L'ECRIT DE JOIE

L'ECRIT DE JOIE

La collègue à Christine est revenue (partie 3)

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                                                    La collègue à Christine vient se faire baiser - (Partie 3) -

 

Durant la semaine, Christine m'entretient parfois de ses relations professionnelles avec Clarisse. Les deux enseignantes se voient à la récréation. Parfois après les cours pour quelques projets communs. Le dernier en date est cette fête de fin d'années scolaire, le 20 juin. Les deux filles ont travaillé dur pour préparer une décoration magnifique. Christine me parle également de leurs "confidences" suite à nos expériences à trois.


Clarisse a beaucoup apprécié de se faire baiser samedi dernier. Cela fait presque trois ans, depuis sa rupture, qu'elle n'a plus "pratiqué". En 1996, dans le milieu enseignant il existe ce fameux "mouvement". Possibilité offerte, en fonction des places disponibles, de demander sa mutation dans un autre département. Clarisse a fait une demande pour le Var. Demande qui vient d'être acceptée. C'est donc sa dernière saison ici.

Christine me parle également des penchants "masturbatoires" de Clarisse. Pratiques dont raffole sa collègue. Elle regagne parfois sa voiture, entre midi et deux, pour aller se masturber discrètement sur le parking désert dans cette tranche horaire. Aussi, samedi soir, pour l'invitation de Clarisse à venir passer la dernière soirée avec nous, Christine me suggère de lui faire un "cadeau".

Mercredi après-midi Christine et moi nous allons en ville. Nous allons parfois dans un sex-shop pour y découvrir les "nouveautés" proposées. Nous y faisons donc l'acquisition d'un magnifique "Sex-Toy". Un de ces fameux "œufs" vibrants à pile que la fille place dans son vagin. Un "œuf" que la fille peut actionner à partir d'un boîtier. Dans un très bel emballage.

Le samedi soir arrive rapidement. Je prépare des fougasses au Roquefort. Accompagnées d'une salade. Ce sera sans doute un repas apprécié. Clarisse est d'origine provençale. Il faut donc que ces fougasses soient réussies. Elles le sont. Clarisse arrive pour dix neuf heures. Elle me fait la bise en déposant ses lèvres sur les miennes. Je glisse rapidement une main entre ses cuisses pour la retirer immédiatement. La jeune fille a un mouvement du bassin et me fait un sourire.

Nous passons à table de suite. Durant le repas, la conversation est principalement axée sur le déménagement à venir. De la mutation dans le nouvel établissement. Un petit lycée de village. Clarisse semble se réjouir de retrouver son sud. Nous nous régalons de notre repas. Après la vaisselle, Christine propose de prendre le café au salon. Clarisse caresse longuement le cuir du fauteuil avant de s'y asseoir. Elle me fait : << Je vais en faire une photo pour le "souvenir" ! >>.

Je suis assis dans le canapé, Christine à mes côtés. Rapidement, ma compagne me sort le sexe. Il pend entre mes jambes. Clarisse, me fait son premier clin d'œil en mimant une masturbation masculine de sa main droite. Elle rajoute : << Tu es un "adepte" m'a dit Christine. Tu me fais une démonstration ? >>. Je me mets à me branler doucement. Comme j'aime à le faire. Christine se lève pour s'asseoir au sol, à côté du fauteuil. Les deux filles m'observent avec un sourire lourd de sous-entendus.

Je suis là depuis dix minutes, dans un silence de plomb, à me masturber en regardant les deux vicieuses. Soudain, se levant rapidement, Clarisse vient se mettre à genoux entre mes jambes. Je lui agite mon sexe sous le nez. Christine, se levant à son tour, vient s'asseoir à mes côtés pour observer ce qui se passe. Avec une de ses réactions imprévisibles, Clarisse se met à me sucer. En faisant, elle me fixe dans les yeux. Un nouveau clin d'œil.

