L'ECRIT DE JOIE

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Clémence - 9 - La dernière séance

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                                                             La dernière collation

 

Avec Clémence nous avons échangé quantité de courriels depuis notre dernière aventure à trois. Elle, Solène et moi. Ce sont des situations dont on ne peut pas réellement faire le tour avant de longues périodes. En tous cas, personnellement, je n'y arrive pas. Quelques années après j'y pense encore. Souvent. Des images précises m'envahissent. Clémence s'est gravée en moi. Incrustée à tout jamais dans mes souvenirs.

 

Ce vendredi soir, vers vingt et une heures trente, je rentre de mes cours au conservatoire de musique. Nous sommes au mois de juin. Il fait encore jour et la douceur est agréable. Au volant de ma voiture je savoure cette soirée en roulant doucement. J'aime rouler lentement avec la fenêtre ouverte. Je pense à mes cours. Mes élèves sont heureux d'arriver au terme de ce trimestre. Les vacances sont toutes proches.
 
J'arrive au dernier feu. Ensuite, sur la droite, c'est la petite route de campagne qui mène chez moi. Je suis à l'arrêt. Mon esprit vagabonde. Sur le siège passager, mon portable se met à sonner. Je décroche. < Bonjour. C'est Clémence. Tu vas bien ? >. Je suis heureux d'entendre la voix de la jeune fille. Je réponds : < Bonjour Clémence. Oui je vais bien. Et toi ? >. Elle me fait : < Super ! Je peux venir dimanche après-midi ? Tu es disponible ? >. Je confirme : < Mais certainement. Je serai là ! >. J'entends sa voix joyeuse qui me fait : < Ok, je viens pour quinze heures. Bisous ! >. 

 

Je raccroche en regardant le feu qui passe au vert. Je sais dès à présent que dimanche après-midi ce sera la "fête". J'aime les filles entreprenantes qui savent préparer les surprises les plus délicieuses. Plutôt que celles qui les attendent. J'aime les filles qui vont au bout de leurs désirs. Les autres m'ennuient. J'apprécie l'esprit d'initiative. Je médite sur cette philosophie toute personnelle jusqu'à la maison. Cela me fait sourire.

 

Ce dimanche matin, comme tous les autres, je fais mon ménage. Pour midi, je me prépare un de ces énormes saladiers de crudités. Avec ces chaleurs, c'est mon plat préféré. Après la vaisselle je m'allonge sur le canapé. Je suis vautré à feuilleter le magazine Géo. Depuis des années je suis un abonné fidèle de ce magazine. Je déguste un cône glacé à la pistache. J'ai la sensation d'être l'homme le plus heureux de la création. Béatitude.

 

Il est quatorze heures trente. J'ouvre ma braguette. Je sors mon sexe pour m'amuser un peu avec. Je suis là, confortablement installé, lorsque la sonnette brise le silence. Je me lève pour aller voir sur l'écran vidéo de l'interphone. C'est Clémence. Une goutte de liquide séminal tombe au sol. Sur le parquet de l'entrée.

 

Je referme mon pantalon. J'ouvre à la jeune fille et je l'invite à prendre place sur le canapé. Clémence est vêtue d'une jupe beige et d'un T-shirt beige. Elle est chaussée de sandales à légers talons. Des sandales dont les lanières montent le long de ses chevilles. Ses longs cheveux sont attachés en catogan. Ils pendent dans son dos. Elle est magnifique avec toute la fraîcheur de ses vingt ans.

 

Avec la  chaleur de ce dimanche de juin je propose une boisson fraîche. Jus de fruits, limonade ou eau gazeuse au sirop. Clémence a l'embarras du choix. Elle hésite. Elle me demande un jus de mangue avec des glaçons. Je vais à la cuisine pour préparer le tout et le déposer sur un plateau. J'y dépose un sorbet glacé à la mangue. Pour lui faire une surprise.

 

Je reviens de la cuisine. Je porte le plateau. J'entre dans le salon. Je vois Clémence totalement nue. Elle est assise sur le canapé. Elle m'observe avec malice. Je pose le plateau sur la petite table devant le canapé. La jeune fille me dit : < Tu me baises un peu cet après-midi ? >. Je me redresse. Je croise mes bras et je la regarde avant de dire : < J'aime les filles directes. Toi tu remportes la médaille ! Tu décroches le pompon ! >. 

 

Nous éclatons de rire ensemble. Clémence est très mince, à la limite de la maigreur. Ses tous petits seins présentent des tétons turgescents. Sa peau claire parait d'une extrême fragilité. Diaphane. Son visage toujours gai et souriant m'attire. Je l'observe longuement. Elle prend visiblement beaucoup de plaisir à être regardée ainsi. Elle écarte ses cuisses, les pieds posés sur le canapé.

