L'ECRIT DE JOIE

L'ECRIT DE JOIE

Gloryhole - Épisode 5

                                      Tournée de contrôle avec une arrière pensée

 

Le mercredi est toujours une journée particulière dans ma semaine. Quand on a vécu plusieurs années en couple avec une enseignante dans le primaire, on prend un peu le rythme de cette journée de congé. Hélas, pour beaucoup de professeurs des écoles c'est également une journée de préparations de cours. Mais ce "rituel" reste comme un repère pour le futur. Mercredi dernier donc, dans l’après-midi, désireux de profiter de cette météo plutôt favorable de printemps, je prépare mon petit sac à dos. J'y pensais depuis mon jogging de la matinée. J’ai en projet de partir pour une belle randonnée. Je mets toujours à profit cet élan pour parcourir un de mes circuits "trous". Ce sont des parcours tellement attrayants dans des environnements bucoliques. Ainsi, tout en alliant les bénéfices de l’exercice à ceux du bricolage, je peux vérifier si tout est parfaitement fonctionnel. Si tout est en ordre. Bien évidemment il y a en arrière pensée la rencontre de la semaine dernière. Cette jeune cavalière avec qui j'ai bavardé un peu. Une personne agréable et probablement très intelligente. Pas farouche et plutôt affable.

 

Comme à chaque fois, dans mon petit sac à dos, je dispose quelques barres de céréales. Une grande bouteille d’eau gazeuse. Une pomme, des abricots secs, des amandes et des noisettes. Dès le matin, j’ai chargé la batterie de ma petite perceuse. Ainsi, je n’ai plus qu’à la rajouter avec quelques mèches, du papier à poncer et le tube de résine Époxy. C’est un produit de synthèse souvent nécessaire pour rajouter quelques changements, réparer ou plus souvent parfaire certains détails. Je suis animé d'un enthousiasme débordant. Je chantonne. La sonnerie à l'ancienne de mon I-phone. Elle imite à la perfection la sonnerie des anciens téléphones gris de France Télécom. Je le saisis sur le guéridon du hall d'entrée. C'est Anne-Marie. Elle apparaît sur l'écran en même temps que résonne son : << Bonjour mon chéri ! >>. C'est n'est qu'une familiarité complice entre nous. Car nous n'avons qu'une relation de profonde amitié. Et de longue date.

 

Une fois encore Anne-Marie déplore de ne pouvoir m'accompagner. Nous bavardons un peu. Je promets de faire un petit film, des photos, de tout lui envoyer à la fin de ma randonnée. << J'aime quand tu essaies tes trous. C'est un spectacle dont je ne me lasse pas ! >> précise t-elle. Elle m'avoue qu'un peu par ma faute, les trous dans les murs sont devenus un de ses fantasmes le plus récurrent. << Je jour où je tente ce "truc", ce sera avec toi ! >> rajoute t-elle. Nous en rions de bon cœur. Anne-Marie, la quarantaine rayonnante, est une belle femme. Elle sait que moi aussi je fantasme sur sa plastique. Nous nous saluons. << Je te rappelle dans l'après-midi, tu me racontes ! >> conclue t-elle en mimant un dernier bisou avant d'éteindre. Je respire un grand coup. Nos conversations ne me laissent jamais indifférent. Je sens même mon érection déformer la braguette de mon short kaki. Mon sexe essayant de se dérouler au fond du slip. Ça gêne. Je fourre ma main dans mes vêtements pour ajuster ma turgescence. C'est bien plus agréable de gérer une érection quand elle est bien droite et sans contrainte.

 

Je pars pour quatorze heures. Il fait beau, incroyablement doux. La circulation est fluide sur l'étroite route départementale. Je gare la Mercedes au départ du sentier sinueux qui me conduit à travers bois et collines. Comme la semaine dernière, il y a de nombreux clients sur la terrasse du restaurant. Des groupes de randonneurs se préparent. Je change mes baskets Stan Smith contre des chaussures de marche. Je suis impatient, presque fébrile. J'aurais été plus inspiré de partir ce matin pour consacrer davantage de temps à mon activité pédestre. Les sangles de mon petit sac à dos fixées sur mes épaules athlétiques, j’entreprends ma marche sous un ciel bleu d’azur. Un soleil lumineux y règne en maître absolu. Mon circuit comporte dix huit trous. C'est le même que mercredi dernier. Sur les hauteurs du petit lac dont le ciel se reflète dans ses eaux sombres. Dix huit stations équipées de ces orifices parfaitement ronds percés dans de belles cloisons de bois. Réalisés avec un soin maniaque et un souci du travail exemplaire. Dans le trouble obsessionnel compulsif du bel ouvrage. C’est comme une fierté artistique…

 

