L'ECRIT DE JOIE

L'ECRIT DE JOIE

Nathalie au jardin zoologique

- Elle -.jpg  Avatar de Julien.jpg

 

Le jardin zoologique

Depuis notre aventure dans les ruines du château, nos échanges de courriels se sont encore accentués. Dans son message de lundi, hier, Nathalie me propose un rendez-vous à la cafétéria du supermarché. Rendez-vous pour midi trente. Le mardi arrive enfin. Me voilà à l’heure précise. Je suis pressé de la revoir. Elle se précipite dans mes bras. Nous nous faisons la bise avec tendresse. Une fois encore, pour cacher nos émotions, nous échangeons d’affligeantes banalités. Nous partageons un rapide repas.

Il nous faut parcourir environ cinquante kilomètres pour nous rendre jusqu’à la ville voisine. L’objectif du jour étant le jardin zoologique. Je gare la voiture sur le parking, le long d’un muret de pierres. Il n’y a qu’une dizaine d’autres véhicules. Le temps sec et froid n’incite pas vraiment à la promenade. Nous prenons nos billets d’entrée à l’unique guichet ouvert. Il fait un peu moins froid. Nous sommes en janvier et pas encore au cœur de l’hiver.

Nathalie est vêtue d’une jupe noire, d’un épais pull-over noir à col roulé et d’un anorak noir. Elle porte des bas noirs. La jeune fille est chaussée de ses bottes noires à talons. Le noir lui va si bien. Nathalie marche à mes côtés. Sautillant presque et sans doute heureuse de ce qu’elle nous réserve encore. Une nouvelle "expédition". Nous sommes dans l’allée principale du jardin zoologique. Nous ne croisons personne.

J’ai mon appareil photographique. Je tiens absolument à prendre quelques clichés. Certains animaux du zoo sont rares. J’aime les "bêtes". Même si je ne possède aucun animal, de les côtoyer m’offre toujours un agréable moment de partage. Nous arrivons devant la fosse aux ours. Des ours polaires, blancs et gigantesques. Deux majestueux plantigrades au pelage crème semblent se débattre avec délice dans l’eau glacée de leur bassin. Pour les deux observateurs esseulés que nous sommes, ces plongées sont plutôt "réfrigérantes" ! Brrrrr...

Il n’y a que très peu de monde en ce froid mardi de janvier. Je prends quelques photos des ours. La visite d’un jardin zoologique en hiver n’est pas vraiment la destination des visiteurs, des touristes ou encore des dilettantes. Nous croisons un couple qui admire les grands échassiers un peu plus loin. Comme nous, les deux promeneurs prennent des photographies.

Tout en continuant nos découvertes, nous arrivons à l’enclos des bisons. Nous contournons l’espace clôturé. En face, de l’autre côté de la palissade, se promène un homme. Ce dernier ne nous a pas encore vu. Nathalie me touche le bras en me disant : << Reste à distance, c’est peut-être une opportunité de jeu ! >>. Je m’écarte pour aller me placer près d’un bosquet d’épais résineux. Derrière les branches. Ces situations que j'ai déjà tant vécu avec Christine, ma compagne disparue. Ces situations que j'allais tant vivre quelques années plus tard avec Clémentine.

Je me mets à l’écart derrière une sorte de cabanon de bois. Une cabane servant d’abri aux trois bisons de l’enclos. Je peux voir Nathalie se toucher discrètement le sexe au travers le tissus de sa jupe. Avec le faux naturel dont elle est coutumière. Tout en faisant semblant de n’avoir pas vu le quidam. Une fois encore j’admire l’aplomb dont fait preuve Nathalie. Son culot la pousse à nouveau vers quelques effronteries toujours si étonnantes. Je suis abonné aux exhibitionnistes. Je suis un privilégié.

La jeune fille avance le long de la clôture. La main droite glissée sous son sac à main. Sac qui pend devant son sexe. Elle regarde dans la direction contraire de l’enclos. L’homme, vêtu d’un pantalon noir, d’un épais manteau d’hiver, arrive à proximité. Il est à une cinquantaine de mètres. De l’endroit où je me trouve, il m’est impossible de voir le visage du quidam.

