L'ECRIT DE JOIE

L'ECRIT DE JOIE

Randonnée trous avec Anne-Marie et Nathalie

                                    Nathalie découvre le circuit des trous

 

             Après le jogging et la douche, mon mercredi matin est généralement consacré à mes affaires courantes. Dans le salon, assis au bureau, devant l’ordinateur, je réponds à mes courriels. Depuis samedi, le ciel reste obstinément voilé. Par contre les températures restent fort agréables avec des moyennes de 22°. Les deux portes fenêtres me permettent la vue sur cette partie de la propriété. Je ne résiste pas à l’envie d’aller admirer le paysage que je connais parfaitement depuis toutes ces années. On voit jusqu’à la rivière, là-bas, à plus de trois cent mètres. Certains arbres présentent déjà les premiers ocres de l’automne. Des envolées de centaines de corbeaux croassants qui se croisent sans jamais se heurter. Je trouve là l’inspiration à quelques récits épiques avec lesquels je parsème mon Blog. Je suis plongé dans ces introspections lorsque mon téléphone se met à vibrer. Je traverse la grande pièce pour le récupérer. Le visage souriant d’Anne-Marie. << Bonjour. Ça marche toujours pour cet après-midi ? >> me demande mon amie.

 

        Je la rassure. Je suis même à me réjouir. << On fait comme on a dit, on passe te prendre avec Nathalie. On te ramène en fin d’après-midi ! >> rajoute mon interlocutrice. C’est donc parfait. << À tout à l’heure ! >> conclue t-elle. C’est l’esprit léger et guilleret que je termine mes courriers. Il va être onze heures. Je quitte le salon. Quelques pas au dehors me dégourdiront les jambes. La température est douce, pas le moindre souffle de vent. Un sentiment de plénitude en descendant jusqu’à la rivière. Ses eaux charrient des feuilles qu’esquivent les colverts et les canards. Cette atmosphère si particulière est source d’inspiration. Je remonte lentement pour faire le tour de la dépendance et de la maison. L’abri à bois contient une vingtaine de stères. Je serai livré en fioul et en bûches de hêtre la semaine prochaine. De quoi passer l’hiver sans soucis de chauffage. L’assaisonnement d’une grosse endive pendant que réchauffe la moitié de la tarte aux brocolis que je me suis cuisiné hier soir. C’est tellement meilleur réchauffé. Je savoure mon repas en écoutant les informations.

 

         Il va être treize heures. La vaisselle faite, je descends à la cave, dans la buanderie. Je sors les draps de la machine à laver. Il faut profiter de ces jours secs pour faire sécher le linge à l’extérieur. Il sent tellement bon après et reste agréablement rêche quand on le décroche. Ce que j’oublie souvent de faire le soir en rentrant. Je n’ai plus qu’à me préparer. Je porte un bermuda kaki, un T-shirt brun clair et mes baskets. Dans le fidèle petit sac à dos, trois pommes, des barres de céréales, la thermos d’eau froide. La minuscule paire de jumelles et le K-ways. Ne surtout pas omettre de l’emmener. Les soirées sont fraîches. Trois coups de sonnettes. Je regarde l’écran de l’interphone. La Clio rouge bronze. Le sourire d’Anne-Marie en gros plan devant la caméra. Je dis : << J’arrive ! >>. C’est en courant que je monte les cent mètres jusqu’au portail. Trois bises. Je m’installe à l’arrière en saluant Nathalie. C’est parti. Je me fais promener sur les vingt cinq kilomètres qui mènent au parking du restaurant. J’écoute les jeunes femmes bavarder.

 

        Même si le ciel reste voilé, il est lumineux. Le soleil doit certainement guetter la possibilité d’apparaître. Nous arrivons. Il va être quatorze heures trente. Elles portent toutes les deux des jupettes et T-shirts. Leurs petits sacs sur le dos. Chacune a emmené des fruits différents. Mandarines pour Anne-Marie, poires pour Nathalie. Nous contournons le restaurant pour prendre le sentier qui monte sur sa droite. Il y a des séniors sur la terrasse pour ce qui ressemble à un colloque. Voilà le pont de pierres en dos d’âne. Le chemin qui prend à gauche. Jusqu’au totem et ses panneaux indicateurs. Anne-Marie souhaite refaire le sentier des étangs. Celui que nous avons gravi samedi dernier. Il est moins raide et les points de vues beaucoup plus dégagés. << Tu nous interdis d’aborder les sujets d’école. À chaque fois tu cries stop ! >> préconise Anne-Marie. << Oui, tu changes de sujet. Tu n’en manques pas d’après ce que j’ai lu sur ton blog ! >> rajoute Nathalie. Ainsi Anne-Marie a partagé le secret. Donnée le lien de mon blog ! Coquine ! Comme le disait Sénèque en son temps : << Le seul secret que garde une femme est celui qu'elle ignore >>

 

