L'ECRIT DE JOIE

L'ECRIT DE JOIE

Le rituel pisseux devant la jeune fille

 

 

                                                       Le rituel pisseux devant Judith

 

J'aime beaucoup parcourir la piste cyclable. L'ancienne voie ferrée transformée et goudronnée. J'y ai mes habitudes. Depuis quelques années je fais mes 50 km en soirée, à la belle saison. Sur le retour, je m'arrête près de la maison du garde barrière. Cette petite bâtisse est aujourd'hui inhabitée. Derrière, au fond du jardin, il y a une remise. L'endroit idéal pour y satisfaire un besoin naturel. Discret et éloigné du chemin.

 

Sur la droite, il y a bien une autre maison. Il est toutefois difficile d'y être vu depuis l'unique fenêtre du premier étage. Je pose mon vélo contre la palissade. Je pisse tranquillement contre la cloison de vieilles planches. Il est souvent déjà 20 h30. Cela dure tout au plus une petite minute. Je suis en tenue de sport. Short, maillot et baskets. Les choses sont donc simples et rapides. Je fais la même chose chaque soir. C'est un rituel.

 

Ce soir là, je fais comme tous les jours. Mon sexe sortit par le haut du short, je me soulage d'un long jet libérateur. Je bois beaucoup durant l'effort. L'abondance est donc normale. Soudain, là, sur ma droite, une voix féminine me fait : < Bonsoir ! >. Je manque de me pisser sur les chaussures, je regarde. Au premier étage de la maison, il y a une jeune fille à la fenêtre. Je me détourne un peu pour cacher mon activité. Masquer mon sexe.

 

Je réponds d'un bonjour poli mais embarrassé. La jeune fille doit avoir 20 ans tout au plus. Je termine. Je regarde à nouveau. Elle est toujours là. Elle m'observe avec un large sourire pour rajouter : < Balade à vélo ? >. Je range mes attributs. La jeune fille engage la conversation. Nous bavardons un bon moment. La jeune fille évoque sa troisième année de faculté. Mon estimation quand à son âge est donc bien fondée.

 

Je lui signifie qu'il va me falloir repartir. Il me reste 20 km. Je veux arriver avant la nuit. < C'était génial ! > me fait-elle en ponctuant ses dires par un clin d'œil appuyé. Je suis amusé par cette attitude. La jeune fille le sent bien. Je lui fais : < Quoi donc ? >. Elle est soudain très espiègle et mutine. Elle me répond : < De faire connaissance ! >. Elle garde un silence amusé avant de me faire : < Je vous vois ici presque tous les soirs ! >.

 

Je prends congé. Je salue la jeune fille en me présentant. Elle me répond : < Moi c'est Judith ! Au revoir ! >. Nous nous faisons un dernier signe de la main. Sur la route du retour, je pense à cette rencontre insolite. Ainsi cette jeune fille me regarde pisser chaque soir cachée derrière le rideau de sa fenêtre. Cela m'amuse. A force d'y penser cela titille un peu ma libido. Je me promets de m'arrêter au même endroit demain soir.

 

J'attends cette randonnée à bicyclette toute la journée. Et avec impatience. Sur le retour, comme chaque soir, je passe derrière le cabanon. Depuis la piste cyclable j'ai remarqué la fenêtre fermée de la maison voisine. J'évite de regarder dans cette direction. J'essaie le plus naturellement du monde de satisfaire mon rituel. L'idée d'être vu m'excite. Je bande mou. Je tiens mon sexe à sa base. Je m'oriente de façon à être bien vu.

 

Je me concentre. J'essaie de pisser. Il y a bien quelques gouttes et un mince filet qui viennent s'écouler contre les planches. < Bonsoir ! >. Je regarde sur ma droite. Judith est à sa fenêtre. Elle a un sourire éclatant. Une vingtaine de mètres nous séparent. Tout au plus. Cette fois, je reste dans ma position. Je ne tente pas de me dissimuler. Je bande mou. J'arrive à lâcher un nouveau jet. Je réponds tout en pissant : < Bonsoir Judith ! >.

