L'ECRIT DE JOIE

L'ECRIT DE JOIE

La collègue à Christine me suce (Partie 1)

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                                                     La fellation de la "collègue" - (Partie 1) -

 

Il est treize heures. Christine et moi, nous sommes entrain de terminer la vaisselle. Ce mercredi, à quatorze heures, Clarisse, la collègue de ma compagne doit venir à la maison. Le mercredi après-midi, les professeurs de première et de terminale peuvent s'adonner à la préparation de leurs cours. Aux corrections et autres activités inhérentes à leur travail d'enseignants.

Christine enseigne dans le même lycée que Clarisse. Elles se sont connues en faculté et se connaissent depuis trois ans. Assez proches, sans êtres de véritables amies, les deux filles s'entendent plutôt bien. Elles partagent quelques goûts communs pour un travail de qualité et bien fait. Clarisse vient cet après-midi afin de terminer les préparations en vue de la fête de fin d'année scolaire du lycée.

Quatorze heures. Trois coups de sonnette. Christine va ouvrir. Je suis entrain de travailler à la peinture d'une nouvelle toile. Je suis assis devant mon chevalet. Christine et Clarisse entrent dans l'atelier. Je me lève pour faire la bise à la jeune fille. Je me lève surtout pour éviter que Clarisse ne puisse regarder mon travail. A part ma compagne, personne n'est autorisé à regarder une de mes toiles durant son élaboration.

Les deux filles se mettent à la table de travail pour reprendre leurs découpages, leurs collages et leurs préparations. Lorsque je peins, je pense à toutes sortes de choses mais jamais à ce que je suis entrain de faire. Ma main est "guidée" et les choses se font toutes seules. Aussi, d'une oreille distraite, j'entends les échanges des deux enseignantes. Elles semblent très satisfaites de l'avancement de leurs travaux.

L'après-midi passe ainsi, dans le labeur. Chacun occupé à son ouvrage. Pour dix sept heures, c'est le rituel du thé. Et, de par mes atavismes écossais, lorsque je suis à la maison, dix sept heures c'est l'heure du thé. J'invite donc Clarisse à participer à notre rituel. Cela dure en général une dizaine de minutes. Une légère collation qui dure cette fois-ci un peu plus longtemps à cause de nos bavardages.

Nous reprenons nos travaux jusqu'aux environs de dix neuf heures. Je nettoie ma palette. Je recouvre ma toile d'un draps. Je propose aux filles d'aller préparer le repas du soir. Clarisse reste pour la soirée que nous passerons tous les trois ensembles. Je prépare un délicieux gratin de courgettes farcies au pâté de lentilles. Accompagné de coquillettes complètes saupoudrées de parmesan. La salade. Une délicieuse laitue du jardin.

Pour vingt heures je vais chercher les filles dans l'atelier. Elles ont quasiment terminé le petit village en carton. Des petites maisons disposées autour de la mairie, de l'école et de la chapelle. Du bel ouvrage. Il reste à peindre l'ensemble. Ce qui sera réalisé samedi après-midi. Les élèves apportent les personnages de leur choix lors de la fête d'ici quinze jours. C'est une fête à thèmes.

Nous passons à table. Durant tout le repas Clarisse m'observe par en dessous avec un regard insistant. Elle doit penser à ce qu'elle nous a vu faire. En effet, la jeune fille a les mêmes regards lourds de sens. Christine observe discrètement ce manège. Parfois elle me fait un clin d'œil complice. Des sourires entendus. C'est un peu comme si étions déjà tous les trois dans une complicité évidente.

Après le repas nous passons au salon. Clarisse s'installe dans le profond fauteuil. Christine et moi nous nous installons dans le canapé. Sur la petite table basse fument nos cafés dans les petites tasses de grès. Ma compagne pose sa main sur le haut de ma cuisse, tout près de la braguette. Clarisse, comme les autres fois, observe avec insistance. Christine ouvre ma braguette. Elle a ce bon mot qui détend l'atmosphère : << Il est temps de faire prendre l'air à notre animal de compagnie ! >>.

Je me retrouve avec le sexe à l'air. Nous sommes entrain de rire du cabotinage de Christine. Ma compagne, se mettant à genoux sur le canapé, se glisse derrière moi. Elle se met à me masturber. Avec une certaine énergie. Chose qui ne lui est pas du tout coutumière. Clarisse observe avec une attention silencieuse. Je suis à la fois très gêné, très excité. Christine, cessant son mouvement, saisissant mon sexe à sa base, le secoue en direction de notre invitée. << Une première tentative ? >> fait elle à l'attention de Clarisse.

Clarisse, dans le fond de son fauteuil, nous regarde alternativement. Concentrée et attentive. Il y un long silence. Christine s'installe à mes côtés. Elle se met à me sucer. Clarisse me fixe avec cette insistance excitante. Christine, se redressant, de son index, fait signe à Clarisse de nous rejoindre. Cette dernière se lève pour venir s'asseoir aux côtés de ma compagne.

Christine se lève et invite Clarisse à prendre sa place. Cette dernière, après une légère hésitation, vient s'asseoir près de moi. Christine se met à genoux entre mes jambes sur l'épais tapis. Elle reprend sa fellation. A présent, Clarisse tout près de moi, me fixe par en dessous d'une façon terriblement vicieuse. Je peux l'entendre respirer fortement entre plusieurs apnées. La jeune fille est excitée. Rapidement, dans cette situation, les cous font mal et les nuques deviennent douloureuses.

Christine se redresse. Elle secoue une fois encore mon sexe sous les yeux de Clarisse. << Viens, elle est prête ! >> fait elle. Clarisse se penche. Elle prend appui sur son coude. Elle reste ainsi. Son visage à une dizaine de centimètres de ma turgescence humide. Christine, posant sa main sur sa tête, d'une légère pression, enfonce la bouche de Clarisse sur mon membre. Elle reste ainsi sans bouger. Je perçois ses frissons.

Un grand moment nous attend là...

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27/02/2015

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