Randonnée avec Juliette
J'apprécie beaucoup les randonnées avec Juliette
Toute la première partie de ce samedi me parait s’allonger dans la durée. Jusqu'à la douche j'ai l'impression que les aiguilles de l'horloge tournent au ralenti. Il faut dire que je suis impatient de retrouver Juliette. Je reste sur le délicat ressenti de notre vendredi soir. Aussi, le temps me semble bien long ce matin. Mes courses à l'hypermarché. La préparation du repas. De quoi meubler le temporel qui me sépare du départ. Enfin, il est treize heures trente. Mes outils dans le petit sac à dos avec les barres de céréales et les pommes. Je prends la route en me masturbant doucement. Je pense à notre soirée. Je me fais un film sur les éventualités possibles de cet après-midi. La journée est magnifique. J’arrive au lieu du rendez-vous habituel pour treize heures cinquante cinq. Juliette est déjà là.
La jeune femme sort de sa voiture et la ferme à clef. Elle vient à ma rencontre, tenant son sac à dos à la main. Juliette est souriante. Elle s’approche de moi pour me faire les trois bises devenues "réglementaires". Je ferme ma voiture et je mets mon sac sur le dos. Le ciel est bleu. Le soleil illumine toute chose d’une lumière d'été. Juliette saisit mes poignets pour me demander : << Tu es bien rentré hier soir ? >>. Elle rajoute : << Je te remercie pour cette soirée. J'ai beaucoup aimé ! >>. Elle se met sur la pointe des pieds pour me déposer une bise sur le nez. À l'instant où je veux la prendre dans mes bras, mon amie esquive. Ces attitudes me ravissent. Mes connaissances de la psychologie féminine, même restreintes, laissent augurer de bien agréables aventures à venir. Il me faut faire preuve de patience.
Nous voilà en chemin pour la première station. Il y a du monde sur la terrasse du restaurant. Nous la contournons par le sentier qui monte. Tout en bavardant, j’avoue à Juliette l’impatience fébrile qui m’a animé depuis le levé, ce matin. La jeune femme me fait part de son identique ressenti. Après le pont de pierres en dos d'âne, nous longeons la rivière torrentueuse. Le chemin devient sentier. Juliette marche devant moi sur l’étroite sente. Elle s’arrête soudainement et se retourne pour me déposer une bise sur la bouche. Je suis à la fois surpris et charmé. Une fois encore, comme pour se préserver de ses propres élans, ma compagne de randonnées recule pour repartir d'un bon pas. Nous arrivons à la première création murale. Tout est en ordre. Nickel. J’enlève la toile d’araignée.
Tout en parlant de son entreprise, la jeune femme fixe une petite caméra sur le trépieds. << Je n’ai pas emmené l’appareil photo, il n’y aura que des petits films ! >> me fait-elle en m’invitant à passer derrière la cloison. Je reste immobile, à la regarder, amusé. Juliette rajoute : << Il y a encore dix sept stations cher monsieur. Si vous voulez bien vous mettre en situation ! >>. Je contourne la cloison du cabanon. Je suis derrière les planches. Je me débraguette pour passer mon sexe dans le trou. J’entends un tout petit signal sonore. Je ne sais absolument pas ce qui se passe. Quelques instants se passent avant que je ne sente l’indicible douceur de la bouche de Juliette. Cette fois ce ne seront pas de simples photos mais de petits films. De petits films d'une à deux minutes chacun.
Je le sens bien. Au plus profond de mes sens. Juliette me suce avec passion. Je peux sentir la puissance de la pompe. Cela dure une minute pour cesser. Peut-être moins mais dans ma condition de "victime", je n'ai plus la perception du temps. Un instant avant que je n’entende à nouveau le petit signal sonore. Une fois encore, c’est à la vision des images que je pourrai découvrir ce qui vient de se passer. Je remballe mon sexe avec peine car il est dur et raide. Je rejoins Juliette. Elle me fait le plus adorable des sourires avant de me demander : << Ce n'est pas trop pénible de réaliser le fantasme d'une "réalisatrice" ? >>. J'éclate de rire. Un peu bêtement. Que pourrais-je bien répondre à une telle assertion ? Ma complice range son matériel. Elle replace le sac sur son dos. C'est reparti pour la station 2.
Dix minutes de marche et nous arrivons au second chef d'œuvre. Ce trou de cinq centimètres de diamètre, parfaitement rond. Ce sont surtout les araignées qui semblent apprécier ces orifices. Je dois retirer une toile. Là aussi, tout est parfait. Juliette prépare la caméra qu’elle visse sur son support. Elle m’invite à passer derrière les planches. Derrière la cloison, je me débraguette à nouveau pour passer mon sexe par le trou. J’entends le signal sonore. Quelques instants qui semblent durer de longues minutes. Puis l’invraisemblable douceur de la bouche de la jeune femme me fait vaciller à nouveau. Je me tiens des deux mains en appui contre la cloison. Cambré, sur mes genoux fléchis. La position est rapidement inconfortable. Mes lombaires de quadragénaire me rappellent leurs existences.
