Le bois du Nevet
Randonnée jusqu'à la chapelle
Nos profonds sommeils nous emmènent aux environs de huit heures. Ce lundi matin est ensoleillé. Le ciel d'un bleu d'azur. J'ouvre les yeux. Odélie, couchée sur le dos, la tête entre son oreiller et le mien, se met à gémir en s'étirant. Je l'observe depuis quelques minutes. En me découvrant ainsi, elle se blottit contre moi en murmurant : << Bonjour ! Tu es réveillé depuis longtemps ? >>. Je me tourne pour me mettre sur le ventre. Je dépose une bise sur son front. Son sourire me fait fondre. << Pipi ! >> s'écrie t-elle en se redressant pour se lever d'un bond. Je me lève à mon tour pour ouvrir la porte fenêtre du balcon. La température extérieure est douce. Pas un souffle de vent. Odélie vient me rejoindre. Nous sommes tous les deux juste vêtus de nos T-shirts de nuit. Quelques bisous. À mon tour d'aller aux toilettes. J'entends Odélie chantonner.
Quand je vais à la cuisine, dans l'odeur du café que prépare Odélie, je pose mes mains sur sa taille, debout derrière elle. Je hume ses cheveux. Le grille pain éjecte ses quatre premières tranches. Je les beurre, Odélie les recouvre de miel et de confiture. Je presse les oranges, je pèle les kiwis. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur son arrivée à Locronan, hier, dimanche en fin d'après-midi. Odélie me donne ses impressions. Passe quelquefois son index sur le dos de ma main. Me fait un sourire. Se tait de courts instants avant de revenir sur l'accueil réservé par Claude et oncle Norbert. << J'aime bien ces gens. Ils sont gentils et m'ont reçu comme une membre de leur famille. Ça me touche ! >>. En venant s'assoir sur mes cuisses, trempant sa tartine dans mon bol, elle rajoute : << Je crois que je vais beaucoup me plaire ici. Je vais m'offrir dix jours de vraies vacances ! >>. Nous mangeons de bon appétit en faisant le vague programme de la journée.
Le jogging dont nous raffolons va occuper la première heure de la matinée. À peine la vaisselle faite, nous enfilons nos shorts de lycra noir, nos T-shirts de lycra rouge. Nos baskets. Pressés d'aller courir, nous dévalons l'escalier. Quelques mouvements d'échauffement à l'ombre fraîche de la maison. Le van blanc est garé sous l'auvent des garages, au fond de la propriété. << Bonjour petit camion ! >> lance Odélie en saluant son véhicule. C'est parti. Nous courons en direction de Quéménéven. Sur le bord de la route déserte pour prendre à gauche. Le chemin en pente douce descend dans la forêt. Il est agréable de courir sous les frondaisons. Les odeurs des bois. L'humus, la rosée et leurs enivrantes effluves parfumées. les premiers papillons blancs accompagnent les quarante cinq minutes de notre running. Second plaisir de cette journée qui s'annonce magnifique. Nous revenons vers dix heures.
Nous prenons notre douche ensemble. En nous savonnant, en riant de nos espiègleries. Il est si bon de se faire des papouilles sous le filet d'eau dont Odélie se plaît à régler le débit et la température. Jusqu'au froid qui nous précipite hors de la cabine. << Les douches froides sont les meilleures et prémunissent des affections de l'hiver ! >> précise t-elle. Nous nous essuyons vite. Odélie porte une jupette carmin, un T-shirt brun clair. Je suis en short beige et T-shirt gris. Nos baskets. Dimanche matin j'ai fait les courses. Il nous faut toutefois du pain. Excellent prétexte pour nous rendre au bourg. Nous croisons oncle Norbert dans le jardin. Nous bavardons un peu en le rassurant. Nous avons merveilleusement bien dormi. Odélie me tient par la main. Je redécouvre mon aventurière pleine d'entrain, pleine de ce dynamisme qui la pousse à prendre toutes les initiatives. Elle m'entraîne ainsi pour descendre la rue.
La grande place pavée de Locronan est déjà pleine de touristes. << L'endroit me fait penser à Rochefort-en-Terre ! >> s'exclame mon accompagnatrice. Je propose d'aller saluer Jacques dans sa libraire Celtique. Il faut monter au second étage d'une des vieilles demeures par un escalier en colimaçon. Ce qui n'est pas sans évoquer quelque donjon médiéval. Arriver dans cet endroit est un instant inoubliable. Au-dessus des livres, des étagères, sont posés les objets les plus insolites. Vieux postes de radios, anciennes cartes de la Bretagne, maquettes d'avions et de bateaux d'un autre temps. C'est hétéroclite, magique et mystérieux. Je fais les présentations. Odélie porte ses longs cheveux presque noirs en catogan. Elle regarde partout autour d'elle. L'endroit est si étrange. Jacques me jette un curieux regard. Je devine sa pensée. Odélie feuillette quelques ouvrages. Albums photos, bandes dessinées. Elle passe les doigts sur le métal mat de l'armure.