 

Je remplis les verres. Clémence m'attrape par la braguette. Elle me déboutonne rapidement en me fixant  d'un regard prometteur. De sa main experte elle sort mon sexe déjà bien raide. Je suis debout face à elle, jambes légèrement écartées. Je peux admirer la "coupe" particulière des poils pubiens de la jeune fille. Cette dernière a rasé sa toison pour n'en laisser qu'une touffe étroite. Une mèche verticale et deux petites "parenthèses" sur les côtés. C'est du plus bel effet.

 

Je lui demande : < Je peux te bouffer la chatte un peu d'abord ? >. Elle me fait un sourire désarmant et me répond : < Viens ! >. Clémence avance le bassin, écarte largement les cuisses et s'adosse contre le dossier du canapé. De chaque côté de son corps ses pieds reposent sur les coussins. Je lui demande encore : < Tu as sucé ou baisé cette semaine ? >. Elle secoue la tête négativement pour me dire : < Non ! Et ça me manque ! >.

 

Je me laisse tomber à genoux. J'avance ma tête entre les cuisses largement ouvertes. Je me mets à brouter. Je me pourlèche du miel de ce petit sexe bien attirant. Un abricot. Presque immédiatement Clémence se met à gémir, appréciant ma caresse. Chaque fille a un goût unique. Celui de Clémence est particulièrement doux, légèrement acidulé. Sa cyprine est épaisse, visqueuse et laiteuse.

 

Mon "dessert" est délicieux. Je passe ma langue dans tous les replis. Je fais une véritable toilette intime à la fille. Je  m'attarde sur les endroits qui semblent donner le plus de sensations à Clémence. Je suce le gros bouton en le décalottant de mes lèvres serrées. Puis je reviens avaler les coulures qui perlent jusqu'au trou du cul. Trou du cul que je lèche correctement. Cette muqueuse à une saveur particulière. Un léger dégoût m'excite considérablement.

 

Je reste longtemps à la "manger". Je sens que la situation devient critique. Clémence ne va pas tarder à avoir son premier orgasme. Je me redresse. Je me penche en avant. Je prends appui de mes mains sur le dossier du canapé.  Doucement, avec d'infinies précautions, je m'immisce dans l'intimité humide de la jeune fille. Elle me saisit par les hanches et s'accroche à mon corps en épousant mes mouvements. Elle me dit : < Oh oui, emmène-moi ! >.

 

Qu'il est doux d'être dans ce fourreau. J'imprime un lent mouvement.  J'offre un rythme régulier. Un parfait va et vient. La jeune fille m'embrasse. Nos langues, tout comme nos corps, se mélangent dans la plus parfaite volupté. Parfois Clémence se cambre contre moi. Elle me serre encore plus fort. A la recherche d'un plaisir supplémentaire dans les contorsions de son bassin.

 

Clémence approche sa bouche de mon oreille. Elle me fait : < J'ai rencontré un mec mercredi. Bastien. Il a vingt trois ans. Il est dans ma fac. Tu es fâché ? >. J'éclate de rire avant de répondre : < Et il faut que tu m'annonces "ça" dans un moment pareil ! >. Je me retire pour m'assoir sur la petite table basse. Elle me dit : < Je suis une salope, que veux tu ! >

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Je m'assois à ses côtés. Hilare. Je lui dis d'un ton rassurant : < Il est temps que tu te trouves un mec de ton âge ! >. Elle me fait : < Tu n'es vraiment pas fâché ? >. Je lui affirme : <  Mais pas du tout ! Bien au contraire ! Peut-être qu'enfin tu vas arrêter ta cave. Peut-être même que tu vas cesser de sucer des vieux salopards dans mon genre. Peut-être même que tu vas cesser de te faire baiser par des vieux vicelards comme moi ! >.

 

Elle passe son bras autour de mon cou pour me lancer : < Mais j'aime les vieux vicieux ! Seulement laisse-moi un peu de temps pour que je puisse me rendre compte du sérieux éventuel de cette nouvelle relation. C'est un petit "jeunot" tu sais , je suis sa deuxième meuf ! Un "D'jeune" ! >. 

 

Je reste silencieux en regardant du jus couler de mon sexe sur le parquet.  Je lui dis : < Je reste disponible. Si tu as besoin ou l'envie de me voir  tu as mon numéro et tu sais où j'habite ! >. Clémence regarde les coulures sur le sol et me répond : < Comme c'est bon de savoir que tu ne m'en veux pas ! Et surtout que tu existes ! >. Elle se serre contre moi et me dépose une multitude de bises sur tout le visage. 

 

Clémence me fait un sourire par en dessous et me dit encore : < Tu sais, c'est un des avantages des vieux salauds. Ils comprennent les jeunes filles ! >. Je lui lance : < Tu pourras compter sur moi, sur mes silences et sur ma disponibilité ! >. Je  la serre contre moi. Je lui dépose une bise délicate sur le front.

