Puilaurens
Puilaurens
C’est mon tout premier privilège. Le premier cadeau que me fait cette nouvelle journée. Je me réveille alors que ma dormeuse est allongée à ma gauche. J’ouvre les yeux. Son profil. Il est fin, celui d’une médaille. Je le regarde souvent à la dérobée. Là, il m’est offert. Je surmonte de plus en plus difficilement mon besoin naturel. Impossible de quantifier le temps qui s’écoule. Il n’est que sept heures cinquante. Se sent-elle observée ? Odélie, couchée sur le dos, ouvre les yeux. Elle tourne la tête. Je souris. Elle se glisse sur le côté pour venir se blottir contre moi. << Ça fait longtemps que tu es réveillé ? >> demande t-elle en glissant sa main sur ma hanche, ma cuisse. Je réponds : << J’aime te regarder dormir ! >>. Je n’en plus. Je saute hors du lit pour courir vers la porte. Je cède les toilettes à ma compagne d’aventures. Nous nous retrouvons dans la salle de bain. Nos visages trempés d’eau fraîche. J’essuie le sien. Elle essuie le mien. Nous nous habillons de nos leggings, de nos sweats. Nos baskets. Dévaler l’escalier est déjà un exercice aérobic.
Notre petit déjeuner sera à l’Anglo-Saxonne. C’est la règle, un jour sur deux. Nous le savourons en revenant sur nos frasques au château de Saissac, hier après-midi. La visite du musée et mes initiatives. << J’aime quand tu te comportes comme un voyou avec moi ! >> me confie ma complice. Cela me rassure. Je vais pouvoir récidiver. Je ne manque pas d’inspiration avec la fille au van. Bien au contraire. Elle non plus d'ailleurs. Je lui fais remarquer que j’adore les surprises qu’elle sait me réserver. Surtout lorsque je ne m’y attends pas du tout. Je précise tout de même en retroussant ma manche pour lui montrer : << Mais sans me faire mal et me laisser de séquelles ! >>. J’ai une large auréole bleue, douloureuse, à l’endroit de mon triceps qu’elle a pincé avec force. Odélie se lève pour venir s’assoir sur mes genoux. Elle masse mon bras en disant : << Pardonne-moi. Tu me donnes un gage ? >>. Il fait beau. La météo sera identique aux jours précédents. Je réponds : << Pas de culotte toute la journée ! >>. Nous rions. Je me fais spolier de la moitié de ma tartine. Du reste de mon café.
Depuis le début de ce séjour à Carcassonne, nous ne traînons plus à table. Pressés de filer pour nos activités. Aussi, dès la vaisselle faite, nos dents lavées, nous sortons. Il n’y a encore que 17°. Un peu limite. Ce qui justifie un échauffement conséquent. Au bord de cette piscine dont nous ne profiterons hélas pas. Le grand sourire de Séverine à l’accueil de l’hôtel ainsi que son << Bonjour >>. Cette fois nous prenons immédiatement à gauche en courant. Direction le stade de rugby et la piste qui en fait le tour. << Dix tours ! >> lance Odélie. On se tape la main alors que je fais : << Dix tours plus un ! >>. C’est parti. Ma compagne de vacances est une athlète. Elle m’en remontre. Elle impose un rythme soutenu sans faillir. C’est en criant qu’elle compte chacune de nos boucles au même endroit. Il y a d’autres coureurs. Nous relevons le challenge avec douze tours. Il n’est que neuf heures trente quand nous revenons. Les mains sur les hanches, pieds écartés, nous pratiquons un rapide stretching au bord de la piscine. En sueur et le palpitant battant la mesure de nos étirements.
