L'ECRIT DE JOIE

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Clémence - 6 - Partie à trois

 
 
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                                                               Partie à trois
 

Il est midi trente. C'est lundi. Je suis entrain de manger. Mon portable sonne. Je décroche. C'est Valentine. Cette dernière me propose de passer me voir ce soir.  Elle vient pour dix neuf heures. Veut elle partager mon repas du soir ? Comme j'aime à concocter de bons petits plats, je me réjouis de cette possibilité de partage. Une occasion de faire plaisir. Valentine accepte volontiers. Elle connaît mes talents de cuisinier.

 

La jeune femme arrive à l'heure prévue. J'ai préparé de délicieuses tomates farcies accompagnées de petites coquillettes. Nous passons à table pour dix neuf heures trente. Cela fait toujours plaisir de voir quelqu'un se régaler du plat que l'on a préparé avec passion. Valentine évoque évidemment la soirée de dimanche soir avec Clémence. Une soirée torride selon ses dires. Je la crois sur parole.
 
Valentine me regarde en souriant. Elle me dit : < Je te remercie pour ce "cadeau". Je crois que Clémence et moi, nous allons nous voir plus souvent. Je travaille dans le même cadre que celui de ses études. C'est carrément génial ! >.  Je demande : < On fait comment pour dimanche prochain ? Je suis disponible dès quatorze heures. Et toi ? >
 
Valentine me répond : < Quatorze heures c'est parfait ! Je passe chercher Clémence et nous serons chez toi pour quatorze heures trente au maximum ! Mais c'est toi qui la ramène. Tu sais qu'elle a vachement envie de baiser avec toi ? Que lui as-tu fait ? >.  Valentine ponctue sa phrase d'un clin d'œil. Je ris en disant : < Je suis abonné aux salopes. Je les aime ! La preuve, tu es là ! >. La jeune femme me fait : < Merci. Je sais que venant de toi c'est un compliment ! >.

 

Après le repas, Valentine, femme mariée, est obligée de me quitter pour vingt et une heures. Son mari rentre pour vingt et une heures trente. Elle m'aide à débarrasser et à faire la vaisselle. Nous évoquons nos souvenirs communs. Des anecdotes remontant à fort longtemps. Ces remémorations nous amusent.  Nous nous donnons rendez-vous pour dimanche prochain. Avant de partir Valentine me fait encore : < Montre-moi ta bite avant que je parte ! >. Je la lui montre...

 

La semaine passe vite. Ce fameux dimanche arrive enfin. Valentine m'envoie plusieurs courriels. Elle veut être certaine que tout reste prévu. Depuis le matin je suis fébrile. J'ai évité de me masturber toute la semaine.  Malgré l'excitation que me procure la perspective de cette partie à trois qui se dessine. Afin d'être gourmand et hyper performant. Cela me rend très vicieux. Je porte mon anneau autour des couilles en permanence depuis trois jours. Il fait garrot.

 

A quatorze heures vingt, la sonnette retentit. Je regarde sur l'écran vidéo. Clémence et Valentine. J'appuie sur le bouton d'ouverture. Je peux sentir les battements de mon cœur dans mes tempes. Je sens mon sang circuler dans tout mon corps ! Une terrible appréhension doublée d'une incroyable excitation m'envahissent à chaque seconde ! Je suis mort de trouille.

 

La sonnette de la porte d'entrée résonne à son tour. Inspirant à fond, gonflant mes poumons, j'ouvre. Valentine est vêtue d'une jupe courte noire et  d'un chemisier mauve. Elle est chaussée de souliers noirs à talons hauts. Clémence est vêtue d'une jupe. C'est la première fois que je vois la jeune fille en jupe et en souliers à talons. Les deux filles sont terriblement sexy. C'est fou. C'est sublime. 

 

Je les invite à me suivre au salon. Clémence me saisit immédiatement par le sexe en serrant sa main sur ma braguette. Elle m''embrasse avec fougue. La jeune fille palpe mon érection déjà conséquente. Je propose aux deux filles de s'installer sur le canapé. Je propose un café, un thé et des petits gâteaux. Valentine se cambre sur ses talons hauts. Elle mime une masturbation masculine et me fait : < N'oublie surtout pas la crème ! >.

