Randonnée dans le froid
En randonnée avec Anne-Marie
Je suis confortablement installé devant mon chevalet. Je peins en pensant à Virginie. Cette étonnante jeune fille. Son amour de la vie. Sa bonne humeur. Ses originalités. Il va être onze heures. La journée est ensoleillée. Je me réjouis à l’idée de retrouver Anne-Marie. De pouvoir passer l’après-midi dans la nature. Un agréable contraste avec la médiocrité de la journée de hier. Je suis plongé dans mes introspections lorsque les vibrations de mon téléphone me ramènent à la réalité. Le visage d’Anne-Marie s’affiche à l’écran. << Bonjour. Tu as vu comme il fait beau ? >> lance mon amie toute souriante. << Par contre la température n’est que de douze degrés ! >> rajoute t-elle. Avant qu’elle ne me le propose la première, je m’écrie : << Je passe te prendre pour treize heures. On se fait un nouvel itinéraire. On se fait un restaurant après et je te ramène au plus tard pour vingt et une heures trente ! >>. Mon interlocutrice reste un instant silencieuse. Après cette hésitation elle répond : << OK, ça marche. Superbe ! Je suis partante pour du neuf ! >>
Nous nous saluons. Je nettoie la palette, les pinceaux. Je quitte l’atelier pour la cuisine. Pendant que cuisent les ravioles de légumes, je fais l’assaisonnement d’un concombre. Une omelette aux champignons. Il n’est pas midi que je mange de bon appétit. Chaque minute m’est comptée et j’apprécie vraiment. Dès la vaisselle faite, les dents brossées, je me change. Mon pantalon de toile kaki. Une épaisse chemise à carreaux. Un pull. Dans le petit sac à dos, quatre mandarines, des barres de céréales, la gourde isotherme de thé bouillant. La lampe frontale. Dans le hall d’entrée, je récupère mon bonnet, mes gants, l’anorak et les chaussures de randonnée. C’est parti. Il y a un peu plus de quinze kilomètres jusqu’à l’immeuble résidentiel où vit Anne-Marie. J’arrive sur le parking avec sept minutes d’avance. Je fais un SMS prévenant de ma présence. Je n’attends pas. Mon amie arrive d’un pas rapide, un grand sourire. Vêtue d’un pantalon semblable au mien. Un anorak brun. Pull noir à col roulé. Son bonnet, ses gants et son sac à dos en main.
Anne-Marie ne cache pas sa joie de me revoir. À peine installée sur le siège passager qu’elle mitraille ma joue de bises. Sa main gauche sur ma cuisse droite. << Ça caille mais il y a le soleil ! >> lance t-elle alors que je démarre. Il y a une vingtaine de kilomètres jusqu’au port de plaisance. Anne-Marie me raconte son lundi et son mardi. Nous serons le premier décembre ce dimanche. Elle est impatiente de retrouver ses Îles Canaries où elle passe chacune de ses fêtes de fin d’années. Ses dix jours de vacances paradisiaques. << Cette année, toute seule ! >> précise ma passagère. Il est exactement treize heures vingt quand je gare la voiture sur le parking de la supérette. Les quais sont déserts. Les bateaux sont pour la plupart bâchés. C’est en sortant du véhicule que la température rappelle la saison. Pas plus de 13°. Un léger vent de Nord Est qui doit être en partie responsable de cette désagréable fraîcheur. Nous mettons les gants, les bonnets, les anoraks. Je chausse mes grosses godasses. Les sacs sur le dos.
Je tire le téléphone de ma poche. Je compose le numéro du restaurant de l’étang. Je tiens à une seconde soirée en cet établissement gastronomique avec ma partenaire. Une table nous y attend pour dix neuf heures trente. Il faut prendre le large chemin qui monte tout droit à flanc de colline. << Tu as déjà fait des trous sur cet itinéraire ? >> me demande Anne-Marie alors que nous arrivons au cimetière Celte. Que nenni. C’est un endroit exposé. Au sommet de la colline. Un muret entoure un espace d’environ un hectare. Des cyprès, des platanes et des acacias offrent leurs ombres à la belle saison. La vue est magnifique. En bas, le port. À gauche le petit bourg dans sa vallée. Le canal qui file vers l’horizon. Fin ruban d’argent sous le soleil. Au loin, la ville. Derrière nous les collines qui se suivent. << Viens, je veux voir le cimetière ! >> s’exclame mon amie. Ce sont principalement des pierres tombales couvertes de mousse. Personne n’est plus enterré là depuis plus d’un siècle. C’est devenu un lieu touristique. L’ambiance est particulière. Des caveaux de familles. Des stèles aux statues d’anges. De nombreuses croix Celtes sculptées dans la pierre.