La douche. Odélie porte une de ses jupettes. La noire. Un T-shirt blanc. J’ai mon bermuda gris, un T-shirt beige. Nos baskets. Il faut faire quelques achats. Assurer la logistique. Des fruits, du bacon, des barres de céréales. Des bouteilles d’eau. Il n’est que dix heures. D’aller à la supérette ne nécessite pas d’utiliser l’auto. Dix minutes à pieds. Main dans la main. Il faut passer devant la salle polyvalente. Là, j’ai une initiative de voyou. Je saisis ma victime par sa taille pour la bloquer entre deux haies de houx. Personne ne peux nous apercevoir. Plaquée contre la baie vitrée, je l’embrasse avec fougue. J’adore le râle de surprise qu’elle émet quand je fais ça. Son corps qui devient la pièce du puzzle que nous composons. Je glisse ma main droite sous sa jupette. Pas de culotte, conformément au gage fixé. C’est dévastateur pour cette touffe que je malmène en la décoiffant. J’insiste sur son bouton de plaisir alors que sa bouche devient aussi gourmande que la mienne. Bien évidemment elles ne sont pas étanches et nos mentons sont rapidement trempés.
Je colle mon érection contre son bas ventre. Quelques instants. Nous reprenons en direction du lotissement et de la place entourée de commerces. C’est une supérette toute en longueur. Un peu lugubre. Les fruits et les légumes sont magnifiques. Des pommes, des oranges, des kiwis. Des tomates, un pack d’eau. Il reste deux jours avant le départ de la fille au van. Deux jours avant le mien. N’ayons pas peur d'acheter, de prendre car Odélie pourra emporter avec elle ce qui est en trop. Les abricots secs, les poires séchées, les amandes et les noisettes en quantité. C’est lourdement chargés que nous revenons. Les bras gourds. Pas de coquineries sur le retour. Nous préparons les sandwichs au bacon. Au Gouda. La bouteille d’eau. Dans le petit sac à dos. Il n’est qu’onze heures trente et nous voilà en route. Direction le Nord. Ma conductrice commente les paysages. Je caresse sa cuisse droite de ma main gauche. Ce n’est pas le fin coton de sa culotte qu’effleure mon auriculaire mais la laine d’un doux petit mammifère que j’amadoue chaque jour de mes attentions délicates.
La circulation est fluide. Nous apprécions les extraordinaires paysages de cette départementale 629. Soixante kilomètres. Ça roule vraiment bien. Midi trente. Mon chauffeur gare la voiture sur le parking à l’entrée de Lapradelle, autre commune de cette Aude spectaculaire. Là-haut, la forteresse royale. Bâtie sur l’éperon rocheux que la nature semble avoir conçu pour elle. Elle se confond avec les falaises abruptes qui en sont le socle. Le château domine la vallée de la Boulzane à près de 700 mètres d’altitude. Une grimpe sérieuse nous attend sur un étroit sentier escarpé. Il y a des photos sur le panneau d’informations. La citadelle a été construite sur le Mont Ardu. Elle est déjà mentionnée en l’an 958. Nous en prenons la direction. Le viaduc de Lapradelle et sa circulation attire notre attention, là-bas, sur la droite. Le chemin devient rapidement rocailleux. Il faut marcher prudemment pour éviter l’entorse car les irrégularités sont singulières. Nous nous tenons la main. Je porte le sac à dos. Il commence d’ailleurs à faire faim. C’est le lit d’un ancien torrent. Un pont en dos d’âne l’enjambe.
En descendant l’étroit sentier nous pourrons nous y mettre à l’abri du soleil. La végétation est dense et faite de bosquets, de fourrés. De multiples taches de couleurs les maculent de blancs, de bleus et de jaunes. Pas de doute, le printemps annonce son grand retour. Et il fait chaud. Du moins sous le soleil. Sous le pont il y a l’endroit idéal pour casser la croûte. Les sandwichs nous semblent encore les meilleurs au monde. L’eau gazeuse Salvétat la plus rafraîchissante. Il y a plus de 600 mètres de dénivelé. Autant prendre des forces. Odélie s’adosse contre le mur. Je suis assis en tailleur. Nous nous faisons face. J’ai une vue parfaite sur ses intimités. Je mâte ostensiblement. Pourquoi tricher ? En découvrant mes expressions elle me fait : << C’est la vallée BZH ! >>. Nous rions. J’écarte les feuilles d’aluminium à présent vides, la bouteille, pour me coucher sur le ventre. J’avance en disant : << Je viens visiter ! >>. Ma tête entre ses cuisses, mes lèvres se referment sur son bouton de plaisir. La position est inconfortable. Ma nuque ne tarde pas à être douloureuse. Mes coudes. Je cesse pour m’assoir.