Nathalie s’arrête à l’angle de l’enclos. Elle a placé sa main droite entre ses cuisses. La jeune fille, une jambe croisée devant l’autre, reste debout devant le grillage. Une position sans équivoque. Situation plutôt insolite en ce lieu pour qui découvre la scène. Je l’observe. Je sais qu’elle ne simule pas. Elle m’a confié en être incapable. Son désir permanent de s’offrir des sensations masturbatoires, dans les situations les plus incongrues, l’emporte toujours.

L’homme arrive à sa hauteur. Lui adressant la parole, il se met à parler. Depuis l’endroit où je me trouve je n’entends rien. Nathalie regarde l’inconnu qui passe derrière elle tout en parlant. Je vois ses lèvres bouger. Elle doit répondre à une question. Sans changer de position. Sans enlever sa main d’entre ses cuisses. Je ne suis pas vraiment surpris par cette attitude mais mon étonnement va grandissant.

L’homme s’arrête à une dizaine de mètres. Il se retourne. Il regarde la jeune fille qui reste ainsi, parfaitement immobile. Au bout de quelques instants elle reprend sa promenade. C’est toujours excitant d’assister à de tels instants. Autant pour le complice que je suis que pour l’inconnu choisi. J’imagine les émotions que connaît Nathalie.

Cet inconnu se met à emboîter le pas de la jeune fille. Je pense nécessaire d’intervenir. J’arrive dans le sens contraire. Je rejoins la jeune fille. Cette formule évite toujours tous "dérapages". Cette façon d’agir évite toutes circonstances non souhaitées. Certains individus ont parfois la fâcheuse tendance à se comporter en "boulet". Surtout dans les situations troublantes. Attitude stupide qui met toujours un terme aux jeux des filles qui pratiquent ce genre de "passion". Visiblement le type n'a pas compris ce principe élémentaire. Tant pis pour lui...

Il est toujours préférable d’apprécier avec l’intellect. Nathalie et moi, nous sommes des cérébraux. La jeune fille agit uniquement dans une démarche cérébrale. Pour s’offrir quelques sensations extrêmes. C’est forcément personnel, égoïste sans doute. Il n’y a aucune demande autre. L’idéal est donc de croiser un regardant. Un inconnu qui sait se contenter de voir. C’est le plus souvent le cas.

L’homme, se détourne. Il continue sa visite. Il comprend et s’en va de son côté. Notre astuce est imparable. Dès que j’apparais, toute velléité d’approche disparaît.

Nous continuons notre visite. Nous arrivons près de l’enclos des échassiers. Ces grands oiseaux aux longues pattes évoluent sur le pourtour d’un grand bassin. A cet endroit, au bord de l’eau, il y a trois tables de bois. Deux bancs sur les côtés de chacune. A la belle saison ce lieu doit servir d’aire de pique-nique aux familles visitant le jardin.

Nous faisons le tour du bassin en admirant les oiseaux. Je prends quelques photographies. Notre attention est attirée par le bruit du moteur d’un petit deux roues. En face, derrière les bosquets, un employé du zoo arrive lentement. Il s’arrête. Il tire un gros sac de la petite remorque qui est attachée à son véhicule à trois roues. Sans doute de la nourriture destinée aux échassiers.

Il ne semble pas avoir remarqué notre présence. Ou alors il n’y prête aucune attention particulière. Après tout, il est à son travail…

A nouveau, me touchant le bras, Nathalie me demande de m’éloigner. Je vais me placer derrière une palissade de planches. La jeune fille tire de son sac en bandoulière un large sachet en plastique noir. Elle le place sur un des coins de la dernière table. A environ une vingtaine de mètres du lieu où se trouve l’employé du zoo.

La jeune fille se met contre le coin de la table, les jambes légèrement écartées. Son sexe ainsi posé contre l’angle, elle prend appui de ses deux mains posées. Tournant le dos à l’employé, cambrée sur le bord de la table, Nathalie imprime un discret mouvement masturbatoire. Une fois encore, c’est "pour de vrai". Toujours ce désir d’éprouver des sensations jouissives. Elle frotte doucement son sexe sur le coin de la table.

