L'ECRIT DE JOIE

L'ECRIT DE JOIE

Clémence - 2 - Je reviens dans la cave

 
Avatar de Julien.jpg

                                                              Je reviens à la cave

 

Je suis entrain de faire des courses au supermarché. Il est midi trente. C'est le premier samedi de mai. Dans le rayon des produits ménagers mon portable se met à sonner. Je décroche. Quelle n'est pas ma surprise. C'est la jeune fille de la cave. Je ne pensais plus vraiment à cette aventure récente. Aussi je suis agréablement étonné par cet appel. Il y a un petit instant de silence.

 

< Bonjour ! Vous allez bien ? > me fait la voix que je reconnais immédiatement. La jeune fille semble heureuse de m'avoir au téléphone. Je le remarque à l'intonation de sa voix lorsqu'elle continue : < Je serais à la cave, demain  dimanche vers seize heures !  >. Je reste un peu surpris. Quelle délicieuse invitation ! Je m'entends répondre : < Bien sûr ! J'aurais grand plaisir à vous revoir ! >. Un petit silence. < Et bien, à demain alors ! > fait-elle encore avant de raccrocher. C'est bref, clair et précis. J'apprécie...

 

Le dimanche arrive vite. Je reviens pour quinze heures trente. Je sonne chez Séverine que je monte visiter. Prétextant d'autres activités je ne m'attarde pas. Je prends l'ascenseur pour descendre au sous-sol. J'arrive dans le couloir que je connais à présent très bien. Il n'y a personne. Je m'avance vers la petite porte. Cette fameuse porte où j'ai vécu ce délicieux moment. L'endroit semble désert. C'est le silence.

 

Derrière moi, une voix féminine, que je reconnais immédiatement me fait : < Coucou monsieur ! >. Je me retourne.  La jeune fille est là. Elle est debout près de l'entrée de l'ascenseur ! D'où est-elle donc bien venue ? Cela reste un mystère qui n'a pas de réelle importance. Je suis si content de la revoir. Elle est très belle. Calme et posée. Elle aussi semble ravie de me revoir.

 

Elle est vêtue d'un jean et d'un simple pull. Elle est chaussée d'une paire de "baskets". Ses longs cheveux flottent sur ses épaules. Sa silhouette est fluette. Je m'avance. Nous nous faisons la bise. Je suis surpris pas sa grande gentillesse. Je suis sous le charme du sourire dont me gratifie la jeune personne. J'ai comme l'impression de la connaître depuis longtemps. C'est certainement cet accueil chaleureux qui en est la cause. Un sens du contact étonnant dans cet endroit étrange et plutôt incongru !

 

La jeune fille m'entraîne vers le parking sous-terrain. Au fond, il y a une dizaine de box fermés. Elle se dirige sans aucune hésitation vers le premier box de gauche. Elle fait basculer la porte vers le haut. J'entre dans le box à sa suite. Immédiatement la jeune fille referme la porte derrière nous.
La faible lumière d'un vasistas éclaire péniblement cet endroit plutôt sinistre.

 

< Je m'appelle Clémence. Et vous ? > me fait-elle. Je me présente à mon tour. < Vous restez sur l'agréable impression de la dernière fois ? > me demande t-elle avec un sourire. Juste avant de rajouter : < Pour moi c'était super ! >. La jeune fille se met à sautiller autour de moi. Elle est riante et amusée. < On refait ? > me demande t-elle en me déposant une bise sur la joue. Je suis gagné par cette joie communicative.

 

Avisant deux pneus posés l'un sur l'autre, je m'installe le plus confortablement possible. Le jeune fille s'installe à mes côtés. Elle déboutonne ma braguette. Elle observe mon sexe turgescent durant quelques minutes. La jeune fille joue un peu avec. Elle le tient pas sa base et l'agite dans tous les sens.  < C'est super ! > me fait-elle avec une nouvelle bise. Je suis enchanté de me retrouver en pareille situation.

 

La jeune fille descend sa tête. Approchant son visage de mon sexe, elle se met à me sucer délicatement. Je me laisse faire dans la plus parfaite extase. A sa façon de sucer je peux sentir à quel point ce petit bonheur est partagé. Les petits gémissements, le rythme de la respiration, tout cela vient conforter mes impressions. Je n'ai plus aucun doute quand à ses activités et à sa présence ici. Une certaine expérience est évidente.

 

Une vingtaine de minutes passent. Je descends mon pantalon et mon slip aux genoux. Je me couche cul nu sur le béton froid du sol. La jeune fille, couchée sur le côté, sa tête posée sur mon ventre, me pompe délicieusement. Le plaisir est indicible. Aucun mot ne peut traduire cette sensation divine. Je reste béat. Je me laisse faire. Parfois, presque timidement, je caresse les cheveux de Clémence. Je peux l'entendre gémir, concentrée sur sa succion. Nous en oublions le béton froid du sol.

 

Je fais durer pour notre plus grand plaisir. Comme à mon habitude. J'éjacule au bout d'un long moment. Un moment non quantifiable. Je suis envahi d'une jouissance folle. La jeune fille pompe mon sexe avec avidité. Clémence est entrain d'avaler mon sperme, déglutissant avec délice. Je la sens savourer chaque saccade avec un appétit gourmand.

 

Lorsque tout est terminé nous reprenons conscience du froid qui monte du sol. Nous essuyons nos vêtement empoussiérés. J'invite la jeune fille à me suivre. Je propose : < Allons boire quelque chose de chaud ! >. Clémence me fait la bise. Elle semble ravie de mon initiative. Elle me fait : < Bonne idée, j'ai fini ma promenade à la cave ! >. Je lui réponds : < Je vais t'en sortir de ta cave ! >. Clémence me regarde avec une certaine gravité. Silence.

 

Le dimanche soir se termine de la plus agréable des façons. Nous ponctuons nos échanges de rires et de plaisanteries. Nous nous faisons la promesse de nous revoir bientôt. Comme la dernière fois je me montre altruiste et généreux. Ce n'est pas toujours facile la vie d'étudiante. Clémence évoque ses études, ses difficultés et des parents démissionnaires. Pourtant sa joie de vivre déborde d'un optimisme admirable.

 

Je regarde attentivement cette jeune fille qui vient de surgir dans mon existence. Je prends conscience que c'est sûrement le début d'une nouvelle histoire. Je garde bien évidemment à l'esprit que quelques superbes opportunités vont certainement se dessiner très prochainement ! J'ai maintenant bien compris à qui j'avais affaire. Je vais donc changer d'attitude.
_____________________________
Tous droits réservés - 2013 - ©
 
L'utilisation, toute ou partie, d'un texte, (ou photographie) sans le consentement de l'auteur, constitue une violation de la propriété intellectuelle.  Délit sanctionné par l'Article. L.335-2. du Code pénal.
La divulgation d'informations relatives à la vie privée, ou à l'identité, constitue un délit sanctionné par les articles 706-102-1 (Informatique) et 88-227 du code pénal.


 

 

 



29/07/2014

A découvrir aussi