L'ECRIT DE JOIE

L'ECRIT DE JOIE

Gloryhole - Épisode 15

                                          Juliette aussi veut réaliser des prises de vue

 

     Vendredi, en fin de matinée, installé devant mon chevalet, je suis abstrait dans ma peinture pas du tout abstraite. Bien au contraire je fignole des éléments d'un hyper réalisme hors normes. J'aime le silence et la quiétude de mon atelier en ce début mai. J'ai même entrebâillé une des deux larges baies vitrées. J'entends le gazouillis des oiseaux qui virevoltent de branches en branches. Je suis soudain arraché de mes réflexions par la sonnerie "à l'ancienne" de mon I-phone. Il est posé sur la desserte à ma droite. Je suis toujours désagréablement perturbé par les appels venant me tirer de mes introspections. C'est la photographie de Juliette qui s'affiche sur l'écran qui s'allume. Mon désagrément disparaît instantanément. Je pose ma palette, mes pinceaux pour me saisir du téléphone. << Bonjour. Je ne te dérange pas ? C'est juste pour te confirmer ma disponibilité pour demain, samedi, quatorze heures. Ça ira toujours pour toi ? >> dit elle.

 

     Je la rassure. Je suis à me réjouir pour la retrouver. Juliette n'a que peu de temps. Impossible de converser plus longtemps. << À demain alors ! >> fait elle avant de raccrocher. Je nettoie la palette, les pinceaux. Je suis amusé par le ton et l'instantanéité ce cet appel qui n'a pas duré trente secondes. Cette femme n'a de cesse de m'étonner. À son insu autant qu'avec des intentions tendancieuses qui m'enchantent. Je sais déjà que le temps va ralentir jusqu'à demain. J'ai de quoi m'occuper cet après-midi. La logistique impose de faire quelques courses. À cet effet je retrouve Anne-Marie sur le parking de l'hypermarché à dix sept heures. Il nous arrive parfois de faire nos achats ensemble. Puis de terminer l'après-midi au restaurant de la cafétéria. C'est sur ces pensées que je quitte l'atelier pour la cuisine. Je me prépare un rapide repas. Salade de tomates. Riz complet. Un beau dos de cabillaud blanc poêlé avec ail, oignon et champignons.

 

     Je quitte la maison pour quatorze heures trente. Il me faut aller en ville avant de me rendre dans la zone commerciale. J'y arrive pour le rendez-vous. Professeur des écoles, Anne-Marie m'entretient souvent d'amusantes anecdotes scolaires. Nous tirons chacun ces paniers rouges sur roulettes en parcourant les allées. De flâner ainsi reste fort plaisant. Il n'y a pas trop de monde. Après êtres passés en caisse, avoir rangé nos achats dans les coffres de nos voitures, nous traînons un peu dans la galerie commerciale. Les boutiques, la librairie. Anne-Marie remplit son bulletin de loto. Je refuse de donner mon argent à la Française des Jeux. << J'ai gagné au loto en venant au monde ! >> dis-je une fois de plus à ma bonne amie qui me propose de remplir un second bulletin à deux. Je ne le désire pas malgré son insistance. Nous étudions les menus affichés au tableau de la cafétéria. Ce sera de la paëlla en ce vendredi soir. Nous bavardons en la dégustant.

 

     Nous en venons évidemment à évoquer mes "trous". Ces gloryholes que j'ai réalisé le long de différents circuits de promenades sylvestres. Une fois encore Anne-Marie promet de m'accompagner pour une randonnée. Je regarde les expressions de son visage lorsqu'elle en parle. Je la devine très excitée. Je montre quelques photos conservées dans la bibliothèque de mon téléphone. Ces trous magnifiques configurés sur différents sites de mes randonnées. << Tu en as créé combien ? >> me demande Anne-Marie en zoomant sur les plus belles créations murales. J'avoue ne jamais avoir compté. Mais cela doit tourner autour d'une cinquantaine. << On va en faire ensemble. Il y a un itinéraire de balade que j'aime bien parcourir avec ma collègue Sylviane. Tu vas pouvoir t'en donner à cœur joie. Et moi je vais filmer tes compositions ! >> me confie Anne-Marie. Nous en rions de bon cœur. Mais une fois de plus la jeune femme ne donne aucune date.

