L'ECRIT DE JOIE

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Clémence - 5 - Ma surprise

 
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                                                      C'est moi qui fait une surprise
 

Ce vendredi, vers midi trente, je suis entrain de déguster mon plat préféré. Une escalope de dinde à la crème accompagnée d'un riz Créole. Gruyère. J'écoute mon émission préférée. Je suis d'un naturel optimiste. Mon esprit vagabonde. Excellent cuisinier, j'aime à m'offrir les plaisirs de la table. Des plaisirs que j'apprécie de me concocter dans quelques improvisations culinaires du meilleur aloi. Avec soin. Avec méthode.

 

La sonnerie de mon téléphone portable me tire de mes introspections. Je décroche. < Bonjour. C'est Clémence. Tout va bien ? >. Je suis un peu surpris. Je réponds : < Oui. Tout va très bien. Et toi ? >. La conversation est courte. La jeune fille me fait : < Très bien aussi. C'est la fin de ma semaine, donc tout va au mieux. On se voit dimanche ?  Premier sous-sol ? A seize heures ? >.

 

Je reste un instant silencieux avant de répondre : < Bien sûr ! Aucun soucis, je serai là ! Tu seras vraiment seule cette fois ? >. Clémence me répond : < Je te promets. Je suis entrain de mettre en place mon "plan B". Tout cela va bientôt cesser !  Je lui rappelle mon injonction : < Le plus tôt sera le mieux ! >. La jeune fille s'empresse de me rassurer : < Oui, rassure-toi. Je serais toute seule. Je fais le nécessaire  ! >. Elle me salue et raccroche.

 

Je dépose le portable sur la table. Je pense à Valentine, cette amie avec qui j'ai déjeuné la semaine dernière. Cette amie est un peu ma confidente. Je lui ai raconté mes rendez-vous. Mes rencontres hebdomadaires avec cette jeune fille de vingt ans. Dans la cave d'un immeuble, le dimanche. Et si je lui téléphonais pour la mettre dans la "combine" ? Après tout, moi aussi je peux réserver quelques bonnes surprises !

 

J'appelle donc Valentine pour lui proposer de m'accompagner dimanche. Je lui propose de me rejoindre pour "voir". Comme elle l'a souhaité. Valentine, femme mariée, est parfaitement disponible dimanche. Elle accepte immédiatement ma proposition. Il nous faut nous voir vers quatorze heures, dimanche. Ce, afin de préparer une stratégie. A mon tour de faire un coup pendable à Clémence.

 

Le dimanche arrive. Par courriels, j'ai donné tous les détails à Valentine. Je passe la prendre à quatorze heures près du belvédère. Nous mettons au point les derniers détails de notre petite stratégie. Nous sommes assis à la terrasse d'un café. Je connais Valentine depuis huit ans. Nous avons déjà vécu des choses particulières ensembles. Nous aimons aussi faire de la bicyclette lorsqu'elle est seule et disponible. Nous sommes très complices.
 
Il y peu de temps, tous les dimanches après-midi de janvier et de février, elle est venue chez moi. Nous aimons à nous masturber longuement l'un en face de l'autre. Nous nous amusons à créer des situations vraiment excitantes. Des petites mises en scène très excitantes. Il ne s'est toutefois jamais rien passé d'autre. Nous partageons simplement des fantasmes masturbatoires communs.

 

Je sonne chez Séverine vers quinze heures trente afin qu'elle nous ouvre la porte de l'immeuble. Séverine ignore que je suis accompagné. Une fois dans le hall je propose à Valentine de m'attendre dans la cage d'escalier. Juste à côté de l'ascenseur. Elle peut ainsi prendre la "température" du lieu pendant que je visite Séverine. Séverine dont l'état de santé lui permet de reprendre sa fonction d'enseignante. Elle en est ravie.

 

Valentine est une femme de quarante ans. Elle est grande et mince. Elle porte les cheveux blonds et longs. Je la connais depuis plus de huit ans. Elle n'a pas changé. Elle est vêtue d'un jean, d'une veste légère sur un T-shirt. Elle est chaussée de souliers à talons. Valentine est sexy. Elle l'a toujours été. Sans ostentation. Sans provocation. D'un naturel déconcertant.

