L'ECRIT DE JOIE

L'ECRIT DE JOIE

La collègue à Christine est revenue (Suite et fin)

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                                              La collègue à Christine vient se faire baiser - (partie 4) -

 

Comme prévu, Clarisse arrive à la maison mercredi après-midi pour dix huit heures. Elle a récupéré un véhicule utilitaire appartenant au mari d'une amie. Ainsi, Christine et elle peuvent charger la maquette du village sans risquer de l'endommager. Comme tous les jours, je suis entrain de travailler, assis devant mon chevalet lorsque Clarisse pénètre dans l'atelier. Je me lève pour lui faire la bise.

Les deux filles, avec d'infinies précautions, chargent le plateau de contre-plaqué dans la camionnette. C'est un plateau d'un mètre sur un mètre. Plateau sur lequel sont collées une vingtaine de petites maisons en carton. Chacune de ces maisons hautes d'environ dix centimètres est disposée autour de la Mairie, de l'église et de l'école. Un travail remarquable et soigné.

Lorsqu'elles ont terminé, elles viennent me rejoindre dans l'atelier. Je propose à Clarisse de manger avec nous et de passer la soirée ici. << Il faut que je ramène le véhicule ce soir, mais je peux rester jusqu'à vingt et une heures. Il faut simplement que je téléphone pour prévenir ! >> me fait elle, ravie de la proposition. Les filles me confirment que la maquette reste chez ses amis, bien à l'abri, jusqu'au jour de la fête du lycée.

Je nettoie ma palette et recouvre ma toile de son draps. Nous nous rendons au salon. J'ai anticipé le repas du soir en préparant, à midi, trois grosses pommes de terre farcies au pâté de lentilles. Gratinées au four, accompagnées d'un coulis de courgettes, tomates et aubergines, ces pommes de terre seront un régal supplémentaire.

Au salon, Christine assise à mes côtés, Clarisse dans ce fauteuil qu'elle connait bien, nous devisons. Clarisse a été nommée dans le Var pour la rentrée prochaine. Elle évoque son déménagement prochain. Pressée de retrouver le sud qui lui manque tant, la jeune fille est à se réjouir de cette opportunité. Elle en parle avec animation et enthousiasme.

Christine, posant sa main sur mon sexe, fait : << C'est dommage que tu partes, nous aurions pris quelques "habitudes" ! >>. Clarisse, agitant les mains des deux côtés de ses hanches, répond : << Oui ! Cela aurait été appréciable. Mais vous viendrez me voir aux prochaines vacances, tous les deux ! >>. Ma compagne, ouvrant ma braguette, dit encore : << Si tu veux te servir une dernière fois ! >>.

Clarisse, se lève pour venir nous rejoindre sur le canapé. << Tu veux me baiser encore une fois ? Moi, je suis chaude pour un "coup" ce soir ! >> me fait elle en glissant sa main dans mon pantalon. Christine éclate de rire en disant : << Eh bien, voilà que tu te révèles enfin après ces trois ans ! Si j'avais su, tu serais venue à la maison bien avant ! >>. Clarisse répond : << Il fallait m'inviter ! >>.

Je mets ma main entre les cuisses de la jeune fille pour lui dire : << Veux-tu manger avant ou après ? >>. Clarisse me répond : << D'abord il faut que je téléphone pour la camionnette ! >>. Je l'invite à le faire maintenant. La jeune fille se lève et, debout devant le petit guéridon, elle compose le numéro. Je me redresse pour aller la toucher. Je lui caresse les seins. Je touche son sexe à travers le tissus de ses vêtements. Christine me rejoint pour me masturber doucement.

<< Super, je peux ramener la camionnette quand je veux ce soir. La porte de leur propriété reste ouverte. Ma voiture est garée dans leur jardin ! >> fait Clarisse toute joyeuse. Il est dix neuf heures trente. Je propose de passer à table le plus vite possible. << Baise-moi d'abord un peu, là, sur le tapis ! >> fait elle encore en tombant à genoux devant moi. Christine lui met mon sexe dans la bouche. Aucune résistance, la jeune fille suce avec délice.

Clarisse, tout en me pompant avec avidité, retire son pantalon et sa culotte. Elle se laisse tomber sur le dos, jambes écartées et relevées. Christine me descend le pantalon et le slip sur les chevilles. Je me couche sur la fille. Je passe mon sexe sur l'entrée du sien sans chercher à la pénétrer. Cela l'excite considérablement. Christine me tient par les hanches. Au bout de quelques minutes, je m'introduis dans la fille qui se cambre de plaisir.

Je reste sans bouger. Je trouve cela tellement agréable d'attendre que ma partenaire donne "le signal". J'ai le buste relevé en appui sur les mains. Clarisse reste ainsi à m'observer longuement. Elle me fait plusieurs clins d'œil. Puis, doucement, elle bouge du bassin dans un rythme régulier. Je la laisse faire. Je reste sans le moindre mouvement. Elle est belle et attractive. Même si son corps maigre est à la limite de l'anorexie. J'ai toujours peur de faire mal, mais là, cela prend une dimension supplémentaire.

Christine a passé la main dans son pantalon. Elle nous observe, allongée à nos côtés. Parfois, lorsque ma bouche est "libre", elle m'embrasse avec fougue. Je me mets à bouger en rythme et à mon tour. Clarisse a un mouvement de plaisir. A présent, c'est elle qui cesse toute activité. Par des mouvements très contrôlés, elle cherche les meilleures sensations.

Christine se lève pour disparaître à la cuisine. Je baise Clarisse selon son désir. << Il vaut mieux que je parte car je pourrais rapidement tomber amoureuse de toi. Et je ne veux pas m'immiscer dans votre couple ! >> me fait la jeune fille en cessant de bouger. Doucement, je me retire. Christine revient pour nous informer que le repas est prêt dans dix minutes. Je me redresse. Je remonte mon pantalon. Clarisse enfile ses vêtements. Nous nous rendons à la cuisine.

Prenant pleinement conscience de ce que vient de me révéler Clarisse, je prends Christine dans mes bras. Je lui murmure : << Je t'aime ! Je t'aime comme un fou tu sais ! >>. Comme pour me rassurer elle répond : << Mais je sais ! Je ne suis pas du tout inquiète et j'ai tout entendu. Pas d'inquiétudes inutiles, moi aussi je t'aime ! >>. Je l'embrasse longuement. Clarisse, pendant ce temps, prépare la table. Elle nous fait encore : << Je file immédiatement après le repas, je préfère, ne m'en voulez pas ! >>.

Nous partageons ce dernier repas. Comme elle l'a souhaité, Clarisse nous quitte après le dessert. Sans passer au salon pour autre chose que pour photographier le fauteuil. Plusieurs clichés avec son petit appareil. << A demain matin ! >> fait elle à Christine. Clarisse, sur le pas de la porte me tend la main pour me dire : << Au revoir. Vous étiez "parfait" et très attentionné. J'ai apprécié ! >>. Je lui serre la main en répondant : < Vous serez toujours la bienvenue ! >.

Nous la regardons partir. Une fois seuls, au salon, longuement, Christine et moi nous faisons l'amour dans un déluge d'infinie tendresse...

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05/03/2015

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