 

Je la regarde. Je la fixe. Je me sens pétri de vice dans ce moment intense. C'est très excitant. La jeune fille m'observe, ravie. Immédiatement elle entame la conversation. A présent je bande très fort. La nature m'a doté de cette particularité de pouvoir pisser en érection. Je me tourne face à la jeune fille. J'ai les mains posées sur mes hanches. Je lâche plusieurs jets tout en bavardant. Judith semble enchantée de mon initiative.

 

Je fais durer un petit moment entre chaque jet. Je lui fais : < C'est mieux comme ça, non ? >. Elle éclate de rire. Elle me fait : < C'est génial ! >. Je vois bien à son attitude que Judith est plutôt bien excitée aussi. Je m'avance jusqu'au grillage. Nous sommes à une dizaine de mètres l'un de l'autre. Je lâche les deux derniers jets. Je laisse s'écouler les dernières gouttes qui coulent le long de mon sexe dressé.

 

Je saisis mon sexe à sa base. Je le secoue en direction de la jeune fille qui rit. Nous restons à bavarder ainsi un très long moment. A plusieurs reprises je secoue mon sexe dans sa direction. < C'est vraiment génial ! > répète t-elle à chaque fois. Je tiens le bout de mon sexe entre le pouce et l'index. Je me masturbe doucement. Judith n'en croit pas ses yeux grands ouverts. < Ouah ! C'est "top" ! > fait-elle encore.

 

La nuit commence à tomber. Je suis équipé d'une lampe avant et d'une lampe arrière. Je déteste toutefois rouler de nuit. Je signifie à la jeune fille qu'il va falloir mettre un terme à notre jeu. Je lui promets de revenir demain. < Je me réjouis ! > me fait-elle. Nous nous saluons. Me voilà sur le chemin du retour. J'arrive à la maison dans la nuit. Sous la douche je prends la pleine conscience de ces moments privilégiés avec Judith.

 

Bien évidemment le jour suivant passe beaucoup trop lentement. A mon goût. Enfin vient l'heure de ma virée. Comme chaque soir, je viens me mettre en situation. Je sors mon sexe. Je me masturbe doucement. J'ai une forte envie de pisser. < Bonsoir ! >. Je regarde en direction de la fenêtre. C'est Judith. Tout en me masturbant je réponds. Nous bavardons. Je cesse régulièrement ma masturbation pour lâcher un jet, court, net et précis.

 

A nouveau je m'approche du grillage. Je me masturbe devant la jeune fille qui est absolument enchantée de ce qu'elle me voit faire. A présent ma masturbation est franche. Je cesse régulièrement pour lâcher un jet de pisse. Toujours ces mêmes mots que lance Judith : < C'est trop génial ! Vraiment ! >. Je descends mon short et mon slip à mi-cuisses. < C'est géant ! > me fait encore la fille. J'éjacule d'un jet puissant.

 

Trois jets de sperme viennent s'étaler sur la dalle de béton entre le grillage et la maison. Je suis secoué de spasmes. Mon orgasme est démentiel. Il y a encore du sperme qui s'écoule. J'en ai plein les doigts. Je les montre à Judith en disant : < C'est à cause de vous ! >. Elle répond en riant : < Vous m'en voyez enchantée cher monsieur ! >. Je me mets à pisser d'un jet long et continu. < C'est vraiment super ! > me fait la jeune fille.

 

Encore une fois, je sens bien que je vais rentrer à la nuit. Nous sommes à la fin du mois de juin. Judith m'apprend qu'elle part en vacances le 3 juillet. Dans huit jours. Elle sera de retour fin juillet. Nous faisons un rapide emploi du temps. Il est convenu que je vienne chaque soir lui offrir mon spectacle. Il ne s'est strictement rien passé d'autre durant cet été. Mais nous avons "pratiqué" jusqu'à la mi septembre. Puis, plus aucun contact.

 

Cette année, je suis évidemment retourné à maintes reprises. La fenêtre reste obstinément fermée. Parfois même les volets en sont clos. Il faut préciser que nous ne sommes encore qu'au début du mois de mai...

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04/04/2017

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