Il subsiste une chapelle. La porte fermée à clef. Personne. Nous sommes à l’abri des vents. Au soleil. Et c’est plutôt sympathique. Anne-Marie passe ses bras autour de mon cou. << Ça ferait très joli des trous dans les portes des caveaux de familles. Dommage que tu n’ai pas ton matériel ! >> dit elle. Nous en rions de bon cœur. Ma complice pose sa main sur ma braguette en rajoutant : << Je me sens coquine. C’est l’endroit. Il est aphrodisiaque et donne des idées ! >>. Anne-Marie palpe la bosse naissante avec insistance. Je réponds : << C’est vrai. C’est une sensation que je ressens à chaque fois que je viens ici ! >>. Je glisse ma main entre ses cuisses pour appuyer mon propos. Ma comparse se cambre sur ses genoux fléchis, attrapant mon poignet pour que surtout je ne cesse pas. Son visage enfuit dans mon cou, nous nous touchons en gémissant. Un envol de corbeaux, bruyant et soudain, nous effraie. Ils sont des centaines à quitter les hautes branches pour tournoyer au-dessus de nos têtes, montant dans les courants ascendants.
Nous quittons l’enceinte du cimetière en direction du premier col. Cinq cent mètres et les premiers arbres. Le panneau indicateur. Notre itinéraire est balisé. Il faudra suivre le triangle jaune fixé sur les bornes de pierre. Le chemin devient sentier. Il va rester rectiligne. D’une colline à l’autre. D’un col à l’autre, environ tous les cinq cent mètres. Même si les forêts sont dépourvues de feuillages, elles offrent un abri aux coups de vents. Ils sont glacials en altitude. Anne-Marie ouvre la marche. La vue sur les vallées de gauche, en contrebas. La vue sur la plaine sur la droite. Ma randonneuse se retourne souvent pour me faire remarquer un point de vue. Elle prend également des photos. S’accroche à mon cou lorsque nous sommes à nouveau à l’abri des vents. << Si on était en été, en short et T-shirt, nous ferions l’amour à chaque col ! >> dit elle en palpant ma braguette. Elle s’accroupit pour en descendre la tirette. << Il faut rendre les choses plus accessibles, voyez-vous cher monsieur. Sinon c’est frustrant pour les dames ! >> fait elle.
Il fait bien trop froid pour exposer le "matériel". Elle se redresse, y fourre sa main en rajoutant : << Mmhh, il fait bien chaud là dedans ! >>. Nous marchons d’un bon pas, alternant les montées et les descentes. La vieille maison en pierres de taille. Tous les volets et la porte sont soigneusement fermés. Un muret entoure la construction. Assis sur les marches de l’escalier, au soleil, abrités des vents, nous prenons notre collation de seize heures. Anne-Marie a pour habitude d’emmener des yaourts. C’est délicieux avec des poires et des abricots secs. Avec des mandarines, des barres de céréales et du thé chaud. Nous n’avons pas croisé le moindre être humain. Deux chevreuils. Un chat errant. Il ferait presque doux sous les rayons bienfaisants. Anne-Marie se lève. Descend trois marches. Pose son anorak. S’y met à genoux. Fourre ses mains dans ma braguette béante. Elle en extrait le locataire. << C’est tout doux et bien chaud ! >> lance t-elle en le passant sur le visage. Je réunis les pots de yaourts vides, les pelures de mandarines dans un sachet.
Alors que les lèvres de ma complice se referment sur l’extrémité de ma virilité à l’érection encore incertaine, je mets le sachet dans mon sac. Anne-Marie attrape mes deux mains pour croiser ses doigts entre les miens. Je reste vigilant. J’observe le sentier désert. Il faut vraiment remettre les anoraks. Le soleil va disparaître derrière les hauts sommets. Anne-Marie cesse pour se redresser. Nous enfilons nos anoraks. Je remballe l’outil. << J’aime aussi les pipes d’altitudes ! >> fait ma complice en prenant ma main. Elle rajoute : << Pipi, ça urge ! >>. Comme à son habitude, elle descend son pantalon et sa culotte pour faire devant moi. Je détourne pudiquement les yeux, faisant mine de fouiller au fond du sac. Je saisis la rassurante lampe frontale. Ce qui fait rire ma comparse. << Vous êtes un gentleman monsieur ! >> dit elle en s’essuyant. C’est à mon tour. Anne-Marie me tient pour en diriger les jets. Nous prenons le sens du retour. À chaque fois que la largeur du chemin le permet, nous avançons main dans la main. Il fait nuit lorsque nous arrivons au cimetière.
