L'ECRIT DE JOIE

L'ECRIT DE JOIE

Gaëlle - (13) - Surprenante

 
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                                                    Gaëlle surprenante

 

Vendredi est arrivé très vite. Pour ce troisième après-midi consécutif j'arrive à l'étang à quatorze heures. J'avoue avoir beaucoup pensé à ma cavalière. Et ce n'est donc pas sans une certaine impatience que je me retrouve en ces lieux. Comme les deux jours précédents je m'installe sur mon plaid avec mon livre captivant. La douceur exceptionnelle du climat de cette fin de septembre me permet de venir à bicyclette. En short et en T-shirt.

 

Je suis allongé depuis un quart d'heure. Je lis. Mon attention est soudain attirée par le bruit des sabots d'un cheval. Je relève la tête. Par delà l'étang je vois arriver Gaëlle. Toujours si droite sur son cheval. Nous nous faisons signe de la main. Elle fait tourner son cheval deux fois avant de mettre pieds à terre. La cavalière s'approche de l'eau en tenant sa monture. Le maintenant pas sa longe, l'écuyère permet à l'animal de boire.

 

Comme hier la jeune fille est accroupit au bord de l'étang. Elle joue avec sa longue tresse noire qui pend devant son épaule. Gaëlle m'observe sans bouger. Je l'observe avec la même attention. Nous échangeons plusieurs sourires.

 

La situation dure quelques minutes. Gaëlle pose sa main sur son sexe. Elle a les jambes largement écartées. Malgré les quelques trente mètres qui nous séparent je peux voir sa main bouger régulièrement. Lentement. Je me lève. Laissant tomber mon short aux chevilles je tiens mon sexe avec la main droite. Je le pointe dans sa direction. Je reste sans bouger, la main gauche sur la hanche.

 

Je reste immobile. Je me concentre sur les agissements de la jeune fille. Nous restons ainsi quelques minutes. Nous nous observons. De la main gauche je lui fais signe de venir me rejoindre. Se redressant, se massant les cuisses, Gaëlle lève le pouce de sa main droite et monte sur son cheval.  Je reste debout, cambré en avant, les genoux fléchis. Je me masturbe. Le sexe dans la main droite, imprimant un mouvement régulier de haut en bas, la main gauche tenant mes couilles. J'attends l'arrivée de la cavalière.

 

C'est dans cette situation qu'elle me découvre. Gaëlle arrive par le sentier qui dépasse l'épais bosquet. La jeune fille, droite et fière sur sa monture, s'arrête. Elle me regarde longuement et avec le plus grand sérieux. Cette situation m'excite au plus haut point. Je n'arrive plus à m'arrêter tellement c'est bon. Une fois de plus nous restons de longues minutes à savourer ce moment.

 

La cavalière s'approche. Elle descend de cheval. Elle me tend la main. Gaëlle tient une toute petite serviette de bain. Une serviette posée sur la selle et qu'elle jette à présent sur le tronc de l'arbre couché au sol. Dans l'herbe. Je suis entrain de me livrer à une masturbation des plus jouissives. Mon sexe humide et chaud dans la main droite. Je la lui tends. Gaëlle reste ainsi, ma main dans la sienne pendant quelques instants. Ce "touché" est un instant de vice supplémentaire. J'en ai la conviction lorsque Gaëlle renifle ses doigts.

 

La jeune fille me fait un sourire espiègle en me disant : < Bonjour. Je constate une fois encore que vous êtes fidèle à vos rendez-vous ! C'est vraiment très sympathique ! >. Je m'empresse de répondre : < Bonjour ! Pour de tels rendez-vous qui ne le serait pas ! >. Gaëlle mime un mouvement masturbatoire en me faisant : < Je vois que "ça y va" ! > La jeune fille pointe son index sur mon sexe. Tout en continuant son geste obscène. 

 

Je suis amusé et je dis : < C'est une de mes activités préférées ! >. La jeune fille éclate de rire avant de répondre : <  Moi aussi ! C'est un de mes passe-temps favoris ! >. Tout en assénant cette affirmation Gaëlle met sa main entre ses cuisses pour se toucher le sexe. La jeune fille se cambre sur ses jambes, le bassin en avant, les genoux fléchis. La cavalière se touche. Elle me fixe avec un sérieux qui parait en totale inadéquation avec ce qu'elle fait. Je la regarde en redoublant d'activité.

 

Debout, l'un en face de l'autre, nous nous masturbons de concert. La jeune fille, la bouche ouverte, respirant fortement, bouge doucement sa main de façon régulière. L'écuyère me fait : < Il faut que je m'arrête un peu.  Je veux faire durer. Ce serait trop bête ! Je me suis déjà masturbée sur le cheval en venant !>. Gaëlle se redresse. Elle s'avance pour s'asseoir à califourchon sur le tronc d'arbre.

 

Je cesse également. En remontant mon short, à mon tour je m'assois à califourchon sur le tronc. Nous nous faisons face, silencieux. Nous nous fixons en souriant. Gaëlle me demande soudain : < Vous devez me trouver très "salope", non ? >. Je m'empresse de lui répondre : < Vous devez me trouver très "vicelard", non ? >. Nous rions de bon cœur.

