surprendre, elle avalait au rythme de mes petites giclées. A présent, après avoir éjaculé, je pouvais parfaitement maîtriser ce que j’allais lui distiller. Je savais que ce moment ne durerait pas car, l’excitation revenant assez vite, il me faudrait à nouveau me concentrer. Cela me faisait frissonner de plaisir. A moins que, repue, peut-être dégoûtée, la jeune fille ne cesse.
Gaëlle, pourtant, ne cessait pas de pomper. Elle en voulait encore. Elle ouvrit les yeux, me fixant, presque suppliante. Cette vicelarde se régalait avec un appétit rare. Et elle voulait absolument me le faire savoir. Nous repartions donc pour un "second tour". J’allais me montrer à la hauteur des espérances de cette salope. Elle eut soudain quelques hauts le cœur. Je retirais ma bite de sa bouche. Un filet de liquide séminal, opalescent, légèrement jaunâtre, s’écoula aussitôt de sa bouche.
< Tu veux qu’on arrête ? > lui demandais-je. En déglutissant, essuyant le bas de son visage du jus qui dégoulinait dans son cou pour maculer le col de son chemisier, elle me fit : < Pour une "première", tu m’as gâté ! C’est de la pisse, hein ? >. Je l’observais. Un nouveau spasme la secoua. Je lui dis : < Tu devrais connaître ma "spécialité avec toutes les fois où tu m’as observé entrain de me branler en pissant ! >. Elle éclata de rire avant de répondre : < J’en ai rêvé, Julien l’a fait ! >. Cette salope aimait "ça"…
Je me levais. Saisissant sa tête, je lui enfonçais mon sexe dans la bouche. Surprise par mon initiative, les yeux ouverts, elle me fixait en pompant. J’imprimais un mouvement masturbatoire du bassin. je me masturbais d’une manière vulgaire dans la bouche de la jeune fille. Concentrée, les yeux à nouveau fermés, elle tentait de sucer en même temps qu’elle avalait mes substances. Cambré sur mes jambes, je lui baisais la bouche. Une attitude de pervers que Gaëlle semblait apprécier. Je pouvais l’entendre pousser des petits cris de ravissement.
Au bout d’une dizaine de minutes, le dos légèrement douloureux, je me retirais. De longs filaments épais et visqueux pendaient entre la bouche de la jeune fille et le bout de la peau plissée de mon prépuce. Elle essaya de me l’attraper à nouveau par un mouvement de tête. Je me vautrais sur le canapé, épuisé et haletant. J’invitais Gaëlle à venir se coucher à côté de moi. < Pour Noël, je veux la "totale". Je veux que ce soit toi. Je veux que ce soit mon cadeau de Noël ! > me fit-elle, de la jute dégoulinant sur son menton et coulant sur le haut de son pull…
Je la regardais s’essuyer de tout ce foutre gluant et se lécher les doigts avant de lui répondre : < Il est hors de question de faire l’amour avec toi. Par contre, je vais te baiser pour une "première" inoubliable ! Tu peux me faire confiance ! >. Gaëlle, gloussant de plaisir, me saisit par le sexe qu’elle tira dans tous les sens, en s’écriant : < Oui ! Oui ! Baise-moi ! Encore et encore ! >.
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