L'ECRIT DE JOIE

L'ECRIT DE JOIE

Clémence - 7 - Retour à la cave

 
Avatar de Julien.jpg
 
                                                                  Retour à la cave
 

Je suis entrain de déguster un gratin Dauphinois que j'arrose d'un excellent Bourgogne. En fond sonore il y a Mozart. Dehors, la pluie battante contraste avec les derniers beaux jours. La pluie frappe contre les vitres de la fenêtre. Je médite sur ces maudites courses qu'il me faut faire à l'Hypermarché. J'ai prévu de m'y rendre dans l'après-midi. C'est souvent la contrainte du samedi.

 

Je suis plongé dans mes introspections quand mon portable se met à sonner. Ce début de la "sonate au clair de lune" dont je n'arrive pas à me débarrasser. Je décroche. C'est Clémence. < Bonjour. Tout va bien ? On se voit demain après-midi ? > me fait-elle. Je réponds : < Bonjour Clémence. Oui tout baigne ! Bien sûr qu'on peut se voir. A présent que tu sais ou j'habite on peut se voir chez moi ! >.
 
Il y a un silence. Clémence précise : < Je voudrais la cave. Juste une dernière fois ! Tu n'as pas envie de "marquer le coup" ? Juste pour l'ultime aventure de la cave ? >. J'hésite un peu avant de répondre. Quoi que cette idée ne m'enchante pas du tout, je réponds encore : < Entendu ! Je serai là pour seize heures, ça va pour toi ? Mais après on se fait un petit restaurant, ok ? >. Clémence termine : < Oh oui ! Superbe idée. Je t'attends, viens vite. >.

 

Nous nous saluons. Nous coupons la communication avec difficulté. Je commence à avoir l'habitude d'arriver dans l'immeuble pour quinze heures et de venir passer trois quart d'heure chez Séverine. Cela commence d'ailleurs à être au-dessus de mes forces. Il serait grand temps que cela cesse. J'aime bien Séverine, c'est une bonne amie et une ancienne collègue, mais quand même !

 

J'arrive donc à l'heure. Je gare ma voiture sur le parking. J'arrive chez Séverine avec mes deux éclairs au chocolat. Comme à chaque fois j'ai droit à des anecdotes sur sa vie professionnelle, sociale. Dans une moindre mesure sur sa vie affective. La vie de Séverine est sans doute aussi passionnante que celle du chat de ma mère...

 

A l'heure habituelle, je prends congé. Je me dirige vers l'ascenseur qui m'emmène directement au premier sous-sol. Je suis animé d'une excellente humeur et d'un optimisme qui me porte au meilleur de ma forme. J'ai une méchante envie de baiser.

 

Je sors de l'ascenseur par les portes automatiques. Je m'avance dans le couloir aux murs bétonnés. Cette fois-ci, arrivé à la porte qui communique avec le parking souterrain, je me déboutonne.  J'ouvre ma braguette et je sors mon sexe. Il est mou. Il pend devant moi. Toutefois, prêt à toute éventualité, je reste sur mes gardes. Je porte mon anneau. Ce dernier fait garrot et enserre mes couilles. J'apprécie de le mettre car il m'excite en permanence.

 

Derrière moi j'entends des pas rapides. Je me retourne. C'est Clémence. Elle se précipite. Elle se blottit contre moi en me couvrant le visage de baisers fougueux. Je la serre en la soulevant de terre. La jeune fille passe ses jambes autour de ma taille, si légère et si agile que j'en suis admiratif.

 

Dans sa fougue, elle ne voit pas que j'ai le sexe à l'air et qui pend en toute liberté. La jeune fille me dit : < On se fait une dernière cave, tu veux ? J'ai envie de sperme ! > Elle m'embrasse goulument. Je me retrouve en érection. Comme j'ai le sexe qui durcit Clémence s'en rend enfin compte. Restant  accrochée à moi, elle commence à se frotter contre ma turgescence. Elle me chuchote : < C'était bon dimanche dernier mais je crois que j'ai mon clitoris au fond de la gorge. Je préfère la pipe ! >. Nous éclatons de rire.