En contournant les bosquets, tenant un grand sac, l’employé remarque la jeune fille. Il reste un instant les bras ballants, immobile, pour contempler la scène parfaitement insolite qu’il découvre là. Un tableau surréaliste et incongru. Il semble pantois.

Nathalie, cambrée sur le coin de la table, tournant le dos à l’inconnu, se masturbe vraiment. Ayant placé son téléphone comme un rétroviseur elle peut regarder derrière elle. Les jambes tendues, presque sur la pointe des pieds, cambrée en avant, la jeune fille bouge son bassin d’un mouvement sans équivoque. Elle se frotte sur le coin de la table recouvert du sachet de plastique. Je suis une fois encore dans un état d’excitation.

Je vois l’employé qui contemple la scène d’un air amusé. Il est accroupit au bord de l’eau. Il continue à vaquer à ses occupations. Il s’occupe consciencieusement, mais n’en perd pas une miette. Une conscience professionnelle à signaler à sa hiérarchie et qui mériterait une promotion indéniable ! Brave homme…

Je regarde Nathalie. Je sais qu’elle ne simule pas. Elle est véritablement entrain de se faire du bien. Ces situations l’excitent tellement. Lorsqu’elle trouve les mots pour me décrire les plaisirs indicibles qu’elle éprouve durant ces moments, elle ne peut s’empêcher de soupirer longuement. J’aimerais avoir ce courage ! Ce génie peut-être.

L’employé du zoo, au bout de quelques minutes, s’approche à une dizaine de mètres de la jeune fille. Il lance, très fort, pour être certain d’être entendu : << Tout va bien mademoiselle ? >>. Nathalie tourne la tête dans la direction de l’inconnu. Elle continue son mouvement du bassin quelques instants. Elle se retire du coin de la table, se retourne et répond : << Oh ! Excusez-moi ! Je suis au téléphone ! >>.

L’homme a toujours son air amusé. Il retourne à ses activités en haussant les épaules. Est-il réellement dupe ou se doute t-il de ce qui se passe ? Cela restera un mystère. Pour Nathalie cette attitude désinvolte est infiniment préférable. L’homme sait garder ses distances. Un parfait gentleman. Ce n'est certainement pas un homme qui ira dénoncer une exhibitionniste. Ils sont moins stupides.

Nathalie est debout. Elle a sa main droite entre ses cuisses. Elle se touche sur le tissus de sa jupe. La jeune fille croise une jambe devant l’autre. Avec cet aplomb remarquable et en grande vicieuse, elle s’adresse à l’employé : << Vous auriez l’heure, s’il vous plaît ? >>. L’inconnu regarde sa montre et fait : << Il est quinze heures trente cinq ! >>. Je suis admiratif. Cette fille si réservée dans la vie et si effrontée à l’instant me passionne. Je l’observe dans sa recherche des plaisirs les plus fous. Un paradoxe divin.

Elle se met à marcher dans ma direction. L’employé remonte sur son cyclomoteur. Il roule à la hauteur de Nathalie. Il affiche toujours un sourire amusé. Je préfère me manifester. Nathalie me prend les deux mains. << Génial ! >> me fait-elle. L’employé, sans doute un peu dépité après découvert ma présence, prend le chemin inverse. Il disparaît rapidement, emportant avec lui le bruit de son cyclomoteur à trois roues. << J’aime te savoir près de moi, je peux me laisser aller dans mon délire ! Merci ! >> me fait-elle en me déposant une bise sur la joue.

Nous terminons notre "Expédition Zoo" par l’enclos des buffles. Il y a en ce lieu, à côté de cet espace clôturé, une aire de jeux. Bien déserte à cette période de l’année et en ce jour d’école. Nous nous y dirigeons, curieux de regarder de près les manèges de bois. Nathalie avise une petite poutre à la section triangulaire. Une poutre aux angles doux et rabotés qui est posée sur deux parpaings de béton. Elle en caresse les angles de la main. Pensive.

