L'ECRIT DE JOIE

L'ECRIT DE JOIE

Gaëlle - (7) - La dégustation

 

 

                                             Gaëlle si sensuelle

 

Je peux sentir la chaleur de cavité buccale. Pourtant Gaëlle n’exerce aucune succion. La jeune fille reste ainsi en me fixant dans les yeux. Son air malicieux me fait sourire. Je peux sentir sa langue se promener autour de mon prépuce. La jeune fille se retire pour lécher mon gland qu’elle vient de décalotter. Elle passe le bout de sa langue sur chaque relief, soulevant chaque pli, comme pour en savourer les plus infimes délicatesses.

 

Je la regarde. Je vacille un peu sous l’effet de l’excitation que cette vision me procure. Gaëlle se rapproche à nouveau et prend mon sexe en bouche. Cette fois c’est pour pomper. L’indicible caresse me procure un vertige. J’ai les mains sur les hanches. J’observe. Gaëlle semble habitée d’une sorte d’extase. je peux l’entendre pousser d’infimes gémissements. Sa respiration se fait plus forte, alternant avec de silencieuses apnées.

 

Je suis cambré. Les genoux légèrement fléchis. La position provoque une légère congestion de mes lombaires. Si je ne prends pas une autre position, ce sera rapidement la douleur. Je me redresse. Je saisis la jeune fille par ses cheveux. Je me mets à guider sa tête, lui imprimant un léger mouvement de va et vient. Gaëlle témoigne de son ravissement en poussant quelques gloussements révélateurs.

 

La jeune fille, tout en suçant, défait mon ceinturon, ouvre mon pantalon. Elle tire vers le bas. Me voilà avec mes vêtements aux genoux. Elle se saisit de mes couilles qu’elle "ausculte" avec une attention "scientifique". Formant un anneau de ses doigts, Gaëlle les serre à leur base. Cet effet "garrot" est des plus agréables. Je peux sentir monter mon liquide séminal. La jeune fille se régale des arrivées de sève.

 

Nous sommes ainsi depuis une bonne vingtaine de minutes. Je regarde l’horloge Westminster entre la bibliothèque et le bureau. Il est déjà vingt et une heures trente. Je le fais remarquer à ma délicieuse pompeuse. Sans cesser de pomper elle regarde l’horloge. Avec un gloussement plus fort encore, elle pompe avec plus de force, de vigueur. La jeune fille me masse les couilles bouillantes.

 

Elle cesse pour se redresser. Mes jambes sont ankylosées. Je peux sentir le picotement des fourmis. Gaëlle s’empare de la tasse à thé. Elle la porte sous mon sexe. D’une main ferme la jeune fille en dirige l’extrémité dans le petit récipient. Je devine ce qu’elle cherche à faire. Malgré ma concentration, il m’est impossible d’accéder à sa demande. Je suis beaucoup trop excité.

 

Gaëlle reste ainsi, son visage à proximité, scrutant et attendant qu’il se passe quelque chose. Il n’y a que le filament visqueux et laiteux de liquide séminal. Sans doute un peu de sperme aussi. Quelques minutes s’écoulent autant que le liquide gluant. < Il faut se faire une raison ! > me fait Gaëlle en reposant la tasse. Elle y passe toutefois son doigt pour en récupérer le contenu et le porter à sa bouche.

 

La jeune fille, me tenant par les hanches, m’attire vers le canapé. Je peux enfin m’écrouler sur les coussins. A peine suis-je vautré aux côtés de Gaëlle que cette dernière se laisse glisser jusqu’à porter sa bouche sur mon sexe. La fellation reprend. Dans cette position, je peux sentir l’invraisemblable douceur de la caresse avec beaucoup plus d’acuité. La jeune fille se régale vraiment. Pas de doute.

 

Je peux parfois discerner comme un petit cri aigüe. Cela correspond aux arrivées de sève. Celles-ci doivent être soutenues sinon continues. Les tressautements du corps de la jeune fille indiquent son état d’excitation. Ses apnées sont de plus en plus nombreuses. Tout en gardant mon sexe en bouche, Gaëlle se laisse glisser au sol pour se retrouver à genoux entre mes cuisses. Je suis près de l’extase.

 

J’éjacule dans un spasme furieux. Plusieurs saccades agitent mon corps fébrile. Je peux me sentir absorbé, aspiré. Tout mon sperme est pompé avec force et passion. Nous poussons le même râle au même moment. C’est comme si Gaëlle avait le même orgasme que moi, au même instant. La jeune fille reste ainsi de longues minutes à me vider totalement. Elle se redresse enfin et m’embrasse avec fougue.

 

Il est vingt deux heures quinze. Il est grand temps de reprendre nos esprits. Nous nous habillons. Nous sortons dans le froid. J’accompagne Gaëlle jusqu’à la pharmacie, là où sa mère doit la récupérer. Je me dissimule dans l’entrée du parking pour sécuriser l’attente. A peine quelques minutes plus tard, la grosse berline allemande arrive. Un claquement de porte. Me voilà seul…

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08/03/2017

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