L'ECRIT DE JOIE

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Gaëlle - (12) - Seconde récidive

 
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                                                 Gaëlle - Seconde récidive

 

Ce mercredi, Gaëlle et moi, nous avons échangé plusieurs courriels. Les choses semblent se préciser. La jeune fille me propose de nous revoir demain, jeudi. C'est le dernier jeudi de septembre. J'arrive au bord de l'étang vers quatorze heures trente. Il fait un temps magnifique. Le ciel présente un  bleu rappelant celui du lapis-lazuli et le soleil est radieux. L'été Indien distille une agréable douceur. Pas un souffle de vent.

 

Je viens en vélo par le long sentier qui quitte le grand chemin à la hauteur des "Trois chênes". J'arrive au bord de l'étang avec le plaisir de cette agréable journée . L'endroit est calme, silencieux et beau. J'étends mon plaid sur l'herbe. Je sors mon livre "Des Templiers aux Francs-Maçons" de mon petit sac à dos. Je m'installe confortablement. Vêtu de mon short de cycliste et d'un T-shirt, je retire mes chaussures de sport. Je laisse barboter mes pieds nus dans l'ondée rafraîchissante.

 

Je suis absorbé dans la lecture passionnante de mon livre. Mon attention est attirée par le pas des sabots d'un cheval. Je relève la tête. Je regarde autour de moi. En face, de l'autre côté de l'étang, je vois la cavalière de hier. Gaëlle arrive à notre rendez-vous de quinze heures.
 
La jeune fille me fait un signe de la main. Je lui fais le même geste. Je lève haut mon bras. Elle descend de cheval. L'écuyère tient l'animal par sa longe. Elle s'approche de l'eau pour s'accroupir au bord de l'étang. Je regarde avec attention. Gaëlle me fait des sourires. Le cheval boit à ses côtés. Une image bucolique qui n'est pas sans évoquer quelques tableaux Anglais du XVIIIème.

 

Accroupie dans l'herbe, au delà de l'étang, bien droite, Gaëlle se met à mimer une masturbation masculine. La jeune fille me regarde avec une certaine gravité.  Elle reste ainsi un long moment. Parfois un sourire vient éclairer son visage. C'est une situation d'un érotisme torride. Je regarde comme hypnotisé.

 

Cette scène dure longtemps. Je reste à observer. Je sens soudain une érection démentielle. Une érection contrariée par les tissus de mes vêtements. Une fois encore j'admire le "film" et l'excellente "actrice". Je sors mon sexe. Je suis accroupis les mains sur les hanches. Je regarde le "numéro" de Gaëlle. La jeune fille apprécie par dessus tout de créer des situations de ce genre.

 

Sans doute à l'extrême limite, juste avant la crampe, la jeune fille se redresse. Nous sommes debout l'un face à l'autre. Les eaux de l'étang reflètent la silhouette élancée de Gaëlle. Elle est vêtue comme la dernière fois. Elle porte ses habits de cavalière. Mon sexe est fièrement dressé. Je le fais bouger par contractions. Je reste ainsi à l'observer la jeune fille. Gaëlle m'observe également. A nouveau, nous jouons aux parfaits inconnus. Ce jeu qui plaît tant à la jeune fille.

 

La cavalière  se tourne lentement. Elle se présente de profil. Le cheval paraît l'observer lui aussi. Se cambrant en avant, les jambes fléchies, Gaëlle recommence à imiter une masturbation masculine. La tête tournée dans ma direction. Je me mets à me masturber doucement. Je tiens mon sexe entre le pouce et l'index. Je me place également de profil.

 

Cette situation hautement torride m'excite au plus haut point. Cela fait bien une demi heure que nous nous amusons ainsi. Gaëlle change de poses régulièrement. C'est comme autant de signaux que j'interprète. Je sais ce que la jeune fille veut voir. Je l'imite pour lui offrir le spectacle désiré. Lorsqu'elle fait semblant de descendre son pantalon, je le fais vraiment. Lorsqu'elle se tient cambrée en avant, les mains sur les hanches, bougeant d'avant en arrière, je le fais également.

 

Ce jeu dure un long moment. Gaëlle monte sur son cheval. La jeune fille me fait signe. Me faisant comprendre qu'elle vient me rejoindre. Je remonte mon short et je referme la tirette. Je m'assois sur un tronc d'arbre. Quelques minutes passent. Je sens mon cœur battre dans ma poitrine. Je sens la sueur me picoter le bout du nez. Au détour du sentier apparaît Gaëlle. Assise bien droite. Fière sur son cheval.  < Bonjour ! > me fait-elle avec un large sourire. Je réponds en souriant : < Bonjour ! >.