Au bout de quelques minutes Clarisse cesse sa pipe pour se relever. Ouvrant son pantalon, elle le fait tomber sur ses chevilles. Elle fait tomber sa culotte et retire le tout. Elle se couche sur le dos. Là, sur l'épais tapis de laine devant le canapé. Clarisse écarte les jambes largement. De son index elle m'invite à la rejoindre. Je me lève et sans attendre, pantalon aux genoux, je la pénètre. Aussitôt, la jeune fille se met à gémir, à pousser de petits cris presque plaintifs. Je reste sans bouger.

Christine, accroupie derrière moi, me retire mon pantalon et mon slip. Je dis à Clarisse : << C'est dommage que tu partes, tu aurais pu venir te faire baiser toute l'année scolaire prochaine ! >>. Je donne une série d'à coups avec mon bassin. << Je sais, mais j'arrive toujours à la fin de quelque chose ! >> me répond t-elle en contractant les muscles intérieurs de son sexe. Sensation très agréable à laquelle je réponds par des contractions qui font bouger mon sexe dans le sien.

Christine est venue s'allonger à nos côtés. Elle joue avec les cheveux de Clarisse. << Tu vas encore te faire baiser comme une salope ! >> fait ma compagne en léchant la sueur qui perle sur le visage de la baiseuse. Je me suis redressé. Je suis en appui sur les mains. Je scrute les traits du visage de cette fille faussement réservée. Elle a si bien joué son "jeu". Clarisse passe ses jambes autour des miennes et se met à bouger de plus en plus rapidement. Je reste immobile. Trop bon.

Accrochée à moi, Clarisse se secoue en rythme. Tout en faisant elle me fixe dans les yeux. J'approche mon visage du sien. Elle me scrute. Je dois être le "personnage" idéal de son "film" de l'instant. Soudain, la jeune fille me crache au visage ! Je reste étonné par cette subite initiative. Elle me regarde avec un air de défi. Christine passe sa main dans son pantalon. Elle nous observe avec attention sinon passion. Elle vient lécher la salive de sa collègue. Christine aime le jus de toutes les muqueuses.

A mon tour, doucement, je me mets à bouger du bassin. Clarisse rejette sa tête en arrière avant de se laisser retomber au sol. J'accélère mon mouvement. Clarisse ralentis le sien. Par des mouvements précis du bassin, elle cherche les meilleures sensations. Collée à mon corps, elle se cambre avec des mouvements précis. Elle pousse de petits cris plaintifs. Christine s'offre un de ses orgasmes rapides qu'elle ne peut contrôler.

Clarisse relève la tête pour m'embrasser avec avidité. Nous sommes couverts de sueur. Nos corps glissent l'un contre l'autre. J'arrête à nouveau de bouger. C'est elle qui prend le relai. Elle agite son bassin en rythme. Elle me fixe à nouveau avec cet air de défi. Je lui crache au visage. Elle se détourne avec une moue de dégoût. Je la saisis par les cheveux pour l'obliger à me fixer. Je crache une nouvelle fois. Christine nous observe en respirant fortement.

Clarisse se met à bouger de plus en plus vite pour atteindre une série d'orgasmes. Elle pousse plusieurs râles sonores. Christine a remis sa main dans son pantalon. Elle me sourit tout en se touchant. Je reste sans bouger. Clarisse reprend sa respiration. Je sens battre son cœur à grande vitesse. Nous restons ainsi plusieurs minutes à récupérer. Puis, lentement, je recommence à bouger en rythme. Clarisse émet un soupir de plaisir.

Rapidement, la jeune fille se remet à bouger du bassin. Nous repartons pour un second tour. Christine connait son second orgasme. Et, comme souvent, je vois l'auréole de pisse grandir à travers le tissus de son pantalon bleu. Elle adore se lâcher. Ne pouvant pas faire autrement, cela participe de son plaisir. Ce qui nous interdit le plus souvent de baiser dans un lit. A moins d'y mettre une protection. Clarisse me fixe. Je lui crache une nouvelle fois au visage. Je peux sentir ses ongles contre ma peau. Comme si elle voulait me punir.

