L'ECRIT DE JOIE

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Clémence - 8 - Clémence, Solène et moi

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                                                           Clémence, Solène et moi
 

J'aime échanger. Que ce soit par courrier manuscrit ou par courriel. J'échange régulièrement des messages avec des amis. C'est donc toujours un réel plaisir. J'y consacre du temps. Ce samedi je fais mes courses au supermarché. Il est midi trente. Je suis entrain de choisir un beau papier à lettre et des enveloppes assorties. Mon téléphone portable se met à sonner. Je décroche. C'est Clémence.

 

Presque chaque jour nous sommes en contact par courriels. Clémence me fait : < Bonjour ! Tu vas bien ? Je peux venir chez toi demain vers seize heures ? >. Je suis ravi d'entendre la jeune fille et heureux de sa proposition. Aussi je m'empresse de répondre : < Bonjour Clémence. Oui, je vais très bien. Bien sûr que tu peux venir chez moi, aucun soucis. On se raconte ! A demain >. Je veux raccrocher.

 

Je ne suis pas au bout de ma surprise. Clémence rajoute : < C'est super ! Je peux venir avec Solène ? >. Le ravissement devient un enchantement et je réponds : < Pas de problème ! Avec le souvenir qu'elle m'a laissé, ce sera un véritable plaisir de la revoir. A demain ! >. Nous nous fixons donc rendez-vous pour le lendemain, dimanche, pour seize heures. Au moins j'ai la certitude que Clémence ne fera pas la cave !

 

Le dimanche arrive enfin. Après avoir passé la matinée à faire le ménage, je me prépare un frugal repas composé essentiellement de crudités. Des crudités accompagnées de pain grillé et de fromage. Je décide de passer ce début d'après-midi à me reposer. J'ai comme un pressentiment. La seconde partie de l'après-midi sera certainement mouvementée.

 

A seize heures mon téléphone portable sonne. Je décroche. J'entends la voix de Clémence : < Salut ! Nous sommes en bas de l'immeuble avec Solène. Tu nous ouvres ? >. Je regarde sur l'écran vidéo. Clémence et Solène sont là. J'appuie sur le bouton d'ouverture. Deux minutes plus tard les deux filles entrent chez moi. Je fais trois bises à chacune. Je les invite à prendre place dans le salon.
 
Clémence est vêtue d'une jupe légère, mauve, à motifs floraux. Elle porte un T-shirt beige. Chaussée de sandales à légers talons. Solène est vêtue d'une robe bleue. Elle est chaussée de sandales d'été à légers talons. Les deux jeunes filles sont visiblement heureuses d'être là. Solène me demande, mutine et espiègle : < Tu me fais visiter la cave de ton immeuble ? >. Nous rions.

 

J'invite les deux filles à prendre place sur le canapé. Je propose une boisson fraîche. La chaleur de ce mois de juin incite à la consommation de jus de fruits. La porte-fenêtre du balcon est largement ouverte sur le côté nord. Cela permet une circulation d'air plutôt agréable. Solène fait encore, toujours aussi malicieuse : < Il y a des suceuses à la cave, chez toi, dans l'immeuble ? >. Je réponds : < Je ne sais pas. Je n'ai jamais penser à y aller voir ! >. Nous rions encore.

 

Clémence, comme elle en a pris l'habitude, me palpe le sexe. Elle le fait à travers le tissus de mon pantalon en toile légère. Solène regarde la scène. Elle nous lance : < Les familiarités sont au programme je vois ! >. Je mets ma main gauche entre les cuisses de Clémence. Une nouvelle fois Solène nous fait : < Il reste une seconde main je crois ? >. Immédiatement je glisse ma main libre entre ses cuisses.

 

Je me lève pour me mettre à genoux devant le canapé. Je me place entre les deux filles. Chacune de mes mains entre leurs cuisses. La situation passe de la phase amusante à celle de l'excitation graduelle. Dans le silence, nous nous observons. Alternativement, les filles me regardent et se regardent. J'ai une érection qui vient me rappeler que je ne rêve pas. Clémence et Solène, complices, ne portent pas de culotte. Je leur mets le doigt.

