L'ECRIT DE JOIE

L'ECRIT DE JOIE

Premier vendredi soir chez Nathalie

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                                                             Premier vendredi soir

Nathalie est étudiante. Elle prépare un "Master" d’économie en entreprise. Tous les vendredis soirs, à la fin de sa semaine de cours, elle prend le train afin d’aller passer le week-end dans sa famille. Elle revient le dimanche en soirée. Il arrive parfois que pour des raisons particulières la jeune fille ne parte que le samedi matin.

Ce vendredi soir, pour une de ces raisons, Nathalie reste dans son studio. Elle me fait un courriel le jeudi soir pour m’inviter à passer la soirée avec elle. J’arrive vers dix neuf heures trente. J’ai commandé deux pizzas qui seront livrées vers vingt heures. Pour le dessert, j’ai emmené deux tranches de tarte aux pommes. Pâtisseries que j’ai acheté au salon de thé. J’ai profité de cet achat pour bavarder un peu avec la jeune serveuse.

Nathalie vient m’ouvrir dès mon premier coup de sonnette. Elle est si impatiente de me retrouver. Moi aussi. Vêtue d’une jupe grise plutôt courte, d’un pull noir et chaussée d’escarpins noirs à talons hauts, elle est magnifique. Surtout, elle me parait plus grande encore. C’est la première fois que peux la voir ainsi. La jeune fille m’invite à prendre place dans le canapé. Nous bavardons. Trois coups de sonnette. C’est le livreur de pizzas.

Pendant le repas la jeune fille me parle de sa relation houleuse avec son "copain". Il est certain qu’un problème récurrent affecte Nathalie. Dans les affaires de cœur il est toujours difficile à un tiers d’apporter des conseils sans pénétrer dans une sorte de sphère privée. Je préfère me situer dans l’écoute, sans donner d’avis. Je respecte et j’applique là encore ce principe après m’être expliqué à ce sujet. Nathalie comprend bien. Je ne me mêle jamais de ce qui ne me concerne pas. Je m'abstiens toujours de tous commentaires.

Après le dessert je reste vautré dans le canapé. Nathalie ramène deux tasses de Thé et des petits Brownies qu’elle dépose sur la table basse. Approchant un fauteuil qu’elle place face à moi, la jeune fille s’y installe. Nathalie est à présent détendue. Le sourire est revenu sur ses lèvres. Nous échangeons quelques bons mots en plaisantant. Tout cela participe d’une bonne ambiance. Parfois, nous nous observons en silence.

Je déguste mon thé. Je lève souvent les yeux sur Nathalie afin de bien suivre le fil de la conversation. Je découvre sur son visage la même expression que lors de nos "expéditions". Je peux maintenant constater que la jeune fille, assise bien droite, a les jambes légèrement écartées. Tenant sa tasse entre le pouce et l’index. Le "show" vient de commencer. Je ne m’en rends pas encore bien compte. La jeune fille va s’en charger.

Nathalie regarde ma braguette avec insistance. Nous échangeons un sourire entendu. Le regard insistant de la jeune fille va de mes yeux à ma braguette. A plusieurs reprises. C’est rapide et fugace. Elle regarde ainsi avec une alternance régulière. De délicieux frissons me picotent le dos. Je sais que nous allons basculer dans "l’autre dimension". L’univers de Nathalie est passionnant.

Me fixant dans les yeux, Nathalie écarte un peu plus ses cuisses. Chacun de ses mouvements est mesuré. Ses pieds restent joints. Je trouve le galbe de ses jambes absolument magnifique. C’est la première fois que je découvre la couleur mat de sa peau. Habituellement, à l’extérieur et en jupe, elle porte ses bas noirs. En cette saison hivernale point de bronzage. C’est donc l’éclat le plus naturel. Un teint mat et régulier. Ses origines méridionales sans doute…

Tous les deux, avec un raffinement précieux, nous savourons ce moment. Elle, si exhibitionniste. Moi, voyeur privilégié. Pour l’instant…

Je peux constater l’absence de tout sous-vêtement sous la jupe. C’est la première fois que je peux, tout à loisir, observer l’intimité de la jeune fille. Je prends mon temps. Je le fais longuement. Dehors, lors de nos "expéditions", c’est toujours rapide et fugace. Je porte mon regard sur son visage. Je plonge mes yeux dans les siens. Elle reste ainsi sans bouger. J’admire son aplomb plein de fierté. La jeune fille vit là un grand moment. Un partage émouvant autant qu'érotique.