 

Rapidement je prends congé de Séverine. Nous avons prévu que Valentine m'appelle sur mon portable au bout de quinze minutes. Un prétexte pour filer à l'anglaise. Une fois dans le couloir je rejoins Valentine dans la cage d'escalier. Elle me fait : < J'ai vu passer une toute jeune fille. Elle est entrée dans l'ascenseur. Il y a un cinq minutes ! >.

 

La description pourrait être celle de Clémence. Aussi je précise : < Il y a de fortes chances que ce soit elle. Je prends l'ascenseur et je descends ! >. Valentine me fait encore : < On fait comme on a dit alors ? >. Je précise encore : < Comme prévu ! Tu viens par l'escalier et tu te planques ! Quand  "ça" commence, tu te pointes ! C'est la porte en fer rouge, au fond du couloir, à gauche ! >.

 

J'arrive au premier sous-sol.  Comme à chaque fois le lieu semble vide. En apparence. Je m'avance jusqu'à la porte en fer. Cette fois je suis d'une vigilance extrême. J'essaie d'ouvrir d'autres portes qui restent fermées. Soudain, la voix de Clémence. < Coucou ! >. Je me retourne. La jeune fille est là. Comme toujours elle est vêtue d'un jean, d'un sweat-shirt. Chaussée de "baskets".

 

Elle vient vers moi en sautillant. < Bonjour. Comme je suis contente que tu sois venu. Je suis toute seule, je te promets  !>. Clémence me fait des bises sur les joues et une sur la bouche. Aucune odeur. Aucun arôme de chewing-gum pour masquer des effluves suspectes...

 

Cette fois c'est moi qui ouvre ma braguette. Je sors mon sexe. Clémentine regarde, étonnée, avant de dire : < Eh bien ! Te voilà bien téméraire. Je ne te reconnais plus ! >. Nous sommes encore dans le couloir. Je tiens mon sexe à sa base. Je sors encore mes couilles. J'agite mon sexe devant la jeune fille. Elle semble amusée et ravie de mon initiative. Je lâche un jet de pisse. Bref et précis. Valentine observe peut-être déjà, cachée quelque part. Valentine aime beaucoup me voir pisser.

 

La jeune fille m'entraîne par la porte en fer. Je connais à présent très bien la "formule".  C'est un local technique dans lequel le concierge entrepose du matériel. Nous entrons dans la petite pièce. Cette fois-ci il y a plusieurs caisses en bois qui encombrent l'espace. Nous n'avons que peu de place. Au sol il y a un long carton d'environ un mètre cinquante. Je touche, c'est un emballage mou.
 
Clémence s'accroupit devant moi. Elle maintient son équilibre en posant ses mains sur mes hanches. Elle regarde mon sexe. Le méat est mouillé. Je m'en saisis. Je le pointe dans la direction de la jeune fille. Je demande : < Et "ça", on te l'a déjà fait ? >. Je lâche un jet de pisse. Je lui pisse droit sur le visage en visant sa bouche. C'est un jet bref.
 
Clémence détourne son visage dégoulinant de pisse. Elle pousse un < Beurk !  Toi aussi  ! >. Elle me regarde avec un air de reproche. La jeune fille crache au sol. Elle me fait : < Le vieux salop du sixième, celui qui me gifle après la pipe ! Il n'arrête pas de me faire ça ! >. Je lui réponds : < Tu aimerais une gifle aussi ? >. Clémence ne dit rien et se met à me sucer.

 

Immédiatement je ressens l'indicible caresse. Sa bouche est comme une chaude ventouse. Clémence me pompe. La jeune fille ne semble pas du tout dégoûtée par l'épisode pisseux. Au contraire, elle semble même sucer avec bonheur. Au bout d'une dizaine de minutes Clémence se redresse. Je l'embrasse tendrement. Elle m'entraîne entre deux caisses. Elle me pousse. Je tombe sur l'emballage en carton.

 

Je me mets à genoux pour baisser mon pantalon. Je m'allonge. Clémence vient s'allonger à mes côtés. Elle se saisit de mon sexe.  Elle me dit : < Tu m'emmènes chez toi dimanche prochain ? Si tu veux on baise ! J'en ai assez de la cave ! >. Je reste un moment silencieux avant de lui répondre : < Enfin tu te décides à sortir de ta cave ! Ok  ça marche pour dimanche prochain ! J'aimerais bien baiser avec toi. Mais ce n'est pas une condition nécessaire pour t'emmener chez moi ! >. Clémence se remet à pomper. Je l'entends glousser de plaisir.