  

Après quelques minutes de ce jeu, Clémence et Solène se trémoussent en gloussant. Je cesse et je me lève. Je vais à la cuisine pour aller chercher les jus de fruits, les verres et les glaçons. Sur une petite assiette je dispose des petits gâteaux secs. Je place le tout sur un plateau. J'ouvre ma braguette. Je sors mon sexe. Il est mou et il pend de mon pantalon.

 

J'arrive ainsi dans la pièce. Je tiens mon plateau des deux mains. Il y a un fou-rire chez les filles. Cette situation cocasse nous amuse. Je me mets à rire avec elles. Mon petit "effet" est parfaitement réussi. Clémence se précipite pour s'accroupir devant moi. Elle se saisit de mon sexe à sa base. Elle le montre à Solène en l'agitant. < On a notre jouet pour ce soir ! > fait-elle. La bonne humeur est à son comble. J'aime amuser les filles. J'aime les filles qui s'amusent.

 

Je dépose mon plateau sur la petite table basse. Je dispose les verres et je demande à chacune de choisir. Je demande : < Jus de mangue, jus de de Kiwi ou jus d'ananas ? >. Clémence me lance :  < Moi, ce sera du jus de queue,  du foutre bien chaud  ! >. Elle se met à genoux devant moi. Presque de suite elle prend mon sexe en bouche. Elle pompe fort. Je reste avec les mains sur les hanches. Je fixe Solène dans les yeux. Je lui fais un clin d'œil.

 

Solène met sa main gauche devant la bouche. Avec la langue, elle fait une bosse à l'intérieur de sa joue. Le pouce de la main droite levé elle me rend mon clin d'œil. Je saisis Clémence par les cheveux.  Je la force à se relever. Elle se relève en s'essuyant la bouche du revers de la main. Je lui fais : < J'ai une méchante envie de baiser ta copine ! >. Je lui glisse la main entre les cuisses. Clémence se cambre pour mieux apprécier mon initiative.  Elle me répond : < Mais c'est pour ça que je l'ai emmené ! >.

 

Solène avance le bassin. Elle s'installe sur le bord du canapé. Elle écarte largement ses cuisses. Elle me fait signe avec l'index. Je m'approche lentement. Je veux savourer cet instant bien vicelard. Je sais que Solène est au moins aussi salope que sa copine. Je la devine toutefois beaucoup plus vicelarde. Clémence me tend un petit paquet de la taille et de la forme d'un sachet de thé. Elle me dit : < Mets une capote ! >. J'enlève mon pantalon. Clémence me saisit les couilles par derrière. J'ouvre le sachet et j'enfile le préservatif.

 

Je m'avance. Je me couche sur la jeune fille. Je prends appui de mes deux mains sur le dossier du canapé. Je place mon sexe à l'entrée du sien. Clémence est à genoux derrière moi. Je frotte mon gland capoté sur le clitoris et les lèvres de Solène. Cette dernière, concentrée sur mon activité, se met à accompagner le frottage par des mouvements de bassin réguliers et lents.

 

Clémence m'appui sur les fesses.  Elle me pousse. Le petit fourreau est délicieusement étroit. C''est un peu comme la bouche à Clémence. Mais sans la sensation de pompage. Je reste longuement sans bouger. Solène me fixe dans les yeux. Clémence me tripote les couilles. Elle me dit : < Solène s'est déjà tapée un mec dans les chiottes du cimetière ce matin. Elle est chaude ! >. 

 

Doucement je me mets à imprimer un mouvement régulier. J'ai peur de pénétrer entièrement la jeune fille.  Je suis toujours inquiet. J'ai toujours peur de faire mal.  C'est elle qui fait un mouvement sec. Elle enfonce complètement mon sexe dans le sien. Fermant les yeux Solène lâche un profond gémissement. Elle accélère le rythme.