Nathalie me fait part de son projet d’une nouvelle aventure qu’elle désire vivre avec ma complicité. Il y est question du jardin Zoologique de la ville voisine. Projet que nous avons réalisé par la suite. Aventure qui fera l’objet du prochain récit. Nathalie évoque ce projet avec passion. Un projet qui lui tient à cœur. << L’endroit le plus insolite ! >> me confie t-elle en me souriant avant de rajouter : << Et puis j’aime les bêtes ! >>.

Nous ne manquons pas d’échanger nos impressions sur les aventures que nous avons déjà vécu ces dernières semaines. Nous évoquons notre premier rendez-vous à la Bibliothèque. Une aventure qui reste une belle histoire. Surtout avec le recul. << C’est à refaire. Et sans variantes ! >> lance Nathalie. Tout cela éveille bien évidemment notre excitation. De sublimes sensations sont entrain de nous envahir subrepticement.

Nathalie, soulevant sa jambe droite la pose sur l’accoudoir droit du fauteuil. Elle fait de même pour sa jambe gauche et sur l’accoudoir de gauche. Je peux découvrir d’une façon exquise et parfaite le sexe de la jeune fille. Elle reste ainsi, me fixant de ses yeux noisettes, avec un grand sérieux. Sans doute aussi troublée que moi. Son sexe présente une pilosité impressionnante. Une touffe extraordinairement dense. Noire. << A la "portugaise" comme maman ! >> fait elle en riant.

La jeune fille porte sa main sous sa jupe. Elle pose le bout de ses doigts sur la turgescence que je devine en haut de son sexe. Une turgescence qui semble jaillir de l’épaisse touffe de poils qu’elle écarte. Un clitoris conséquent. De bonne taille. C’est impressionnant. Doucement Nathalie se met à appuyer de manière régulière. Imprimant de ses doigts un petit mouvement régulier. Puis, alternant avec un léger mouvement de balancier, la jeune fille commence sa masturbation. Elle se met à respirer plus fort. << Tu comprends qu’avec ce "truc", de me toucher est délicieux ! C’est ma petite "bite" à moi ! >> me fait la jeune fille. Je suis comme hypnotisé par la "chose".

Très rapidement, quelques frissons que je devine délicieux, agitent Nathalie. Presque imperceptibles, mais s’amplifiant rapidement, ces frissons deviennent des spasmes. Ses yeux sont plongés dans les miens. La jeune fille me scrute de son regard perçant. Je suis terriblement troublé. Je maîtrise toutefois parfaitement mon excitation. J’aime prendre mon temps et savourer chaque instant. Point de pulsions "animales" chez moi.

Mon érection est forte. Elle est contrariée par les tissus de mon slip et de mon pantalon. La jeune fille regarde cette bosse avec une grande attention. Nathalie observe ma braguette comme hypnotisée elle aussi. De sa main gauche libre elle mime une masturbation masculine. Immédiatement je comprends que j’ai le "feu vert". Je déboutonne mon pantalon. Je peux enfin libérer mon sexe de toutes contraintes désagréables.

Doucement, lentement, ménageant mes effets, je me mets à extraire mon sexe de ma braguette. L’extrémité en est déjà copieusement humide. J’avise un paquet de mouchoirs en papier posé au sol. A cet instant Nathalie se saisit d’un petit verre à cognac posé sur la table basse. Elle me le tend. De son index elle me montre l’intérieur. Elle pointe ensuite son doigt dans la direction de mon membre. << Tu as un sacré "machin" aussi, toi ! >> me fait-elle en fixant mon sexe et en agitant le verre à cognac.