Je croise nombre de promeneurs. Le plus souvent des groupes de quatre ou cinq personnes. Des amoureux de la nature. Nous nous saluons d'un < Bonjour ! >> souvent jovial et enjoué. Le sentier monte en épingles à cheveux sur les parties les plus raides. Là-bas, de l'autre côté de la vallée, les ruines du château sur leur colline. À contre jour elles ne sont pas sans évoquer la couverture de l'album "Tintin et l'Île noire". Sans la mer toutefois. J’ai déjà visité huit trous lorsque j’arrive au neuvième. Cette ouverture circulaire de cinq centimètres est dissimulée dans un cabanon ouvert, servant d’abri aux randonneurs. La planche verticale dans laquelle le trou existe depuis six mois a tout simplement été remplacée ! Quelle n’est pas ma stupéfaction mêlée d’une consternation fâcheuse. Quelqu’un a encore détruit une de mes créations murales ! Bien évidemment pas de trou parfaitement rond dans la nouvelle planche. C’est d’un tristounet ! C'est un peu comme une toile abstraite. Je passe ma main sur la surface rugueuse de la planche. Elle offre à la vue le mauvais goût dérangeant de son apparence neuve.

 

Je m’assois à une des deux tables sur un des quatre bancs. Longuement, je contemple le gâchis. Je mords dans ma pomme. Je prépare mentalement le processus de "réparation". Pas question de laisser cet endroit sans une de mes créations murales. Quelques pensées nostalgiques en regardant les photos conservées sur mon I-phone. C’était un trou magnifique. Certainement un de mes plus beaux. Mais en écrivant ces mots j'avoue ne pas être réellement objectif. Toutes mes créations sont uniques. Pour me consoler, avant d’entreprendre les travaux nécessaires, je grignote quelques amandes grillées. Je fais appel à toute ma réflexion. J’organise mentalement l’opération. Il faut percer et poncer. Une petite demi-heure d’un labeur créatif et plaisant. Sur la table j’étale mon matériel. Faisant d’abord l’inventaire de ce qu’il me faut. Le cabanon est légèrement en hauteur sur une sorte de terrasse naturelle. On voit bien le sentier en contrebas.

 

Mesurant soigneusement les 80 centimètres réglementaires, depuis le sol, je marque l’emplacement du trou. À l'aide d'un crayon de menuisier. Un point gros et gras. La planche mesure 28 centimètres de large. C’est donc exactement à 14 centimètres, au milieu, que je trace le point central. Un "x" bien visible. J’installe une mèche de 6 millimètres à l’extrémité de la petite Black & Decker. Je fais tourner au ralenti. Il faut bien marquer dans le bois neuf de la nouvelle planche. Tout est fonctionnel. Je perce soigneusement. Lentement. Il faut se concentrer. Bien contrôler la vitesse de rotation. J’officie en parfait virtuose. Un vrai créateur. Posément. Je coupe plusieurs fois ma machine pour dresser l'oreille. J'entends quelques fois les voix des promeneurs qui passent sur le sentier. Personne ne monte par là. Je peux dont créer dans les toutes meilleures conditions. Je peux également me concentrer. Peaufiner le perçage. Prendre le recul nécessaire pour constater la perfection de mon travail.

 

Au bout d’une petite minute, la mèche passe au travers des trois centimètres d’épaisseur de la planche. Avec un claquement sec le mandrin vient frapper sur le bois. Un bois d’épicéa encore humide de sa résine. Un bois trop frais qui n’offre qu’une résistance médiocre. En séchant cette planche se déformera forcément. Je fixe une mèche ronde, d’un diamètre de 6 centimètres à l’extrémité de la perceuse. Doucement, avec un soin maniaque, je fais tourner la machine. Les copeaux et la sciure volent dans tous les sens. Je fais très attention. Je porte un masque sur le nez ainsi qu’une paire de lunettes protectrices. De respirer des poussières de bois tendre n’est jamais agréable. On en a plein le nez. On éternue et on se mouche. Le trépan pénètre lentement la matière. Je cesse. Je recommence. La meilleure formule est de laisser la force d'inertie de la mèche "cloche" percer le support. Ne surtout pas appuyer. De l'attention de ce principe dépend la qualité du trou. Pas question de bâcler. Il me faut du beau.

 

Au bout d’une dizaine de minutes d’un travail minutieux, méticuleux, la "cloche" passe soudain au travers de la planche. Dans un bruit sec et sourd. Je porte mes gants de protection. J’entends tomber le disque de bois coupé de l’autre côté. Je le récupère toujours pour le marquer de la date. Ce sont autant de souvenirs, rangés soigneusement dans un tiroir de l'établi au fond du garage. Quel bonheur de voir ce trou parfaitement rond. Quelle joie d’apercevoir, par cet orifice, à une trentaine de mètres, la table d’orientation et, dans le lointain, les ruines du vieux château. Pour immortaliser ce chef-d’œuvre, je fais quelques photographies. Assis, j’admire ma réalisation en savourant ma pomme. Quelques noisettes, une barre de céréales. Une rasade d’eau gazeuse. J'ai envie d'appeler Anne-Marie pour lui faire part de ma grande satisfaction. De ma joie. Mais elle a précisé que ce serait elle qui en prendrait l'initiative. Vivement !

