L'ECRIT DE JOIE

L'ECRIT DE JOIE

Gloryhole - Épisode 10

                                                         Le retour de vacances

 

    Les vacances scolaires de Pâques arrivent à leur terme ce dimanche. Je suis assis à mon bureau ce vendredi matin. Plongé dans quelques activités administratives. Absorbé dans mes réflexions. Soudain, la sonnerie à l'ancienne de mon I-phone me sort de mes introspections ennuyeuses. Je saisis machinalement le téléphone. Quelle surprise, c'est le numéro de Juliette qui s'affiche. Je n'ai pas encore sa photo pour l'installer dans mes contacts. Nous bavardons un peu. La jeune femme me raconte ses vacances, son retour anticipé. << Je m'ennuyais à mourir et beaucoup trop. J'ai insisté auprès de mon mari. Nous sommes rentrés hier soir. On se voit demain, samedi, sur le parking du restaurant ? >> conclue t-elle en prétextant plein de choses à faire. Lessives, rangements. Je suis évidemment partant. Juliette s'apprête à raccrocher en demandant : << Demain, quatorze heures ? >>. Je réponds : << Ça marche ! >>

 

    Il va être midi. Je prépare mon repas dans une certaine fébrilité. Cet après-midi je vais voir mon expert comptable. Maître Philippe gère mes affaires. Avec maestria. Nous nous voyons régulièrement. Il est également un bon ami. Collectionneur, le cher homme possède quelques unes de mes toiles. Ce rendez-vous permettra de me faire patienter un peu. Je suis pressé d'être déjà demain. Je fais la vaisselle lorsque mon I-phone se met à sonner une nouvelle fois. Je m'essuie les mains. La photo d'Anne-Marie s'affiche. Quelle surprise. Anne-Marie rentre de vacances demain soir, samedi. Nous bavardons un peu. << On se fait une webcam ce soir, vingt et une heures, ça te dit ? >> propose ma bonne amie. Je trouve la suggestion parfaite. Cela occupera notre soirée. Nous apprécions ce principe pour discuter. C'est tellement sympathique de pouvoir se voir. << Tu me la montres un peu ? >> conclue t-elle. Je promets de satisfaire sa demande. Je raccroche.

 

    Mon vendredi après-midi, ainsi que sa soirée, se passent dans une ambiance de fête. Le samedi arrive enfin. Après le repas je prépare mon matériel. Tout ce qu'il faut dans le petit sac à dos. Il fait beau. La journée est magnifique. Ce début mai s'annonce aussi prometteur qu'avril son prédécesseur. Je roule prudemment car je me masturbe en même temps. J’arrive au lieu de rendez-vous en ce début d’après-midi ensoleillé. Il est quatorze heures tapante. Juliette est déjà là. Je gare la voiture derrière la sienne. Nos deux grosses berlines Allemandes font une belle paire. Son Audi est blanche. Ma Mercedes est noire. Elle sort de son automobile pour venir à ma rencontre. Vêtue d’une jupe sport beige, d’un T-shirt blanc, chaussée de chaussures de marche. Nous nous serrons la main. Ni elle ni moi ne cachons nos joies de nous revoir. La jeune femme porte son petit sac à dos. Je le soupèse. Elle soupèse le mien. Elle me tutoie soudain. << Tu as tout ton matos là-dedans ? >> demande t-elle. Nous rions. Je précise qu'il y a également une gourde, des barres de céréales et deux pommes. << Moi aussi j'ai emmené de la bouffe ! >> lance t-elle.

