Exigeante Virginie
Exigeante Virginie
Après mon entraînement et ma douche de ce jeudi matin, me voilà installé devant mon ordinateur. Parmi les messages il y a celui de Virginie. Elle confirme. Si la météo ne s'améliore pas, elle m'attend derrière la chapelle à la sortie du bourg. Et depuis cette nuit, la pluie tombe avec abondance. Je réponds. Je serai là pour quatorze heures. Comme à chaque fois, avant mon rendez-vous avec la jeune fille, je regarde des photos que nous avons pris ensemble. Les petits films. Virginie a d'ailleurs le souhait de réaliser un long métrage incluant la totalité de ses fantasmes. Elle évoque ce désir une nouvelle fois dans son courriel. En promettant de m'en faire l'inventaire par écrit dans un prochain mail. Je lis et je relis son message. Elle y joint une photo prise dans sa chambre. Assise sur son lit. Des peluches partout. Sur les étagères, sur le lit, sur le haut des meubles.
Je consacre le reste de la matinée assis devant mon chevalet. Je peins en pensant à cette adorable et étonnante jeune fille. J'aurais bien aimé une journée ensoleillée pour ce nouveau moment ensemble. Après mon repas, j'ai l'entretien téléphonique presque quotidien avec Anne-Marie. Volontairement je ne parle pas de mon projet de l'après-midi. En me promettant toutefois d'en relater tous les détails lors de notre entretien webcam de ce soir. Je n'ai que le temps de me vêtir d'un bermuda et d'une chemisette propres. Même s'il pleut, la température avoisine les 25°. Il est treize heures trente. Je roule prudemment dans une circulation fluide. Sur les vingt kilomètres qui me séparent du lieu de notre rendez-vous, je me masturbe lentement. J'aime le faire en conduisant ma confortable berline allemande.
Je quitte la Nationale pour prendre à droite. Là-bas, entre des groupes de chênes centenaires, le clocher de la chapelle. Il y a des gens dans l'arrêt du bus situé devant le muret du cimetière. Je contourne l'enclot paroissiale pour le longer sur une centaine de mètres. Virginie. Sous un grand parapluie. Un ciré rouge, une jupe, des soquettes blanches, des mocassins noirs. Même si la jeune fille a dix neuf ans, une fois encore elle n'en fait que quinze. Ce qui déclenche toujours chez moi cet étrange sentiment de culpabilité. Un large sourire quand je viens me garer à ses côtés. Repliant son parapluie elle s'installe sur le siège passager. Elle mitraille ma joue de bises. << Comme je suis contente de te revoir ! >> lance t-elle en posant sa main à l'intérieur de ma cuisse. << Je suis en venue en bus. Comme pour aller en fac ! >> rajoute t-elle.
Je démarre immédiatement. Nous ne sommes qu'à environ un kilomètre du bourg. Ce n'est pas utile de risquer d'êtres vus par quelqu'un du village. Je prends la direction des collines. Virginie me raconte d'amusantes anecdotes de son université. Ses cours vont s'achever d'ici moins d'un mois. << Juste encore juin à passer et ce sont les vacances. Nous partons aux États-Unis avec mes parents. Je te ferai des mails pour te raconter. Avec des photos ! >> m'explique t-elle en caressant l'intérieur de ma cuisse. C'est une caresse très agréable. De ma main droite, je fais de même sur sa cuisse gauche. Je demande : << Tu as quelque chose au programme cet après-midi ? >>. En posant sa main sur ma braguette, Virginie répond : << Je suis libre jusqu'à dix huit heures. Rien qu'avec toi ! >>
Je monte l'intérieur de sa cuisse pour glisser sous sa jupe mauve en disant : << Toi, tu es mon programme de l'après-midi ! Objection mademoiselle ? >>. Virginie se met à rire avant de répondre : << Tu es un esthète car je suis le meilleur programme. Et idéal sous la pluie ! >>. Elle me mitraille à nouveau la joue d'une multitude de bises. << Et toi, tu as fait de nouveaux trous depuis la dernière fois ? >> me demande t-elle. Nous en rions aux éclats. La jeune fille saisit ma main pour la placer entre ses cuisses, à l'endroit de son sexe. Elle lance : << Tu sais que là il y a un trou que tu n'as pas encore honoré ? >>. Je palpe délicatement en faisant bouger mes doigts. Virginie a cet adorable réflexe féminin de resserrer ses cuisses. Sur ma main, en tenant mon poignet. La coquine bouge doucement.
