Montségur
Montségur
Qu’il est agréable de se réveiller, imbriqués comme le seraient les pièces d’un puzzle. Nous en prenons très certainement conscience en même temps. Tous nos réflexes s’harmonisent dans la plus parfaite symbiose. Je passe mon bras autour des épaules de ma dormeuse qui se tourne pour se blottir contre moi. C’est dans cette évanescence que nous revenons lentement au réel. J’aime l’haleine de ses nuits. Nous ouvrons les yeux en même temps pour échanger le premier sourire de cette nouvelle journée. Odélie pose sa tête sur ma poitrine alors que je m’installe sur le dos. Les rectangles de ciel bleu des fenêtres apportent une autre bienveillance à notre matinée. Il est presque huit heures. Il est impossible d’aller contre la nature. Ma compagne de réveil se lève pour courir vers la porte. Dans l’existence tout n’est que rituels. Le mien m’emmène sur le balcon. Avec seulement 15°, en simple T-shirt, je ne m’attarde pas. Odélie vient me chercher pour me tirer par la main. << Tu vas finir par prendre froid ! >> dit elle. C’est à mon tour d’aller me soulager avant de la rejoindre à la salle de bain.
De l’eau sur nos visages avant d’enfiler nos vêtements sports. Odélie me saute au cou en s'écriant : << C’était si bien hier ! On récidive aujourd’hui, tu veux ? >>. J’ai la même envie. Nous dévalons l’escalier. Pendant que ma préparatrice s’affaire au café et au pain grillé, je presse les oranges. Je pèle les kiwis. L’alternance. Ce sera petit déjeuner à l’Écossaise. Œufs poêlés et bacon. Le pain acheté hier à Limoux est aussi délicat et moelleux qu’une brioche. Nous mangeons de bon appétit en revenant sur notre visite au château de Quéribus. Aujourd’hui ce sera Montségur. Une autre de ces fameuses citadelles du vertige qui participent de l’attrait particulier qu’exerce le Pays Cathare. Cette terre respire mille mystères. Mille secrets et mille merveilles. Il faudrait y passer un bon mois pour en faire une approche plus pertinente. Trop impatients de partir pour de nouvelles découvertes, nous ne nous attardons en rien. La vaisselle. Le facétieux rituel du brossage des dents avec concours de grimaces. Nous redescendons en courant pour faire notre aérobic au bord de la piscine.
Séverine, derrière son comptoir d’accueil, nous adresse son quotidien << Bonjour >> et son beau sourire. Notre jogging nous emmène le long de ce circuit dont nous ne nous lassons pas. Après tout, ce n’est pas seulement une promenade de santé mais un exercice physique que nous pratiquons avec tant de plaisir. Une heure d’une course soutenue. La douche. La journée s’annonce aussi belle que les précédentes. Cette fin de mois de mars est un magnifique début de printemps. Il y a même les bourgeons des premiers genêts qui révèlent le jaune vif de leurs fleurs. De préparer les sandwichs ne prend que quelques minutes. Le tout dans le petit sac à dos avec des pommes et la bouteille d’eau. Odélie porte sa jupette noire, un T-shirt gris. Je suis en bermuda kaki, chemisette carmin. Nos baskets. Dévaler l’escalier en nous tenant par la main est dans la continuité de nos précipitations. Second sourire de Séverine et son : << Passez une belle journée ! >>. Il faut débrancher le câble de la voiture. Ses batteries ont chargé toute la nuit.
C’est ma douce conductrice qui prend le volant. Je m’installe confortablement. Il faut se taper 85 km. Direction Castelnaudary vers l’Ouest. Vingt kilomètres et reprendre vers le Sud. Par la départementale 119. Je n’oublie surtout pas d’avoir ma main gauche posée sur sa cuisse droite. D'en caresser le velours en l’écoutant commenter les paysages montagneux qui nous entourent. Il y a un phénomène curieux. Chaque jour la végétation paraît plus verte. Des taches de couleurs par endroits. Il n’est que onze heures et la température est de 20°. Nous tournons le dos à l’Aude pour l’Ariège mais sans quitter le Pays Cathare. Onze heures trente quand nous arrivons à Lavelanet. Charmante petite ville qu’il faut traverser avant d’arriver au village de Montségur. Il est tout là haut le fameux château. Fière silhouette d’un autre temps, dressée sur son pog. Comme un gigantesque pain de sucre posé à la verticale et qui supporte la forteresse. Il faut garer la voiture sur le parking obligatoire. Au bas de la montagne. La faim nous tenaille.