Derrière le grillage qui sépare le parc de la rue nous apercevons une voiture stationnée. Tout au plus à une vingtaine de mètres. A l’intérieur il y a un homme qui lit un document en téléphonant. En apparence il ne semble pas nous avoir remarqué. C’est la seule voiture garée là. Stationnée entre le grillage et les sapins. A voir la fumée qui s'échappe du tuyau d'échappement c'est un stationnement provisoire.

Je m’éloigne. J’anticipe la demande de Nathalie qui me sourit. Je me place derrière le socle du toboggan. Invisible depuis l’automobile, j’ai une excellente vue d’ensemble. Nous ne pouvons pas êtres vus depuis l’espace du Zoo. D’épais bosquets de résineux nous cachent aux regards. L’opportunité idéale. Il n’en faut pas davantage pour aiguiser les sens déjà bien échaudés de la jeune fille.

Nathalie s’approche du grillage. Elle marche lentement le long de ce dernier. Elle passe une première fois à proximité de la voiture. L’inconnu, levant les yeux, fait un signe amical de la main. La jeune fille lui rend son salut. Il est certain que Nathalie a attiré l’attention du quidam. Arrivée au bout du sentier la jeune fille fait demi-tour. Elle repasse une seconde fois près de l’automobile. Cette fois, l’homme ouvre la fenêtre de son véhicule. Il engage une conversation. De l’endroit où je me trouve, je ne perçois rien de ce qui s’échange.

La jeune fille bavarde quelques minutes. Cela m’étonne un peu. En général elle est plutôt réservée. Saluant l’inconnu, elle met fin à la discussion pour revenir vers l’aire de jeux. Elle se dirige vers la poutre triangulaire. Elle s’y assoit malgré l’inconfort évident. Nathalie sort le portable de son sac à main. Elle fait certainement semblant de téléphoner. Elle reste ainsi à loucher discrètement dans toutes les directions. Nathalie étudie la configuration des lieux. Un petit moment. La jeune fille élabore sans doute la stratégie à appliquer.

Nathalie se lève. Elle se met à cheval sur la poutre. La jeune fille reste ainsi quelques minutes. L’angle de la poutre entre ses jambes. Heureusement que c'est un arrondi. Elle tient toujours le téléphone contre son oreille. Depuis ma cachette j’ai une vue parfaite. Nathalie, sous ses cheveux longs qui pendent sur le côté de son visage, louche dans la direction de la voiture. Je sais déjà que le "show" qui va suivre sera grandiose. Aujourd'hui, quand je vois Clémentine s'amuser des mêmes passions, je ne peux m'empêcher de penser à ce moment avec Nathalie.

Je peux également constater que l’inconnu de la voiture fait semblant de lire son document. Il scrute avec attention les agissements de la jeune fille. Chacun peut le comprendre. Voir une belle jeune fille, seule, en jupe, assise à cheval sur une poutre, n’est pas un spectacle courant. C’est bien dommage. Comme me le précise souvent Nathalie, les convenances d’une société, à la morale étriquée, sont sources de grands nombres de tourments inutiles…

Nathalie range son portable. Elle se cambre légèrement en avant. Elle prend appui des deux mains sur la poutre. La jeune fille recommence un mouvement masturbatoire. D’abord discrètement. Très secrète mais sans laisser le moindre doute quand à son activité. Accentuant encore la cambrure, Nathalie se met à bouger du bassin. De façon lente et régulière. Donnant à intervalles réguliers un à-coup plus prononcé. A la recherche d’un spasme de plaisir.

