L'ECRIT DE JOIE

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Clémence - 3 - Les plaisirs de la cave

 
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                                                                La cave


Ce samedi après-midi je suis chez moi à écouter de la musique. Je fais un peu de rangement. Je passe l'aspirateur. J'ai tendance à augmenter le volume sonore. Je n'ai souvent que cet après-midi pour faire un peu de ménage. Être artiste, être libre et indépendant ne préserve pas de la logistique la plus élémentaire.

 

Mon portable se met à vibrer dans la poche de ma blouse. J'arrête l'aspirateur. Je baisse le volume de la musique. Je décroche. C'est Clémence. < Bonjour. On se voit demain à la cave vers seize heures trente ? > me fait-elle d'une voix mutine. Je réponds plutôt amusé : < Bonjour Clémence. Pas de souci. A demain ! >. Je raccroche immédiatement. Je continue mon ménage dans une certaine confusion mentale. Et avec une érection.  A l'idée de ce qui m'attend ce dimanche je suis empli d'un sentiment érectile bien légitime. Je veux être en adéquation avec le comportement de la jeune fille. Être le parfait salopard souhaité...

 

Le dimanche après-midi arrive vite. Je gare la voiture dans la rue adjacente à l'immeuble. Je sors de la voiture pour me rendre à la porte d'entrée. Je sonne chez Séverine. C'est le troisième dimanche où je viens la visiter. Elle trouve d'ailleurs cela un peu étrange. Moi qui reste souvent des semaines sans donner de nouvelles ! J'arrive pour quinze heures trente et avec des pâtisseries.

 

A seize heures trente je prends congé. Une fois dans l'ascenseur, au lieu d'appuyer sur le bouton "RDC", j'appuie sur le bouton "Premier Sous-sol".
Une trentaine de secondes et l'ascenseur arrive à la cave. La porte s'ouvre sur ce long couloir qui mène au parking souterrain. Le lieu est désert. Je m'avance dans le sinistre espace de béton.

 

J'arrive près de la porte du parking lorsque la voix de Clémence résonne derrière moi : < Coucou monsieur ! >. Je me retourne. La jeune fille est là. Elle est debout dans l'encadrement de la porte. Elle est vêtue d'un jean bleu et d'un pull noir. Chaussée de ses "baskets" habituelles. Clémence s'avance vers moi d'un pas très rapide. Elle est mutine et sautillante. La jeune fille me prend par les épaules et me dépose une bise sur chaque joue. Je la sens très heureuse d'être en ma présence. Autant que je le suis. Je lui fais : < Bonjour Clémence ! >. Elle me répond : < J'attends ce moment depuis hier. Depuis mon coup de téléphone ! >. Elle me prend la main pour m'entraîner dans le dédale de la cave.

 

Je me laisse guider. Nous descendons au second sous-sol. Arrivés au bas de l'escalier Clémence s'accroupit pour m'ouvrir la braguette. Elle en extrait mon sexe.  La jeune fille se redresse en m'attirant vers une porte en fer entre ouverte. Je suis là, debout dans une semi pénombre, le sexe qui pend de ma braguette. Clémence s'en empare et commence à me masturber doucement.

 

< Je peux te tutoyer ? >  me  fait-elle. Je lui réponds : < Bien sûr que tu le peux ! >. Je demande : < Combien de pipes tu as fait cet après-midi ? >. Elle rapproche sa bouche et me souffle sous le nez : < Devine ! >. Je ne fume pas. Je peux sentir l'odeur de la cigarette. Malgré le parfum acidulé d'un chewing-gum fraîchement mâché. Je n'en suis nullement incommodé.
 
De son autre main Clémence m'attrape les couilles. Tout en continuant à m'enivrer de son haleine, elle me caresse doucement. Je pose ma main sur son sexe, entre ses cuisses. Elle retire ma main gentiment et me fait : < Non ! Propriété privée. Défense d'entrer ! >. Je la prends par les cheveux pour lui dire : < Je n'y pénètrerais jamais. Je veux juste que tu me fasses des pipes. Et le plus souvent possible ! >. Clémence reste ainsi à me dévisager. La jeune fille a un regard fier et presque hautain. Je maintiens mon étreinte.

 

Clémence me pousse contre une grosse caisse en métal. Une caisse boulonnée sur le béton du sol. Je me couche de tout mon long en laissant pendre mes pieds. La jeune fille déboutonne mon pantalon et me le descend. Le cul nu sur le métal froid n'augure pas vraiment d'un bon moment. J'enlève mon blouson de toile pour le disposer sous mes fesses nues.