Je comprends où elle veut en venir. Déposant l’extrémité de mon sexe sur le bord, je l’essore en appuyant mon prépuce entre le pouce et l’index. Du jus se met à couler depuis la peau fripée. Avec précaution je recueille le liquide. Immédiatement une "coulure" laiteuse s’écoule sur la paroi intérieure du petit verre. C’est très excitant mais aussi très ludique.

Je regarde la main droite de Nathalie. Cette dernière a un mouvement régulier du bout des doigts, de gauche à droite. Ce que je suis entrain de faire l’excite évidemment. Je pose le verre sur la table basse devant moi. De ma main droite je commence mon mouvement de va et vient. De haut en bas. Lent et régulier. Tenant mon sexe uniquement entre le pouce et l’index. C’est un moment divin. Pouvoir se laisser aller, sans être obliger de se cacher au regard de l’autre. Sublime.

Soudain, Nathalie se met à évoquer quelques situations vicieuses que nous avons vécu tous deux. << Tu te rappelles ? Dans le salon de Thé ? >> me fait-elle d’un air vicieux. << Tu te souviens, dans le Grand Magasin ? >> rajoute t-elle tout en se masturbant lentement. Parfois, dans le silence de nos concentrations, nous observant, nous laissons échapper de longs soupirs. Nous amusant des situations évoquées et de celle que nous sommes entrain de vivre, il nous arrive de nous oublier dans de profonds soupirs. De gémir lascivement. C’est exquis.

Cela dure ainsi longuement. Le temps n’existe d’ailleurs plus. Nous nous observons avec attention. Nous nous masturbons l’un face à l’autre avec un raffinement extraordinaire. Tout est parfaitement contrôlé, maîtrisé. Nous échangeons parfois de troublants sourires. Puis, redevenant attentifs, nous scrutons nos frissons et les spasmes qui agitent nos corps. Cherchant sans doute un supplément d’excitation à analyser le plaisir de l’autre.

Je propose une pause "petits-gâteaux". Nathalie, redescendant ses jambes, me propose une nouvelle petite tasse de Thé. Je suggère d’aller faire bouillir de l’eau. C’est amusant de me mouvoir dans le petit studio de cette jeune fille avec le sexe qui pend de ma braguette ouverte. C’est un vrai et insolite bonheur de pouvoir nous comporter ainsi, tous les deux, sans inhibitions stupides. C’est si rare. Niveau intense, degré suprême. L'aiguille dans le rouge.

La jeune fille, la main entre les cuisses, vient me rejoindre près des plaques électriques. << Ne te brûle pas la bite ! >> me fait-elle en riant. Je regarde sa main bouger sous sa jupe relevée. Je dis une bêtise : << Tu es belle comme un soleil breton au dessus de la baie ! >>. Trouvant tout d’un coup cette métaphore très stupide, nous éclatons d’un rire irrépressible. << Et la lune ? Tu veux la voir au dessus de la raie ? >> me fait-elle. Nous rions de bon cœur. J'adore les fille qui ont l'humour subtil et fin.

En revenant m’asseoir dans le canapé, je peux découvrir un filament laiteux qui coule de l’extrémité de mon sexe. Nathalie me tend le verre à cognac une nouvelle fois. Elle me fait : << Ne pas gâcher ! Il ne faut pas en perdre ! >>. La jeune fille s’installe une nouvelle fois avec les cuisses largement ouvertes. Les jambes posées sur les accoudoirs. De sa main droite elle recommence à se toucher. Elle me montre son clitoris. Son clitoris turgescent qu’elle tient entre le pouce et l’index. Il semble encore plus impresionnant. De sa main gauche elle grignote un petit gâteau.