Les essuies glaces ne cessent de fonctionner. Une régularité métronomique. Par moments, la pluie tombe en hallebardes. Nous passons devant le parking du restaurant. Pas une seule voiture n'est garée là aujourd'hui. L'étroite route communale monte en épingles à cheveux. Je ralentis. Le paysage présente cette ambiance très particulière d'une fin de mois de mai pluvieux. Virginie palpe la bosse qui déforme ma braguette tout en parlant de ses cours, du groupe d'amis étudiants dont elle fait partie. Anticipant ma question, elle précise : << Mais je ne parle à personne de ton existence ! >>. Je dis : << C'est la formule idéale pour vivre pleinement une belle histoire ! >>. Virginie descend la tirette de mon bermuda. Elle ne fouille pas longtemps dans mon slip avant d'en extraire une érection qui l'impressionne. D'une poigne ferme.
<< Wouah le truc ! >> lance t-elle, admirative. Je demande : << À qui appartenait la plus grosse que tu ais vu ? >>. Virginie semble réfléchir avant de répondre : << Je crois bien que c'est la tienne ! Mais honnêtement, c'est ma vraie "première" ! >>. La jeune fille, en riant, me raconte une rencontre avec un exhibitionniste dans la forêt, à l'automne de l'année dernière. Lorsqu'elle était sur son cheval. << Je n'ai pas eu peur mais je me suis demandé pourquoi ce type montrait son sexe avec tant d'insistance et de satisfaction. Nous avons bavardé un peu et je suis repartie ! >> m'explique t-elle. Je rajoute : << Et tu en rencontres un autre qui fait des trous dans les parois des cabanons ! >>. Virginie éclate de rire avant de s'exclamer : << Oui mais celui-là m'est beaucoup plus sympathique. Et il me semble êtreabonnée aux étrangetés ! >>
Je ralentis jusqu'à rouler presque au pas. Nous ne croisons aucun véhicule. Avec cette météo rares sont les promeneurs. Sans avoir une raison impérative pour circuler sur cette route, il est inutile de s'y aventurer. Virginie cesse de parler. Dans le rétroviseur que j'oriente à cet effet, j'observe ses expressions. La jeune fille scrute ma virilité avec une grande attention. C'est magnifique de susciter autant d'intérêt. Typique des jeunes filles encore curieuses de découvertes. Virginie joue avec mon sexe. Le tord quelquefois dans tous les sens. Elle observe alors mes réactions. Elle vient de découvrir que moi aussi je l'observe dans le rétroviseur. << Vicieux ! >> murmure t-elle en se penchant sur sa gauche. Le souffle chaud de sa respiration à quelques centimètres de ma turgescence.
Quelques minutes où la jeune fille scrute de près, hume. Elle se redresse, se penche à nouveau. Certainement en prise avec des hésitations bien légitimes. Dans l'habitacle de cette voiture, Virginie se montre sensiblement plus timide qu'en pleine nature. << Je peux ? >> demande t-elle dans un murmure. Mais c'est une question personnelle. Qu'elle semble se poser à elle-même. Elle y répond à sa manière. Sa bouche se referme sur l'extrémité de mon gland. Il est recouvert de la peau tendue de mon prépuce. La douceur de sa langue qui fouille l'ouverture. Essayant de s'immiscer dans le méat. Il y a les phares d'une voiture qui arrive derrière nous. Je me déporte complètement sur la droite, les hautes fougères frottant contre la carrosserie. Un coup de klaxon, un coup d'accélérateur rageur, l'auto nous dépasse pour disparaître. Conduite irresponsable, insensée.
L'indicible caresse me donne le vertige. Je peux voir Virginie dans le rétroviseur intérieur. Je peux surveiller la route dans le rétroviseur extérieur. Les yeux fermés, concentrée, Virginie de livre à cette fellation. En se redressant elle m'avoue avoir attendu cette nouvelle fois avec impatience. Elle retourne à son plaisir. Elle se redresse à nouveau pour me donner ses impressions, me demander si elle fait "ça" bien. Je la rassure. Je tente de trouver les mots exactes pour décrire la magie de l'instant. << C'est la première fois qu'une fille te fait ça quand tu roules ? >> me demande t-elle innocemment. Je lui confie mes multiples expériences dans ce domaine. Après chacun de nos échanges, ma douce et tendre complice retourne à sa dégustation. Je suis tout de même un peu gêné. Les gargouillis que j'entends me rassurent sur son plaisir.
