L'ECRIT DE JOIE

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Clémence - 4 - Une surprise

 
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                                                                 Une surprise

Ce jeudi est une journée magnifique. Il est midi. Je suis au restaurant avec Valentine, une amie que je n'ai pas revu depuis plusieurs mois. Nous bavardons. Nous nous apprêtons à goûter notre plateau de fruits de mer lorsque mon portable se met à sonner. C'est Clémence. < Bonjour toi . On se voit dans la cave dimanche ? > me fait-elle avec son enthousiasme habituel. Je m'empresse de répondre : < Pas de problèmes. J'y suis pour seize heures ! >. Je raccroche.

 

Le repas se déroule dans les toutes meilleures conditions. Je raconte à mon amie ma curieuse aventure avec Clémence. J'évoque ces rendez-vous avec une jeune fille de vingt ans ans. Cela l'amuse. Après quelques instants elle me fait : < Tu es vraiment un vicelard. J'aimerais bien être planquée pour te voir ! >. Je réponds : < Si ça t'intéresse vraiment tu viens avec ! Si ton mari te laisse filer un dimanche après-midi, aucun soucis ! >. Nous éclatons de rire. Elle me dit encore : < Tu n'as pas honte de faire de la corruption de femme mariée ? >. Elle s'empresse de rajouter,  avec un clin d'œil : < Mais, c'est à étudier ! >.

 

Le dimanche arrive très vite. Pour quinze heures j'arrive chez Séverine avec des pâtisseries. Elle est ravie de mes visites qui n'ont jamais été aussi fréquentes.  Surtout sur un si court laps de temps. Je lui parle de la cave. Elle me dit : < Oui, il paraît qu'il se passe de drôles de trucs dans les sous-sols. De jeunes putes avec des vieux messieurs de l'immeuble ! C'est se qui se raconte, en tous cas ! >.

 

Vers seize heures, je prends congé. Je prends l'ascenseur pour descendre directement au premier sous-sol. Lorsque la porte s'ouvre je suis surpris par la fraîcheur du lieu. Phénomène qui contraste avec ces premières belles journées de mai. Dans la cave, plusieurs néons ne fonctionnent plus. Il y règne une pénombre crépusculaire. Je m'avance vers la porte du fond située à une trentaine de mètres. Cette ouverture donne accès au parking souterrain.

 

Derrière moi je reconnais la voix de Clémence : < Coucou ! >. Je me retourne. C'est la jeune fille. Ces longs cheveux sont attachés en catogan. Elle est vêtue d'un jean, d'un sweat-shirt. Chaussée de ses "baskets". Elle se précipite vers moi. Elle me fait quantité de bises. La jeune fille est visiblement heureuse de me revoir. Elle me fait : < Bonjour ! Comme je suis contente ! Tu vas bien ? >. En disant ces mots Clémence me touche le sexe à travers le tissus de mon pantalon. Je suis surpris et je réponds : < Oui ! Je vais bien ! Et à présent comment pourrait-il en être autrement !>.

 

Clémence m'ouvre la braguette et cherche mon sexe. Très rapidement elle l'extrait de mon pantalon. Elle ne le lâche plus. La jeune fille me tient comme à la laisse. Elle m'entraîne dans la cage d'escalier. Elle m'emmène vers le second sous-sol. Nous pénétrons dans le même local que la dernière fois. Par contre, au sol, il y quantité de feuilles de carton. Une bougie brûle dans un coin. Aussi, lorsque la minuterie met fin à l'éclairage électrique, il reste cette clarté diffuse.
 
Clémence me fait : < Je te jure, je n'ai pas encore sucé aujourd'hui ! >. Elle se met à genoux sur les feuilles de carton. La jeune fille rajoute encore : < Je ne l'ai pas encore fait cette semaine. Tu me crois ? >. Je la regarde en scrutant son regard. Il y a une intonation particulière dans sa voix. Une intonation nouvelle. Quelque chose d'authentique. De sincère. Je réponds : < Je te crois ! >

 

En me montrant ses doigts humides, elle me fait : < Tu mouilles de la bite ! >. Je ris bêtement. < Je vais te pomper le zob comme jamais ! > me fait-elle, espiègle et vicieuse. Je l'attrape par son catogan. Je la force à me regarder. Je la fixe longuement dans les yeux. Je lui dit : < Je ne veux plus te savoir dans cette cave. Je te donne deux semaines pour trouver une solution honorable ! >.