 

Soudain la porte de fer s'ouvre. C'est Valentine. Comme prévu, elle fait semblant de nous surprendre. La jeune femme lance : < Oh pardon, excusez-moi ! Je suis vraiment désolée ! >. Clémence a un mouvement brusque. Elle se redresse sur ses genoux. La jeune fille ne sait pas quoi répondre. Je prends donc l'initiative de la suite en disant : < Mais il n'y a aucun mal !  Entrez donc chère madame ! >.

 

Clémence reste redressée. Médusée, elle reste muette. Valentine se touche l'entre-jambes. Elle se masturbe. Elle nous fait : < Ne vous gênez pas pour moi, je vous en prie. Permettez-moi juste de mâter ! >. Clémence se rapproche de mon oreille et me demande : < C'est qui ? Tu la connais ? >. Ces mots n'échappent pas à Valentine qui répond : < Entre salopes, on peux s'entendre ! Non ? >.

 

Je prends la jeune fille par les cheveux. Je lui dis : < Clémence, je te présente Valentine. A moi de te faire une surprise. ! >. Il y a un moment de flottement. Je rajoute : < Valentine est une salope. Peut-être plus que toi encore. Elle voulait absolument te voir à l'œuvre ! >. Clémence reste silencieuse. Elle s'assoit sur le rebord du carton. Elle lève la tête pour dire :  < A chacun son tour de faire des surprises  je vois ! >.

 

Valentine se rapproche. Elle se touche. Cambrée sur ses talons aiguilles, elle fait : < On se fait la bise entre salopes ? >. Clémence, avec un esprit de répartie étonnant, répond : < On s'embrasse entre salopes, c'est meilleur ! >. Je me masturbe en regardant les deux filles s'embrasser. Valentine a sans doute l'âge d'être la mère de Clémence. Je connais les penchants bisexuels de Valentine. Je devine à présent ceux de Clémence.

 

Elles s'embrassent longuement. Les deux filles semblent même m'avoir oublié. A présent, chacune caresse l'entre-jambes de l'autre.  Pas du tout frustré, je suis ravi du spectacle. Je sais que Valentine est très attirée par les jeunes filles. Les deux filles s'allongent à mes côtés. Je n'existe plus. Je prends soin de ne surtout pas intervenir. Je reste sans bouger. Je contrôle ma respiration. Je ne veux pas déranger.
 
Je me contente de me masturber doucement. J'observe. Je suis ravi et sous le charme. Ce lieu surréaliste paraît encore plus insolite. Soudain Valentine se redresse en faisant : < Clémence, tu viens chez moi ce soir ?  Je suis toute seule jusqu'à vingt deux heures ? >. Clémence répond : < Avec plaisir ! Qu'est-ce qu'on fait de lui ? >. Valentine fait encore : < Tu lui vides les couilles et on le laisse jusqu'à dimanche prochain ! >.

 

Je me couche sur le côté, la tête en appuie sur ma main en disant : < Je ne voudrais pas déranger ! On peut remettre à une prochaine fois ! >. Clémence est excitée. Elle me dit : < Non, j'aime bien terminer ce que j'ai commencé ! >. Valentine se redresse. Elle se lève pour s'asseoir sur la caisse de droite. Clémence se couche sur le côté, la bouche près de mon sexe. La jeune fille se met à me sucer. Je suis trempé. Je suis très juteux.  Je suis encore tout excité du spectacle de tout à l'heure.
 
Valentine me fixe dans les yeux. Elle me fait : < T'es une ordure dans ton genre ! Elle pourrait être ta fille ! >.  Tout en disant cela je constate qu'elle baisse son pantalon. Il tombe sur ses chevilles. Elle se masturbe. Elle respire fort. Elle nous observe. Valentine me fait encore : < Tu devrais avoir honte, vieux vicelard ! Une fille de vingt ans ! Espèce de vieux salopard ! >. Ce langage ordurier l'excite autant que la situation. Autant que sa masturbation.