Nous ne nous attardons pas. Nous traversons la place en nous arrêtant au puits. Il est profond. Le cercle parfait des eaux de son fond reflète les silhouettes de nos têtes, de nos épaules, à contre jour sur le bleu du ciel. La journée s'annonce belle et chaude. Je propose d'aller saluer Sylvain dans son épicerie fine. "Le loup-garou gourmand" est tout aussi étonnant que la "Librairie Celtique". On y trouve les conserves, les bières, les produits les plus rares et artisanaux de notre Bretagne. Sylvain et sa bonne humeur constante nous reçoivent avec des mots d'humour qui le caractérisent. Il y a des clients. Nous le laissons à ses occupations. Odélie me donne ses impressions. Nous faisons toutes les boutiques entourant la place. Jouant aux touristes. Hugo, le sculpteur, sculpte. Devant les regards admiratifs des spectateurs qui entourent son stand. Lui aussi me lance un étrange regard après avoir découvert la jeune fille qui tient mon bras.
Nous prenons du pain, une brioche au pudding et des croissants. Pour midi, je suggère de manger des crêpes au Ty-Coz. La terrasse du restaurant est à l'ombre des maisons du quinzième siècle. Odélie passe ses bras autour de mon cou. Se met sur la pointe des pieds. Regarde la bâtisse où s'affaire les serveurs. Elle reste un instant hésitante. Elle finit par dire : << Je préfère qu'on se fasse à manger à l'appartement. J'ai encore plein de choses à te raconter. Des affaires à ranger ! >>. Trop content je n'insiste pas. Nous entrons par la porte de droite dans l'église Saint Ronan. L'odeur très particulière du lieu est presque oppressante en cette fin de matinée. Odélie remarque cette clef gravée dans la dalle de pierre du sol. << Comme dans le sousterrain, tu te rappelles ? >> fait elle. Personne n'en connaît l'origine. << On va en inventer une. La clef de nos libertés ! >> lance ma compagne de vacances. Nous ressortons par la porte gauche pour prendre immédiatement à droite. La rue.
J'ai prévu plusieurs repas. Dans la partie congélateur du réfrigérateur, des filets de saumon, des escalopes de poulet, de dinde et des nems. Odélie propose de préparer la salade de tomates et son assaisonnement. Je poêle deux escalopes de dinde avec de petits champignons noirs réhydratés. La cuisson des spaghettis. Odélie râpe une bonne quantité de Parmesan. Préparations rapides, rationnelles et donnant l'eau à la bouche. Nous mangeons de bon appétit en revenant sur les rencontres de la matinée. Assise sur mes cuisses, ses bras autour de mon cou, Odélie me raconte quelques aventures vécues en Andalousie. La chaleur accablante. Les espaces désertiques. Valence et ses marchés pittoresques. << J'ai un garde du corps tu sais. C'est mieux pour une fille ! >> me confie t-elle. J'adore ce petit sourire énigmatique qui illumine son visage une seconde. Moi qui suis attiré par les mystères de la psychologie féminine, je jubile en secret.
<< On se donne rendez-vous à un point précis. C'est beaucoup plus rassurant pour une fille seule ! >> m'explique t-elle avant de demander : << Et toi, tu es le garde du corps de quelqu'un ? >>. Le sens de la question nous amuse. Me fait rire. Je réponds simplement : << Oui ! >>. Un long silence s'installe. Je refuse d'en parler. Ni l'un ni l'autre ne ressentons d'ailleurs le besoin d'en parler davantage. La vaisselle. Nous nous lavons les dents en faisant les clowns devant le miroir de la salle de bain. Dans le petit sac à dos que je porte, des abricots, des nectarines et la gourde d'eau. Des barres de céréales et la minuscule paire de jumelles. Pressés de filer nous dévalons les escaliers. Nous traversons la propriété jusqu'à la poterne arrière. De là, un étroit sentier monte en pente douce vers la "montagne" de Locronan. L'itinéraire reste à l'ombre d'arbres dont les troncs sont recouverts d'une mousse ocre. De hautes fougères dissuadent de quitter le chemin.