 

     Nous nous séparons devant la Clio d'Anne-Marie. << Je t'appelle demain vers midi. Et en soirée tu me raconteras la randonnée avec ta Juliette ! >> me dit elle en s'asseyant au volant. Il est 21 h30 quand j'arrive à la maison. Je regarde le petit film de dix minutes tourné avec Virginie. Une fois encore je reste dubitatif devant l'air juvénile, presque nubile de la jeune cavalière. Même si j'ai la preuve irréfutable qu'elle a bien dix neuf ans. Je me masturbe un peu en zoomant sur son visage à quelques centimètres de mon sexe qui dépasse du trou. D'abord mou. Puis en érection. C'est extrêmement excitant. Mon excitation est encore décuplée en sachant que Virginie possède exactement le même film. Il va être vingt deux heures trente lorsque je retrouve la douceur de mes draps. Couché sur le dos, me touchant encore un peu, je ne tarde pas à sombrer dans un profond sommeil. Jusqu'aux aurores où je me réveille aux environs de sept heures.

 

     Ce samedi est enfin arrivé. Mon jogging. Ma douche. Mes trois heures de peinture. Midi. Je réchauffe les restes du riz. Une salade de concombre. Un filet de lieu noir poêlé. Mon I-phone qui m'avertit. La photo d'Anne-Marie qui s'affiche. Elle me raconte sa matinée. Je raconte la mienne. << On se fait une webcam ce soir. Je t'appelle pour 21 h. Ça marche ? >> lance t-elle avant que nous nous quittions. Juliette et moi, tous deux assez pressés de nous revoir, avons échangé nombres de courriels depuis mercredi. Là, l'impatience de nous revoir devient torture. J’arrive à l’endroit habituel pour quatorze heures. Toujours aussi ponctuelle, la jeune femme est déjà là. Je me gare une fois de plus derrière sa voiture. A peine ai-je coupé le moteur que Juliette sort de son auto pour se précipiter vers moi. Son petit sac à dos à la main. Elle me sourit. Je la regarde, comme elle est belle ! Je sors précipitamment de mon véhicule moi aussi.

 

     Nous nous faisons la bise. Les trois bises réglementaires. Je garde en mémoire les effluves de son parfum. Je n'ai pas encore osé demander l'origine de ses suaves senteurs. Sans doute Ylang Ylang. À chaque moment que je passe avec elle je peux régénérer cette souvenance. Juliette, vêtue d’une jupette grise, d’un T-shirt blanc, est chaussée de solides souliers de randonnée. Je trouve cet accoutrement terriblement sexy. Elle le sait. Je le lui répète à chaque rendez-vous, lorsque nous marchons. Nous mettons les sacs sur nos dos. De son sac dépasse un trépieds qui permet de fixer un appareil photographique ou une caméra. Elle découvre mon air interrogatif. En riant elle me dit : << Je me présente Stanley Lubrique. Je m'apprête à tourner les premier pas de l'homme dans les studios d'Hollywood ! C'est une commande de la NASA ! >>. Je suis plié de rire quand elle rajoute : << Je le montrerai à mon ami David Icke ! >>. Ça y est, c'est parti.

 

     J’ai mon sac à dos dans lequel j’ai tout le matériel nécessaire. Juliette le soupèse. << Tu n'oublies jamais des trucs ? >> demande t-elle. Je la rassure. J'ai l'habitude. Je contrôle toujours avant de partir en expédition. Perceuse, papier à poncer, mèches de différents diamètres et victuailles. Nous nous sommes d'ailleurs mis d’accord par courriels. C’est moi qui assure les en-cas et la boisson. Je suis vêtu d’un short kaki, d’une chemise de baroudeur et je suis chaussé de mes grosses chaussures de marche. Nous contournons le restaurant par la droite. Il y a du monde sur la terrasse. Des rires. Nous passons sur le pont de pierres en dos d'âne pour longer la rivière. Juliette parle de son entreprise immobilière. Ses rendez-vous. Ses affaires. Celles qui lui échappent. Les personnes qu'elle rencontre. Son amant qu'elle ne voit plus. << Il me baisait bien dans la bagnole. Mais il craint fort que sa femme se doute de quelque chose ! >> confie t-elle.