Le village paraît être fait de maisons basses, le long de rues rectilignes. Comme autant de pavillons résidentiels. C’est insolite. << Viens, on prend le chemin qui va vers la forêt ! >> propose ma compagne d’aventures. Je mets le sac sur le dos. Environ trois cent mètres entre des fourrés et des bosquets. Il y même quelques papillons qui virevoltent. L’ambiance bucolique a de quoi envoûter les amateurs de randonnées. Voilà une clairière avec des panneaux indicateurs. Pour nous, ce sera le sentier Cathare. Avec la végétation, nous ne voyons plus les falaises abruptes du pog. Il y a un abri. Simple cabanon ouvert aux quatre vents, équipé d’une table et de bancs. L’endroit idéal pour savourer nos sandwichs au pâté et au Gouda. Odélie s’installe face à moi. Nous déballons le sac. Des gazouillis d’oiseaux résonnent parfois dans le silence. Probablement la saison des amours car ce sont des couples qui se poursuivent à tour d’ailes. Passant tout près, d’un vol rapide et virtuose. Nous dégustons ce repas simple en étudiant la topographie des sentiers sur Google Map.
Odélie se lève, contourne la table, s’assoit à mes côtés. Impossible de s’égarer. Il suffit de rester sur le sentier du château. Sept cent mètres de grimpes nous attendent. Pressés de relever le défi, nous remballons. << Attends, je me mets dans de bonnes conditions ! >> lance Odélie en retroussant sa jupette. Je reste les bras ballants en la regardant retirer sa culotte de coton noir. Elle la fourre dans la pochette avant du sac à dos. En riant, elle rajoute : << Quoi ? Il n’y a pas encore de mouches au printemps ! >>. Je la rejoins dans un fou rire. << C’est comme avant de partir en pique nique avec la famille, il faut toujours faire un pipi avant ! >> dit elle en s’accroupissant au milieu du sentier. Je fais le guet. Personne. Pas encore beaucoup de touristes en cette saison. << Et toi ? >> me demande ma délicieuse coquine. C’est à ses mots que je me rends compte que ce serait judicieux d’anticiper également. Je me tourne pudiquement vers l’un des piliers du cabanon. Ma complice me contourne. Son bras autour de ma taille, elle saisit mon sexe.
<< J’adore. Je sens quand ça vient, quand ça passe et quand ça faiblit ! >> lance t-elle en se penchant pour regarder. Serrée contre moi. Je me laisse aller dans une certaine volupté. C’est tellement agréable. Je passe ma main libre le long de ses fesses pour retrousser sa jupette. La glisser dans la raie pour tenter la descente. << Coquin, profiteur ! >> chuchote t-elle en secouant les dernières gouttes. Mon érection naissante. Je me tourne. Je prends Odélie par sa taille. Je la soulève pour l’assoir sur la table. Tout n’est que miracle dans ce pays qui n’en manque pas. Pas un promeneur pour perturber nos initiatives. Ma comparse, en appui sur ses coudes, le regard par en-dessous, assiste à mes prises de risques. Je frotte mon sexe contre le sien avant de m’y introduire lentement. Nous nous fixons durant toute la pénétration. Instants merveilleux. Je suis en elle. Je la tiens par ses chevilles. Je reste immobile. Nous tentons de communiquer par la pensée. Je ne connais pas de plus intenses émotions. Je bouge lentement. Régulièrement. C'est beau de faire l'amour, même si la position est ridicule.
Je cesse. Je reprends. Les expressions d’extases et de surprises se succèdent sur son visage. Des voix. Je me retire avec précaution. Je me tourne pour remballer. Odélie se redresse pour sauter de la table. Il s’en est fallu de peu. Ce sont deux couples. Grosses godasses, gros sacs à dos. Nous nous saluons. Nous les laissons prendre de l’avance. << Ils sont équipés pour un trekking au Népal. Tu as vu ? >> lance la fille au van. Nous rions de leurs accoutrements quelques peu dérisoires. Mais, après tout, ce sont peut-être des routards. Nous nous embrassons longuement. Jusqu’à en avoir les mentons trempés. Ma main entre ses cuisses. La sienne entre les miennes. Il est temps de partir à l’ascension de la montagne. Odélie ouvre la marche. Rapidement le sentier devient pentu. Il grimpe en épingles à cheveux. Le soleil chauffe. Ce qui nous fait suer. Il faut ralentir pour économiser nos forces. Reconnaissons que nous sommes quelques peu perturbés par nos libidos. Nous en rions de bon cœur.
Quand elle se retourne pour me faire une bise, ma randonneuse me fait : << On se trouve un coin là-haut ! >>. La montée est régulière. Avec l’altitude le paysage qui nous entoure se dessine avec davantage de précision. Partout autour de nous de hautes montagnes. Il y a des sapins, des pins. Des trouées de falaises aux roches claires. Pourtant, je n’ai de yeux que pour la silhouette de l’athlète qui me précède. J’attends ma bise à tous les virages. Soudain, là, au détour de cette courbe à angle presque droit, au bout d’une pente raide qui paraissait ne plus finir, de hautes murailles. Je n’étais plus venu ici depuis huit ans. Il y a à présent des panneaux qui informent le visiteur. La visite est payante. 7,50 euros par individu. << Ils ne s’emmerdent pas avec leurs cailloux ! >> fait ma marcheuse. Munis de nos tickets nous pénétrons la forteresse. L’entrée se fait par une poterne insignifiante. Un trou dans la haute muraille. C’est comme de se retrouver à l’intérieur d’un vaisseau de pierre. La cour en a la forme. C’est beaucoup plus petit qu’il n’y paraît d’en bas.