Je pose mes mains sur ses genoux en faisant : << Je vais visiter cette vallée à plusieurs reprises cet après-midi ! >>. Nous remballons nos déchets dans un sachet. C’est parti. Le chemin rocailleux devient quelquefois escaliers taillés dans la roche. Nous croisons des marcheurs. Au détour d’un virage à angle droit et en pente, le chemin devient sentier. Pentu et souvent raide. La marche est pénible car ce n’est que rocailles. Virages serrés. Le soleil tape. Par quelques trouées on aperçoit le village de Puilaurens. Nous sommes entourés de hauts sommets. C’est encore aride par endroits. De vertigineuses falaises brisent les déclinaisons des bruns et des verts de la végétation. Je n’ai pourtant de yeux que pour l’athlète qui me précède. Se mouvant avec agilité pour rester à la surface des cailloux. Je pose mes pas dans les siens. Ses jambes merveilleusement galbées me fascinent. Une demi heure d’effort. Voilà l’entrée de cette autre citadelle du vertige. Il faut monter un escalier de bois. Suivre les deux passerelles. Il faut passer sous une double arche romane.
L’intérieur n’est pas sans évoquer Montségur. Un grand vaisseau de pierres millénaires. Le donjon cylindrique. Une haute tour carrée. La taille en est toutefois beaucoup plus imposante. Cette forteresse en équilibre extraordinaire est encore une prouesse architecturale. Un véritable défi à l’entendement. Il y a quelques touristes. C’est par endroit un labyrinthe de portes. Il faut souvent se baisser pour les franchir. Les gens du haut moyen-âge étaient de petites tailles. Odélie passe devant, m’attrape la main pour m’emmener dans les recoins. << Pipi ! >> lance t-elle en s’accroupissant à l’angle d’un mur. C’était probablement une salle de garde car deux meurtrières donnent sur le sentier. C’est vertigineux. Ma visiteuse se soulage. Pourquoi ne pas en profiter pour faire le voyou ? Je m’approche. Elle lève la tête, étonnée, pour me regarder descendre la tirette de mon bermuda. Un regard presque sévère alors que j’en extrais le locataire. Je l’agite à quelques centimètres de son visage. Elle s’adosse contre le mur pour diriger un jet puissant exactement entre mes mollets.
Je m’approche encore pour la saisir par ses cheveux. Elle pose ses mains sur mes cuisses pour me repousser. Dans son mouvement, elle arrose mon tibia, ma basket. Je la maintiens d’une poigne ferme. Elle tente de se soustraire à mon étreinte. Sans y parvenir. Je frotte mon érection naissante sur son visage. Nos yeux se sont habitués à la pénombre de cette grotte artificielle. Je m’avance encore. La voilà bloquée, coincée contre le mur. Gardant ses lèvres ostensiblement soudées. Refusant la pénétration buccale que je veux imposer. Elle ne se débat plus mais reste sur ses gardes. Je connais un moyen imparable. Je pince son nez. Elle comprend immédiatement. Ma touriste cesse d’être farouche. Pour pouvoir reprendre sa respiration elle n’aura d’autre choix que d’ouvrir la bouche. Ce qui se produit au bout d’une trentaine de secondes. J’en profite. Dans un râle la fille au van m’accepte. Se prenant au jeu. Je me penche pour murmurer : << Je ne suis qu’un voyou ! >>. Son attitude rebelle est devenue tendresse. Je vacille sous l’indicible caresse.