 

     Nous arrivons à la première station. Juliette me propose immédiatement de faire une photographie. En prononçant ces mots, de son sac qu'elle enlève, elle tire un gros Nikon impressionnant. Elle le fixe sur le trépieds. J'admire la dextérité et la rapidité avec laquelle est préparé son matériel. Je passe derrière la cloison, je sors mon sexe et je le passe dans le trou qui est en parfait état. La douce chaleur du soleil le caresse agréablement alors qu'il est délicatement déposé sur le bord de l’orifice. << OK, on ne bouge plus, le petit oiseau va sortir ! >> me fait Juliette de l’autre côté. Je l'entends rire aux éclats. Quelques secondes passent et je perçois le bruit du déclic. << C’est dans la boîte ! >> rajoute t-elle. Un silence avant qu'elle ne s'écrie : << Attend, on en refait une autre. Il y a différents réglages en plans rapprochés ! >>. Je reprends la pose. Mon bassin contre la cloison, les mains posées de chaque côté de mes épaules. Une érection timide.

 

     << C'est bon ! >> lance t-elle. Je remballe avant de la rejoindre. Son appareil photographique, c’est du sérieux. Du lourd. Un gros Nikon noir. << Je te montre les photos mercredi prochain si tu veux bien. Je les retouche toujours sur un logiciel. Tu verras, ce sont de belles surprises ! >> me fait Juliette en me déposant une bise sur le bout du nez. J'adore ces petits témoignages de tendresse et de complicité. Elle range son appareil et replie le trépieds en m'expliquant les différentes options d'ouvertures d'objectifs. Je n'y comprends pas grand chose mais je fais semblant. Les femmes savent quand nous faisons semblant. Juliette n'est pas dupe. Nous reprenons notre marche sur le sentier quand elle conclue : << Je t'expliquerai tout ça en détail ! >>. Il fait presque chaud sur les chemins forestiers. C'est vraiment le climat idéal. Ce mois de mai s'avère aussi exceptionnel que le mois d'avril. Nous marchons d'un bon pas. Il y a des promeneurs.

 

     Nous arrivons à la seconde station. Nous procédons de la même façon. << Veux-tu bien te mettre en situation cher modèle ! >> dit elle en retirant son sac à dos pour en sortir le trépieds et l'appareil. Je demande : << Mais pourquoi tu fixes à chaque fois l'appareil ? >>. Juliette s'empresse de répondre : << Je ne veux rater aucun cliché. Le trépieds reste l'arme absolue pour les réussir ! Allez, file ! Va vite ! >>. Je passe derrière la paroi. Je passe mon sexe dans l’ouverture en excellent état. J’entends la voix de Juliette, de l’autre côté, qui me fait : << Prêt ? >>. Je réponds : << Tout baigne ! >>. Quelques secondes passent et j’entends les déclics. << C’est dans la boîte ! >> me fait la jeune femme. Je remballe et je la rejoins. Il y a un couple de marcheurs qui descend le chemin. Il s'en est fallu de peu. Nous en profitons pour grignoter une pomme et boire un gobelet de jus d'orange. Juliette revient sur ses explications photographiques.