Le visage penché en avant, cambrée sur la poutre, montrant maintenant ses efforts, la jeune fille éprouve un réel plaisir. Je surveille les environs. Je reste prêt à la prévenir à la moindre alerte. Je me dois d’être vigilant. Dans nos "expéditions" cette attention permet à Nathalie de pouvoir vivre son désir. Son plaisir. Ma préoccupation première est de la savoir épanouie sur l’instant. Quoi qu’elle fasse ! Quoi qu’il se passe…

Le visage penché en avant, cambrée sur la poutre, montrant maintenant ses efforts, la jeune fille éprouve un réel plaisir. Je surveille les environs. Je reste prêt à la prévenir à la moindre alerte. Je me dois d’être vigilant. Dans nos "expéditions" cette attention permet à Nathalie de pouvoir vivre son désir. Son plaisir. Ma préoccupation première est de la savoir épanouie sur l’instant. Quoi qu’elle fasse ! Quoi qu’il se passe…

Cela dure une bonne dizaine de minutes. L’homme sort de sa voiture. Il est debout devant le grillage. Il lance : << C’est bon ? >>. Nathalie, faisant semblant d’être surprise, redresse la tête. Elle ne cesse pas immédiatement son mouvement rythmé. Elle fixe l’inconnu. Silencieuse. Délicieusement vicieuse et jouissant de se savoir "vue", Nathalie savoure l’instant. Encore ce stupide besoin de se manifester. Lui aussi n'a rien compris à ce principe pourtant simple

Au bout d’une petite minute la jeune fille se redresse. Elle se lève et quitte la poutre. Sans répondre la jeune fille se met à marcher dans ma direction. De plus en plus rapidement. Je sors de ma cachette. En m’apercevant le quidam retourne dans sa voiture. Il est certain que ce type comprend également notre "petit jeu". Il reste à nous observer. Je le découvre dubitatif et interrogateur. Il prend certainement conscience de sa bêtise. Il serait resté dans sa bagnole, il profiterait encore de ce sublime spectacle.

Nous nous dirigeons vers la sortie. Nathalie me fait part des immenses plaisirs éprouvés cet après-midi encore. Je lui fais part des miens. Cette délicieuse complicité est source de tant de joies. J’ai déjà vécu, par le passé, des complicités de ce genre, mais rarement à un tel niveau. Entre Nathalie et moi il y a quand même vingt sept années de différences. Nathalie ne manque jamais de me préciser que c’est justement ces vingt sept années qui donnent toute la sérénité nécessaire. Cette différence qui permet à la jeune fille de se savoir comprise. De se sentir libre et légère. Profondément rassurée…

Sur la route du retour Nathalie se caresse doucement. Elle me fait part d’un douloureux problème qui depuis ces quelques semaines perturbe quelque peu son existence. Sa relation avec son "copain" ! Elle n’en peut plus de l’indifférence du garçon à son égard. Il ne semble avoir d’intérêt que pour la voiture de sport qu’il restaure des week-end entiers avec un collègue et ami "mécano".

Nathalie évoque tout cela. Ses études. La préparation de son "Master" d’économie. Ses vingt ans. Son "copain". Cette relation. Son attachement inéluctable à notre douce complicité naissante. Son addiction grandissante pour nos "aventures". Tous ces paramètres que je comprends très bien. Vivant moi-même une irréversible attirance. De redoutables interrogations m’habitent d'ailleurs de plus en plus.

Nathalie me propose de passer le prochain vendredi soir ensemble. La jeune fille part en train samedi matin. Je trouve l’idée excellente. << On se fait le même "plan" que vendredi dernier ! Tu veux ? >> me demande la jeune fille en posant sa tête sur mon épaule. Nous arrivons chez elle. Nous mettons les derniers détails au point devant deux chocolats chauds et fumants. Nous évoquons la tournure probable que prend notre relation. Les évènements à venir.

Il est grand temps d’en débattre sérieusement…

________________________

Tous droits réservés - 2011 - ©

 

L'utilisation, toute ou partie, d'un texte, (ou photographie) sans le consentement de l'auteur, constitue une violation de la propriété intellectuelle.  Délit sanctionné par l'Article. L.335-2. du Code pénal.

La divulgation d'information relative à la vie privée, ou l'identité,  constitue un délit sanctionné par les articles 706-102-1 (Informatique) et 88-227 du code pénal.

 

Enregistrer



18/04/2012

A découvrir aussi