<< Comment pouvaient-ils vivre ici à deux cent cinquante personnes ! >> s’exclame mon amie grimpeuse. Il y a d’autres visiteurs. Dont les deux couples qui ont failli nous surprendre. Odélie m’emmène par la main. Nous longeons les murs. De lourdes pierres sont tombées durant les nombreux siècles de leurs histoires. On peut facilement se cacher dans les recoins. Dans celui du fond, au bas d’une des deux meurtrières, je saisis ma complice par la taille. Je la plaque contre la muraille. J’enfonce ma langue dans sa bouche sans la laisser se remettre de sa surprise. Je l’embrasse avec la fougue d’un hussard. D'un cosaque. Ma main sous sa jupette à fouiller son intimité de mes doigts. Les battements de nos cœurs s’accélèrent de concert. C’est une autre sensation de les sentir battre l’un contre l’autre. Odélie pose sa main sur la bosse qui déforme mon Bermuda. Nous ne sommes à nouveau plus qu’une seule entité, perdue dans l’immensité de cet univers qui échappe à la raison.
Impossible d’aller au-delà de ces vains préliminaires. Ce serait prendre des risques inconsidérés. Et pourtant, nous en mourrons d’envies. D’autres visiteurs errent dans les ruines. Je relâche mon étreinte alors qu’Odélie me saute au cou, m’empêchant de m’éloigner. Elle saisit mon poignet pour examiner mes doigts trempés que je porte à ma bouche. Son sourire est une autre merveille. Nous grimpons les marches qui mènent aux meurtrières. Je suis soudain pris de vertige. C’est étourdissant. On voit le village tout en bas. Nous sommes tout de même à 1 200 mètres d’altitude. Entourés de toutes parts par des sommets encore plus hauts. Ce pain de sucre sur lequel est construit le château n’est qu’un point minuscule dans une immensité. Il est possible de sortir des ruines par la face Ouest. Pour nous retrouver sur un terre plein large qu’une quinzaine de mètres. De la rocaille. Ce plateau rocheux surplombe plusieurs centaines de mètres d’un vide vertigineux. Je me sens mal. Ce qui amuse ma comparse. Là, complètement hébété, je découvre qu’elle se touche.
Il n’y a que nous. La fraîcheur est plus vive à ces hauteurs. Une légère brise venant de l’Aragonais tout proche. Sa main droite sous sa jupette, Odélie me regarde le plus sérieusement du monde. Je me mords la lèvre inférieure. C’est trop bien. C’est trop bon. C’est trop beau. J’en oublie rapidement mon malaise et le vertige. Qu’elle est belle ! Debout, là, devant et au-dessus de toute cette immensité. Mon érection déforme à nouveau mon bermuda. Contrariée car tordue au fond de mon slip. Rien n’est plus désagréable. Je scrute à l’entour. Personne. Je descends la tirette. Il me faut absolument ajuster la turgescence gênante. À peine l’ai-je redressée que des voix se font entendre. Je me tourne. Odélie me rejoint en croisant ses bras. Devant moi, me cachant aux regards alors que je referme. Nous contemplons les montagnes. Sans les voir. Ce n’est que pour faire diversion. C’est un groupe de jeunes. Scolaires peut-être. Nous contournons le vaisseau de pierres par l’extérieur. Plus personne. Il y a juste des bosquets qui nous séparent du vide. Ma promeneuse se touche à nouveau.
Je peux enfin extraire ma virilité de sa prison de tissus. Nous nous masturbons doucement en nous observant. Je ne sais pas s’il existe sensations plus enivrantes dans les situations à risques. C’est dans ces conditions que nous sommes assez soudainement gagnés par la fraîcheur vive de la fin d’après-midi qui s’annonce. Il fait froid à l’ombre des murailles. Nous cessons pour nous précipiter l’un contre l’autre. C’est fort de vivre de tels évènements dans la plus complète des complicités. Quand elle est dans mes bras, serrée, je sens battre son cœur au rythme d’un jogging. Elle sent battre le mien contre ses seins. Nous nous embrassons dans une passion qui pourrait être fatale aussi proches du précipice. Nous nous réajustons avant de contourner les hauts murs. Voilà la cour intérieure. Toute en longueur. La poterne pour en sortir sur notre gauche. Il va être dix sept heures. Vingt bonnes minutes pour revenir à la voiture. Odélie ouvre la marche. Elle s’arrête avant chaque virage serré pour me faire un bisou. J’ai envie de la serrer dans mes bras. D'avouer une nouvelle fois.