 

Cette sensation est toujours divine. Clémence m'enfonce un doigt dans le cul. Je déteste ça mais je ne dis rien. Elle me dit : < Elle baise tous les soirs. Elle se fait des types dans les chiottes derrière une station service. C'est une station ou bosse une copine qui est dans la combine. >. Ces révélations me répugnent un peu. Solène ouvre les yeux et rajoute : < Je fais les chiottes des parcs aussi ! Mais tu n'es pas obligée de raconter ma vie ! >. Elle accélère encore.

 

Clémence vient m'embrasser tendrement. Nous mélangeons nos langues. Nous nous regardons avec attention tout en nous embrassant. Je lui fais : < Après c'est à toi ! >. Je passe la main derrière moi pour la lui mettre entre les cuisses. Clémence me répond : < Non ! Moi je suce ! >. Je lui demande : < Tu as déjà sucé aujourd'hui ? >. Elle me dit : < Non ! Et j'en ai une méchante envie ! >.

 

Je garde un rythme régulier. Je suis profondément enfoncé dans la fille.  Je peux la sentir se cambrer pour chercher des sensations. Solène se tortille sur le canapé en bloquant son bassin contre le mien. Elle épouse mon mouvement en gémissant. Cette jeune fille d'à peine vingt ans est déjà une fameuse baiseuse. Elle sait parfaitement diriger chacun de mes mouvements afin d'en tirer le maximum de sensations. Je la trouve si belle, si frêle et si fragile. Si salope...
 
Je la regarde. J'ai du mal à imaginer cette magnifique jeune fille entrain de rôder aux abords des toilettes publiques. J'ai du mal à l'imaginer se livrer à des activités que je devine "glauques". Le plus souvent pour le plaisir. Cette idée m'excite et me révulse en même temps. Son allure d'ange dissimule bien des perversités. Et les plus inavouables...

 

Clémence me lèche la raie. Je n'aime pas spécialement. Je suis en sueur et surtout là. Je peux sentir la jeune fille passer sa langue partout. N'oubliant aucun pli, aucun relief. Je peux l'entendre suçoter des saveurs sans doute très particulières. Elle respire fort.  Elle me dit : < Tu me gardes ton foutre s'il te plaît ?  Je veux mon dessert ! >. Avec une voix suppliante. 

  

Solène se redresse. Elle m'attrape par les épaules. La jeune fille a une série de spasmes qui secouent tout son corps. Je sais quelle s'emmène au bout. Je reste à nouveau sans bouger. Solène est parcourue de frissons. C'est comme si elle avait froid. Elle me dit : < Encore ! Baise-moi encore ! >. Clémence lui répond à ma place : < T'arrête pas de baiser et t'en veux encore ! Mais comment tu fais ? >.

 

Je recommence à bouger doucement. Clémence me lèche avec insistance entre l'anus et les couilles. Je suis trempé de sueur. Elle est à genoux derrière moi, les coudes au sol, à recueillir les saveurs de mes sueurs. Solène me regarde fixement.  Du défi dans le regard. Je commence à avoir du mal à réfréner l'envie d'éjaculer. Je n'ai pas mon anneau à couilles. En vieux briscard, je sais toutefois me garder de toutes tentations. Je veux vraiment que ma jouissance soit à la hauteur de l'évènement. 

 

Clémence se redresse. Elle vient mettre son visage près du mien. Elle est trempée. Ses cheveux collent sur ses joues. Elle me fait : < Je me régale ! >. Puis, toujours au sol, elle repasse derrière moi. A nouveau elle se met à me lécher la raie. Elle enfonce son visage entre mes fesses. Je sens son haleine chaude et sa langue qui me fouille. C'est à la fois terriblement gênant et très excitant. Je suis vraiment trempé de sueur et cela coule partout. J'ai un frisson de dégoût. 

 

Une nouvelle fois Solène se cambre. Elle serre son bassin contre le mien. Elle est secouée par plusieurs spasmes. En gémissant, la jeune fille se laisse aller. C'est un orgasme spectaculaire. C'est beau. De la voir ainsi est superbe. Trempée, le visage mouillé de sueur, les yeux fermés, la bouche ouverte, elle perd tout contrôle d'elle-même pendant quelques instants. Un spectacle magnifique.

