L'ECRIT DE JOIE

L'ECRIT DE JOIE

La collègue à Christine est revenue (Partie 2)

Julien (40 x 40).jpg

 

                                                  La collègue à Christine vient se faire baiser - (Partie 2) -

 

Je suis debout. Christine accroupie entre le fauteuil et moi, est entrain de me sucer. Clarisse, vautrée au fond de ce même fauteuil, les jambes écartées, posées sur les accoudoirs, se masturbe doucement. Une fois encore la jeune fille et moi nous nous fixons du regard. Je sais à présent qu'elle apprécie les situations dans lesquelles elle vient se fourrer avec plaisir. La complicité de ma compagne y est pour beaucoup.


Je regarde les doigts de Clarisse imprimer un léger mouvement de balancier sur son clitoris. Sa toison pubienne est considérablement réduite par une épilation soignée. Aussi je peux admirer chaque détail de son anatomie intime. Je peux apprécier les petites contractions qui agitent la partie précise entre son anus et son vagin. Souvent, pour se livrer au plaisir, Clarisse ferme les yeux en gémissant tout doucement. La tête rejetée en arrière.

Je saisis Christine par ses cheveux pour la relever. Ma compagne adore mes initiatives et aime tout particulièrement être "guidée". Elle se redresse, interrogative. Je me mets à genoux devant le fauteuil entre les cuisses de Clarisse. J'ai vraiment envie de la "déguster". Christine vient se coucher à mes côtés, passant sa tête entre mes cuisses et le fauteuil. J'avance ma tête pour poser ma bouche sur les doigts de la masturbatrice.

Clarisse retire ses doigts me permettant ainsi d'embrasser son "bouton". Christine se met à me téter avec de petits gémissements qui en disent long sur mes épanchements. Je lèche et suce ce clitoris. Les replis de la peau m'offrent un peu de ce délicieux goût acidulé que j'apprécie tant. Clarisse gémit, elle est "aux anges". Elle me tient par les oreilles comme pour m'empêcher de fuir. Alors que je n'en ai nulle envie.

J'adore pratiquer le cunnilingus. Sur le moment, je savoure ma "gâterie" les yeux fermés, le menton trempé de jus et de salive. Avec ma langue, je fouille le replis des lèvres du sexe de la jeune fille. Elle se cambre autant qu'elle le peut pour m'offrir le maximum de possibilités. Sa mouille est réellement savoureuse et je m'en régale. La source semble intarissable. Tant mieux. C'est mon second dessert. Christine me tète toujours avec avidité. D'une main, je lui tiens la nuque pour lui secouer doucement la tête.

Une fois encore, je saisis les cheveux de Christine pour la relever. Sa bouche dégouline de filaments laiteux et gluants. Je me lève et me couche entre les jambes de Clarisse. Cette dernière, comme si elle n'attendait que ça, se cale contre mon corps. Je n'ai plus qu'à la pénétrer de mon sexe trempé. Il entre tout seul comme happé par la fille. Elle a des contractions qui me prodiguent de délicieuses sensations. Je reste sans bouger. Christine, à genoux derrière moi, m'écarte les fesses pour y fourrer son visage.

Clarisse referme ses jambes sur le haut de mes fesses. La jeune fille m'embrasse avec fougue. Elle donne plusieurs à coups avec son bassin. J'ai le sentiment que c'est une invitation à rythmer ma pénétration. Je me mets à l'ouvrage. Tout en m'embrassant Clarisse gémit de plaisir. Nous sommes entrain de baver et nos mentons sont trempés. La sueur fait glisser nos corps. Christine s'est relevée pour venir nous lécher les visages. Elle a son pantalon sur les genoux et se touche. Comme elle aime le faire, avec les jambes croisées l'une sur l'autre.

Je suis entrain de faire l'amour à Clarisse. Elle a des soubresauts. Des mouvements brusques secouent tout son corps. Approchant sa bouche de mon oreille, elle me fait : << Ça fait presque trois ans que je n'ai pas baisé ! >>. Christine pose sa bouche sur la sienne. Je lèche les visages des deux filles. Ma compagne a un premier orgasme. Elle ne peut jamais résister très longtemps. Je lui mets la main entre les cuisses pour constater que son sexe trempé est bouillant. Elle a un frisson...