 

    Nous prenons le sentier qui monte sur la droite du restaurant. La terrasse est pleine de monde. Nous traversons le vieux pont de pierres en dos d'âne. Les eaux de la rivière ont considérablement baissé. Il n'est pas tombée la moindre goutte de pluie depuis plus d'un mois. Nous marchons tout en devisant de choses et d’autres. Juliette parle de ses vacances. De la famille de son mari. Des visites de quelques sites remarquables qu'elle connaît par cœur. << Mon mari a enfin daigné avoir quelques considérations d'ordres sexuelles à mon encontre. ça le prend une fois tous les trois mois ! >> confie t-elle. Nous arrêtons de marcher pour en rire. Il y a nombre de promeneurs. Une fois encore, même si ce n'est que la troisième fois, j’aime beaucoup la compagnie de cette délicieuse jeune femme. Pleine d’optimisme, de joie de vivre. Comme moi, elle apprécie l’humour et pratique la dérision. Sa culture générale rajoute encore aux charmes de sa proximité. Sportive, elle marche à mes côtés d’un pas alerte et énergique. Je suis aussi heureux que Juliette paraît l'être. Elle reprend son boulot lundi matin.

 

    Nous arrivons à la première station. Le premier trou. Tout semble parfaitement en ordre. Je fais le tour du lieu. Quelques feuilles mortes de l'automne dernier achèvent de se décomposer aux pieds de la cloison. Juliette me fait remarquer qu’il serait peut-être judicieux de passer un petit coup de papier de verre afin de lisser les bords du trou. Elle y passe l'index. Je fais de même. Son doigt touche le mien. Juste un instant. C'est très agréable. Une petite décharge électrique. << Toi aussi ? >> demande mon accompagnatrice. Je réponds : << Moi aussi ! >>. De mon sac à dos je tire le nécessaire. Cinq minutes d’un ponçage régulier et voilà le pourtour du trou parfaitement lisse et sans échardes. << Laisse-moi faire aussi ! >> lance la jeune femme en s'appliquant. Les bords circulaires des orifices, des deux côtés de la cloison, sont chanfreinés avec soin. << C'est parfait ! >> lance Juliette. Elle se penche soudain, son visage tout près du mien.

 

    << Et si tu procédais à un essai ? >> murmure t-elle d'une voix complice. Je me redresse, un peu étonné. Elle rajoute : << C'est juste pour bien contrôler si tout est parfait ! >>. Je reste un instant hésitant. Je la regarde. Son air coquin. Je suis un peu gêné. << Je passe de l'autre côté pour voir ! >> lance Juliette en me laissant seul. Je retrouve un peu de courage. J'ouvre la braguette de mon short kaki. J'en extrais mon sexe. Une érection molle que je glisse dans l'ouverture. Je me colle contre la cloison. Mains à plat, cambré. La position n'est pas confortable. Le silence. Aucun promeneur, depuis le sentier, ne peut me voir puisque je suis de l'autre côté. J’entends soudain Juliette rire de l’autre côté. << C'est génial ! >> lance t-elle avant de dire : << Bonjour ! >>. Je me retire à toute vitesse. Ce sont probablement des promeneurs. Je constate donc que tout est en ordre et sans danger. Je remballe. Juliette vient me rejoindre en riant.

 

    << Des gens. Mais ils n'ont rien vu. Rassure-toi ! >> me fait elle. Je range le papier à poncer dans mon sac à dos. Nous repartons pour la seconde étape. En route, nous évoquons ces vacances d'été qui s’annoncent à l’horizon de cette période de l’année. << Je vais encore vers un ennui profond. Avec mon mari nous avons toutefois en projet de nous offrir une croisière sur la Méditerranée. Ce sera en juillet ! >> raconte mon accompagnatrice. Je lui explique le fonctionnement de la galerie d'Art que j'exploite les deux mois d'été. Mon oncle tient cet endroit où j'expose mes créations. Juliette se montre très intéressée. Je promets de lui faire découvrir mon atelier lorsqu'elle viendra manger. En sautillant comme une adolescente, Juliette s'écrie : << Oh oui. Je suis très curieuse tu sais ! >>. Elle s'arrête pour rajouter : << Je te téléphone la semaine prochaine. On mettra tout ça au point ! >>. Nous reprenons notre périple. Il y a plein de randonneurs.