 

     Nous reprenons notre chemin. Nous procédons de la même façon à chaque station jusqu’au neuvième trou. Juliette a réalisé deux photos à chaque arrêt. Je suis satisfait car je n'ai à déplorer aucune avanie. Mes créations murales sont toutes en parfait état. Il faut quelquefois retirer des ronces. Par contre je laisse les fougères car elle dissimulent les ouvertures. Ce qui les expose moins à des destructions volontaires éventuelles. Arrivés là, à la neuvième station, nous découvrons l’ignoble ! Une fois encore, ma création murale a été sabotée. Décidément, l’intégriste anti-trou, fondamentaliste de la planche lisse, a encore sévi. L’orifice est scellé d’une plaque de métal vissée contre le bois de la cloison. C'est un des quatre cabanons des jardins privatifs qui se succèdent. Juliette passe son bras autour de mon épaule pour me réconforter. Elle s'accroupit à mes côtés pour scruter le système de fixation. C'est du sérieux. Carrément des rivets.

 

     << Laisse, on s’en fout, on le répare à la prochaine randonnée ! >> me fait Juliette en me passant la main autour de la taille comme pour me consoler. Je la remercie pour son soutien moral. Je la rassure toutefois. Ces dévastations ne m'affectent pas vraiment. Cela fait partir du jeu. Il me suffira d'en percer un autre sur la planche verticale voisine. Juliette rit de mes expressions dépitées. Nous reprenons notre route. Nous arrivons à la station 10. Tout est en ordre. << Fais-toi bander, pour les prochaines photos, s’il te plaît ! >> me fait la jeune femme en fixant une nouvelle fois l’appareil photo sur le trépieds. Je passe derrière la cloison. Je me masturbe un peu. Je passe ma turgescence par le trou. << Superbe ! Tu devrais tourner dans des films pornos ! >> s'exclame la photographe de l’autre côté. J’entends le déclic quelques secondes plus tard. << Ne bouge pas ! >> lance t-elle encore. Je pose pour le second cliché. Le soleil sur mon érection.

 

     Nous continuons notre chemin en bavardant. Juliette aime bien me confier des anecdotes coquines. Lorsqu'elle était étudiante en BTS commercial. Des histoires parfois coquines et très excitantes. Sa toute première fois dans la voiture d'un mec sur le parking d'une discothèque. Nouvel arrêt. Station 11, station 12. Nous faisons des photographies à chaque nouvelle station. Juliette me demande de belles érections. Aussi, je me masturbe un peu avant d'introduire mon sexe fièrement dressé dans chaque orifice. << Tu vas voir, je vais retoucher ces photos pour en faire de véritables œuvres d'Art ! >> s'exclame t-elle quand nous repartons. Arrivés à la station No 18, le dernier trou, Juliette me fait : << Pour la dernière, si tu pouvais faire quelque chose d’étonnant. Tu comprends ce que je sous entends ? >>. Je réponds : << Je crois comprendre ! >>. Je passe derrière la cloison, je me masturbe un peu afin d'avoir quelque chose de "présentable".

 

     Avant de passer mon sexe que je laisse volontairement mou, je me concentre. Je tente l'auto persuasion. De toutes la force de mon esprit, je m'imagine avec les pieds dans l'eau froide. Je n'ai pas pissé depuis trois heures. Avec les pommes, le jus d'orange, je ressens l'envie poindre. Mais avec l'excitation de ces moments extraordinaires, je sais que c'est loin d'être gagné. << Tu fais quoi ? >> lance Juliette de l'autre côté. Je crie : << Je tente la chose étonnante ! >>. Je l'entends répondre : << Ah, je comprends ! >>. Il y a bien cinq minutes de concentration. Enfin. Je vais y arriver. Je dois rester mentalement avec les pieds dans l'eau glacée. Ça vient ! J'ai juste le temps d'introduire mon sexe dans l'orifice. Là, je lâche plusieurs jets. Dans un soulagement qui me fait pousser un profond soupir. << Wouah. Bravo monsieur ! >> crie Juliette de l'autre côté. << Continue, je filme ! >> rajoute t-elle. Je me soulage deux bonnes minutes par de multiples jets.