Odélie marche à l'avant. Imprimant un rythme soutenu. Quelquefois elle se retourne. S'arrête, effleure mes lèvres des siennes. Qu'il est agréable de pouvoir marcher à l'ombre des branchages feuillus. Une clairière. Les troncs des arbres qui nous entourent sont maintenant recouverts d'une mousse rouille. Les rayons du soleil y pénètrent en dansant. L'endroit est magique. Assis en tailleur sur la mousse sèche du sol, nous grignotons nos abricots. Odélie revient sur des souvenirs communs. Le souterrain. L'île. << Tu te souviens du petit tuyau bleu ? Je l'ai emmené. Il est dans la petite pochette au fond du sac ! >>. Je plonge la main dans le sac pour en sortir la pochette noire. Odélie la saisit pour l'ouvrir. Elle en sort l'objet que je reconnais bien. Nous rions du souvenir que nous en gardons. Pas de mur ici pour faire des dessins de petits bonhommes. Les fruits ont rendu nos doigts gluants. Odélie y verse un peu d'eau. Mouchoirs en papier.
Nous reprenons notre montée. Le sentier sinueux traverse parfois l'étroite route qui va jusqu'à la chapelle Ar Sonj. Nous ne croisons que de très rares randonneurs. Quelquefois le sentier devient chemin. Nous pouvons y évoluer en nous tenant par les mains. Odélie s'arrête soudain. Une expression de gravité sur le visage, elle me demande : << Qu'est-ce qui te rend aussi attachant ? >>. Je reste complètement abasourdi par cette question. Je réfléchis. Que dire ? Je finis par répondre : << Toi ! >>. Odélie saisit ma main pour m'entraîner. Nous reprenons notre montée. Voilà la chapelle. C'est une construction de pierres, toujours fermée. L'édifice religieux n'est accessible au public qu'aux Troménies. Fêtes religieuses annuelles et éminemment folkloriques. Construite en 1911 son architecture est simple. Nous nous installons à l'ombre de ses murs.
Odélie s'allonge. Sa tête sur ma cuisse. << Que c'est bon d'être en vacances ! Et de vraies vacances. J'aime tellement être insouciante ! >> dit elle. Je passe l'extrémité de mon index sur ses sourcils noirs. Je les caresse en l'écoutant partager ses ressentis. Il y a une voiture qui se gare sur le parking où s'arrête la route. Une famille. Des gamins hurleurs. << Oh merde ! Des emmerdeurs ! >> lance ma compagne de randonnée. Je rajoute : << Des Simpson en virée ! Les pires ! >>. Elle se redresse. Nous supportons les cris, les hurlements, jusqu'aux limites de nos patiences. Environ dix minutes. << Viens on se casse ou je commets un infanticide ! >> s'exclame Odélie. Nous nous levons pour fuir en riant. C'est par la route que nous reprenons la descente. Du sommet de la "montagne" la vue sur la baie de Douarnenez est extraordinaire. Sur la droite le cap de la chèvre. Sur la gauche la pointe du Van. Une mer bleue aux reflets d'argent.
Se serrant subitement contre moi, son bas ventre collé contre le mien, Odélie chuchote : << Tu sais que ces balades flattent ma libido ! >>. Je l'écarte délicatement. Je veux plonger mon regard dans le sien en posant mes mains sur ses épaules. Elle me fixe de ses yeux noirs et intenses. Une expression mutine et espiègle. << J'ai dit une bêtise ? >> demande t-elle. Je réponds : << Non, mais tu as un gage ! >>. Sautillant autour de moi, ma comparse s'écrie : << Oh oui ! Oh oui ! C'est quoi ? >>. Je reste un instant hésitant. Vais-je avoir le courage de dire cette énormité ? Devant mon hésitation Odélie insiste : << Allez ! Dis-moi tout ! >>. Je réponds d'une voix à peine audible. Une voix couverte par le bruit de la voiture qui redescend. Mais Odélie a très bien entendu quand même lorsque je dis : << Tu dois continuer cette randonnée jusqu'au retour, sans culotte ! >>
<< Oh, c'est ça ? Mais je fais ça parfois sans que ce ne soit un gage ! >>. Nous rions aux éclats. Retroussant sa jupette Odélie retire sa culotte. Manquant de perdre son équilibre en levant la jambe droite, elle se retient à mon épaule. << Et voilà ! >> lance t-elle en faisant tournoyer le sous vêtement au-dessus de sa tête. Avant de le poser sur la mienne. << Je prends une photo ! >> s'écrie t-elle en sortant son téléphone du sac. Je me prête au jeu en faisant d'horribles grimaces. Odélie prend quelques clichés en me priant de rester sérieux. Nous rigolons comme des fous en découvrant les clichés sur l'écran de son I-phone. Attrapant ma main, ma compagne de promenade m'entraîne. Elle retire la culotte de ma tête pour la fourrer dans la pochette avant du sac à dos. Nous descendons d'un bon pas. Heureux comme des écoliers le dernier jour d'école.