Juliette me suce avec cette extrême passion que je ne peux que deviner. J'aimerais bien voir les expressions sur son visage. Rien n'est plus attractif que les expressions sur un visage féminin pendant la fellation. Hélas, cette fois encore, je devrai m'armer de patience. Jusqu'à la prochaine soirée de projection. Je crois discerner quelques gémissements de plaisir. Un mouvement de va et vient, lent et régulier, me procure un bien fou. C’est tellement doux que j’ai l’impression d’avoir enfoncé mon sexe dans un bol de purée tiède. Que l’on me pardonne cette métaphore alimentaire, culinaire, mais je n’ai pas d’autres comparaisons. Même si, évidemment, je n’ai jamais trempé mon sexe dans un bol de purée ! Mes sens me trahissent car tout cela n'a même pas duré une minute. Tout cesse subitement.
Un silence. Quelques secondes passent avant que je n’entende à nouveau le clic sonore. << Exactement 49 secondes ! >> lance Juliette de l'autre côté. Passant son index dans l'orifice pour le faire bouger. Je remballe péniblement ma turgescence avant de rejoindre la jeune femme. Ses yeux brillent d’un éclat à la fois vicieux et amusé. J'adore le regard, par en-dessous et rapidement fuyant qu'elle m'adresse. Nous nous mettons en route pour la station 3. Pas un seul instant, Juliette n’évoque le sexe. Elle parle de son travail. De ce projet de vendre son agence immobilière, de créer et d'installer son haras. Mais en marchant, me saisissant la main quelques secondes, Juliette témoigne du plaisir partagé. Elle me lâche. Nous savourons tous les deux ce trouble délicieux qui nous envahit. Une nouvelle fois.
Nous parcourons notre circuit des créations murales. Une photo à chacune des dix sept stations. Je laisse aux lecteurs d'imaginer l'état gluant de mon sexe qui colle au fond de mon slip. Sensation désagréable d'y avoir fait pipi. Une heure trente plus tard, nous arrivons au dernier trou. Juliette me fait : << On va "conclure" de façon très "classique". Tu veux bien me faire la "totale", s’il te plaît ? >>. La jeune femme, consciencieusement, change la batterie de la caméra. Elle prépare l'appareil sur le support et passe un chiffon doux sur l’objectif. << Après on se savoure nos fruits et les barres de céréales ! >> rajoute t-elle en s'accroupissant. Une fois encore je découvre que Juliette ne porte aucun sous-vêtement sous sa jupette façon "tennis". Elle se lâche dans une indécence folle.
Je regarde partout autour de nous. Tout comme l'a fait Juliette avant de s'accroupir. Je sors mon sexe. Mon érection est presque douloureuse. Je me masturbe en l'admirant. Ma comparse accomplit son besoin naturel sans paraître éprouver la moindre gêne. Elle se redresse, me souriant, pour se torcher consciencieusement. Prenant son temps. Trop heureuse d'être vue, d'être regardée. Les femmes, donnant entières libertés à leurs tendances exhibitionnistes naturelles, exercent sur ma psyché les plus délicieux tourments. J'en fais part à ma pisseuse qui me fait : << J'adore être regardée. Mais rares sont les hommes qui savent rester distants. Et rien que pour ça, je veux faire de toi mon amant, mon complice ! >>. Un moment de silence. Je cesse de me masturber. Juliette rajoute : << Si monsieur pouvait se mettre en situation ! >>
Je passe derrière la cloison. Je passe mon sexe par l’orifice. Il est dur, un vrai barreau de chaise. Les dix sept stations précédentes ont largement contribué à mon excitation extrême. De voir pisser Juliette m'a emmené aux limite ultimes tolérées par ma libido. Moi aussi j'éprouve l'impérieux besoin de soulager ma vessie. Aussi, je me retire de l'orifice. Je me concentre. Je m'imagine avec les pieds dans l'eau glaciale. C'est imparable. À condition de rester sur l'idée de pisser. J'introduis rapidement mon érection molle dans l'orifice. Pressé de me soulager. J’entends le clic sonore. Cette fois, il se passe une bonne minute. La "totale", m’a t-elle précisé. Je me concentre avec ferveur. Toujours à m’imaginer pieds nus dans l’eau froide. À imaginer la pluie. Cela me permet de lâcher deux jets bref, drus et concis.
J’entends glousser de l’autre côté. Juliette saisit mon sexe. Entre deux doigts. J'aimerais vraiment voir ce qui se passe de l'autre côté. La frustration me gagne. Je dois rester dans l'imaginaire. C'est bien seul, mais à deux c'est frustrant. Juliette me décalotte. Je lâche deux nouveaux jets. Soudain, la bouche chaude de la jeune femme gobe mon sexe. Elle suce. J'entends le râle qu'elle lâche. Est-ce un râle de dégout ? Ne voyant pas ce qui se déroule, toutes les options restent ouvertes. Je me lâche dans un dernier jet. Je suis trop excité pour continuer les jeux de pisse. Juliette pompe comme si sa vie en dépendait. Je suis cambré contre les planches, le bassin collé à la cloison. Mes lombaires me torturent. Je me retire légèrement, laissant juste l'extrémité de mon sexe. Juliette gardant le prépuce entre ses lèvres serrées. Je peux sentir la force avec laquelle elle tire la peau.
