L'ECRIT DE JOIE

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Gaëlle - (9) - Les vertiges

 

 

                                             Gaëlle délicate

 

La jeune flle m’observe avec les lèvres pincées. Elle éclate d’un rire sonore. Elle s’empare de mon sexe à sa base pour l’agiter entre le pouce et l’index. < C’est peu de chose, en fait, ce qui régit le monde ! > conclue t-elle soudain prise d’un fou rire communicatif. Nous rions de bon cœur. < Tu vois, me voilà à philosopher à présent ! > me fait-elle encore en se laissant glisser sur le côté.

 

La jeune fille est en appui sur son coude. Son visage à courte distance de mon sexe qui commence à se rigidifier doucement. Elle en respire longuement les effluves parfumées. < Tu me l’offre bien sale un de ces jours ? > me demande t-elle en passant son index sous mes couilles. < Tu sais, avec du fromage ! > conclue t-elle en riant à nouveau. Je lui caresse les cheveux.

 

< Tout ce que tu voudras ! > que je lui dit en réponse en saisissant sa nuque. Doucement, j’appuie sur sa tête. Gaëlle, par jeu, oppose une résistance. Cela ne dure que quelques instants. Elle se libère de mon étreinte pour descendre complètement sa bouche sur mon sexe. Immédiatement je peux sentir la délicieuse succion. Sa langue papillonne sur mon méat. Je peux bien la ressentir.

 

Une fois encore je me fais sucer. Je ferme les yeux. Une sorte de torpeur ne tarde pas à m’envahir. C’est un peu le nirvana. Je reste immobile. Je me laisse faire. Gaëlle est immobile également. Concentrée. L’indicible caresse me transcende. Je suis dans la béatitude du plaisir. La respiration de la jeune fille s’accélère parfois. Perdant toute régularité son souffle semble s’emballer. Puis c’est l’apnée.

 

Les premiers gargouillis se font entendre. Les premiers gémissements de Gaëlle accompagnent cette musique divine. Je commence à contracter mes muscles fessiers. Cela a pour effet de faire bouger mon sexe dans la bouche de la jeune fille. Un premier gloussement retentit. Cette fonction a aussi pour effet de provoquer l’abondance de liquide séminal. La dégustation commence.

 

Gaëlle reste immobile tout en suçant fortement. Les montées de sève doivent êtres abondantes. La jeune fille semble avoir quelques difficultés à déglutir. Je suis au paradis. Nous le sommes en fait tous les deux. Gaëlle, comme elle le fait souvent, se met à jouer avec mes couilles. Dans la vitre du meuble de la chaîne stéréo, qui fait miroir, je peux la voir, yeux ouvert, regardant ce qu’elle fait.

 

C’est magnifique. Un très grand moment de vice. Un moment parmi quantité d’autres. Je n’arrête plus de faire bouger mon sexe. Gaëlle n’arrête plus de gémir de contentement. Elle doit se régaler de mon jus une fois de plus. Je la tiens par ses cheveux. Je guide sa tête. Je m’enfonce parfois au plus profond. Je contre les mouvements de recul de la jeune fille en la maintenant avec force.

 

Ce jeu semble la passionner. Lorsque je fais cela, je peux voir ses pieds bouger. Un peu comme si elle se débattait. Je l’entends glousser de plaisir en même temps. A présent, Gaëlle lâche de petits râles sonores, graves et profonds. Elle ponctue presque toujours par de longs gémissements. En même temps elle se retire un peu pour ne garder que l’extrémité de mon sexe en bouche. Elle savoure, déguste et se régale.

 

Je regarde l’horloge. Il est vingt et une heures quarante cinq. J’en fais part à la jeune fille. D’ici quinze minutes il lui faudra partir. Gaëlle émet alors un râle profond. mêlant sans doute dépit et fatalité. J’éjacule en trois saccades qui me secouent. Des frissons parcourent nos corps. Gaëlle, collée comme une ventouse, aspire, pompe et suce comme si sa vie en dépendait. Elle me vide. Le fameux "fond de cuve". Je meure une nouvelle fois.

 

A dix heures, comme convenu, Gaëlle me laisse. Nous sommes tous deux épuisés. < Je peux sans doute revenir mercredi soir, mais juste une heure ! Tu veux ? Je te confirme par mail ! > me fait-elle avant de dévaler les escaliers. Je la regarde entrer dans la voiture. La brume froide rend toute chose fantomatique. Je regarde s’éloigner la voiture. Mon sexe est congestionné. Je le regarde. Il pend. Lamentablement seul…

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08/03/2017

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