Dans l'avant dernier virage en épingle à cheveux, Odélie se met à courir pour me précéder d'une vingtaine de mètres. Je m'arrête sans comprendre. Elle s'accroupit soudain. Elle écarte ses cuisses en me demandant : << Tu préfères la vue sur la baie ou sur la raie ? >>. Je suis plié de rire. Je m'accroupis à mon tour en restant à une dizaine de mètres. Je réponds : << Tu es adorable ! >>. Elle répond : << Je sais ! >>. Odélie se lâche soudain dans un jet puissant. Je reste pantois, sidéré. Je regarde avec attention. C'est tellement surréaliste que j'en ai le souffle coupé. Odélie me fixe. Amusée, contente de l'effet que cela produit sur ma psyché. C'est troublant et surprenant. Odélie termine. Reste encore quelques instants dans cette position. Elle se redresse probablement juste avant l'ankylose. Une voiture arrive. Roulant dans la longue coulée qui traverse la route. J'inspire profondément pour revenir aux réalités.
<< Ouf ! Juste à temps ! Je l'ai échappé belle ! >> lance t-elle. Elle jette le mouchoir en papier dans les fourrés. Elle monte me rejoindre pour prendre ma main. Nous rions en reprenant notre descente. Je dis : << J'aime aussi sans le petit tuyau bleu ! >>. Odélie stoppe notre marche, passe ses bras autour de mon cou, sur la pointe des pieds, pour rajouter : << Je suis si bien avec toi ! Je me sens respectée, écoutée et comprise ! >>. Elle effleure mes lèvres des siennes. Nous revenons par la rue de la Tour Saint Maurice en passant devant la pierre verticale de la Keben. Il va être dix neuf heures trente. À droite le manoir Kerguénolé. À gauche le manoir de Sylvain. Le retour sur la place, noire de monde, nous fait prendre conscience de la faim qui nous tenaille. C'est dans l'ancien restaurant du Prieuré "Ar Maen Hir" que nous trouvons une table. Sous la pergola, sur la terrasse. Il y a un monde fou là aussi. Le bourdonnement incessant des conversations.
Nous savourons des queues de homards fumées accompagnées de légumes cuits à la vapeur. C'est un délice accompagné d'un rosé frais. << Je mange au restaurant sans culotte ! >> me fait soudain Odélie alors que nous envisageons déjà les aventures du lendemain. Je demande : << Et c'est comment ? >>. En riant elle me répond : << C'est frais quand j'écarte ! Il y a un agréable courant d'air ! >>. Nous en rigolons comme des bossus. Un petit tour aux toilettes, chacun à notre tour, avant l'addition. Nous remontons la rue du Prieuré pour nous retrouver sur la place. Un vrai bonheur que d'y flâner jusqu'au crépuscule. Nous entrons dans l'église. Seules les bougies en éclairent les recoins. Fantomatique. La nuit est tombée lorsque nous revenons à l'appartement. Odélie insiste pour que nous prenions la douche ensemble : << Interdiction de t'éloigner de moi. Sauf injonctions. Et je te préviens, je suis hyper jalouse ! >> dit elle.
Nus comme au premier jour de notre vie, nous sommes allongés dans les transats sur le balcon. De loin nous parviennent les derniers bruits du bourg. Demain soir il y aura le second "marché aux étoiles". Marchés nocturnes ayant lieu deux fois par semaine jusqu'à la fin août. En revenant de notre prochaine randonnée nous nous promettons de venir y flâner. La fatigue nous gagne. Odélie se lève, s'assoit sur moi à califourchon. Elle mitraille mon visage de bisous avant de dire : << J'aime ce que tu me fais ! Tu sais ! >>. Je comprends immédiatement l'allusion. Odélie se frotte doucement sur mon érection. Elle se lève pour m'entraîner dans la chambre. Une fois encore, j'offre ma bouche à ses désirs. J'adore. Elle aussi. << Je ne suis revenue que pour ça ! >> murmure t-elle. En s'empressant de rajouter : << Ce n'est même pas vrai ! >>
Je fais durer avec toutes les ruses dont je suis coutumier. Cessant lorsque je sens arriver l'ultime. Impossible de simuler l'inéluctable. Les spasmes qui agitent son corps me couvrent de délicieuses émotions. Cette fois, avant de l'emmener au plaisir avec ma bouche, je la pénètre lentement. Centimètre par centimètre. Ses gémissements sont la plus douce des musiques. Elle se suspend à moi pour se laisser emporter dans mes chevauchées. Je me retire pour revenir aux caresses buccales. J'adore quand Odélie se met à tortiller du bassin, gémissante, comme affolée. Elle se crispe, se cambre soudain, me repousse en poussant un cri. Haletante elle m'attire auprès d'elle car elle sait que j'aime repartir pour un second tour. À son oreille, je chuchote : << J'aime les coquines. Je m'ennuie tellement avec celles qui ne le sont pas ! >>. Le dernier mot qu'elle prononce avant de sombrer : << Coquin ! >>. Je lutte pour garder mes yeux ouverts. Je veux encore la voir, la regarder un peu, m'enivrer...
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