Nous roulons ainsi depuis une demi heure. Nous franchissons le col. À présent la route descend. En pente douce mais avec de très nombreux virages serrés. Quand elle se redresse, Virginie regarde le paysage. Me donne ses impressions. << J'aime tu sais. C'est toi qui m'a fait découvrir. Avant de te rencontrer, je crois bien que je ne pensais jamais à "ça" ! >> m'explique t-elle. Je la félicite pour la qualité de sa prestation. Elle y retourne. J'entends le bruit bulleux des sucions répétées. Je caresse sa tête. Je pose ma main sur sa nuque, sous ses cheveux. Les gémissements de Virginie me rassurent quand à ce qu'elle est entrain de vivre. J'appuie légèrement sur sa nuque. En toussant, elle a ce réflexe naturel qui la fait se redresser. Elle fixe le rétroviseur, me regarde avec interrogation.
Elle ouvre sa bouche pour en contempler l'intérieur. Se rapproche pour regarder ses lèvres. Elle est belle dans l'étude de son visage. Quand elle détourne le regard pour me faire un adorable sourire, elle serre mon sexe par à coups répétés. Elle se redresse, bien droite, la tête tournée pour me dire : << Je veux une première fois avec toi ! >>. Je reste silencieux. Un moment de silence. Virginie dit encore : << Rassure-toi, j'ai mes "petits machins". Pas cet après-midi ! >>. Nous en rions. Je prends à droite, la route est encore plus étroite. Elle mène à un restaurant d'altitude. On y sert des sandwichs à toute heure. Virginie est retournée à sa fellation passionnée. Je gare la voiture sur le parking. Il y a des autos dont celle qui nous a dépassé au mépris du danger. Virginie reste affairée.
Je tente de la faire cesser mais elle s'obstine avec fermeté. J'éjacule en sournois, sans prévenir. C'est la première fois. Je saisis sa nuque afin qu'elle ne puisse se dégager. Elle tousse. Du sperme jaillit de sa bouche. J'en ai partout. Virginie tente d'avaler ce qu'elle peut. Je relâche mon étreinte. Elle se redresse, le bas du visage et les cheveux au-dessus de son oreille gauche maculés de sperme. Elle s'essuie avec un mouchoir en papier. En se regardant dans le rétroviseur. << Je préfère ce qui vient avant. Beurk ! C'est dégueulasse le sperme ! >> s'écrie t-elle soudain. Elle reprend mon sexe en main avant qu'il ne ramollisse. << Je la reprends dans la bouche après ! Mais tu t'abstiens de me balancer ta purée. C'est trop dégueu ! >> lance t-elle. Elle sort de la voiture en ouvrant son grand parapluie.
Elle contourne la voiture pour me permettre d'en sortir au sec. Je remballe. Je montre les tâches de sperme qui maculent le tissu de mon bermuda. Le bas de ma chemisette. << Il faut que j'apprenne à avaler proprement ! >> lance Virginie en prenant mon bras. Je connais bien ce restaurant. Dans le style "ferme auberge" alpestre. L'intérieur évoque une sorte de saloon western. Il y a des clients. Des couples. Un groupe de "montagnards". Nous restons distants. Je préfère passer pour le papa de cette jeune fille que pour quelqu'un d'autre. Elle fait tellement adolescente. Gamine presque. Il y a des coupes glacées. J'admire le grand contrôle de son comportement dont fait preuve ma comparse. Jouant à la perfection le rôle de la fille en compagnie de son papa. Aucun contact. Rien de suspect. Je suis sous le charme des ses expressions parfois effrontées, parfois romantiques, parfois suggestives. Je murmure : << Tu es adorable ! >>
Deux infusions à la camomille viennent parfaire cette collation. Nous bavardons à voix basses. Virginie me révèle la liste des fantasmes qu'elle aimerait réaliser avec moi. Une liste des situations qu'elle veut absolument filmer. Cette tendance qu'ont certaines jeunes filles à filmer leurs ébats pour les revoir dans la solitude de leur chambre. C'est un peu une "mode". Je comprends très bien. L'éducation à la sexualité n'est pas seulement théorique avec ce qu'elles découvrent sur les sites pornographiques. J'écoute. À la fois épaté, circonspect et étonné. Je prends conscience d'être l'heureux élu. Je ne pose aucune question. Je laisse Virginie exprimer ses fantasmes. Elle les détaille avec une minutie qui me laisse pantois. << Mais je veux que la première fois soit filmée ! >> précise la jeune fille à plusieurs reprises. Je reste mutique. Évasif. J'aurai bien assez de temps pour réviser tout cela chez moi. Dans la solitude.