 

Arrivée à ma hauteur l'écuyère met pieds à terre. Elle attache sa monture au tronc d'un arbre. La jeune fille laisse de la longueur à la longe. Gaëlle s'approche. Restant à distance, elle me serre la main. < C'est vraiment gentil d'être venu ! > me fait-elle. Elle reste debout devant moi . Je m'empresse de répondre : < Je suis un homme de parole. Lorsque je dis, je fais ! >.

 

Gaëlle doit mesurer un bon mètre quatre vingt. Elle est mince et athlétique. J'admire sa cambrure de reins naturelle et gracieuse. Sa tenue de cavalière sublime encore sa silhouette. Ses longs cheveux noirs sont noués en tresse. Une tresse unique qui pend jusqu'au milieu de son dos. Son visage aux traits fins est très agréable. Je la trouve plus belle encore que l'hiver dernier. Belle et attractive. Je le lui fais remarquer. Gaëlle en souriant me remercie.

 

Je ne peux m'empêcher de lui demander : < Vous aimez ces situations ? Les "trucs" de tout à l'heure ? Les "plans exhib" ? >. La jeune fille éclate de rire et me répond : < J'adore ! Pas vous ? ! J'aime voir. J'aime être vue ! >. Nous restons silencieux. Nous savourons sans aucun doute cet échange.
J'admire cette fulgurance d'esprit ! Gaëlle m'a toujours étonné. Cela témoigne d'une intelligence et d'un réflexe intellectuel rares.

 

Dans ce jeu de rôle qu'aime tant Gaëlle, je continue : < C'est la première fois que vous faites ça ? >. Elle me fixe avec un regard vicieux pour me dire : < Oui ! D'une façon aussi directe ! Je ne suis jamais allée jusqu'à faire connaissance ! >. Elle me fait un sourire désarmant avant de rajouter : < Et puis il y des mecs qui "n'inspirent" pas ! > me fait-elle, espiègle.

 

De mon petit sac à dos, je tire deux petites bouteilles de jus de mangue. J'en offre une à Gaëlle. Nous restons à bavarder une bonne demi heure. La cavalière évoque la seconde année de médecine qu'elle s'apprête à entamer. Je lui demande pourquoi ce choix difficile. < Depuis que je suis petite j'aime jouer au docteur ! > me lance t--elle amusée. Nous éclations de rire

J'apprécie l'humour et l'esprit de réparties de la jeune fille. C'est étonnant. Je suis admiratif. Gaëlle s'assoit sur le tronc d'arbre à quelques mètres de moi. Elle écarte ses longues jambes pour se mettre à califourchon. La jeune fille me fait face. Elle m'observe avec un grand sérieux et en silence. Je la regarde. Tout ce qui s'est passé il y a huit mois semble déjà si loin. Nous sommes presque gênés de nous observer ainsi et d'aussi près.

 

Un petit moment passe ainsi. Gaëlle pose sa main à la hauteur de son sexe. D'un geste lent et mesuré. Elle referme sa dextre en forme de poing. La jeune fille se met une nouvelle fois à mimer une masturbation masculine. < Vous n'avez pas envie ? > me demande t-elle. Je reste un instant silencieux avant de répondre : < Gaëlle, je vis un moment prodigieusement excitant. Vous me mettez la tête à l'envers. Je ne sais plus quoi faire ! >.

 

< Faites comme moi , alors ! > me fait-elle en redoublant de vitesse. Accentuant encore le mouvement masturbatoire de sa main droite. J'ouvre la tirette de mon short. Avec peine, je sors mon sexe une nouvelle fois. Je reste ainsi avec ma turgescence pointant vers le ciel. Sans bouger. Je profite de cet épatant moment de vice. Par contractions régulières je fais bouger mon sexe. Prenant appui de mes deux mains, je me mets à califourchon sur le tronc d'arbre.

 

A présent nous nous faisons face. Nous nous sourions. Je reste ainsi. J'agite mon sexe par contractions du périnée. Je fixe la jeune fille dans les yeux. La situation est merveilleusement excitante. Gaëlle soutient mon regard avec l'aplomb qui lui est coutumier. Nous en savourons tous les deux la magie. Gaëlle regarde mon sexe avec une grande attention. Elle le connaît si bien.