 

En bafouillant je propose de la musique en fond sonore. Valentine prend le relai et me palpe à son tour en disant : < Alors mon salop ? Tu as consulté un médecin pour ne pas risquer des problèmes cardio-vasculaires cet après-midi ? >. Nous éclatons d'un rire sonore. Ce bon mot me donne confiance. Clémence rajoute en me prenant par le cou : < On compte sur toi , c'est toi qui a la bite ! >. C'est un fou-rire. Valentine sort un gode de son sac à main.  Elle le brandit en l'air pour l'agiter. Elle s'écrie : < Si tu as des faiblesses, j'ai emmené "Johnny" ! >.

 

C'est donc dans cette ambiance que je me retrouve le pantalon aux chevilles. Valentine a la main sous sa jupe relevée. Les filles de chaque côté de moi. J'embrasse l'une. Je caresse l'autre et vice versa. Beaucoup plus de vice que de versa. Pour l'instant. J'attrape Valentine pas ses cheveux. Je lui dit : < Je sais que tu n'es pas vraiment une suceuse. C'est après-midi je vais donc te baiser pour la première fois ! >. 

 

Les filles ne portent pas de culottes. Clémence me dit : < Moi j'adore sucer. J'espère qu'il y en aura pour moi. Sinon, je descends à la cave ! >. Nous éclatons de rire une nouvelle fois . J'attrape Clémence par sa tresse pour lui dire : < Je vais lui faire sa fête à la salope. Elle n'a jamais voulu me faire de pipe. Dimanche c'était la première fois en presque dix ans qu'on est potes ! Mais toi, je te baise ! >.

 

Nous nous moquons éperdument des petits gâteaux du café et du thé ! Nous sommes tellement pressé de nous mélanger.

 

Je suis à genoux devant le canapé la tête entre les cuisses de Clémence que je lèche pour la toute première fois. Valentine embrasse la jeune fille qui gémit. De sa main droite, la jeune femme se touche le sexe. Je suce et le lèche. Je mange le sexe de Clémence. Les enchantements paradisiaques du plaisir de la table, en quelques sortes ! 

 

Je sens que l'orgasme arrive car la jeune fille commence à imprimer de généreux mouvements du bassin. Mouvements qu'elle ne contrôle plus. Sous la douceur de la bouche de Valentine qui fouille la sienne et ma bouche qui fouille les replis de son intimité, Clémence gémit de plaisir. C'est la première fois que je découvre son clitoris. Grand et turgescent. Je suis impressionné par ce gland.

 

Je me redresse. J'enlève mon pantalon et mon T-shirt. Clémence, les cuisses largement écartées, vautrée sur le canapé, attend en haletant. Je me penche en avant.  Je prends appui de mes deux mains sur le dossier du canapé. Je m'allonge sur la fille.  Je m'introduis dans sa petite grotte étroite et humide. Il me faut être très délicat. C'est une jeune fille. Très lentement, pour ne lui faire aucun mal, je la pénètre. Clémence est concentrée. Elle se mordille la lèvre inférieure. Valentine lui caresse les seins.
 
Je reste ainsi sans bouger. Clémence me regarde dans les yeux. Elle soutient mon regard inquisiteur. Valentine nous observe. Plusieurs minutes passent ainsi. Nous restons dans une immobilité totale et un silence complet. Valentine s'est redressée. Elle nous regarde tous deux. Elle semble presque  admirative. Ce qui ne l'empêche pas d'être cambrée sur ses jambes et de se masturber des deux mains. 

 

Clémence se met à bouger doucement. Je reste immobile. Elle a les jambes écartées. Je la laisse prendre l'initiative des opérations. Le mouvement s'accélère. La jeune fille renverse sa tête en arrière. Elle ferme les yeux et se met à gémir. Valentine m'attrape les couilles par derrière.  Elle m'embrasse de sa bouche chaude et humide. Rapprochant ses lèvres de mon oreille, elle me chuchote : < Alors, vieux vicelard, c'est comment là dedans ? Elle est étroite, hein ? >.