 

Clémence reste debout. Elle se penche en avant. La jeune fille se met à me sucer avec cette douceur habituelle. Cette tendresse qui me donne des vertiges étourdissants. Je la regarde. Elle reste penchée en avant. Clémence me prodigue une superbe pipe. Je me saisis de ses cheveux. De sa main elle repousse mon bras. La jeune fille me fait : < Ne me touche pas comme ça ! J'aime ce que je fais, tu n'es pas obligé de m'y forcer ! >.

 

Je lâche  ses cheveux. Je me laisse sucer avec bonheur. Au bout d'un long moment, j'éjacule dans un plaisir indicible. J'inonde la bouche de la jeune fille d'un sperme épais et gluant. Elle reste ainsi de longues minutes à me vider. N'en perdant pas la moindre goutte. Clémence  ne se retire pas. Elle continue de pomper avec vigueur. Nous repartons pour un second tour.

 

Clémence est couchée sur le côté. En appui sur son coude. A ma gauche sur le caisson métallique. Clémentine se livre à sa délicieuse et juteuse fellation. Je me laisse pomper longuement. Je  bouge mon sexe par contractions. Je suis lascif dans la bouche de la suceuse. Soudain la jeune fille se retire pour me demander : < Tu aimes toujours te faire sucer comme ça ? >.

 

Je lui réponds : < Bien sûr que j'aime ! Et j'aime tout ce que tu me fais ! >. Elle cesse de pomper pour me regarder. Je rajoute : < Des petites salopes comme toi, c'est un rêve ! >. Elle se remet à sucer en gloussant. Trois bons quart d'heure passent ainsi. Dans le stupre et la luxure de cette fellation merveilleuse. J'éjacule une nouvelle fois en plusieurs saccades puissantes. J'inonde une nouvelle fois la bouche de la jeune fille.

 

Une fois de plus Clémence me vide consciencieusement durant de longues minutes. Je la tiens par la nuque. Elle se laisse faire. A nouveau je la saisis par les cheveux en lui disant : < Vient par là petite salope et raconte moi ta vraie vie ! >. La jeune fille reste ainsi sans chercher à se dégager de mon étreinte. Comme domptée.  Elle reste toutefois silencieuse.

 

Nous nous relevons. Nous nous réajustons. Nous éclatons de rire en regardant autour de nous ! Quel curieux endroit pour vivre de telles douceurs. Clémence veut m'embrasser. Je détourne mon visage. Je la serre toutefois fort dans mes bras. Cela dure un instant. Je me dégage. Je suis dégoûté par l'idée de ce qu'elle a sans doute fait à un précédent "visiteur" en début d'après-midi.

 

Clémence est surprise par mon attitude. C'est brusque. Je lui fais part de mon ressenti. Elle me rassure : < Je n'ai sucé que toi cet après-midi, je te le promets ! >. Je reste silencieux. Un long moment je scrute son regard. Je rajoute : < Tu es partante pour aller boire quelque chose ? Je te propose même d'aller au restaurant ! Est-ce que ça te dis ? >. La jeune fille se blottit contre moi en disant : < Super ! Tu as toujours de bonnes idées ! >. Je rajoute encore d'un ton ferme : < Mais j'exige que tu me parles de toi. Je veux tout savoir ! >.
 
Nous  terminons la soirée dans un petit restaurant charmant. C'est un endroit où j'aime à prendre mon temps et de délicieux repas. Dans un cadre médiéval et au calme. Clémence me parle longuement d'elle. Elle évoque sa première année d'études. Elle parle des difficultés que je devinais. Un drame familiale, des soucis d'argent et une rupture. Un petit copain coureur, pas très fiable et peu attentionné.
 
Une fois de plus je sais me montrer plein de largesse. Généreux. Maintenant, enfin, j'en sais davantage. Je fais part à Clémence de mon sentiment culpabilisateur. Elle me rassure < Ne t'inquiète pas. Tu es le seul avec qui je vais au restaurant ! Tu n'es pas comme les autres ! >. Je la regarde. Je reste dubitatif. Je suis sur mes gardes. Je m'interroge...

 

Cette fois-ci nous nous fixons un véritable rendez-vous. Je propose un autre endroit que la cave. Clémence me raconte ses dimanches après-midi dans les sous-sols de quelques immeubles du même quartier. Depuis le mois de décembre précédent, il y a six mois. La jeune fille me révèle l'existence d'une "collègue" étudiante qui flâne, elle aussi, en sous-sol. Une "collègue" qui a été son "initiatrice".
 
La jeune fille insiste toutefois pour une nouvelle rencontre en sous-sol. Elle me fait : < Une dernière fois, s'il te plaît ! Je vais te faire la plus agréable des surprises ! >. Je ne suis pas au bout de mes surprises...
 
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29/07/2014

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