Voilà l’abri où nous avons mangé. Personne. Ma randonneuse m’y entraîne. Elle se touche. Me fait : << Prends-moi. Juste un peu ! >>. Elle s’installe sur la table comme en début d’après-midi. Je la pénètre. Cette fois nous restons extrêmement vigilants. Ce qui décuple encore nos excitations. Pour les cérébraux que nous sommes, ces conditions mènent au sublime, au divin. Il faut maîtriser nos pulsions. Calmer les chevaux fougueux qui piétinent d’impatience en nous. Une dizaine de minutes à nous bercer en surmontant le feu qui anime nos psychés. Des voix. Je me retire. Dans la même précipitation nous nous réajustons. Les cernes sous nos yeux trahissent nos émois. Nous en rions. Nous reprenons le sentier qui mène au parking. Il va être dix huit heures trente. Je dis : << Et si on se faisait un bon restau avant de rentrer ? >>. Odélie s’installe au volant. << Je préfère rentrer. Ce sera moins difficile que de devoir le faire après la bouffe ! >> lance t-elle. Je trouve sa réponse judicieuse. Elle démarre. << Ta main ! >> conclue t-elle.
Il faut se farcir les 85 km du retour. C’est une véritable épreuve. La faim nous tenaille. Prenant le dessus sur nos excitations. Exactement vingt heures lorsque nous garons la voiture devant la borne de rechargement. << On s’en fout de la douche. J’ai trop faim ! >> s’écrie mon chauffeur en attrapant ma main. Nous ne nous changeons même pas. Notre table nous attend. Garnie de splendides plateaux de fruits de mer auxquels nous faisons honneur. La fatigue commence à se faire sentir. Demain ce sera le château de Saissac qui fera l’objet de nos aventures. C’est bâillant, à s’en décrocher les mâchoires, que nous étudions l’itinéraire sur Google Map. De nouvelles réjouissances nous y attendent. C’est en consultant sa boîte mails qu’Odélie s’écrie : << Ça y est, j’ai mon visa pour l’Écosse ! Il est arrivé chez mes parents ! >>. Elle me montre. Le prochain chapitre de notre merveilleuse histoire s’écriera cet été, dans quatre mois, dans mon cher pays.
Odélie n’aura qu’à récupérer les documents arrivés chez ses parents avant l'été. Je précise : << Je m’occupe de tes billets d’avion mademoiselle. Ce sera en première classe. Barcelone Paris. Paris Londres, Londres Édimbourg. Je t’attendrai à l’aéroport. Je te réserve de belles surprises sur une dizaine de jours ! >>. La salle du restaurant de l’hôtel n’est qu’aux deux tiers pleine de clients divers. Odélie se lève, contourne la table pour s’assoir sur mes genoux. Sous quelques regards étonnés et amusés. << C’est génial Willy ! Je vais m’organiser de mon côté. Je vais être obligée de ruser avec mon garde du corps ! >> murmure t-elle en prenant un air grave. Je chuchote : << Tu prétends être une fille indépendante. Ça ne devrait donc pas poser le moindre problème ! >>. Le silence qui suit, que je devine embarrassé, ne demande aucune autre analyse. J’ai visé juste. La flèche a atteint la cible. Odélie se lève, contourne la table pour retourner s’assoir à sa place. Comme contrariée. Nous savourons d’énormes coupes glacées en revenant sur nos aventures de l’après-midi. Sans évoquer l’Écosse.
Il est vingt et une heures trente quand nous sommes sous les eaux bienfaisantes d’une bonne douche. Je sens comme un malaise. J’en sais la cause. En me faisant tomber sur le lit, ma compagne d’aventures me dit : << Tu sais, c’est très compliqué ! Je vis un truc un peu bizarre ! >>. Je ne dis rien. Je comprends parfaitement. << Et toi ? La femme dont tu es le garde du corps, ça se passe comment ? >>. Je réponds simplement, en martelant chaque syllabe : << Je suis un homme totalement indépendant ! Libre. N'ayant de comptes à rendre à personne ! >>. Odélie place sa tête dans le creux de mon épaule en restant longuement silencieuse. Un silence qui précède le sommeil dans lequel elle sombre. Me voilà bien embarrassé avec ce corps inerte sur moi. Délicatement je nous soulève. Je tire les draps. Je nous recouvre. Dans une sorte de soupir, d’un gémissement sourd, j’entends : << Je t’aime ! >>. Ma dormeuse se blottit tout contre moi, cherchant le répit, l'évasion et la meilleure position. Je lutte pour la regarder encore un peu mais je perds rapidement conscience…
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