 

     << Absolument fameux ! Ne t’arrête surtout pas s’il te plaît ! >> s'exclame Juliette de l’autre côté. C'est terminé. Je reste encore avec le bassin collé contre la cloison. Mes lombaires commencent à me rappeler que je n'ai plus vingt ans. Par contractions des muscles fessiers, j'éjecte les dernières giclées. Quelques secondes plus tard, j’entends quantités de déclics. La jeune femme a réglé l’appareil sur "automatique". Elle "mitraille" donc au rythme d’un cliché toute les secondes. Mon érection met un point final à cette séquence "urinal". Je bande comme le dernier des salauds. Sublime sensation après les urines. C’est fabuleux. J'entends Juliette marmonner. Sans comprendre ce qu'elle dit. Je demande : << Je n'ai pas pissé sur l’appareil, au moins ? >>. Juliette éclate de rire en me rassurant : << Non, pas de soucis ! >>. Je reste encore dans cette position. Quelques contractions des muscles fessiers pour faire bouger mon sexe raide.

 

     Lorsque je suis certain d'avoir épuisé les possibilités, d'avoir bien vidé le réservoir, je commence à me retirer. J’entends soudain Juliette, de l’autre côté qui fait : << Non ! Encore un peu ! OK ! Super, c’est dans la boîte ! Continue ! Reste ! >>. Je demande : << Tu veux de la jute aussi ? >>. Un silence. Mon excitation est considérable. Très certainement partagée et semblable à celle de ma comparse. << Si tu peux, là, pas de soucis, je remets sur position "caméra" ! >> lance la jeune femme. Je me retire, je regarde partout autour de moi. Personne. Je me masturbe. Je maîtrise parfaitement mon sexe. Je contrôle la situation. Je le passe par le trou en précisant : << Attention, ça vient ! >>. J’éjacule en bloquant l’épanchement afin que le sperme coule plutôt qu’il ne gicle. C'est une éjaculation sous contrainte. Pas d'éjections. Le sperme s'écoule. Cela gâche peut-être un peu les sensations. L'orgasme contraint lui aussi. Mais la contrepartie est fabuleuse.

 

     De jouir ainsi me permet de rester excité. C'est extrêmement gratifiant. Je pourrais recommencer. << J’ai filmé ! C’est superbe. C’est dans la boîte ! >> me fait Juliette de l’autre côté. Je remballe et je la rejoins. En rangeant son matériel, Juliette m'explique ce qu'elle va faire avec le logiciel . << On va s'éclater avec ces photos. Je te les envoie en format Pdf. Tu les auras mardi soir au plus tard ! >>. Nous prenons le chemin du retour. << Tu veux bien venir manger demain soir, dimanche ? Mon mari passe la soirée chez sa mère. La femme de sa vie. J’aurai fait le montage de quelques photos et peut-être du film ! >> propose la jeune femme. J’accepte avec plaisir. Je m'écrie : << Mais j'emmène le dessert ! >>. Juliette prend mon bras pour dire : << Ne t'emmerde pas ! >>. Rendez-vous chez elle pour dix neuf heures. Nous arrivons aux voitures pour dix huit heures trente. Fourbus. Je suis chez moi pour dix neuf heures. Mort de faim. Des tartines.

 

     Il est vingt et une heures quand je suis installé devant l'ordinateur. Avec la formule de la webcam, nous passons le reste de la soirée, Anne-Marie et moi. Je lui raconte mon après-midi. << Elle te suce ? >> me demande ma complice en se levant pour me montrer ce qu'elle fait de ses doigts. Je raconte tout. << Cette salope te suce avant l'été, j'en mets ma chatte au feu ! >> lance Anne-Marie en se rasseyant. Nous bavardons. Elle me raconte son samedi après-midi avec ses parents. << Tu viens manger demain à midi ? Il y aura Sylviane. Je prépare un gratin de choux fleurs ! >>. Je promets d'être là pour midi tapante. Sur sa demande, je me lève pour agiter mon sexe devant la caméra. Je l'entends s'exclamer : << Super ! >>. Il est vingt deux heures quand nous nous saluons. J'ai besoin d'une bonne nuit de sommeil.

 

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08/03/2024

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