 

Clémence me regarde. Un regard implorant. Elle introduit mon sexe dans sa bouche chaude et humide. Je me cambre sur mes jambes fléchies. Je reste ainsi à savourer cette sensation. La langue de la jeune fille me procure les plus délicieuses douceurs. Au bout de quelques instants Clémence se met à sucer vraiment ! Je la tiens fermement par son catogan.

 

Au bout d'un petit moment la position devient inconfortable. Je retire mon sexe de la bouche de la jeune fille. Je me couche au sol. Clémence m'ouvre le pantalon et le fait glisser à mes chevilles. Gloussant de plaisir elle se couche à mes côtés. Elle pose sa tête sur mon ventre et joue avec mon sexe. Un petit moment Clémence reprend sa pipe. C'est vrai qu'elle pompe comme jamais. C'est divin. Je la maintiens toujours par ses cheveux. Je la guide.

 

Je regarde autour de moi. Il y a comme un sixième sens qui m'averti d'une situation particulière. Soudain, là, dans la pénombre, je vois une jeune fille.  Elle est debout entre un pilier et le coin du mur. Tirant Clémence par son catogan, je fais : < Arrête ! Il y a quelqu'un ! >. Clémence se met à rire. Elle me fait : < Ben oui ! C'est ma copine. Je te présente Solène. Je t'en ai déjà parlé ! On voulait te faire la surprise ! >. Pour une surprise, c'était plutôt réussi...

 

Je reste assis avec le pantalon descendu. Je trouve ma posture et la situation ridicules. Un sentiment d'insécurité s'éloigne doucement. La jeune fille, sans doute du même âge que Clémence, s'approche. Elle fait : < Bonjour monsieur !>. Solène a les cheveux longs et noirs. Ils pendent jusque dans son dos. Elle aussi est vêtue d'un jean, d'un sweat. Par contre elle est chaussée de souliers à talons. Plutôt jolie, elle porte ses probables vingt ans avec un charme évident.

  

Solène s'assoit devant moi. Elle me fait : < Clémence m'a parlé de toi et de vos rendez-vous ici. J'ai insisté pour venir ! Rassure-toi je suis aussi secrète qu'elle.  Nous ne nous cachons jamais rien ! >. Je dissimule bêtement mon sexe des deux mains en disant : < Oui, mais un secret partagé est un secret trahi ! >. Je regarde Clémence. Cette dernière me fait une bise et me dit : < Rassure-toi, Solène et moi faisons toutes nos saloperies ensembles ! Mais je te promets que c'est la première fois qu'elle mâte ! Juré ! >. Solène confirme. Elle précise : < Je préfère sucer que de regarder sucer ! >.

 

Clémence me pousse. Je me couche sur le dos.  Solène s'installe au sol à mes côtés. Elle regarde mon sexe que tient fermement Clémence. La jeune fille le secoue dans tous les sens devant le visage de Solène. Clémence me fait encore : < Tu vas te faire pomper la queue par une sacrée salope ! C'est elle qui m'a tout appris >. A présent, elle me masturbe doucement. Je suis couvert de sueur.

 

Solène se couche sur le côté. Elle met sa tête sur mon ventre. Presque aussitôt elle se met à me sucer.  Clémence qui regarde sa copine pomper me fait : < Super salope non ? >. Je ne peux m'empêcher de mettre ma main entre les cuisses de Solène. Celle-ci se redresse et me fait : < On regarde mais on ne touche pas ! >.  Je retire ma main et je dis : < Oui ! Effectivement, c'est une super salope ! >. Je me contente de subir. Je tiens Clémence par son catogan pour rajouter : < Deux petites salopes rien que pour ma bite ! >. Clémence m'embrasse longuement.