La position n’est pas confortable. Quelques minutes et je me retire. Odélie se redresse. Je m’accroupis pour masser ses genoux endoloris. << Salaud ! T’es un vrai salaud ! >> dit elle à plusieurs reprises. Je me redresse. Elle attrape mon érection pour la tordre dans tous les sens. Sans le moindre ménagement. C’est presque douloureux. Je la plaque contre le mur. Je la soulève. Elle m’aide par les mouvements de son bassin alors que je m’immisce. Je n’ai qu’à contrôler sa descente et la voilà pénétrée jusqu’à la garde. Nous nous embrassons comme des fous. Nos gémissements se mêlent en résonnant étrangement, étouffés dans cet espace confiné. Un peu comme dans une cave. Des voix. Elles se rapprochent. << Put-Hein les cons ! >> murmure ma comparse alors que je me retire, que je la dépose sur le sol. C’est un groupe de six visiteurs précédés d’une guide. Elle s’exprime dans ma langue natale. Un Anglais parfait mais avec cet accent français qui amuse les britanniques. Nous les saluons en sortant de notre cachette. Je lui lance : << I wish you wonderful discoveries ! >>. Elle sourit.
Odélie me saute au cou en s’exclamant : << Mon voyou ! Mon vilain voyou ! T'es un dragueur ! >>. Un long baiser sous la chaleur du soleil retrouvé. Nous continuons nos découvertes. Mais cette fois avec des mains baladeuses. Chaque recoin n’est qu’une invitation à nos caresses, à nos câlins. Odélie grimpe sur une haute pierre tombée un jour des remparts. Elle se met à imiter une danseuse de Flamenco en lançant des onomatopées. Ou alors de l’Espagnol. Je n’y comprends rien. Je ponctue par des << Olé ! >>. Mon Dieu ! Le galbe de ses jambes ! La cambrure de ses reins ! Je tire mon téléphone du sac pour filmer. Ma danseuse m’offre là une démonstration magistrale de ses capacités à polariser toutes les attentions. Se rend t-elle compte de l’attractivité qu’elle exerce ? A t-elle conscience du charisme qui émane de toute sa personne ? Comme sur ses vidéos Youtube ? Si ce n’est pas le cas j’aimerais bien que ça le devienne. Elle saute. Je la réceptionne pour la faire tournoyer au dessus de la rocaille. Le groupe arrive.
Ils ont sans doute assisté à une partie du numéro car ils nous font des sourires amusés. Odélie attrape ma main, nous sortons par une poterne minuscule. Nous sommes carrément au-dessus du vide. Je vacille. Odélie me rattrape. C’est bien trop dangereux de tenter de contourner les hauts murs par l’extérieur. Elle empoigne ma braguette en disant : << Tu refais quand tu veux ! >>. Je pose mes mains sur ses joues en demandant : << Vraiment ? Et sans prévenir ? >>. Elle mitraille mon visage de bises avant de répondre : << Sans prévenir ! >>. Nous revenons dans l’enceinte des murailles pour en visiter chaque recoin. Le retour dans la salle de garde. Il va être dix sept heures trente. Il y fait plus sombre. Je me positionne contre le mur. Je descends ma tirette, en chuchotant : << Viens ! >>. Odélie passe son bras gauche autour de ma taille, saisit mon sexe de sa main droite. Elle en dirige les jets pour dessiner un bonhomme. Avec le petit chien et le chapeau. Nous en rigolons comme des bossus.
Et quand je pisse en riant ça gicle n’importe comment. Ma coquine secoue les dernières gouttes. Je l’attrape par ses cheveux. << Non ! >> s’écrie t-elle, devinant mes intentions. Je la force à s’accroupir. Elle se débat. Redevenue farouche. Je n’ai pas l’âme d’un maître. Elle n’a pas l’âme d’une soumise. Je n’insiste pas. Elle se redresse vivement en répétant : << T’es le dernier des salauds ! Tu aurais fait ça ? >>. Elle reprend mon sexe en main pour le maltraiter quand je réponds : << Oui ! Bien sûr que j’aurais fait ça ! >>. Elle s’écrie une nouvelle fois : << Mais quel salaud tu fais ! >>. Je remballe en disant : << Merci du compliment mais c’est pour vous servir mademoiselle ! >>. Nous sortons en riant. Le soleil va disparaître derrière les murailles. La fraîcheur de fin d’après-midi fait son apparition. Il est temps de redescendre. Sur de tels sentiers, il est plus facile et plus agréable de monter que de descendre. De véritables raidillons. Il faut redoubler d’attention. Ma randonneuse s’arrête brusquement. Passe ses bras autour de mon cou.