Je tente de résister. Je réunis ma volonté dans cet acte. J'entends le bruit bulleux d'une succion trempée. Les gargouillis des excès d'épanchements de ce "mélange" que savoure ma compagne de turpitude. J’éjacule dans plusieurs saccades qui doivent êtres abondantes. J'ai l'impression de me vider. Je pousse un véritable grognement. J'ai du mal à reprendre ma respiration. Juliette n’en perd pas la moindre goutte. Elle ne bouge absolument pas. Je peux sentir ses efforts pour tout déglutir. Les choses perdurent ainsi deux à trois minutes. Je peux à nouveau me contrôler. Je lâche plusieurs petites giclées en contractant mes muscles fessiers. J’entends des râles indéfinissables derrière la paroi. Je veux me retirer mais c'est avec la main que Juliette m'en empêche. Je suis trempé. Ça coule de mon côté. Ruisselant le long des planches vers les hautes herbes. Au loin, on entend les voix et les rires de quelques promeneurs. Il faut rester vigilants.
Juliette semble vouloir partir pour un second tour. Malgré le risque de nous faire surprendre par des marcheurs, Juliette ne lâche pas mon sexe. Elle doit redoubler d'effort car il est trempé. Ça glisse. Mon dos me fait un peu mal. Je fléchis mes jambes. Je me tiens à des aspérités du bois. La jeune femme a repris son pompage consciencieux, immobile et divin. Chacun sait qu’il n’y a que dans les mauvais films pornos que les filles agitent leurs têtes avec ce ridicule mouvement de va et vient pour sucer. Dans la réalité, l’immobilité est tellement plus agréable et délicieuse. Tellement plus naturelle. Tous mes sens aux aguets, je regarde autour de moi. Maudissant les cons qui pourraient venir gâcher ce moment prodigieusement intense. Je sens mes testicules devenir bouillantes.
Personne ne vient par là. Il n'y a plus que le froissement des feuilles au-dessus de nos têtes, agitées par la brise. Heureusement nous sommes à l'ombre car la chaleur est vive. En partant, la température extérieure était de 28°. Nous restons ainsi cinq bonnes minutes. Cette seconde pipe est un véritable enchantement paradisiaque. Rien ne bouge à part la langue de Juliette qui fouille l’espace entre le prépuce et le gland. Nom de Dieu, s’en est trop, j’éjacule une seconde fois ! Nom d'une pipe, plus exactement. Ah ! Les amis, si vous pouviez imaginer ce deuxième orgasme. Libérateur, jouissif, doublement grandiose car enfin je peux retrouver une position normale. Soulager mon pauvre dos. Juliette vient enfin de me lâcher. Elle se retire enfin dans un petit cri de satisfaction. Je lâche la dernière giclée en m'étant retiré mais en visant le trou. Ma complice revient pomper le "fond de cuve". La jeune femme, après m’avoir tout vidé, se retire enfin.
Elle se retire pour de bon. Il se passe un petit moment avant que je n’entende le dernier clic sonore. Je remballe mon sexe enfin mou. Je retrouve une respiration normale. Je suis assoiffé. Je rejoins la jeune femme. Elle vient m’embrasser, tenant la gourde à la main. << Tu étais super ! >> me fait-elle. Je réponds avant de boire une gorgée : << Et toi donc ! >>. Comme la fois dernière, Juliette retire son T-shirt trempé de pisse et s’essuie les cheveux avec une serviette. Ses yeux brillent d’une lueur vicieuse et son sourire est étrange, presque ironique. Nous reprenons le chemin du retour. Nous arrivons à la voiture pour dix huit heures. << Tu viens manger mercredi soir ? On se fait une soirée "cinoche". J’aurais fait le montage. Un petit film ! >>. J’accepte avec joie.
Rendez-vous est donc fixé mercredi soir pour dix neuf heures. Il est difficile de se quitter après de telles aventures. Nous bavardons encore un peu devant nos voitures. Il est également décidé que j’emmène le dessert. Je roule lentement, suivi par Juliette, jusqu’au carrefour. En me dépassant pour prendre à droite, elle sort son bras par la fenêtre, m'adresse un dernier coucou. J'ai cette curieuse sensation de congestion qui étreint mes organes génitaux. J'arrive chez moi fourbu. Fatigué mais inondé d’un bonheur intraduisible. Dans le courriel qu’elle m’envoie pour m’informer qu’elle est bien rentrée, Juliette me fait part de la même impression. Fatigue, plaisir et impatience de nous retrouver. En Webcam, je raconte nos exactions à Anne-Marie. Elle veut tout savoir. Jusqu'au moindre détail. Quand je me lève, pour faire "l'hélicoptère" en face de l'objectif de la caméra, Anne-Marie s'écrie : << Elle en a de la chance Juliette ! La coquine ! >>
Je suis au lit pour vingt deux heures. Je plonge comme une enclume dans les abysses de l'océan Pacifique...
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