 

    Nous arrivons ainsi à la station numéro deux. Une fois encore je constate que tout est en ordre. Si des promeneurs utilisent mes œuvres d’Art, ils ont le bon goût de ne laisser aucune trace de leurs passages. Une fois encore, un petit coup de papier de verre. Juliette tient absolument à m'aider. Avec nos feuilles de papier de verre nous peaufinons les bords de mes créations murales. Juliette évoque quelques anecdotes de son activité d'exploitante immobilière. Ses affaires sont florissantes. En cette année 2013 ce secteur d'activité ne connaissait pas la crise. Quand nous passons nos index sur les bords, nous constatons que c'est lisse et doux. << Tu fais ton contrôle ? Je passe de l'autre côté ! >> propose Juliette. Je me place devant la cloison pour y faire passer mon sexe. De l’autre côté, Juliette, tout en riant, m’informe que du lierre, en poussant, pourrait masquer le trou. Je décide de laisser le lierre pousser. C'est bien plus discret. Plus secret.

 

    << J'adore ! Tu es un artiste ! >> lance t-elle en me rejoignant. J'ai déjà remballé en vitesse car nous entendons des éclats de voix. Nous continuons notre promenade en arrivant à la troisième station. Là, je constate qu’une araignée a tissé sa toile juste dans l’orifice. C’est beau. Juliette prend quelques photographies. Nous décidons de laisser la bestiole tranquille. Nous partons pour la quatrième étape. Tout y est en ordre. Un petit coup de papier de verre à grains fins. Nous nous mettons en route pour la cinquième station. Là aussi, tout est "nickel". Nous gravissons à présent le sentier qui grimpe à flanc de colline. Nous discutons de nos goûts pour les livres d’Arts. Juliette connaît bien le Siècle d'Or hollandais. Ce dix septième siècle contemporain de Vermeer, de Rembrandt. Nous arrivons à la station numéro six. Une fois encore pour constater que tout est parfait. Nous continuons vers la septième station. Idem, tout est en ordre.

 

    << Tu sais que tu pourrais contrôler quand même. On ne sait jamais ! >> lance Juliette. Nous en rions de bon cœur. C’est en arrivant au huitième trou que je découvre qu’une fois de plus, quelqu’un a cloué une planchette sur l'orifice. << L'enfoiré ! >> s'écrie la jeune femme. Nous rions. Juliette me conseille de laisser la planchette et de percer le nouveau trou dans celle-ci. J'opte également pour cette formule. Pour les initiés cela permet de constater la bêtise de certains et la dérision d'avoir creusé un nouvel orifice. Juliette tient le sac à dos alors que j'en tire le matériel. << Je vais assister à toute l'opération ! Génial ! >> s'exclame t-elle en ouvrant bien le sac. Je place la mèche fine sur la perceuse. Je mesure avec soin le milieu de la planche. Une petite croix tracée au crayon. C'est là que je perce. Je place la mèche "cloche" de cinq centimètres de diamètre. Je perce soigneusement. << Wouah, c'est fastoche ! Tu fais ça bien ! >> lance Juliette.

 

    De mon sac à dos, je sors les feuilles de papier de verre. Juliette pose le sac au sol. Elle insiste pour poncer les bords du trou de l'autre côté. En cinq minutes le nouveau trou est percé. Juliette prend plaisir d’en poncer le pourtour. Elle fait dépasser son index par l'orifice. Penché tout près de l'ouverture, je vois son œil. << Coucou ! >> dit elle en plaçant sa bouche grande ouverte. Elle se redresse. Je l'entends rire. << Tu procèdes au contrôle s'il te plaît ! >> s'écrie t-elle. Je sors mon sexe pour me plaquer contre la cloison. << C'est superbe ! >> s'exclame la jeune femme de l'autre côté. Je procède toujours à mes contrôles caché de l'autre côté des planches. Je reste ainsi quelques minutes. Juliette, de l’autre côté me conseille quand au diamètre. << Tu sais que j'ai fait des photos de chaque trou ! >> précise t-elle. Nous rions. Elle rajoute : << C’est bien de respecter cinq centimètres ! >>. Par contre, la jeune femme me fait remarquer que l’épaisseur, à cause de la planchette, est plus importante. Double. Je dois donc me coller encore davantage contre la cloison pour faire dépasser plus de saucisse.