 

J'éjacule. Clémence se retire enfin. Elle a la bouche pleine de sperme. Elle ne l'avale pas.  Elle se redresse, se lève et rejoint Valentine. Elle saisit la jeune femme par les cheveux, de façon brusque. Elle l'embrasse. Valentine essaie de détourner sa bouche. Clémence la maintient fermement. Elle lui crache mon sperme dans la bouche et au visage. Valentine se débat en recrachant. Clémence lui allonge alors une gifle magistrale. Valentine est consternée. Clémence la pousse à terre. Je suis halluciné par ce que je vois.
 
Clémence, d'un ton péremptoire que je ne lui connaît pas, lance : < Ce n'est pas un vieux salopard ! >. Elle ponctue sa phrase par une nouvelle gifle. < Ce n'est pas tes affaires ! >. Clémence lui applique une nouvelle gifle. Pour Valentine s'en est sans doute trop. Elle se redresse sur les genoux. Elle se tient les joues rougies. Clémentine lui demande : < Tu vas faire tes excuses au monsieur, et vite ! >. Jamais je n'ai imaginé Clémence être capable d'une telle attitude. Nul doute, les caves forment le caractère !

  

Clémence m'attire par le bras. Elle m'attire devant Valentine toujours à genoux. Eberluée. Valentine fait alors : < Je veux te pomper aussi  espèce de salopard ! >. Pour la première fois de sa vie elle enfourne mon sexe dans sa bouche. Clémence se place derrière Valentine. Elle s'accroupit pour se mettre à la doigter. Valentine gémit de plaisir. Clémence me fait un clin d'œil en levant le pouce de sa main libre. Elle vient m'embrasser. La jeune fille me fait : < Des surprises comme ça, tu m'en fais quand tu veux ! J'ai l'art de dresser les chiennes ! >. Je n'en revient pas...

 

J'éjacule comme un damné ! J'inonde la bouche de Valentine d'un sperme épais, gluant et visqueux. Presque immédiatement Clémence embrasse Valentine. Le jeu de leurs bouches, soudées l'une contre l'autre, ne laisse aucun doute. Valentine rend la monnaie de sa pièce à Clémence. Je m'approche. Je tiens mon sexe droit devant le visage de Valentine. Je lâche un jet de pisse. Précis et bref. La mine écœurée, la jeune femme détourne son visage. Clémence la tient fermement par les cheveux.
 
Valentine essaie de se libérer de son étreinte. Clémence me fait : < Pisse-lui à la gueule à cette salope ! >. Je m'approche. Je passe mon sexe sur le visage de Valentine qui tente de se soustraire à l'étreinte. Je lâche une série de petits jets. Clémence lui fait : < Tu vas le sucer, vieille salope, où tu prends encore une gifle ! >. J'enfonce mon sexe dans la bouche de Valentine. Clémence la tient fortement. Je pisse...
 
Valentine tente une nouvelle fois de se débattre. Elle arrive à retirer sa bouche plusieurs fois. La jeune femme, en toussant, penche son visage vers le sol pour vomir ma pisse. Clémence ne lui laisse aucun répit. Elle la tient pas la tignasse. Je lâche toute ma pisse par petits jets. Valentine à les cheveux mouillés. Le haut de sa veste et de son T-shirt son trempés. Cela dure quelques minutes. Valentine se lève vivement en criant : < Arrête, ça suffit ! C'est dégueulasse ! > Elle se met à vomir contre les caisses. La mine dégoûtée.

 

Nous nous réajustons avant de remonter. Je dépose Valentine et Clémentine devant la maison de la jeune femme. Je leur souhaite une excellente soirée. Nous nous promettons d'organiser la "rencontre" de dimanche prochain par téléphone. Clémence m'embrasse longuement avant de me dire : < Je me fais cette salope ce soir. Je te raconte demain ! >.

 

Je rentre chez moi totalement épuisé. A l'idée de ce qui est entrain de se passer chez Valentine j'ai une forte érection. Je suis toutefois heureux de me retrouver seul. Comme libéré et soulagé. Le lendemain soir, j'ai un coup de téléphone de Valentine. Elle m'avoue qu'elle n'a jamais rien vécu d'aussi excitant que dans cette cave. Elle a le désir, le souhait fort, d'une suite. Elle l'exige...
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29/07/2014

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