L'ECRIT DE JOIE

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Gaëlle - (6) - Les délices

 

 

                                          Gaëlle laisse ses inhibitions

 

Je feuillette un livre d’art. Un ouvrage consacré à la peinture hollandaise du XVII ème. Cette époque, aussi appelée "Le siècle d’Or", a été le temps béni de nombreux peintres dont Rembrandt, Jan Steen ou encore Gérard Dou, mon préféré. J’admire quelques chef-d’œuvres admirablement reproduits. Mon téléphone sonne. Il m’arrache à ma contemplation méditative. Je décroche un peu frustré.

 

C’est Gaëlle. Elle m’apprend qu’avec force ruse et subtilité, elle se libère vendredi soir. Elle vient pour vingt heures. Je suis agréablement étonné. J’oublie très vite Gérard Dou et les peintres hollandais. Je lui propose de partager mon repas du soir. Elle se contera du dessert m’affirme t-elle en éclatant de rire. Je comprends évidemment ce que cela sous-entend. Je confirme que le dessert sera prêt.

 

Vendredi soir arrive très vite. Ma semaine fut occupée à l’organisation de mon exposition d’après les fêtes de fin d’année. Cette période est toujours stratégique car il ne se passe pas grand chose. Les animations de toutes natures remportent alors souvent un certain succès. Il est dix neuf heures trente. Je fais un peu de rangement en prévision de la visite de la jeune fille. Trois coups de sonnette.

 

Je vais à la porte. J’ouvre. Gaëlle est debout dans l’encadrement de la porte. Elle entre tout en me faisant la bise. < Qu’es-tu entrain de faire ? > me demande t-elle en mimant une masturbation masculine. Une belle fille, quoi qu’elle fasse, n’est jamais vulgaire. Pourtant, certaines d’entre elles relèvent de l’exception. Cette exception s’appelle Gaëlle. Cette exception est debout devant moi en prolongeant sciemment son mouvement.

 

< Je suis en avance. Je suis toujours en avance pour les bonnes choses et les bons moments ! > me fait-elle en se jetant dans le canapé. Elle est vêtue d’un pantalon noir moulant, d’un pull, d’un blouson en cuir. Une écharpe négligemment enroulée autour de son cou. Elle est chaussée de bottines noires à talons. Gaëlle retire son blouson tout en me parlant de sa semaine d’étudiante.

 

Il règne une odeur de gratin dauphinois que je me suis préparé pour le lendemain. < Comme ça sent bon ! > me fait la jeune fille. Je lui propose d’en goûter avec moi. < Oh oui. Après tout, j’ai une petite faim. On passe me chercher pour vingt deux heures trente ! > me fait-elle encore. Je vais à la cuisine pour préparer un plateau repas que j’emmène au salon. Gaëlle feuillette mon livre d’art.

 

< J’ai vu quelques unes de tes peintures, sur ton site ! C’est superbe ! Tu peins un peu dans ce style. C’est minutieux et très académique ! > me fait Gaëlle en s’emparant d’une fourchette. Nous mangeons. Nos assiettes sont déposées sur la petite table basse devant le canapé. Nous bavardons. Gaëlle relate quelques anecdotes concernant ses cours à l’université.

 

Je débarrasse la table. < Je peux avoir le dessert ? > me demande t-elle, espiègle et mutine en montrant ma braguette de son doigt. Je la regarde un petit moment, silencieux. < Quoi ? > me fait-elle, sans doute interrogative devant mon aire dubitatif. Je viens m’assoir à ses côtés et lui propose de se servir elle-même. < Non ! Je préfère que tu me la donne ! J’aime être servie ! > répond t-elle en riant.

 

Je me lève. Je me positionne. Je suis bien campé sur mes jambes. J’ouvre ma braguette. Mon érection est contrariée depuis un moment par les tissus de mon slip et de mon pantalon. J’ai du mal à en extraire ma turgescence. < Wouah ! Elle est superbe ! > me fait Gaëlle en la prenant dans la main. < Elle est bouillante ! Oh ! Je peux sentir ton cœur battre, elle bouge toute seule ! > rajoute t-elle, ravie.

 

Nous restons ainsi un long moment. Silencieux tous les deux. La jeune fille scrute mon sexe avec l’attention d’une entomologiste. A plusieurs reprises elle rapproche son nez pour en humer les parfums. Gaëlle commence un léger mouvement masturbatoire. Elle tient ma turgescence entre le pouce et l’index de sa main droite. Avec l’index de son autre main, elle en caresse le prépuce fripé.

 

< C’est marrant ! > me fait-elle en tirant un filament de liquide séminal au bout de son doigt. Elle le porte à la bouche pour le sucer. Elle relève ses yeux pour me fixer. Je garde en mémoire cette indicible expression de vice. Gaëlle joue ainsi quelques longues minutes. Mon méat est trempée. < Mea Culpa ! > me fait la jeune fille avant de prendre mon sexe en bouche…

 

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08/03/2017

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