 

    Je remballe alors que Juliette vient me rejoindre. Elle me montre les photos prises. C'est impressionnant. << Ça donne envie tu sais ! >> murmure t-elle d'une vois suggestive, son visage tout près du mien. Un délicieux frisson parcourt mon échine. Je n'en montre rien. Peut-être est-ce pareil pour mon "assistante". << Tu me laisses percer la prochaine fois. Je veux essayer ! >> dit elle alors que nous reprenons notre marche. Nous nous mettons en route en direction de la neuvième station. La neuvième station où tout est parfait. Direction l’étape 10. Là, il nous faut débroussailler. Des tiges sèches montent jusqu’au trou. Juliette me fait remarquer qu’il peut y avoir un risque de blessure. << Je passe de l'autre côté pour contrôler ! >> dit elle. Je passe mon sexe dans l’orifice. En effet, il pend sur le haut des tiges. La jeune femme arrache les végétaux desséchés. Sur la demande de Juliette, je passe le maximum de sexe en me collant plus fort.

 

    Je dois pisser. J'en profite. Je crie : << Attention devant ! >>. Je lâche plusieurs jets à l'aveuglette. Je n'entends plus rien. Soudain la voix de mon accompagnatrice : << Ils viennent se briser dans les ronces sur la terre sèche. C'est rigolo. Je suis entrain de filmer ! >>. Cette affirmation me fait rire. Ce qui a pour effet de faire gicler un peu n'importe comment. << Je prends également des photographies pour immortaliser l’instant ! >> lance t-elle. Je me "vidange" totalement en soufflant de ce soulagement. Je remballe avant que Juliette ne contourne la cloison pour me rejoindre. << Tu veux voir ? >> me demande t-elle en tendant son smartphone. Je propose de regarder tout ça quand nous mangerons ensemble. << Excellente idée ! >> s'exclame ma complice. << Je dois faire pipi. Tu m'as donné envie ! >> rajoute t-elle en s'accroupissant. Je découvre que Juliette ne porte pas de culotte. Je détourne le regard pudiquement. Je la laisse seule.

 

    << J'apprécie les gentlemen Julien. Je suis ravie d'être en compagnie de l'un d'entre eux ! >> dit elle en me rejoignant. Nous reprenons notre randonnée. Comme si elle devinait mes interrogations Juliette me dit : << Je n'en porte pas quand je suis en bonne compagnie. Et ça me permet de tester les réactions de mon compagnon de jeux ! >>. Juliette fait évidemment allusion à son absence de culotte. Je ne dis rien, secrètement flatté de répondre en tous points aux souhaits de cette étonnante jeune femme. Nous passons à l’étape 11. Rien à corriger. C'est parfait. Idem à l’étape 12. Nous constatons que tout est dans un état impeccable. Juliette attire mon attention sur des traces de coulures au bas du trou de la station 13. La jeune femme me fait remarquer que ce trou, un peu en retrait, est à la fois discret tout en étant proche du sentier. C'est le GR 5 qui va sur Compostelle. Donc très fréquenté par des marcheurs et des randonneurs.

 

    << Quelques pèlerins peuvent se soulager s'ils sont judicieusement accompagnés ! >> précise Juliette. Nous en rions aux éclats. Il y a certainement quelques marcheurs qui marquent une pause en ce lieu. Juliette scrute avec attention le bas des cloisons. Remuant les herbes de sa mains pour voir si rien n'est tombé là. << C'est dans un tel endroit que j'ai perdu mes clefs. Et grâce à ces clefs, j'ai fait la connaissance d'un homme tout à fait charmant ! >> lance la jeune femme. Je ne sais quoi dire. C'est vrai que ces clefs ont également servi à ouvrir la porte d'une rencontre rare. Je pense à tous ces privilèges que me réserve l'existence. Toutes ces inconnues qui sont devenues des amies intimes. Des complices. Des amantes. Des maîtresses et d'inoubliables souvenirs. Je garde le silence.