 

Clémence me prend le sexe dans la main. Elle me le secoue dans tous les sens. Elle me dit : < Si je peux venir te sucer de temps en temps, ça me plairais bien ! Les vieilles bites vont me manquer ! >. Elle se lève. Elle se met à quatre pattes. Elle lèche le foutre qui a coulé sur le sol. Je la regarde. Elle se comporte comme une vraie chienne. Je l'observe, admiratif.
 
Elle se redresse. Clémence s'assoit à califourchon sur moi. Elle enfile mon sexe dans le sien. Nous reprenons notre berceuse. Notre mouvement de va et vient reprend. La jeune fille a un orgasme au bout de quelques minutes. Elle s'allonge sur moi.  Clémence reste longuement sans bouger. Je peux sentir son cœur battre contre le mien. Nous sommes mouillés de sueur.

 

Je lui caresse les cheveux. Je lui propose : < Tu serais d'accord pour un petit restaurant ce soir ? >. Elle me tient par les oreilles et me fait : < Ces dimanches soirs vont beaucoup me manquer tu sais. Je suis si bien à pouvoir te raconter tous mes secrets ! >. Clémence reste un instant silencieuse avant de rajouter : < Ce soir je vois Bastien. Nous avons rendez-vous à dix neuf heure ! >.

 

Je lui fais des bises tout en disant : < Ne sois pas tristounette pour m'annoncer tout ça ! C'est parfaitement dans la logique des choses. Ne t'inquiète surtout pas. Je suis très content pour toi. C'est superbe, vraiment ! >. Clémence se laisse tomber au sol devant le canapé. Elle prend un coussin pour se mettre à genoux dessus. Elle me dit : < Maintenant, je veux ma pipe ! Je veux du foutre de quinquagénaire ! Du 50 ans d'âge, ça se déguste ! >. Nous rions une fois encore. 
 
Clémence avance sa bouche. Je tiens mon membre à sa base. J'avance mon bassin. Je frotte mon sexe sur son visage. Il y a des coulures de liquide visqueux partout. Sur son front, sur ses joues, sur ses sourcils. Je caresse ses cheveux de ma main droite. Je garde son menton dans ma main gauche. Elle me fixe dans les yeux. Sans prévenir, je lâche un jet de pisse...

 

Je lui dis : < C'est peut-être ta dernière pipe avec moi ! Je vais me surpasser ! Tu vas voir un vieux vicelard à l'œuvre, petite salope ! >. Je lui enfonce le sexe dans la bouche. Elle pompe immédiatement. Je me concentre. Je lâche un petit jet de pisse. Clémence déglutit avec peine. Elle comprend ce que je lui fais. La jeune fille ouvre les yeux pour me fixer. Je lâche un second jet. Bref et direct. Elle ferme les yeux pour savourer en pompant par petits à coups.
 
Je lui fais : < Si un jour tu fais les pissotières comme ta copine Solène, il te faut de l'entraînement ! >.  Elle pose sa main sur ma bouche pour m'empêcher de parler. Elle me fait un clin d'œil et se met à me pomper avec force en fermant les yeux. Je me laisse sucer avec délice. Clémence se retire pour me dire : < J'ai sucé de vieux incontinents. J'en ai avalé de la pisse si tu savais ! J'étais l'urinoir d'un vieux dégueulasse pendant plusieurs semaines ! >.

 

Je suis à vivre cet instant avec toute la saveur élégiaque d'un départ imminent. J'ai parfaitement conscience que c'est peut-être la dernière fellation que me prodigue cette étonnante jeune fille. Je veux en apprécier la douceur avec la conscience la plus aigue. Je m'efforce de faire voguer mes pensées vers les choses les plus étrangères. Ainsi, par ruse, je peux faire durer le plaisir. Je lâche un bref jet de pisse puis j'éjacule sans bouger. En laissant simplement couler. 

 

Clémence suce avec bonheur. Elle déglutit en gémissant. Ce mélange doit la ravir. Je la regarde. La jeune fille paraît en extase. Tentant d'avaler d'étonnants mélanges. Elle continue. Clémence ne se doute peut-être pas que je viens de m'épancher. Parfois, je bouge doucement le bassin. Je fais l'amour à sa bouche. Puis, cessant toute activité, je la laisse savourer les fruits de mes masturbations buccales.

 

Je lâche un bref jet de pisse. Clémence suce. Je recommence. Je fais ça plusieurs fois. Avec la main, je me secoue le sexe dans la bouche de la fille. Je suis d'une vulgarité extrême. Je sors mon sexe de sa bouche et je le passe sur son visage. Du liquide séminal y a déjà séché. Laissant des traînées blanchâtres partout. Sur ses joues et sur son front, des cheveux restent collés par du foutre sec.