 

Je me retire doucement. La capote reste presque coincée dans le sexe de Solène. Je la retire complètement. Mon sexe est mouillé. Maintenant qu'il a quitté cette délicieuse grotte, il y a une sensation de froid. Clémence est couchée sur le dos à me lécher. Elle passe sa tête entre mes cuisses pour venir me lécher le sexe. Solène retire le préservatif. Elle me le montre. Il est plein de liquide séminale. Elle fait un nœud et le trempe dans un verre d'eau. 

 

Clémence rampe sur le sol. Elle me contourne. La jeune fille se met à sucer. Nous pouvons l'entendre gémir de plaisir en déglutissant. Elle avale mon jus avec délice. Clémence est une merveilleuse pompeuse. Et je m'y connais. Elle m'a démontré sa virtuosité à plusieurs reprises. La jeune fille est excitée par ce moment suprême. Elle pompe. Elle en veut encore et encore. Je l'observe qui déglutit sans bouger. Solène, étendue sur le côté, la tête posée sur un coussin, regarde avec attention. 

 

Il m'est impossible de retenir mon sperme plus longtemps. Dans un orgasme vertigineux, perdant l'équilibre, j'éjacule dans la bouche de Clémence.  Elle serre de toutes ses forces mon bassin contre sa tête. Je reste ainsi. Je suis couché sur le côté. Je tiens la jeune fille par ses oreilles. Je me vide longuement. L'indicible caresse me fait vaciller. Je prends appui d'une main sur le canapé.

 

Lorsque nous reprenons nos esprits, je propose aux deux filles de terminer la soirée au restaurant. Solène doit rentrer avant vingt heures. Elle décline l'offre. Clémence est heureuse de passer la soirée avec moi. Elle accepte de  suite. Solène sort le préservatif du verre d'eau. Elle ouvre le nœud. Le liquide séminal est froid et commence à jaunir. Elle le montre à Clémence en faisant : < Cadeau ? >. Clémence s'en vide le contenu dans la bouche et avale en gloussant. Elle met la capote à l'envers et en lèche le restant. Soigneusement. Je dit : < C'est le jus du plaisir avec ta copine ! >. Elle répond : < Et voilà ce plaisir partagé ! >. Nous rions.

 

Je ramène Solène près de chez elle. Elle me fait : < Demain soir, après la Fac, je suis dans le coin des chiottes derrière le parc. Si tu traînes par là ! >. Nous la regardons partir rapidement. Clémence me pousse du coude pour faire : < Si elle tombe sur une bite entre ici et chez elle, elle se fait sauter. Même si c'est la bite d'un chien ! C'est une vraie salope ! >. 

 

Une fois seule avec moi, Clémence me demande : < C'est un "super coup" hein ? Tu as aimé ? Autant qu'avec moi ? >. Je reste silencieux un long moment avant de répondre : < Je ne compare jamais l'incomparable ! Tu es un "coup" merveilleux , elle est un "coup" merveilleux ! Qu'importe ! >. Clémence se met à rire et me dit encore : < C'est elle qui m'a tout appris ! Les pipes dans les caves c'est elle ! La baise c'est elle ! Je lui doit toutes mes découvertes ! Solène a commencé tôt ! >.

 

Devant nos délicieuses tranches de tourtes, accompagnées d'une onctueuse purée, je pose à Clémence une question qui me taraude depuis quelques semaines : < Tu as sucé souvent dans les caves ? >. Elle me regarde. Elle est un peu gênée et me répond : < Oui ! Très souvent. Parfois trois mecs en un après-midi. Dans la cave et dans le parking souterrain ! Mais c'est avec toi que je suis devenue amie. Et il n'y a plus qu'avec toi depuis trois semaines ! >.

 

Après un long silence je lui dis : < Je n'en demande pas tant ! Amuse-toi un maximum ! Si tu en as l'envie il serait stupide de t'en priver ! Mais je ne veux plus te savoir dans cette cave et dans cette forme d'activité ! >.

 

Elle me regarde en souriant. Nous restons longuement à nous fixer silencieusement. Clémence me fait encore : < Tu m'accompagnerais en cachette ? >.
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29/07/2014

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