 

Les deux jeunes filles se prêtent alternativement mon sexe. Suçant à tour de rôle. Je peux sentir les différences de pompages entre les deux filles. Clémence pompe en savourant. Solène pompe plutôt mécaniquement. Elle bouge légèrement sa tête pour me masturber en même temps. Je n'aime pas. Je préfère l'immobilité. Je demande à Solène : < Et toi ? Combien de bites tu as sucé aujourd'hui ? >. Elle me répond : < Secret ! >.

 

Je me laisse pomper une bonne demi heure. Je me concentre afin ne pas éjaculer trop vite. Je veux profiter de cette aubaine. Les deux petites salopes sont d'expertes pompeuses. Il y a de l'expérience, de la pratique. Pas l'ombre d'un doute.

 

J'éjacule dans la bouche de Solène. Celle-ci se redresse. Elle prend le catogan de Clémence et l'attire. Elle guide la tête de sa copine. Elle rapproche la sienne. Les deux filles s'embrassent. Solène crache mon sperme dans la bouche de Clémence. C'est d'une vulgarité incroyable. Clémentine vient pomper la bouche de sa copine. Je reste en érection. Je suis terriblement excité par ce spectacle surréaliste.

 

Solène se redresse.  Elle sort un mouchoir de sa poche pour s'essuyer la bouche et le menton. Elle se lève pour dire : < Bon, je vous laisse les amoureux. Salut Clémence, on se voit demain à la Fac ! >. Les deux filles se font la bise. Solène me serre la main en me disant : < Heureuse de t'avoir sucé. Bonne soirée. A un de ces jours j'espère ! >. Je reste interloqué.  Je regarde la jeune fille s'en aller. C'est hallucinant.

 

< Tu ne m'en veux pas trop ? > me fait Clémence. La jeune fille à l'air embarrassé, interrogateur. Une fois que nous sommes seuls je réponds : < Pour une surprise, ce fut une surprise. Ta copine est une super salope ! >. Clémence se met à rire avant de préciser : < C'est elle qui m'a "branché" sur ce "plan". Elle vient ici même en semaine. Elle "fait" aussi les chiottes publiques ! >.

 

Je reste un long moment silencieux. J'observe la jeune fille. Finalement je fais : < C'est un peu comme si tu avais cassé  quelque chose ! >. Clémence me prend dans ses bras. Elle me serre fortement : < Ne t'inquiète donc pas !  C'est cette salope qui ma fait découvrir les caves ! Sans elle je ne t'aurai peut-être jamais rencontré ! Je te jure qu'elle est vraiment "secrète" . > me fait-elle pour me rassurer . Clémence rajoute encore : < Son "truc", maintenant, c'est les toilettes publiques et "ça", je ne veux pas le faire ! >.
 
Je reste silencieux. Je suis atterré par tant de révélations. La jeune fille rajoute : < Je vais arrêter tout "ça". Je te le promets ! >. Je réponds : < Le plus vite possible sera le mieux ! Tu as deux semaines pour trouver une solution. Sinon je ne veux plus te voir !>. Elle passe derrière moi. Elle se serre contre mon dos pour me dire : < Oui, je te le promets ! Tes attentions et ta considération comptent trop pour moi ! >.

 

J'invite Clémence au restaurant. Nous parlons encore de tous ces évènements et de toutes ces choses. La jeune fille me raconte quelques "aventures" dans les sous-sols. Une bonne trentaine en tout et pour tout. C'est lorsqu'elle s'est fait giflée par un vieux monsieur de l'immeuble, après une fellation dégueulasse, qu'elle a commencé à devenir méfiante. Le vieux la giflait d'ailleurs après chaque pipe. Et il y en eut plus d'une dizaine !
 
Une fois encore, je suis "généreux" avec Clémence. Je tends une enveloppe en disant : <  Et "ça" c'est un petit mot pour Solène ! Tu le lui remettras ! >.
 
Sur le chemin du retour, Clémence, avec difficulté mais avec méthode, extrait mon sexe de mon pantalon. Pendant que je roule,  elle me fait une nouvelle pipe...
 
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29/07/2014

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