D’un ton sentencieux elle prononce ces mots : << Je te découvre un peu plus chaque jour ! >>. Nous restons silencieux un petit moment à nous fixer. Je murmure : << Moi aussi, chaque jour, de la même manière. Et tu es passionnante ! >>. Il est dix huit heures trente cinq quand nous arrivons à la voiture. Il fait de plus en plus frais et nous sommes descendus à l’ombre. Je prends le volant. J’allume le chauffage car nous grelottons. Je roule depuis une vingtaine de minutes. Ma passagère pose sa main sur ma braguette en disant : << Et moi, je peux l’avoir quand je veux ? Sans demander ? >>. Je ris avant de répondre : << Surtout sans demander ! >>. Elle descend la tirette en rajoutant : << On va voir ça ! >>. J’ajuste le rétroviseur intérieur. Je ne veux rien rater de la fellation qui suit. Jusqu’au retour à l’hôtel où je gare l’auto devant la borne de rechargement. Nous sommes morts de faim. Il va être dix neuf heures cinquante. Il faut se faire violence car nous sommes vraiment morts de faim. Un douche est obligatoire. Nous sentons le fauve. Nous nous changeons.
Je sors les vêtements portés cette semaine, et à présent propres, du sèche linge pendant qu’Odélie en se coiffant me dit : << Nous avons à nouveau figures humaines ! >>. Nous dévalons l’escalier. Notre table nous attend au restaurant. Il suffit de traverser la rue. Pas d’animations musicales ce lundi soir. Juste une dizaine de clients. Nous savourons des grillades sur pierre que prépare le jeune serveur sur la desserte. Accompagnées de petits légumes de saison, confis. C’est un délice. La fatigue se fait sentir. C’est en bâillant que nous faisons le bilan de cette nouvelle journée. << Tu refais demain. J’aime quand tu me surprends de tes vilenies. Et puis je veux en savoir davantage ! >> dit elle en posant sa main sur la mienne. Les coupes glacées géantes sont un autre régal. Le café et l’addition. C’est épuisés que nous traversons la rue. Le hall de l’hôtel est désert. Il y a de la lumière dans les deux maisons voisines. Je suis aux toilettes. Odélie me rejoint pour me surprendre. Saisissant mon sexe elle dit : << J’aime te la tenir. C’est rigolo ! >>
Sous les draps, serrés l’un contre l’autre, nous échangeons nos ressentis quand à cette journée. Nous regardons le film que j'ai réalisé alors que ma danseuse donnait sa prestation Flamenco. Je murmure : << Regarde un peu comme tu es canon ! >>. Demain sera l'avant dernière journée ensemble. Nous préférons ne pas aborder cette fatalité. Odélie partira vers le Sud. Moi je remonterai vers le Nord. Nous ne nous reverrons plus qu’au début du mois d’août, en Écosse. C’est donc une nouvelle épreuve qui nous attend. << Il ne faudra pas égarer les deux pièces du puzzle ! >> murmure ma compagne d’aventures. Je chuchote : << On ne devrait surtout plus les séparer ! >>. Devant une telle énormité nous rions aux éclats. La fille au van m’attire sur elle. Tout autre stimuli serait inutile. La tendresse d’un baiser passionné et me voilà en elle. Mais c’est sans réelle conviction. Tout disparaît rapidement. Nous en rions en sombrant au fond d’un océan de sommeil…
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