C'est au moment de l'addition que Virginie me demande : << Tu n'aimes pas baiser ? >>. Je la rassure : << J'aime beaucoup. Mais il faut que tu gardes présent à l'esprit que je ne suis absolument pas animé du fantasme de la "première fois" ! >>. Virginie m'observe avec un étrange regard. Je demande : << Tu vas en trouver un autre alors ? >>. Ma complice s'écrie : << T'es fou ! C'est avec toi ou rien ! >>. Sous le parapluie nous retournons à la voiture. À peine sommes-nous installés que Virginie ouvre ma braguette. Impatiente et presque fébrile. << Tu n'éjacules pas dans ma bouche, hein, promis ? >>. Je promets. Nous reprenons la route en sens inverse. La pluie cesse enfin. Il y a même quelques coins de ciel bleu. Virginie est retournée à ses dégustations. Gémissante. Sa respiration quelquefois haletante. Des apnées. De petits gloussements de surprises.
Quand elle se redresse c'est pour poser des questions qui nous font rire. << Et toi, tu ne m'as pas encore parlé de tes fantasmes ! >> s'exclame t-elle. Je réponds : << Mais, chère mademoiselle, je suis entrain de vivre mon préféré ! >>. En gloussant, en riant, Virginie retourne à sa fellation. Parfois, à l'abondance de mes montées de liquide séminal, elle se retire comme craintive. Je la rassure : << Ne t'inquiète pas. Je ne te t'éjaculerai plus jamais dans la bouche ! >>. Poussant un cri de ravissement elle se remet à sucer. Je rajoute : << À moins que tu ne me le demandes, bien évidemment ! >>. Quand elle rit elle avale probablement de travers car elle se met à tousser. Des hauts le cœur. Va t-elle vomir ? Virginie est toute rouge. Elle descend la vitre pour prendre l'air frais. Je me fais sucer jusqu'à la chapelle.
Dans mes bras, heureuse de cet après-midi passé ensemble, Virginie me confie ses impressions. << Je vais tout faire pour me libérer dimanche. S'il fait beau je viens à bicyclette. On se voit sur le parking du restaurant. On se fait le film ! >> propose t-elle. Je trouve la suggestion passionnante. << Mais tu me fais l'amour. J'insiste ! >> rajoute ma comparse. Devant mon hésitation, elle saisit mon sexe tout mou pour le tirer de toutes ses forces. Je crie : << Aïe ! >>. Elle enfonce sa langue dans ma bouche. Avant de sortir de la voiture pour reprendre son bus de 18 h15, Virginie précise : << Quand je veux quelque chose rien ni personne ne me résiste. Je te préviens ! >>. Me voilà prévenu. Effectivement. J'ai eu tout le loisir de m'en rendre compte. Les jeunes filles de dix neuf ans sont peut-être réservées mais elle savent ce qu'elles veulent.
Un dernier bisou. << Dimanche ! Je te téléphone avant ! >> lance t-elle. Virginie se fait violence pour sortir de la voiture. Le ciel est bleu. Le soleil a fait son retour. Je la regarde partir vers l'arrêt du bus en courant. Je démarre. J'arrive chez moi pour dix huit heures quarante. Une douche. Je reste sous l'enchantement de cet après-midi extraordinaire. Je ne cesse de penser aux mots de ma complice : << C'est ma première fois. J'aime. Je veux refaire ! >>. Après le repas du soir, en webcam avec Anne-Marie, je raconte mon aventure. << Toi, tu t'es mis dans une sale histoire. C'est une gamine. Elle va t'en faire voir de toutes les couleurs ! Je te conseille de faire très attention ! >> me fait Anne-Marie à plusieurs reprises. Je promets d'être d'une prudence de Sioux. Nous nous masturbons en conversant. Il est vingt deux heures. Je plonge dans le sommeil avec les pensées suaves laissées par mon après-midi...
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