 

< Dites-moi, cela fait du bien comme ça aussi, juste en la bougeant sans la toucher ? > me demande t-elle très intéressée. Je m'empresse de lui dire : < Oui ! Sans me toucher. Rien qu'en la faisant bouger, je peux m'emmener à l'orgasme et à l'éjaculation. C'est très agréable vous savez ! >. Gaëlle lève son pouce comme pour me féliciter. Son sourire est désarmant. L'éclat de son appareil dentaire brille de mille feux sous le soleil.

 

Gaëlle se cambre en avant. La cavalière prend appui de se deux bras posés devant elle. Assise sur le tronc d'arbre, elle me fait : < Moi, j'aime bien comme "ça" !>. Elle se met à bouger. Je la vois serrer ses jambes sur le tronc d'arbre. La jeune fille imprime un léger mouvement de son bassin. Elle me dit encore : < Je fais "ça" sur les coins de tables et sur la selle du cheval. Parfois, en balade sur mon cheval, je m'arrête à l'écart et je me donne du plaisir sur la selle. C'est si bon ! >.

 

Comme pour ménager son effet, Gaëlle marque un silence avant de continuer : < Je me suis même déjà fais surprendre par un vieux monsieur qui cherchait des champignons ! >. Cette révélation rajoute encore à mon excitation. Je tente une proposition : <  Vous seriez d'accord pour nous revoir régulièrement ? Ici ou ailleurs ? >. Gaëlle, ravie que j'entre à tel point dans le jeu me fait : < Oui ! Cela me plairait vraiment. Je ne rentre toutefois que le vendredi soir. Il me faut repartir le dimanche soir ! >.

 

Nous nous observons à nouveau un petit moment. Gaëlle rajoute : < Je fais mes études dans une ville à cent kilomètres d'ici ! Le samedi après-midi cela pourrait coller ! Et pour vous ? >. Je lui confirme mon entière disponibilité. Il suffira de m'envoyer un message. Nous décidons notre second rendez-vous pour demain. Dernier vendredi de septembre. Nous évaluons les possibilités de nos futurs rencontres. Elles seront secrètes. Je ne tiens pas à avoir la visite de la mère de Gaëlle une nouvelle fois. La jeune fille n'évoque jamais cette visite et ce qui s'en est suivi. Moi non plus.

 

J'entreprends de me masturber doucement. Jouant avec la peau de mon prépuce que je serre entre le pouce et l'index. Je suis droitier. Le fait de devoir me concentrer sur les agissements de ma main rajoute encore au plaisir. Gaëlle bouge son bassin de façon régulière. La jeune fille se frotte l'entre jambes sur le tronc d'arbre. <  Je suis une grande jouisseuse. Une grande masturbatrice ! > me fait-elle en gardant la cadence.

 

Quel magnifique spectacle. Nous nous observons avec une grande attention. Gaëlle commence à avoir une respiration haletante. Elle retient sa respiration à plusieurs reprises. Alternant avec autant d'apnées. De profonds soupirs accompagnent les mouvements de son bassin. C'est tout son corps qui semble trembler.

 

< Je me suis déjà masturbée avant. Sur le chemin qui mène ici ! > me fait la jeune fille juste avant d'avoir une série de spasmes. Des spasmes qui secouent tout son corps.  Sous l'effet de cette confidence, de cette révélation, le tout conjugué à la vision de cette scène paradisiaque, j'éjacule. Trois saccades presque violentes. Projetant mon sperme sur la jeune fille, des spasmes de plaisir agitent tout mon être. Je jouis comme un dément.

 

Nous restons ainsi de longues minutes à reprendre nos esprits. Fouillant dans mon petit sac à dos, je tends des mouchoirs en papier à la jeune fille. Cette dernière me montre le tissu de son pantalon entre ses cuisses. Une auréole humide. Une tache. Un cercle presque parfait macule cette partie de son vêtement. Nous éclatons de rire. Gaëlle prend un peu d'eau de l'étang. Avec un mouchoir en papier elle tente d'enlever les taches de sperme sur sa veste.

 

Il est déjà dix huit heures. il faut songer à prendre le chemin du retour. Nous nous donnions rendez-vous ici même, à quinze heures, demain vendredi.  Après m'avoir serré la main Gaëlle monte sur son cheval. Juste avant de disparaître derrière les bosquets la cavalière se retourne. Très droite, le port de tête altier, elle me fait un dernier signe de la main accompagné d'un merveilleux sourire.

 

Vivement demain ...    
 
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29/07/2014

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