L'ECRIT DE JOIE

L'ECRIT DE JOIE

La collègue à Christine est revenue (Partie 1)

Julien (40 x 40).jpg

 

                                                   La collègue à Christine vient se faire baiser - (Partie 1) -

 

Il est quatorze heures en ce samedi de début juin. Quelques coups de sonnette brefs. C'est l'arrivée de l'arrivée de Clarisse. C'est l dernier après-midi de préparation pour la fête de la fin d'année scolaire. Il faut encore peindre les petites maisons de papier et de carton constituant le village créé par les deux enseignantes. Aussi, vont elles s'y atteler pour les heures à venir.


Christine fait entrer sa collègue. Je suis déjà assis devant mon chevalet. Il fait bon dans l'atelier. Clarisse, en pénétrant dans la pièce a un grand sourire. Je me lève pour la saluer et lui faire la bise. Les filles se mettent au travail sans attendre, pressées de terminer pour la soirée. C'est donc dans l'agréable ambiance feutrée de l'atelier que, tous les trois, nous nous mettons à l'ouvrage.

Pour dix sept heures, c'est la pause du thé. Je vais préparer tout cela. Nous prenons notre collation avec un certain plaisir. Christine, se levant de sa chaise vient regarder l'avancée de ma toile. Elle pose sa main sur ma braguette. Clarisse, depuis sa place, m'observe avec ce sourire évocateur que je lui connais maintenant bien. Il est temps de reprendre nos activités afin de terminer pour dix neuf heures.

A dix neuf heures, je cesse de peindre. Je nettoie ma palette. Je recouvre ma toile de son draps. Je propose aux filles d'aller préparer notre repas du soir. Christine me fait savoir qu'elles aussi ont quasiment terminé. Le temps de ranger les acryliques et de laver les pinceaux, elles viennent me rejoindre. Je me rends à la cuisine.

Ce soir je fais simple. Un gratin de coquillettes complètes accompagné d'un coulis de ma création. Tomates, oignons, ails, ciboulette, persil, brocolis et poivrons rouges. Une légère salade, avec un avocat en entrée. Avec l'avocat, je prépare une petite douceur de ma création. De la purée d'amande, (sans sucre), avec de la crème fraîche, le jus d'une gousse d'ail pressée, du sel de Guérande, de la ciboulette et des grains de sésame grillés. Un vrai délice, une fois versé dans l'avocat, à la place du noyau.

Les filles viennent me rejoindre pendant que j'égoutte les coquillettes. Clarisse vient se pencher au-dessus du plat en terre cuite que je m'apprête à mettre au four. Son visage tout près du mien. J'ai l'intime conviction que c'est une attitude délibérée. Mon impression est confortée lorsque la jeune fille, accroupie devant la porte du four, se mit à scruter ma braguette avec insistance. Christine, coupant l'oignon me regarde avec son sourire complice.

Clarisse reste ainsi plusieurs minutes. Elle est accroupit entre le four et la table. Ses yeux vont des miens à ma braguette. Je comprends le "message". Après avoir posé le saladier sur la table, j'ouvre la tirette de mon pantalon. Je sors mon sexe et le laisse pendre. Clarisse, amusée, s'approche encore. Je me cale sur mes jambes et je me place devant la jeune fille. Mon sexe à la hauteur de son visage.

Christine, en riant, fait : << C'est l'heure de l'apéritif ! >>. Clarisse, regardant dans sa direction, répond : << Sans glaçon pour moi ! >>. Les deux filles éclatent de rire. Je prends mon sexe en main pour le passer sur le visage de Clarisse. Elle se laisse faire, appréciant avec les yeux fermés. Tournant son visage pour bien le présenter sous tous ses angles, elle sourit de plaisir en me fixant de son regard particulier.

Malgré mes tentatives, il m'est toutefois impossible d'introduire mon sexe dans sa bouche. Ses lèvres restent ostensiblement scellées. Par contre, je le frotte longuement sur ses joues, sa bouche, ses paupières ou encore son menton. Me concentrant, je lâche un bref jet de pisse qui vient éclabousser sa frimousse. Clarisse a un mouvement de recul en faisant : << Le salaud ! >>. Elle se redresse. Christine lui tend le rouleau de sopalin. Clarisse s'essuie le visage. Elle me regarde avec un air de reproche.

Christine, se levant, vient rapidement me sucer quelques instants. Toujours soucieuse de ne rien laisser se perdre. Nous passons à table pour vingt heures. Après le repas, nous nous rendons au salon afin d'y prendre le café. Une fois encore Clarisse a un comportement ambigu. Elle fixe ma braguette avec insistance puis me fixe avec son regard par "en-dessous". Christine a sorti mon sexe qui pend entre mes jambes.

Je me lève. M'approchant du fauteuil où est vautrée la jeune fille, j'agite mon sexe devant son visage. Clarisse observe avec attention. Christine vient s'accroupir derrière moi en me tenant par les cuisses. J'ouvre mon pantalon et le laisse tomber sur mes chevilles. Clarisse inspire longuement en ayant un mouvement du bassin qui trahis ce qui se passe au fond de sa psyché. Je me masturbe doucement en la fixant. Christine, à quatre pattes, passe devant moi pour me sucer.

Clarisse se lève pour ouvrir son pantalon et l'enlever. Elle fait de même avec sa culotte. Puis elle s'assoit à nouveau dans le fauteuil, relevant ses cuisses, largement écartées, sur les accoudoirs. De sa main droite, tout en me fixant, elle se met à se masturber doucement...

______________________

Tous droits réservés - © - 2015 -

 

Note de l'auteur :

L'utilisation, toute ou partie, d'un texte, (ou photographie) sans le consentement de l'auteur, constitue une violation de la propriété intellectuelle.  Délit sanctionné par l'Article. L.335-2. du Code pénal.

La divulgation d'informations relatives à la vie privée, ou à l'identité, constitue un délit sanctionné par les articles 706-102-1 (Informatique) et 88-227 du code pénal.

 

 



03/03/2015

A découvrir aussi