L'ECRIT DE JOIE

L'ECRIT DE JOIE

La collègue à Christine me suce (Partie 2)

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                                                          La fellation de la "collègue" - (Partie 2) -

 

 Clarisse reste sans bouger. Elle reste ainsi avec mon sexe dans la bouche. Sans pomper, sans sucer, sans même bouger sa langue. Même si je sens l'agréable chaleur, l'impression d'inconfort est quand même la plus forte. Christine observe mes réactions en me souriant. Je fais part de mon désir d'arrêter. Clarisse n'a peut-être pas envie d'aller au-delà de cette toute première expérience.

Pour seule réponse il y a l'immobilité persistante et le silence. Tout cela ne favorise pas vraiment le plaisir d'un instant que j'apprécie tout particulièrement. Je suis de plus en plus gêné. Christine reste elle aussi sans bouger. Comme Clarisse. Je reste moi aussi sans le moindre mouvement. La situation perdure plusieurs longues minutes.

Clarisse, se redressant, lance : << Je ne peux pas. Je n'arrive pas à surmonter l'idée. Pourtant j'aimerais bien ! >>. La collègue reste assise à côté de moi. Mutique en observant mon sexe. Christine se saisit de mon membre pour l'agiter. Les deux filles se mettent à rire. Je fais de même. Dans les situations les plus cocasses le rire est communicatif. Christine se remet à me sucer, trop heureuse de l'opportunité.

Clarisse se remet à me fixer. Toujours avec ce regard par en dessous. Je lui fais un premier clin d'œil. Elle m'offre le sien. Je réunis tout mon courage. Je la saisis par la nuque. J'attire son visage contre le mien. Avec une docilité étonnante Clarisse se laisse faire. C'est même elle qui pose sa bouche sur la mienne. Délicate, pour y introduire sa langue. Cela m'excite considérablement.

Christine, profitant de mes secrétions abondantes, se régale en gémissant. Elle voit ce que sa collègue et moi nous sommes entrain de faire. J'embrasse la jeune fille avec un plaisir exquis. Clarisse fouille ma bouche avec avidité. Je pose ma main entre ses cuisses, sur le tissu de son pantalon. Avec les mouvements réguliers de mes doigts j'exerce des pressions rythmées sur sa vulve. Elle prend son aise en écartant ses cuisses. Sa langue explore ma bouche...

Au bout d'une dizaine de minutes Christine se redresse pour nous observer. Clarisse et moi nous avons les mentons trempés de salives. Sans prévenir, rapidement, je me lève. Je me place devant Clarisse. Entre ses jambes écartées. La saisissant par les oreilles, à son plus grand étonnement, je lui enfonce mon sexe dans la bouche. La jeune fille a un dernier réflexe. Je la tiens fermement.

A nouveau, après un dernier réflexe, Clarisse fait preuve d'une docilité étonnante. Enfin je peux la sentir sucer. Je regarde ses joues creusées par l'effort. Christine se lève pour se mettre à mes côtés. A son tour elle se met à m'embrasser avec son avidité habituelle. Pour solder cette première expérience je décide d'éjaculer dans la bouche de Clarisse sans attendre.

Je maintiens la jeune fille par la tête. Je l'empêche de se dégager de mon étreinte. J'ai un orgasme dans la bouche de Clarisse. Trois giclées abondantes. Les coulures du "fond de cuve". La jeune fille déglutit avec peine. Je me retire. En s'essuyant la bouche elle me regarde avec un air de reproche. Je me baisse pour lui déposer un baiser sur le front. << Alors ? >> demande Christine en s'asseyant aux côtés de sa collègue.

<< Je ne m'attendais pas à ce goût ! J'imaginais que ce serait meilleur ! >> répond Clarisse. Elle parle sans cesser de me fixer. Je dis : << Pourtant j'ai donné le meilleur ! >>. Je tente par ce trait d'humour de désamorcer une éventuelle tension. Clarisse éclate de rire. Christine, s'accroupissant, prend mon sexe en bouche. La pipe reprend. Mon sexe est mou. Je ne suis plus très excité. Clarisse se lève. Elle vient m'embrasser. Elle déverse quantité de salive dans ma bouche. J'avale avec peine. Tout en m'embrassant elle me crache dans la bouche.

Je me retrouve en érection. Sous l'indicible caresse de ma compagne je suis animé de sensations vertigineuses. Je ne comprends pas très bien l'attitude de Clarisse. Il m'apparait soudain clairement que c'est une vicieuse. Je recommence à la caresser. Ma main entre ses cuisses. Elle tortille des hanches en gémissant. Portant mes lèvres à son oreille, je murmure : << Toi, tu préfères la baise, hein ? >>. Juste avant de m'embrasser à nouveau, elle me fait : << Oui ! >>.