 

Il est grand temps de poncer les bords. D’autres promeneurs pourraient arriver. Il serait ennuyeux de laisser une œuvre inachevée. Mon orgueil en souffrirait. Il faut procéder à un chanfrein qui rend le bois lisse, supprimant ainsi les angles qui pourraient blesser. Pour achever ma création murale, du bout des doigts, j’applique de la résine synthétique à durcissement rapide. De cette manière, les rares rugosités, une fois lissées, présenteront le poli de l’ivoire. Une véritable œuvre d’Art. Il n’y a personne qui vient par là. C'est un miracle car il y a du passage sur le sentier à une trentaine de mètres. Dans un souci purement analytique, j’expérimente la fonctionnalité du trou. Je pose mon téléphone à la verticale sur un des bancs. Il tient grâce au rabat de cuir de sa protection. Je règle la minuterie sur dix secondes. L'objectif bien orienté. Dix secondes. Largement le temps nécessaire pour contourner la cloison et me mettre en situation.

 

J'anticipe comme le ferait un sportif avant sa performance. Attention. J'ouvre ma braguette. Je sors mon sexe. J'effleure le point blanc. Je veux cavaler vers les planches quand soudain je tombe sur ma jeune cavalière. C'est avec mon sexe pendant pitoyablement que je me fais surprendre. << Décidément ! >> lance t-elle. Ce qui conforte mes doutes de la semaine dernière. Elle m'avait déjà vu. À présent elle aussi est confortée dans son impression. << Bonjour ! >> rajoute t-elle sans me laisser répondre. Bien évidement, cachant mon sexe des deux mains, je me retourne pour le remballer. Je dois être tout rouge, comme un adolescent surpris en pleine masturbation. C'est en tous cas le ressenti de l'instant. << Vous allez bien depuis la semaine dernière ? >> demande la jeune cavalière. Un peu gêné, toussotant, me sentant très con, je réponds : << Oui, et vous ? >>. Elle se met à rire. Elle est belle, toute droite et fière sur sa monture. La coquine décide très certainement de me donner le coup de pied de l'âne car elle dit encore : << Ça fait un bon quart d'heure que je vous observe ! >>

 

Je pourrais me cacher tellement je suis gêné. Vraiment. La honte. Sans perdre de ce calme qui me met mal à l'aise la jeune fille demande : << C'est vous tous ces trous un peu partout ? >>. Un silence. J'ai envie de mentir. Je finis par répondre : << Oui, c'est moi. Une occupation qui peut paraître stupide, mais j'en fais des photos pour ma collection ! >>. La cavalière me scrute en silence. Me jauge. Je me sens comme tout nu. << Et la destination de ces trous ? C'est pour ce que je vous ai vu faire la semaine dernière ? >>. Alors là, je reste médusé, tétanisé. Un vertige me gagne. Je m'installe sur le banc en éteignant mon téléphone. Il ne manquerait plus que l'appel d'Anne-Marie pour m'achever. Je ne sais quoi dire. La jeune fille me regarde avec un sourire amusé. Toujours cette impression d'être un adolescent surpris en pleine masturbation. C'est très exactement le même ressenti. Je me surprends même à jouer avec mes doigts. Le silence est lourd.

 

<< Vous ne faites pas comme mercredi dernier ? >> demande soudain la jeune fille. Je fais un effort surhumain pour soutenir son regard insistant. Elle rajoute : << J'ai bien aimé ! >>. Ces mots sont comme autant d'aveux. Je suis "fais" comme un rat. Repéré. << S'il vous plaît ! >> lance t-elle après un nouveau long silence. Je ne sais que faire. Je sens monter en moi une délicieuse excitation. J'entre doucement dans le jeu que m'impose cette jeune inconnue. << Moi c'est Virginie ! >> fait elle encore pour achever de briser la glace. Je me présente. Je me lève. Son sourire est à présent énigmatique. << Montrez-moi à quoi va servir ce trou ! >> dit elle. Je réponds : << Passez derrière la cloison, vous verrez ! >>. La jeune fille donne un léger cou de talons à sa monture qui avance. Elle fait tourner son cheval pour disparaître derrière les planches. Je sors mon sexe. J'hésite. Mon cœur n'a jamais battu aussi vite, aussi fort. Il tape jusque dans mes tempes.