Le croissant de lune montante se reflète sur les dalles de granit usées par les siècles. Anne-Marie m’entraîne dans l’enceinte, entre les pierres tombales. Le vent est tombé. Par contre la température également. L’écran de mon I-phone indique 6°. Les bonnets et les gants commencent à offrir une protection dérisoire. Mais mon amie insiste pour faire le tour du cimetière. Elle prend quelques photos. Les statues d’anges se découpent étrangement sur le noir de la nuit étoilée. << J’ai un collègue prof qui connaît toutes les constellations ! Regarde, là-haut, c'est le baudrier d'Orion ! >> lance Anne-Marie. Il faut y aller. Il est dix neuf heures quand nous revenons à la voiture. Je change de chaussures. Je retire la lampe frontale. Je propose à Anne-Marie de prendre le volant. << Je n’ai encore jamais conduit une Mercedes ! >> s’exclame t-elle en s’asseyant au volant. Je m’installe sur le siège passager en disant : << Je ne me suis encore jamais fait conduire dans mon auto ! >>. Ma conductrice démarre. Tout se passe très bien. Anne-Marie roule avec une maîtrise totale.
Je la guide. Au carrefour, il faut prendre à droite. Tout droit c’est vers la ville. À gauche la zone commerciale, la maison médicalisée où exerce Laure que je vois demain à dix sept heures trente. Le restaurant de l’étang est une grande bâtisse du dix neuvième siècle. Il y a évidemment un étang. Des bancs, un jardin Anglais. À la belle saison la terrasse extérieure attire quantité d’amateurs de bonne cuisine. Anne-Marie gare la voiture sous le lampadaire. Il y a une dizaine de véhicules. << Géniale ta voiture. Mais les vitesses automatiques imposent une autre façon de conduire. Sur la route, ça déroute ! >> fait elle en empoignant ma braguette. Nous en rions de bon cœur. Nous gravissons les larges marches de l’escalier. Une lourde porte de chêne. C’est une jeune fille qui nous reçoit. Je précise que notre table est réservée. Elle nous invite à la suivre. Le sol est dallé de tomettes brunes en terre cuite. Comme dans mon atelier. Les murs sont en pierres de taille. Les bougies posées sur les tables sont les seules sources de lumières. Elles sont nombreuses.
Il y a une vingtaine de clients un peu partout autour de nous. La jeune serveuse apporte la carte. Nos choix se portent sur un rôti de chevreuil accompagné d’un gratin de pommes de terre. Patates recouvertes d’œufs battus et de girolles. Des radis savamment présentés dans des feuilles de laitues vinaigrées. C’est évidemment un véritable délice. Nous mangeons de bon appétit en revenant sur les moments clefs de notre randonnée. Les conversations sont feutrées. Un peu comme un léger bourdonnement incessant flottant dans la salle. Des radis grillés, des radis confis se cachent parmi les frais. C’est exquis. Le rôti de chevreuil est succulent. Impossible de tout manger. Pareil pour le gratin. << Pourquoi ne viendrais-tu pas passer dix jours au soleil, à Noël, sous les palmiers, avec moi, au bord de la mer ? >> me demande Anne-Marie. Sa question est sérieuse. Je réponds : << Pourquoi ne viendrais-tu pas passer deux semaines avec moi à Édimbourg ? >>. Nous rions. Ce sont des questions qui resteront sans réponses.
Les coupes glacées du dessert. Un must que nous savourons en revenant sur nos créations murales. Ces trous réalisés un peu partout. Anne-Marie apprécie d’avoir creusé les siens. << Je laisse une emprunte dans l’univers de la création ! >> dit elle. << Tu descends avec moi aux toilettes ? >> chuchote t-elle soudain. Elle rajoute : << J’ai toujours peur quand les toilettes sont aux sous-sols ! >>. Je suis surpris autant qu’hésitant. L’escalier est éclairé d’une lumière tamisée bleue. Anne-Marie attrape ma main pour en dévaler les marches. Elle m’entraîne dans la partie hommes. M’emmène dans un des quatre cabinets. Le dernier. Ferme le verrou avant de baisser son pantalon et sa culotte. Elle étale des feuilles de papier sur la lunette avant de s'assoir. Je regarde un peu partout, me sentant à la fois à l’étroit et très gêné. Anne-Marie m’attire devant elle, descend la tirette de mon pantalon pour en extraire l’habitant. Je me retrouve immédiatement avec le sexe dans sa bouche. Je caresse sa tête en l’écoutant pisser. De gênante, la situation en devient rapidement excitante.