Je fais de même. Le verre à la main, je fais souvent s’écouler le trop plein juteux de mon excitation dans le petit récipient. Nathalie me demande : << Les mardis soirs, lorsque tu me laisses, tu te branles chez toi ? >>. Je la regarde en soutenant son regard inquisiteur avant de lui répondre : << Oui ! A chaque fois ! >>. Elle a un de ses sourires terriblement vicieux avant de me dire :<< Moi aussi ! >>.

Nous sommes là depuis un temps indéfinissable. Plongés dans nos masturbations, l’un en face de l’autre. Le petit verre à cognac est à présent emplit jusqu’à moitié. Nathalie, agitée de quelques spasmes sans doute impromptus me fait soudain : << On s’emmène au bout ? >>. Dans les minutes qui suivent, je découvre plusieurs spasmes qui agitent le corps de la jeune fille. Le souffle de nos respirations excitées emplissent le silence lourd.

Je regarde avec soin l’endroit ou son sexe repose sur le fauteuil. Il y a une tache sombre sur le velours carmin. Il est sûrement trempé depuis longtemps mais je ne m’en rends compte qu’à l’instant. Cela m’excite au plus au degré. Nathalie se saisit d’une petite bassine de plastique bleu posée au sol. Elle avance sur le bord du fauteuil. Elle se lâche dans plusieurs jets. Elle se mord la lèvre inférieure pour ne pas crier de plaisir. C’est merveilleux de voir cette jeune fille pisser ainsi, par petits jets parfaitement maîtrisés. C’est sublime. Je me demandais d’ailleurs ce que cette cuvette faisait là, sous le fauteuil…

En regardant les yeux de Nathalie qui m’observent presque en implorant, j’éjacule dans un orgasme fou ! Je remplis le petit verre à Cognac presque jusqu’à ras bord. Nous poussons de véritables râles de déments. Mon orgasme doit être aussi fou que celui de Nathalie jouissant à l’instant. Nous sommes soudain trempés de sueur. Je sens mon cœur battre à une vitesse folle dans ma poitrine. Mon souffle est rapide. J’ai chaud.

Nous sommes assis là, haletants, épuisés de nos jouissances. Je repose mon petit verre à Cognac sur la table basse ! Nathalie se lève et se réajuste. Avec un mouchoir en papier elle essuie l’humidité luisante de son sexe et de l’intérieur de ses cuisses. Je fais de même et je remballe mon sexe. Il est vingt deux heures quarante cinq. Quelle soirée ! La première de ce genre avec Nathalie.

Nathalie a les yeux cernés. La sueur sur son font et sur le bout de son nez me font sourire. Elle tient ses mains sur son ventre. Reprenant une respiration normale elle me fait << A refaire ! Absolument ! C’est "géant" ! >>. Je propose à la jeune fille de ne pas nous attarder et de prendre congé. Sachant que demain matin il lui faut prendre son train de bonne heure.

Je me lève. A ce moment précis, la jeune fille, se saisissant du verre à Cognac, me fait : << Cul-sec ? >>. Je reste étonné devant cette question que je ne comprends pas immédiatement. La jeune fille porte le verre à sa bouche et déglutit la totalité de son contenu ! Je reste pantois. Interloqué. Décidément, malgré les quelques vingt sept années qui nous séparent, cette jeune fille de vingt ans ne cesse de m’étonner. De m’épater…

En m’accompagnant jusqu’à la porte Nathalie, me chuchote à l’oreille : << J’en avais envie depuis les toilettes de la Bibliothèque ! Je voulais vraiment y goûter, merci ! >>. Je me souviens de cette situation particulièrement excitante que nous avons vécu dans les toilettes de la bibliothèque. C’était notre tout premier rendez-vous ! Nathalie vient donc de réaliser un fantasme supplémentaire.

Nous nous faisons la bise. Nous nous donnons rendez-vous à mardi prochain, pour une nouvelle aventure. Le jardin zoologique…                             
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18/04/2012

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