Saisissant Christine par les cheveux je la force à se redresser. Saisissant Clarisse par les épaules je la force à s'accroupir à son tour. Elle oppose une résistance. Rien à faire. La jeune fille s'y refuse. Christine me prend par la main. Elle m'emmène aux toilettes. << Viens ! >> lance t-elle à Clarisse. Je me retrouve devant la cuvette. Christine contraint mon érection vers le bas. C'est presque douloureux. Clarisse, en retrait, appuyée contre le mur, nous observe. Elle me fixe d'un regard pénétrant.

Je suis terriblement excité. Impossible de pisser dans de telles conditions. En érection. Pourtant je peux le faire. Je ne me prive pas de lâcher quelques brèves giclées durant une pipe. Ce qui surprend toujours ma partenaire. Christine le sait et apprécie beaucoup. Ma compagne, s'accroupissant à nouveau, se met à me sucer. Je me cambre en prenant appui des deux mains contre la porte derrière moi.

Clarisse me fixe. Cette fille me fait un étrange effet. Elle parait trouver son plaisir à ce voyeurisme particulier. De me fixer, de me faire des clins d'œil, semblent être sa seule façon de participer. Je mets à nouveau ma main entre ses cuisses. A chaque fois elle se laisse faire avec une surprenante docilité. Subitement, s'accroupissant à son tour, elle approche son visage de celui de Christine.

Christine retire mon sexe de sa bouche. Elle le tend à Clarisse. Il y un moment d'immobilité totale. J'entends les respirations des deux filles. Soudain Clarisse s'approche encore. Elle prend mon sexe en bouche. Une fille étonnante et imprévisible. Elle se met à me sucer. La même passion que pour m'embrasser. Christine a passé sa main entre les cuisses de sa collègue. Cette dernière tombe à genoux.

Enfin je retrouve le contrôle de mes émotions. Au bout de plusieurs minutes je lâche quelques giclées de pisse. Clarisse, totalement ignorante de cette pratique, déglutit s'en vraiment se rendre compte de ce qu'elle avale. Dans un soucis de transparence je retire promptement mon sexe de sa bouche. Je dirige le jet dans la cuvette. Un profond dégoût se lit soudain sur son visage. Elle a un mouvement de recul. Prend t-elle conscience de ce qu'elle tétait avec tant de gloutonnerie ? Christine me fait un clin d'œil. Elle se rapproche pour me sucer avec appétit.

Clarisse reste dans sa position. Curieusement, une fois encore, elle rapproche son visage. Je retire mon sexe de la bouche à Christine. Je l'introduis dans celle de sa collègue. Toujours aussi imprévisible Clarisse se met à pomper avec une avidité étonnante. Elle gémit tout comme ma compagne. Une fois encore je lâche quelques sournoises giclées. A présent elle sait ce qui se passe. Elle semble beaucoup apprécier.

Christine tient mes testicules et lèche la bouche de Clarisse. La situation perdure ainsi depuis une bonne vingtaine de minutes. Je me retire. Je me couche au sol entre le mur et la cuvette. Là, sur le côté, tenant Clarisse par les oreilles, j'imprime à mon bassin un rythme régulier. Couchée sur le côté la jeune fille me suce. Elle me tient par les hanches. Christine, une main entre les cuisses de sa collègue, l'autre entre les siennes, arrive à l'orgasme avec sa rapidité coutumière.

Je cesse de bouger. J'éjacule dans la bouche de Clarisse. Toujours aussi étonnante elle reste à déglutir longuement. Pas de doute, Clarisse se régale. J'ai l'illusion qu'elle s'apprête à partir pour un second tour. Il n'en est rien. Elle se redresse. Son visage et ses cheveux trempés. Elle semble fatiguée. Moi je suis épuisé. Doucement, nous reprenons nos esprits. Nous retournons au salon. Christine propose à sa collègue de prendre une douche. Si elle le souhaite, Clarisse peut dormir chez nous.

Pendant que sa collègue prend sa douche, Christine, blottie contre moi sur le canapé, murmure : << Tu as été parfait. Je pense qu'elle va en vouloir encore. Je te dirais ses impressions demain soir en rentrant ! >>>. Je réponds : << Je crois qu'elle préfère baiser ! >>. Christine me dit encore : << Tu veux la baiser ? J'aimerais bien te voir ! Je prépare le "coup" pour samedi ! >>.

Après sa douche Clarisse préfère rentrer. Elle revient samedi après-midi pour terminer les préparations...

 

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27/02/2015

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