 

Vêtue d'une jupe courte et flottante, Clémence se frotte contre moi. Passant mes mains sur ses fesses, je me rends compte qu'elle ne porte pas de culotte. Nous nous embrassons dans ce sous-sol qui me révulse de plus en plus. Après quelques contorsions, la soulevant encore un peu plus, je m'introduis en elle. Sa vulve est humide. Je la coince contre le mur. Je la laisse redescendre doucement.

 

La jeune fille émet un gémissement de satisfaction. Je reste sans bouger. Je l'embrasse avec fougue. Je fouille sa bouche. Je la maintiens par les fesses. Elle reste comme une liane, nouée à mon corps par ses jambes et ses bras. Cela dure un moment. Je commence à sentir mon dos. De plus, nous pouvons nous faire surprendre à tout instant.

 

Doucement, je me mets à marcher. Je porte Clémence. Je lui dis : < C'est moi qui vais te faire visiter la cave ! >. Clémence me demande : < Tu veux bien devenir mon guide ? >. Elle est ravie. Je lui demande : < Il faut simplement que tu m'indiques quelle porte est ouverte pour pouvoir nous cacher derrière ! >. Elle me chuchote à l'oreille : < Prends la première à gauche, devant l'ascenseur. >. Je lui demande encore : < Tu as sucé aujourd'hui ? >. La jeune fille me fait : < Non ! Je fais des malheureux ! >. Nous rions...

 

Portant toujours la jeune fille fixée à moi, je ferme la porte derrière nous. Une fois dans le petit local que je commence à connaître, je couche Clémence sur une caisse. Je me mets à la baiser. Je me secoue dans la fille avec une certaine vulgarité. Elle ouvre ses yeux pour m'observer avec surprise. Un soupirail éclaire faiblement l'endroit.

 

Couchée sur le dos, ses pieds posés sur mes épaules, Clémence gémit en bougeant de façon régulière. Je la tiens par les mollets. Je me comporte en vrai vicelard. Je la baise. J'ai un mouvement de va et vient de plus en plus rapide. Par séquences. Je cesse pour recommencer. J'ai mon anneau autour des couilles. Le garrot est efficace. Je lui dis : < Tu te fais baiser aussi par des vieux dans les caves ? >. Clémence me répond  :< Jamais ! Je te l'ai déjà dit. Je suce, c'est tout ! Et j'adore ça ! >.

 

La tête renversée en arrière, les mains passées sous sa nuque, Clémence s'offre au plaisir. Je l'accompagne avec délice. Elle gémit. La jeune fille lâche quelques fois de profonds soupirs. Parfois elle ouvre les yeux pour me regarder. Clémence me fixe de ses yeux noisettes avec un air sérieux. Elle semble concentrée. Observant mes agissements. Puis, en gémissant, la jeune fille referme les yeux pour apprécier l'instant. Je lui dit : < Petite pute. Un de ces jours je vais aussi te défoncer le cul ! >.

 

Je m'applique avec soin. Je maintiens un rythme constant. Parfois je cesse toute activité pour rester immobile. Clémence continue de bouger. Elle ouvre les yeux pour m'observer à nouveau. Après avoir mouillé mon pouce je le pose sur son bouton. Doucement je bouge mon doigt sur son  clitoris. J'essaie d'épouser le mouvement régulier de la jeune fille. Cela a pour effet de décupler encore les sensations qu'elle éprouve. Elle me dit : < J'ai envie de sucer ! Laisse-moi te piper ! >.

 

Nous sommes là depuis un long moment. Je baise la fille avec un profond et un immense plaisir. Parfois nous cessons tout mouvement pour écouter les bruits qui nous parviennent du dehors. Cette situation nous excite fortement. Clémence prend appui sur ses coudes. Elle approche son visage pour me dire : < C'est super bon d'être avec toi ! Tu vas me faire aimer la baise ! >.  Je reste sans bouger et je lui fais : < Oui. Pour moi aussi c'est super ! J'ai trente ans de plus que toi, pourtant ! Et je m'attache ! >. Elle me scrute longuement avant de me dire : < N'y pense pas et prends les choses comme elles viennent. Moi, je n'y pense pas ! >.