Christine se régale de ma salive en léchant le visage de Clarisse. J'arrête une nouvelle fois de bouger. A nouveau, Clarisse, par des mouvements de son bassin, cherche les meilleures sensations. Elle a plusieurs râles étranges. Puis, en rythme, elle m'oblige à l'accompagner. Au bout de quelques minutes Clarisse connait un nouvel orgasme. J'éjacule dans la fille avec un jet qui me procure une sensation vertigineuse. Clarisse se cambre pour ne rien perdre de ce qu'elle sent l'envahir. Elle crie de bonheur. Un cri sincère...

Nous restons un long moment à reprendre nos esprits. Christine se lève pour aller à la cuisine. Clarisse m'embrasse. Elle me murmure à l'oreille : << Putain, comme elle a de la chance d'avoir un mec comme toi ! >>. Je lui réponds : << Des "mecs comme moi", ça ne se révèle qu'en compagnie de salopes dans votre genre à toutes les deux ! >>. Christine revient avec le "cadeau". Je me retire de la fille pour m'asseoir sur le tapis. En tailleur. Clarisse fait de même. Christine lui offre le beau paquet mauve.

Clarisse, ouvrant le paquet, découvrant l'objet et son usage, s'exclame : << Wouah ! Super ! Je vais le porter tout le temps et tous les jours ! >>. Nous éclatons de rire en nous faisant plein de bisous. C'est émouvant. Christine, du doigt, montre mon sperme qui s'écoule du sexe de Clarisse. Aussitôt elle se couche sur le côté pour venir le récupérer avec sa bouche. Ce qui procure de nouveaux spasmes à Clarisse. Elle reste bouche ouverte. Elle me fixe en respirant fortement.

Nous pouvons entendre les gargouillis créés par la succion de Christine. Elle pompe mon sperme directement du vagin de Clarisse. Tout comme la jeune fille cela m'excite également à nouveau. Je me lève. Je saisis clarisse par les cheveux. Sans ménagement. Je sais à présent la salope qu'elle est. Je lui fourre mon sexe dans la bouche. Elle a un mouvement de recul. Elle sait que c'est peine perdue.

Christine, se redressant, la bouche crémeuse, le menton trempé, m'embrasse avec avidité. Elle approche sa bouche près de mon oreille pour me murmurer : << Pisse-lui dans la bouche, ça l'excite ! >>. Il m'est impossible de me concentrer sur l'instant. Au bout d'une dizaine de minutes j'éjacule dans la bouche de Clarisse. Curieusement, je n'ai plus nul besoin de la maintenir. Elle déglutit en gémissant. Christine me fait à l'oreille : << Dressée ! >>...

Je la laisse savourer longuement tout ce qui arrive sous sa succion continue. Puis je lâche un bref jet de pisse. Clarisse me saisis par les hanches. Elle est à genoux. Elle suce comme si elle se livrait à un acte de dévotion. Je lâche plusieurs petits jets brefs. La jeune fille savoure. Décidément, son comportement aura toujours été des plus étranges. Une fois encore, je me vide jusqu'à la dernière goutte.

Nous reprenons une collation. Il est vingt trois heures. Tout cela nous a donné faim. Avant de déguster les petits gâteaux de sa maman, Clarisse, en toussant, se lève pour se précipiter aux toilettes. Elle se met à vomir avant de les atteindre. Je nettoie pendant qu'elle se vide dans la cuvette. Autant dire que les petits gâteaux sont les bienvenus. Clarisse nous quitte vers minuit. Je ne l'ai revu qu'une seule fois, rapidement, le mercredi suivant.

Quelques mois plus tard, dans le Var, elle rencontra l'enseignant qui devint son mari...

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04/03/2015

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