 

Je passe mon sexe dans l'orifice. Je reste collé contre la cloison, mes mains en appui sur les planches, à hauteur de mes épaules. Je donnerais très cher pour voir les expressions de la jeune fille de l'autre côté. Je l'entends murmurer mais sans comprendre ce qu'elle dit. Je m'attends à quelques éclats de rire moqueurs. Rien. Un silence. Parfois le bruit des sabots du cheval. Elle doit se déplacer sans descendre de sa monture. Sans doute pour voir sous tous les angles. J'essaie d'avoir une respiration normale mais c'est comme si je courrai un 100 mètres. Je suis terriblement excité, terriblement gêné. Frustré de ne pouvoir lire sur les traits du visage de ma jeune voyeuse. Car c'est de voyeurisme et d'exhibition dont il est à présent question. Malgré mes lombaires douloureuses, je reste immobile. Une bonne dizaine de minutes. Il ne se passe rien. Je ne sais même pas si la jeune fille est encore là. Une érection me gagne enfin. L'excitation est la plus forte.

 

Par contractions des muscles fessiers, je fais bouger ma turgescence. J'entends à nouveau ces murmures que je ne comprends pas. Elle est toujours là. Je bouge doucement dans un léger mouvement de va et vient. Ça rentre et ça sort avec une aisance parfaite. Ce qui me conforte dans la certitude d'avoir fait du très bon travail. Le sentiment de joie qui m’envahit me rend serein. Je retrouve enfin une respiration normale. C’est enchanté, en soufflant, soulagé, que je me retire. J'entends les sabots du cheval. La cavalière contourne la cloison pour me rejoindre. Elle reste souriante, silencieuse, à me scruter. À une dizaine de mètres. Son regard se pose parfois sur ma braguette que je reboutonne. Je lui propose une barre de céréale et un peu d'eau gazeuse. Elle décline mon offre pour dire : << Grâce à vous, j'ai un nouveau fantasme. Merci Julien ! >>. Elle prononce mon prénom avec une curieuse familiarité. Comme si elle le prononçait pour la centième fois. Je réponds : << Merci pour votre participation Virginie ! >>. La jeune fille me fait un merveilleux sourire. << Je vais continuer ma promenade. Peut-être à un de ces jours ! >> conclue t-elle.

 

Cette fois j'ai la présence d'esprit de sortir une de mes cartes de visite de mon sac à dos. Je la tends à la jeune fille. Je la sens hésitante. Elle ne désire pas s'approcher. Je comprends parfaitement cette prudence légitime. Je pose la carte sur la table. Je mets mon sac sur le dos pour m'éloigner le premier en lançant : << Au revoir Virginie. Au plaisir de vous revoir ! >>. Elle me regarde descendre vers le sentier. Arrivé en bas, je me retourne pour regarder en l'air. Virginie est là-haut, agitant la carte qu'elle vient de récupérer. Sans un mot, au petit trot, elle dévale la pente pour s'éloigner. Je la regarde disparaître au bout du chemin. Cette fois elle ne se retourne pas. Je continue ma promenade. Les neuf autres trous présentent un état parfait. A peine un petit coup de papier à poncer par ci, par là, pour l’entretien. Je reviens donc peaufiner la résine synthétique à présent bien sèche de mon neuvième trou. Il y a la trace des sabots du cheval partout. Ce qui me rend nostalgique des instants vécus là. J'allume mon téléphone pour découvrir les deux tentatives d'appels d'Anne-Marie. Je la rappelle pour lui expliquer. Lui raconter. << Je m'inquiète toujours quand je n'arrive pas à te joindre ! >> me confie t-elle. Je la tranquillise. Je m'excuse d'avoir éteint.

 

Je fais part de mon appréhension. Et si cette jeune fille allait me dénoncer ? Anne-Marie me rassure. D'après mes descriptions de la situation, elle explique : << Laisse passer du temps. Ne tente plus de la rencontrer. Attends. Je suis certaine qu'elle va te contacter. Patience ! >>. Je crois qu'elle est dans le vrai. Les attitudes de cette jeune fille étaient bien trop sincères. Honnêtes. Je n'ai descellé aucune hypocrisie. Je filme une nouvelle fois. Mon sexe passé dans l'orifice. Mais de l'autre coté. J'entends les rires d'Anne-Marie car je pisse. Plusieurs jets puissants. << Tu passes manger demain soir, il y aura Nathalie ? >> me demande t-elle avant de raccrocher. Je réponds : << Avec plaisir. J'emmène le dessert ! >>. Nous nous saluons. Je repars en chantant, heureux du travail accompli. Je suis de retour pour dix neuf heures trente. Fourbu mais content, satisfait et fier de mon labeur. Je me masturbe en pensant à Virginie. Tout en préparant mon repas.

 

Votre serviteur

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29/12/2023

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