 

Gaëlle rajoute encore : < Disons que cet endroit est le cadre idéal pour des rencontres de ce genre ! > La jeune fille est subitement très sérieuse. Je réponds : < Il est tellement rare de rencontrer des filles qui aiment partager de telles situations ! >.

 

Un nouveau silence s'installe. La main de la jeune fille retourne entre ses cuisses. Je regarde avec attention. Je découvre alors une chose extraordinaire. A l'endroit de son sexe, son pantalon d'équitation est soigneusement décousu ou découpé. Sur l'exacte dimension nécessaire. Les lèvres et le clitoris sont visibles. C'est discret et à moins d'un regard attentif cela peut tout à fait passer inaperçu.

 

Cette révélation me cause une érection fulgurante. Presque douloureuse. Gaëlle précise en me voyant si étonné : <  Pour que le cuir de la selle ne m'irrite pas, je suis assise sur la serviette ! >. La jeune fille me tend la serviette de coton. Je touche. Le tissus est d'une extrême douceur. Je fais : < C'est  sublime ! C'est d'un raffinement exquis ! >. Gaëlle rajoute : <  Ce qui implique que je sois nue sous mon pantalon ! Cela m'excite au plus haut point. Un de mes fantasmes serait d'être totalement nue sur mon cheval en forêt ! >.

 

Je lui fais un clin d'œil en précisant : < Je peux assumer la fonction d'ange gardien ! >. La jeune fille sourit et me fait : <  Je vais y penser très sérieusement ! >. Nous rions. Je regarde les lèvres de son sexe. Elles sont bien apparentes. Une vision rare et excitante. Surprenante. De l'index et du médius de sa main droite Gaëlle se caresse. Je recommence à me masturber lentement. Il n'est pas question de risquer une éjaculation prématurée. Je veux vraiment apprécier l'instant.

 

Nous restons ainsi un long moment. Une durée non quantifiable. Nous nous observons. Nos masturbations sont de sublimes instants de partage. Gaëlle me fait : < C'est très pratique ! J'ai décousu la couture avec soin et recousu à ma façon ! >. La jeune fille se lève. Elle se place bien face à moi. S'accroupissant à deux mètres devant moi, elle se met à pisser. De petits jets qu'elle interrompt en gémissant. Se penchant en arrière dans ma direction, en appui sur une main, guidant le jet de l'autre, la jeune fille lâche un jet si puissant qu'il vient se briser sur le tronc. M'éclaboussant.

 

Gaëlle me regarde par en-dessous et me demande : < Fâché ? >. J'éclate de rire en faisant : <  Pas du tout ! C'est à refaire absolument ! >. La jeune fille reste dans cette position. Elle se remet à pisser. Je peux voir s'écouler de la cyprine de sa vulve. Deux liquides s'épanchent là. Sources d'une délicieuse volupté.  La cavalière recommence à se masturber doucement  tout en terminant d'uriner.

 

Je me masturbe à nouveau. Cela dure quelques minutes. Plusieurs spasmes secouent le corps de la jeune fille. Un orgasme envahit l'écuyère. N'en pouvant plus, j'éjacule comme un dément. Une fois encore je macule la veste de la fille d'une giclée incontrôlable. Nous restons ainsi, haletants, sans dire un mot. En nous regardant, nous reprenons notre souffle. Gaëlle se lève et va s'allonger sur mon plaid. Je la rejoins.

 

Nous avons repris nos esprits. Gaëlle me fait : < Je n'en plus de me faire jouir comme ça ! Si vous saviez ! Il y a des journées entières où je ne pense qu'à "ça" ! Il faut que je "consulte" ! >. Nous éclatons de rire. Je réponds : <  Avec le début de vos études, lundi, vous aurez bien d'autres préoccupations ! Et puis s'il devait y avoir "consultations" je veux bien faire le "psy" ! >. Nous rions encore.

 

Gaëlle me propose de nous revoir dimanche après-midi. S'il devait pleuvoir, la jeune fille a un "plan B". La petite chapelle abandonnée à la croisée des deux chemins, juste après la grange. La cavalière me demande : < Vous avez toujours le même numéro de téléphone ? >. Je m'empresse de lui dire : < Oui ! Mais discrétion et prudence totales ! Je ne veux pas voir débarquer madame votre mère une nouvelle fois ! >.

 

Gaëlle hausse les épaules en me faisant : < Je ne fais plus la bêtise de laisser traîner mon portable ! Et puis j'efface les messages dès que j'ai lu ! >. Dimanche. Ici. Au même endroit à quinze heure. La jeune fille se lève : < Il faut que j'y aille ! A dimanche ! >. Nous nous serrons la main. La cavalière monte sur son cheval. Elle me montre son entre jambes en me faisant un clin d'œil. Avant de partir la cavalière me lance : < Je vais frotter mon minou jusqu'au centre hippique ! >.

 

Je la regarde s'éloigner. Juste avant de disparaître derrière les bosquets, Gaëlle se retourne. Elle me fait un grand signe de la main...
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29/07/2014

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