Clarisse a une série de spasmes assez violents. J'ai toujours la crainte de faire mal, aussi je me retire. Elle s'enfonce deux doigts dans le sexe pour se mettre à trembler, la tête rejetée en arrière. La jeune fille a une série d'orgasmes délirants. Au bout de ces instants intenses, elle referme ses cuisses en s'écriant : << Wouah, comme c'était bon ! >>. Je me relève. Immédiatement Christine, soucieuse de ne pas "gâcher", se précipite. La voilà à genoux pour me sucer.

Je saisis Clarisse par ses cheveux. Je l'attire contre nous. Elle tente une vague résistance. Mais je la tiens fermement. Elle tombe à genoux. Je la maintiens fermement. Elle essaie vainement de se dégager. Je me retire de la bouche de Christine. J'enfonce mon sexe dans la bouche de Clarisse. Elle tente de se dégager. Je la tiens fortement. Elle pousse de toutes ses forces sur mes cuisses. J'éjacule en l'empêchant de se retirer. Elle n'a d'autres choix que d'avaler.

Je reste ainsi un moment. Je veux être certain qu'elle a tout avalé. Enfin je la relâche. En poussant un petit cri elle se retire. Se relevant, me toisant avec sévérité, Clarisse me fait : << Il faut que tu fasses "ça" ? Vraiment ? Je déteste "ça" tu le sais ! >>. Je lui passe la main entre les cuisses. Curieusement, malgré sa colère apparente, elle se cambre pour apprécier mon initiative. Christine s'est remise à me pomper pour en récupérer les derniers jus.

J'enfonce mon médius dans la fille. Cette dernière me saisit le poignet comme pour me guider. Clarisse se met à bouger régulièrement du bassin. Entre nous, à genoux, Christine a recommencé sa fellation. Au bout d'une dizaine de minutes, Clarisse a une nouvelle série de spasmes. Un nouvel orgasme. J'éjacule dans la bouche de Christine. Ma compagne, me tenant par les cuisses, me pompe avec cette avidité habituelle.

Je saisis Christine par ses cheveux. Une fois encore, pour la relever. Aussitôt, d'un élan incompréhensible, Clarisse prend la place de Christine. Ce comportement irrationnel m'étonne car la jeune fille se met à me sucer à son tour. C'est presque douloureux à présent. Mon sexe a perdu de sa rigidité. Je me mets à pisser dans la bouche de la suceuse. Curieusement, elle pompe avec avidité. Christine, cessant de m'embrasser, lance : << Tu vas finir par lui faire aimer "ça" ! >>.

Clarisse vient de déglutir un bon verre de pisse chaude. Je la saisis par les cheveux pour la forcer à se relever. Cette fois encore je ne comprends pas. Elle ne se laisse pas faire. Elle oppose une résistance farouche. Elle continue à pomper. Je lâche plusieurs jets puissants. Je me suis vidé complètement dans la bouche de la fille. Quand j'ai vraiment terminé, qu'elle se régale de la dernière goutte, Clarisse se redresse. Presque de suite elle se met à courir vers les toilettes en se tenant la bouche. Nous pouvons l'entendre vomir. Christine m'embrasse longuement.

Clarisse rentre chez elle pour vingt trois heures. Elle revient passer le samedi soir prochain avec nous...

______________________

Tous droits réservés - © - 2015 -

 

Note de l'auteur :

L'utilisation, toute ou partie, d'un texte, (ou photographie) sans le consentement de l'auteur, constitue une violation de la propriété intellectuelle.  Délit sanctionné par l'Article. L.335-2. du Code pénal.

La divulgation d'informations relatives à la vie privée, ou à l'identité, constitue un délit sanctionné par les articles 706-102-1 (Informatique) et 88-227 du code pénal.

 



04/03/2015

A découvrir aussi