 

    Nous terminons notre circuit au dix huitième et dernier trou. Là, Juliette me fait remarquer que l’herbe à l'endroit où elle avait perdu ses fameuses clefs, est à présent bien sèche. En effet, l'absence de pluie de ce printemps, exceptionnellement doux, a permis à la végétation de s’épanouir. Un petit coup de papier à poncer. Juliette me fait remarquer que cet endroit lui laisse un très agréable souvenir. Elle contourne la cloison en me racontant la pipe qu'elle a prodigué là à son amant. Ce Jean-Claude dont elle me parle avec humour. Un collègue, agent immobilier, qu'elle connaît depuis cinq ans, qu'elle fréquente épisodiquement depuis deux ans. << Ce trou nous a inspiré ! Merci Julien ! >> me dit Juliette de l'autre côté. Je passe une nouvelle fois mon sexe dans l'orifice. Mais cette fois en érection. << wouah ! >> s'écrie la jeune femme de l'autre côté. Par contractions des muscles fessiers, je fais bouger ma turgescence. Elle prend des photos.

 

    Je fais bouger mon érection dans tous les sens. J'entends la jeune femme éclater de rire. << Superbe machin dis donc ! >> lance t-elle. Je lâche un jet qui manque probablement de peu son smartphone car je l'entends crier : << Attention. Il faut prévenir ! >>. Je crie : << Pas du tout ! J'adore surprendre ! >>. Cette fois, avec le secret espoir qu'il se passe enfin quelque chose, j'attends. Il ne se passe rien. Juliette devinant certainement mon attente, reste silencieuse. Elle attend de l'autre côté. C'est quand mon sexe disparaît qu'elle vient me rejoindre. Son sourire énigmatique me procure un délicieux frisson. Nous reprenons le chemin du retour. Nous arrivons aux voitures vers dix huit heures. Cette merveilleuse fin d'après-midi s'achève là. Nous vivons soudain la même émotion. << Je t'appelle la semaine prochaine. Cette balade était magnifique. Merci Julien ! >> me fait Juliette. Elle prend mon bras quelques instants. C'est dur de se séparer.

 

    Nous voilà assis dans nos autos. Juliette fait sa manœuvre de demi tour. Elle s'arrête à côté de ma voiture en baissant la vitre. << C'était superbe Julien. On récidive dès que possible. À bientôt ! >> dit elle avant de s'en aller. À peine ai-je démarré que la sonnerie de mon I-phone me sort de ma condition mentale proche de la nostalgie. C'est Anne-Marie. Elle me raconte son samedi après-midi à aider sa copine à ranger son appartement. Je précise : << Ce soir, en webcam, j'aurai plein de choses à te raconter ! >>. Nous raccrochons en même. Temps. Mais en arrivant à la maison, je me ravise. Raconter mon après-midi à Anne-Marie pourrait avoir pour effet de créer une jalousie. En préparant mes spaghettis, je me promets de ne pas évoquer Juliette. Y arriverai-je ? Pas sûr !

 

    À vingt et une heures je suis assis au bureau, devant mon ordinateur. En conversation webcam avec Anne-Marie. C'est difficile de mentir par omission. Je déteste ça. Anne-Marie, pas dupe, se doute bien de quelque chose...

 

______________________________________

Tous droits réservés - © - 2024 -

 

L'utilisation, toute ou partie, d'un texte, (ou photographie), par copié/colé par exemple, sans le consentement de l'auteur, constitue une violation de la propriété intellectuelle. Délit sanctionné par l'Article. L.335-2. du Code pénal.

La divulgation d'informations relatives à la vie privée, ou à l'identité, constitue un délit sanctionné par les articles 706-102-1 (Informatique) et 88-227 du code pénal.

 



02/02/2024

A découvrir aussi