 

Au bout d'un long moment, j'éjacule une nouvelle fois. J'aime à rester parfaitement immobile. Je laisse s'épancher le jus de l'éjaculation sans bouger. Il y de délicieuses et jouissives saccades. Je ne peux pas les contrôler. Ce sont les meilleures. Clémence, bloquant sa tête sur mon bassin, déglutit plusieurs fois. Longuement et avec peine. J'essaie de sortir mon sexe de sa bouche sans y parvenir. Je sais que la jeune fille veut continuer. Il est déjà dix sept heures trente. Je le lui fais remarquer.

 

Clémence me dit : < Je veux te vider les couilles ! Encore et encore. Je veux que tu te souviennes de mes pipes à tout jamais. Parce que moi je m'en souviendrais toujours. De chacune ! >. Elle reprend mon sexe en bouche. Je me lève. Je me mets à pisser sans me contrôler. Pour la jeune fille il est impossible de tout avaler. Surtout que je me soulage une bonne minute.

 

Il y a de la pisse partout. La fille est trempée. Clémence pompe en avalant tant qu'elle peut. Il lui faut cesser pour reprendre sa respiration. Elle y retourne. Je regarde cette fille qui se vautre dans le vice avec tant de volupté. Elle est si belle. Trempée comme sous la douche. Je suis à nouveau excité. Je suis dans une sorte d'état second. Une extase diffuse.

 

Je me laisse retomber en arrière sur le canapé. La fille ne me lâche pas. Je suis prêt à partir pour un nouveau moment de folle jouissance extatique.  C'est incroyable ! Clémence me fait : < Je vais te bouffer la bite ! >. Je suis victime de plusieurs vertiges. Je suis en sueur. J'ai de la pisse sur les cuisses, sur les jambes. Il y a de la pisse au sol. Le cuir du canapé ruisselle. Clémence se met à quatre pattes. La jeune fille lape l'urine à même le sol. Ses cheveux traînent dans le liquide. C'est dégoûtant et si excitant. Je l'entends aspirer la pisse...

 

Je me lève. Je me masturbe. J'éjacule une troisième fois. Je fais gicler mon sperme au sol, dans la pisse. Clémence se hâte de tout laper avec avidité. Elle revient me vider les couilles en me pompant comme une folle. Il est  déjà dix huit heures quinze. Il faut penser à honorer ce rendez-vous avec son nouvel "ami". Clémence se relève. Elle boit plusieurs rasades de jus de mangue. Je lui pisse au visage et dans le verre. Elle boit avec délice.
 
La jeune fille me dit :< Je téléphone à Bastien pour lui dire que j'aurais du retard ! Je prends une douche ! Je peux ? >. Je l'emmène à la salle de bain. Je ramène une serpillère pour éponger la pisse que Clémence a laissé. Je nettoie et je sèche la table basse avec une éponge. Pendant que je passe l'éponge, j'entends Clémence vomir. Je vais regarder. Elle est à genoux devant la cuvette des toilettes. Des filaments coulent de sa bouche. Jaunâtres, épais, visqueux et gluants. La jeune fille manque de s'étouffer. Elle dégurgite de grandes quantités de substances...
    
Lorsque Clémence revient de la douche, elle me fait : < Je te téléphone demain soir pour te raconter tu veux ? > Elle se blottit dans mes bras. La jeune fille me fait encore : < Je suis si heureuse ! >. Je la serre contre moi pour lui répondre : < Sans problème Clémence, je suis disponible. Tu m'appelles quand tu veux ! >.

 

Elle me lance avant de m'embrasser : < Pourquoi que tu n'as pas vingt trois ans ? On serait si bien ensemble ! >. Elle pose sa tête sur mon épaule. Je la repousse doucement en lui disant : < Pourquoi n'as-tu pas quarante cinq ans ? >.  Nous éclatons de rire. Il me faut absolument désamorcer toutes approches philosophiques. Toutes éventualités d'entrer dans une conversation forcément stérile.  Et vu le peu de temps qui serait impartit à ce débat, ce serait forcément médiocre. Ridicule.

 

La jeune fille s'habille. Je la raccompagne à la porte. Je lui fais : < Tu m'appelles demain soir comme prévu. Passe une bonne soirée. Je pense très fort à toi ! >. Clémence se précipite une nouvelle fois contre moi et m'embrasse longuement. Elle file enfin. La jeune fille se retourne pour me lancer : < A bientôt ! Je t'aime ! > Elle s'engouffre dans l'ascenseur pour disparaître. Je me précipite à la fenêtre pour la regarder partir sur sa bicyclette.

 

Mon cœur se serre. J'éclate en sanglots... 
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29/07/2014

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