 

La baise continue ainsi un long moment. Je suis toujours très maître de moi et je contrôle parfaitement mon sexe. Mais je dois reconnaître qu'avec ces deux filles il me faut quand même fournir quelques efforts d'attention. En grand jouisseur je veux faire durer. Avec ces deux grandes jouisseuses il me faut être à la hauteur. Un parfait gentleman quoi !

 

Valentine prend l'initiative de monter sur le dossier du canapé. Elle s'y met à genoux. Prenant appui des deux mains contre le mur, me tournant le dos, elle se met à cheval sur le visage de Clémence. Cette femme de quarante ans va en profiter pour se faire lécher et sucer par une jeune fille de vingt ans. Stupéfiant.
 
Valentine agite à son bassin d'un lent mouvement de va et vient ! Clémence, de ses deux mains, attrape les fesses de la jeune femme et fourre son visage dans son entre-jambes. Ce n'est plus qu'un concert de gémissements et de plaintes jouissives. C'est phénoménal. Qui n'a jamais partagé de tels moments à trois, ne sait pas ce que les mots "stupre" et luxure" veulent dire ! C'est absolument divin. 

 

Je pénètre Clémence plusieurs fois. Je me retire pour revenir. De nombreuses fois. Je me mets à genoux pour la sucer. Puis je reviens en elle. C'est démentiel ! Je dois faire de gros efforts pour me maîtriser. Il serait trop stupide d'éjaculer bêtement et de façon si prématurée. Et puis je veux fourrer Valentine que je n'ai jamais baisé. Elle le mérite bien pour sa tendre complicité. Je désire surtout la pénétrer et me secouer en elle. Il n'est pas question de lui faire l'amour mais de la sauter comme une salope. 

 

Valentine et moi, nous sommes entrain de nous "faire" Clémence. Pour son plus grand plaisir. Et le notre. Soudain Clémence se cabre. Une cambrure presque surnaturelle.  Elle a un orgasme délirant ! Dans un long râle, elle se laisse aller à de multiples spasmes qui secouent tout son corps !

 

Je me précipite à genoux pour aller recueillir, avec ma bouche, tout ce jus que je vois dégouliner de sa petite source. Valentine se précipite vers moi, me bousculant presque, pour s'en régaler aussi. Une fille fontaine ! Pour notre plus grande joie et pour le plus grand malheur de ma moquette. Je mets mon doigt dans le sexe à Valentine. Il est bouillant. Trempé.

 

Au bout de plusieurs minutes d'un festin de roi, (et de reine), Valentine s'avachie sur le canapé. Je garde mon doigt en elle. Enfoncé et quoi qu'elle fasse depuis quelques minutes. Je le fais de façon vulgaire.  Elle se met à se toucher, les cuisses largement écartées. Saisissant Clémence par les cheveux, elle attire la bouche de la jeune fille vers son sexe. En vraie salope, profiteuse, elle y bloque le visage de Clémence. Je retire mon doigt.

 

Je continue de lécher Clémence. Cette dernière est à présent à genoux, la tête entre les cuisses de Valentine. Je suis couché sur le dos. Je déguste le sexe de la jeune fille.  Nous repartons pour un nouveau tour de manège. J'entends gémir Clémence. Je ne sais pas si ses gémissements sont provoqués par son désir de se dégager de l'étreinte de Valentine ou si c'est l'effet de ma caresse.

 

Au bout d'une dizaine de minutes je me redresse. Je saisis Clémence par les cheveux. Je la libère de l'étreinte qu'exerce Valentine. Je m'approche de Valentine. Je me mets sur elle. Je la pénètre. Immédiatement la jeune femme se met à avoir un mouvement rapide et parfaitement régulier. Clémence se redresse et vient m'embrasser longuement. Un vrai délice.