 

Je me penche et je l'embrasse amoureusement. La douceur de sa langue contre la mienne. C'est comme un acte sexuel supplémentaire. Nous nous remettons à nous "bercer" d'un rythme régulier. Je ne peux plus m'empêcher de gémir. C'est trop bon. Je recommence à me secouer dans la fille. Vulgaire et vicelard. En appui sur ses bras, Clémence a des spasmes. Je me retire. Je la regarde haletante et en sueur. Je lui mets le doigt. Je le tourne vicieusement.

 

Nous restons ainsi un long moment, haletants, nous faisant des bises et nous caressant. Nos respirations sont synchrones. Je m'allonge à côté d'elle pour la serrer contre moi.  Clémence me regarde, candide et innocente,  pour me demander : < Tu crois qu'on s'aime ? >.  Je garde un long silence avant de répondre : < A mon tour de te dire de ne pas y penser et de prendre les choses comme elles viennent ! >. Je la prends par la nuque pour la contraindre à descendre sa tête. Je frotte mon sexe sur son visage.

 

Une autre long moment passe ainsi. Nous nous prodiguons de l'affection et de la tendresse. Je me comporte en véritable vicelard. Je joue avec mon sexe contre la peau de son visage. Clémence découvre mon anneau. Je l'empêche de sucer. Nous redressant, nous réajustant, je propose à la jeune fille de passer chez moi. De prendre une douche avant d'aller au restaurant. Là, une fois de plus, je constate l'esprit d'organisation des filles. Clémence a un sac de sport. Un sac dans lequel elle a prévu des vêtements de change. Ce sac est posé dans l'obscurité. Dans un coin.

 

Chez moi nous prenons une douche. Je suis soulagé d'être hors de cette maudite cave. Nous faisons l'amour une nouvelle fois sous l'eau. Pour aller au restaurant, Clémence est vêtue d'un jean et d'un sweat.  Un sweat-shirt bleu sur lequel elle a passé une veste légère en toile étanche. Malgré la pluie battante qui sévit dehors nous passons une nouvelle soirée très agréable. Nous sommes assis devant un civet de lièvre accompagné de coquillettes. Dans son assiette, j'ai déposé l'anneau à couilles. Clémence exige de le garder. Un cadeau. Un souvenir.

 

La jeune fille, espiègle et mutine, me fait : < Mâtes un peu le regard de certaines personnes. Elles doivent penser que tu es un vieux cochon qui se tape une petite jeune ! C'est absolument divin ! >. Je lui dis : < C'est parfaitement vraie ! Je me tape une petite jeune. Mais personne ne sait que cette petite jeune est aussi une authentique petite pute ! >. Clémence ne peut s'empêcher de rire. Elle me fait : < Une vraie petite pute qui va te tailler une pipe dans a bagnole tout à l'heure ! >. Clémence ponctue son affirmation d'un clin d'œil.

 

Clémence s'applique avec un soin particulier à me vider les couilles dans la voiture. Nous sommes sur le chemin du retour. Je m'applique avec talent. J'ai l'obligation morale d'être le véritable salopard qu'elle adore sucer. Et, surtout, cela me permet d'occulter mes sentiments naissant...
 
__________________________
Tous droits réservés - © - 2016 -
 
L'utilisation, toute ou partie, d'un texte, (ou photographie) sans le consentement de l'auteur, constitue une violation de la propriété intellectuelle.  Délit sanctionné par l'Article. L.335-2. du Code pénal.
La divulgation d'informations relatives à la vie privée, ou à l'identité, est sanctionnée par les articles 706-102-1 (Informatique) et 88-227 du code pénal .

 



29/07/2014

A découvrir aussi