L'ECRIT DE JOIE

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Gaëlle - (5) - Les plaisirs

 

 

                                               Gaëlle, tout simplement divine

 

Gaëlle était allongée de tout son long sur le canapé. Sa tête posée sur ma cuisse droite. Elle me fixait avec ce regard intense dont elle était coutumière. Elle savait lire à l’intérieur de ma psyché. Je caressais son visage. Je passais le bout de mes doigts sur sa peau avec une infinie douceur. La jeune fille se pâmait et semblait profondément heureuse, détendue.

 

< Si tu me fais une "première" en baise, comme tu m’as fais une "première" en pipe, je suis à me réjouir, si tu savais  ! > me fit-elle avec un sourire désarmant. Je lui déposais un bisou sur le front, puis sur le bout du nez. Je regardais son pull et le col de son chemisier : < Comment vas-tu faire pour cacher ces taches ? > lui demandais-je. Gaëlle me répondit en riant : < Pas de soucis, ça fait longtemps que je m’occupe de mon linge moi-même. Si ma mère voyait parfois l’état de mes culottes ! > Nous éclations de rire.

 

Gaëlle se retourna doucement. Elle se saisit de mon sexe humide et le regarda longuement. Parfois, je pouvais sentir sa langue chaude qui en caressait la peau. Parfois, enfonçant sa langue entre le gland et le prépuce, elle "fouillait". < Mmmm ! Mmmmmh !> pouvais-je entendre à de multiples reprises. Je la laissais se pourlécher.

 

< Tu comprends pourquoi je ne voulais pas te laisser faire "ça" en forêt, en hiver ? > lui demandais-je. Elle me répondit : < Oui, j’imagine tout à fait les "problèmes" qui en "découleraient". Le mot "découler" est d’ailleurs, dans ce cas, pertinent et approprié. Vieux cochon va ! >. Une fois encore nous éclatâmes de rire.

 

S’enhardissant à nouveau, Gaëlle enchaina de courtes séquences de pompages et de léchages. < Moi aussi, j’ai envie de te lécher ! > lui fis-je avant de préciser : < J’adore "ça" ! Tu me laissera faire un de ces jours ? >. Gaëlle me fit : < Je ne connais pas non plus, je te fais confiance. Mais ce soir, ce n’est que moi ! Tu es fâché ? >. Je la rassurais : < Non, non, je comprends, mais moi aussi j’aimerais me régaler un de ces soirs ! >.

 

Je saisis la jeune fille par la nuque. Doucement, j’appuyais sa tête sur mon sexe. Lâchant un nouveau < Mmmmmmh ! > Gaëlle se mit à sucer. Je constatais que l’épisode précédent, bien pisseux, ne l’avait pas affecté. Aucune envie de vomir par exemple. Par contre je pouvais à nouveau ressentir l’indicible caresse de sa bouche, chaude, humide et si douce. J’avais l’impression d’avoir la bite dans un bol de purée chaude.

 

Que le lecteur, admiratif, me pardonne cette métaphore culinaire, mais il n’y a que le bol de purée chaude qui me vient à l’esprit. Et chacun sait que la purée, c’est un délice…

 

Gaëlle savourait réellement. Je sentais son corps vibrer de plaisir. Une nouvelle vingtaine de minutes entrecoupées de courtes pauses et de rires.

 

Soudain, venant de son sac à main, il y eut une petite musique. "La flûte enchantée" de Mozart ! Une sonnerie "révélatrice" ! Se redressant, Gaëlle s’empara de son sac. Sortant son téléphone, jouant avec ma bite, elle fit : < Allo !.. Oui, coucou… Demain, comme prévu… Oui… Là, je suis entrain de déguster une pâtisserie… Oui, pas de problèmes… A demain…Bisou ! >. Elle s’engouffra la "Pâtisserie" après m’avoir précisé : < C’était mon mec ! >.

 

Parfois, par petites pressions, j’appuyais sur sa nuque. En gloussant elle enfonçait mon sexe plus profondément. J’enchaînais cet acte plusieurs fois, créant un mouvement masturbatoire avec la tête de la jeune fille. A nouveau j’entendais les gargouillis. Je pouvais sentir la force avec laquelle Gaëlle tirait la jute du plus profond de mes couilles. Couilles qu’elle me tenait. Faisant parfois garrot en formant un anneau de ses doigts à leur base.

 

Je me sentais vidé doucement et de façon régulière. J’ai connu quelques remarquables suceuses. Celle-ci faisait certainement partie du "haut de gamme". Parfois, je lui retirais la bite de la bouche. Je ne pouvais pas voir ce qu’elle faisait. Mais je devinais à ses mouvements de bouche, aux jeux de sa langue, que la jeune fille savourait avec appétit.

 

Je regardais l’heure, il était déjà vingt deux heures trente. < Il va falloir conclure mademoiselle ! > lui fis-je. < Déjà ? > me répondit-elle en pompant encore plus fort.

 

J’éjaculais comme je le fais le plus souvent, sans bouger. Distillant mon sperme en une longue coulée continue. Je pouvais sentir Gaëlle qui pompait et déglutissait en gémissant. < Mmmmmh ! Mmmmmh ! > pouvais-je entendre. Elle resta encore cinq bonnes minutes à vider le "fond de cuve" ! La saisissant par les cheveux, je la forçais à cesser. Il fallait qu’elle passe à la salle de bain afin de se donner visage humain et donner le change.

 

De son sac à main, elle sortit un petit spray à parfum et un paquet de chewing-gum. < C’est pour l’odeur et pour l’haleine ! De plus, malgré tout ce que tu m’as fait boire, c’est comme si j’avais la bouche desséchée. > me fit-elle. Je précisais : < Jus de fruits immédiatement après la pipe, toujours ! >. Elle éclata de rire en disant : < Je vais suivre les conseils du grand "spécialiste" ! >.

 

A vingt deux heures quarante cinq, nous quittions la maison.

 

Arrivés à l’arrêt de bus, devant l’église, dans un froid vif, nous nous fîmes la bises. < Lundi après-midi, si ça marche ok ? > me lança Gaëlle avant que je ne m’éloigne. < Tu me fais un SMS, comme d’hab ! > lui répondis-je avant de filer pour aller me dissimuler un peu plus loin, dans une entrée de parking de l’immeuble.

 

Sécurisant le lieu depuis ma cachette, je vis arriver la voiture de sa mère. La portière claqua et je me retrouvais seul dans la nuit silencieuse…

 

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08/03/2017

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