 

A son tour elle approche sa bouche de mon oreille pour me chuchoter : < Baise-là cette vieille salope. Cette semaine on s'est vues deux fois. Elle n'arrête pas de s'enfiler son gode ! Elle fait même ses courses avec un truc planté dans le cul ! >. Je regarde Valentine. Elle a les yeux fermés. Elle transpire. Elle gémit de plus en plus fort. Je me retire. Elle essaie de me bloquer.

 

Je me remets sur elle et je la pénètre à nouveau. Je me retire. Je recommence. Valentine, les yeux révulsés, la tête appuyée et renversée de côté, sur le dossier du canapé, gémit en haletant. Je me mets à me secouer dans la jeune femme. Je la baise comme un dément. Elle ouvre les yeux avec un air de défi. Elle me fixe avec fierté. Je lui crache au visage. Elle se détourne et se débat en gémissant. Elle tente de me repousser. Je recommence à la baiser. C'est un jeu qui doit beaucoup lui plaire.

 

Clémence, accroupie à mes côtés, tenant mes couilles pour les empêcher de balloter, me fait : < Quand tu as fini de baiser cette pute, Je veux ton foutre ! >. En entendant ces mots Valentine ouvre les yeux. Elle accélère son mouvement dans un orgasme sonore et délirant. A l'attention de Clémence elle murmure : < La pute c'est toi ! Je ne vais pas sucer des vieux dans les caves, moi ! >.

 

Son corps, secoué de soubresauts, est couvert de sueur ! Je me retire. Clémence se précipite pour prendre mon sexe en bouche. J'enfonce mon doigt dans le sexe à Valentine qui a un nouveau spasme. J'éjacule dans la bouche de la jeune fille qui me "bloque" des deux mains par les hanches afin de déglutir longuement la totalité de mon jus. Je suis épuisé. Je m'effondre sur le canapé. 

 

Clémence vient se mettre à ma gauche. Valentine est à ma droite. Nous restons ainsi un long moment avant de nous assoupir. Comblés et repus. Lorsque je reprends mes esprits il est déjà dix huit heures. Valentine est réveillée. Elle est assise au sol à feuilleter un magazine. Clémence émerge en même temps que moi. Elle me fait à l'oreille : < Fais-lui encore un truc bien dégueu à cette salope ! >. Valentine, ayant entendu, lève son index d'un geste sévère.
 
Je me lève, je saisis Valentine par sa tignasse. Elle est surprise. Je la force à se lever. Je l'entraîne jusqu'aux toilettes. Là, devant la cuvette, je la fais mettre à genoux. Elle se débat. Clémence lui tient la tête. Je passe mon sexe sur son visage en le frottant longuement sur sa peau. La jeune femme fait des efforts pour détourner sa tête. Peine perdue. Clément la tient fermement. Je sais que Valentine n'aime pas trop la pipe.
 
Je pisse. Longuement. Elle me traite de vieux salopard. Je me masturbe et je lui éjacule au visage. Clémence se baisse pour lécher le visage de Valentine qui semble furieuse. Elle s'écrie : < Il faut que je prenne une douche avant de rentrer, espèce d'ordure. Mon mari rentre dans une heure ! >. Clémence lui lâche enfin les cheveux et lui dit : < Tu n'as que ce tu mérites, vieille salope ! >. Elle lui crache au visage. Moi aussi...
 
Après sa douche rapide, Valentine, le sèche cheveux à la main, me fait : < Je me suis éclatée comme une folle ! Sur le coup ça me révulse, mais après j'en suis ravie. >. Elle se dépêche de se préparer. Rapidement habillée, Valentine s'empresse de fuir pour rentrer.

 

Je ramène Clémence près de chez elle. Sur le chemin, la jeune fille, pose sa tête sur mon épaule. Elle me fait : < On remet "ça" le plus tôt possible ! Mais avec ma copine Solène, tu veux ? C'est un super coup aussi, tu sais. Mais elle, il faut la baiser avec des capotes ! C'est une vraie pute ! > .
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29/07/2014

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