Cela dure bien cinq minutes avant qu’elle ne cesse, arrache une bande de papier pour s’essuyer. Je m’apprête à faire mon besoin devenu pressant. Sans lâcher mon érection, ma complice se redresse. Elle me met en position. Comme cet après-midi. Contraignant ma raideur vers le bas. Au-dessus de la cuvette. Il m’est impossible de soulager mon envie. Ce qui amuse ma comparse. Elle me lâche pour remonter ses vêtements. J’essaie encore un peu. Mon érection déclinante permet enfin mon soulagement. En riant aux éclats, nous nous lavons les mains lorsqu’un client entre dans l’espace réservé à la gente masculine. Il toussote en disant : << Oh pardon, je me suis trompé ! >>. Anne-Marie s’écrie : << Pas du tout, c’est moi ! >>. Nous quittons les sanitaires pour remonter, en rigolant comme des bossus. Les cafés. Juste excellents. Nous plaisantons de nos aventures épiques en WC publics. L’addition. Il est à peine vingt et une heures quand nous retrouvons la nuit glaciale. Accrochée à mon bras, Anne-Marie m’emmène faire le tour de l’étang.
C’est la seconde fois que nous passons la soirée en ce lieu. Malgré l’atmosphère polaire, l’endroit est d’un charme fou. Anne-Marie décline ma proposition de reprendre le volant. << J’ai un petit truc à terminer ! >> prétexte t-elle en s’asseyant côté passager. Je démarre. Il n’y a pas dix kilomètres qui séparent le restaurant de l’étang du domicile de mon amie. À peine ai-je démarré, qu’elle se penche pour ouvrir ma braguette. En extraire le hochet à deux boules. En sortant du parking, je chuchote : << C’est le truc à terminer ? >>. Sans répondre, en gloussant, ma passagère retourne à sa fellation. Fort heureusement, l’étroite route communale est déserte. Je peux rouler à très faible allure. J’ajuste le rétroviseur intérieur pour avoir une vue sur ce qui se passe. Hélas, l’obscurité rend cet espoir impossible. Je passe ma main droite sous les cheveux de ma passagère. J’aime tenir délicatement sa nuque. Parfois, sournois, j’appuie légèrement. Anne-Marie en glousse de plaisir. Je regarde le tachymètre. Il indique 12 km/h.
Toutes les deux trois minutes, ma complice cesse. Se redresse pour me murmurer une douceur. Une impression. Un ressenti. Avant de retourner à sa dégustation en gémissant d’aise. Je conduis avec attention et une prudence de chaque instant. Anne-Marie cesse une nouvelle fois, déglutit avec difficulté avant de demander : << Je viens samedi après-midi. Il sera quatorze heures. Je reste jusqu’à dimanche soir, vingt et une heures. Ça ira pour toi ? >>. Je la rassure. Alors qu’elle retourne à sa friandise, je rajoute : << S’il fait beau, randonnée. S’il fait moche sexe ! >>. Elle glousse en riant. Je pense à voix haute. C’est la toute première fois que nous passerons un week-end entier ensemble. Elle cesse pour lancer : << À partir de samedi, je te considère comme mon mec ! >>. Nous rions aux éclats quand je réponds : << Je ne suis pas un bon coup et je n’excelle que dans la perceuse ! Je suis volage et "chasseur" ! >>. Je gare la voiture devant l’immeuble. En évitant les lumières des lampadaires. Anne-Marie ne semble pas désireuse de cesser.
Je dis : << Madame est arrivée ! >>. Elle se redresse en s’exclamant : << Put-hein ce que j’aime ça depuis que tu m’as initié ! Salaud ! >>. Il va être vingt et une heures trente. Une fois encore nous nous sommes assujettis à l’horaire défini. Je rajoute : << Passe une bonne journée demain ! >> Mon amie se blottit contre moi. Je referme mes bras sur ses épaules. << Je suppose que tu ne veux pas t’emmener jusqu’au bout ! >> dit elle un peu dépitée. Je la rassure : << Tout va bien. Tu connais mon fonctionnement. Je te promets d’attendre le week-end pour "conclure" ! Je déteste me répandre ! >>. En ouvrant la portière, Anne-Marie me fait un dernier bisou avant de sortir : << Bonsoir cher monsieur au fonctionnement étrange. Je suis chez vous samedi, quatorze heures ! >>. Je la regarde filer vers le hall de son immeuble. Gravir les marches de l’escalier en courant. Passer sa carte devant le lecteur d’ouverture. Elle disparaît. Juste son ombre, un bref instant, sur la rangée de boîtes aux lettres. Je remballe habité d’une merveilleuse sensation.
Il est vingt et une heures cinquante quand je suis dans la salle de bain. Une rapide toilette. Je me recouvre de la douceur de mes draps quand mon I-phone m’avertit d’un SMS. Le signal sonore. J’allume. Je découvre le message de Virginie. Ce message m’informe qu’elle ne passera ni vendredi après-midi, ni dimanche matin. En précisant : << Je t’explique tout au téléphone ou par courriel dans les prochains jours ! >>. Elle joint une photo où je la découvre tenant la main de Mathias. Je n’ai pas besoin d’être devin pour comprendre. Sa relation avec son copain prend très certainement une tournure plus affirmée. Comme un curieux soulagement m’envahit soudain. Je m’endors dans une sereine béatitude…
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