         Anne-Marie qui saisit ma main. Un automatisme qui me ravit. À chaque fois qu’elles en viennent à discuter de leurs métiers, je m’écrie : << Stop ! >>. Nathalie s’exclame : << Excellent ! >>. J’oriente alors la conversation sur leurs vacances, leurs activités extra scolaires. Nathalie est une skieuse chevronnée. Elle passe ses vacances d’hiver dans des stations de montagnes. Alpes à Noël, Pyrénées en février. Voilà de bons sujets à aborder. Nous marchons d’un bon pas, Nathalie devant. Voilà le premier étang et son cabanon de pêche. Je suis soudain un peu gêné. Je prends conscience que Nathalie est venue découvrir mes créations murales. Je ressens un peu de honte quand Anne-Marie pointe son index vers l’orifice parfaitement rond, de cinq centimètres de diamètre. << C’est donc ça ! Et en vrai cette fois ! >> lance Nathalie en s’approchant. Elle semble un peu nerveuse. Fébrile peut-être. Elle se penche pour regarder. Accroupie pour scruter. Anne-Marie passe sa main sur mes fesses en me faisant du coude.

 

        De voir une femme accroupie, de dos, flatte toujours agréablement ma libido. Comment l’avouer à Nathalie ? Je ne la connais que depuis peu. << Passe de l’autre côté, fais-nous une démonstration. Après tout, tu crées ces œuvres pour un usage précis ! >> lance Anne-Marie. Je pourrais me cacher dans un trou de souris tellement je suis gêné. Comment pourrais-je faire une chose pareille devant cette jeune femme qui n’est qu’une connaissance ? Nathalie reste accroupie. Elle tourne la tête pour me fixer d’un étrange regard. << Allez, donne à tes œuvres d’Art toutes leurs dimensions ! >> insiste Anne-Marie. Rester là, debout, les bras ballants, à hésiter, ne me tirera pas de l’embarras terrible qui encombre mon esprit. Dans le piège ou je me suis fourvoyé. C’est un défi. Je suis invité à le relever. Anne-Marie s’écarte, me fait signe d’y aller. Avec son pouce. Un clin d’œil. Je n’ai plus le choix. Je prends une grande inspiration et je sors du cabanon. Je le contourne. Je ne sais pas à qui sont les doigts qui s’agitent par le trou.

 

        Subrepticement, une légère excitation vient s’ajouter au trouble profond qui me paralyse. Je les entends chuchoter sans comprendre. Je les entends rire. Je dois le faire. Je descends la tirette de mon bermuda. J’en extrais le locataire. Je le tiens à sa base. Je me sens aussi mou que lui. Lamentable. Une profonde inspiration pour trouver du courage. Je ne sais pas à laquelle des deux appartient cet œil collé à l’orifice. En tous cas il ne perd rien de ce qui se passe de ce côté-ci. Je m’avance. Je passe ma virilité toute molle dans le trou. J’entends des exclamations. Est-ce du ravissement ? Est-ce de l’encouragement ? Anne-Marie et Nathalie rient aux éclats. Sont-ce des moqueries ? Rien de propice à l’érection que je souhaite le plus tôt possible. Je gagnerai en excitation et donc en témérité. Sans compter que l’embarras m’aura totalement quitté. Je reste ainsi, collé contre les planches horizontales, mes mains plaquées sur la cloison. Il ne se passe rien. Impossible de quantifier la durée de mon attente. Je perçois une série de déclics.

 

        Sans doute font-elles des photos. C’est très certainement un doigt qui me chatouille. À défaut d’être stimulant, c’est cocasse autant que sympathique. Enfin le prémisse d’un commencement d’érection. J’entends rire de plus belle. Ce sont deux doigts qui s’emparent de ma virilité à présent bien raide. Tout embarras vient de me quitter. La cambrure de mes reins commence à devenir pénible. Je suis masturbé d’un mouvement lent. << Alors monsieur l’artiste ? Fier de vous ? >>. C’est la voix de Nathalie qui vient de contourner le cabanon. Elle s’apprêtent à filmer la scène. Une petite caméra numérique en mains. << Je peux ? >> me demande t-elle. Aucun problème. Je ne crois pas m’être déjà senti aussi ridicule un jour. Plaqué contre cette cloison, dans une posture aussi inconfortable qu’absurde. De l’autre côté, les lèvres d’Anne-Marie viennent de se refermer sur l’extrémité de mon sexe. Comment me comporter ? C’est bien davantage qu’un défi, c’est une redoutable épreuve.

 

         Nathalie tourne autour de moi en filmant. Consciencieusement. Se rapprochant, s’éloignant, s’approchant à nouveau. C’est surtout des gros plans sur mon visage qui semble focaliser toutes ses attentions. Les expressions qui s’enchaînent au fur à mesure des montées d’extases. C’est à nouveau extrêmement gênant. C’est bien pire que d’être vu nu devant une foule de nones. Ce qui tempère peut-être un peu mon exubérance naissante. Combien de temps dure cette épreuve ? De l’autre côté de la cloison tout cesse. Je ne veux pas me retirer. C’est une réaction stupide puisque Nathalie a eu tout le loisir de voir en compagnie d’Anne-Marie. Elle comprend mes hésitations. Pudique, elle s’éloigne. Anne-Marie apparaît à l’angle du cabanon. Elle lève son pouce comme pour me féliciter. Je remballe en vitesse. Nathalie revient vers nous en précisant : << Deux minutes et dix huit secondes ! Vous voulez voir ? >>. Anne-Marie propose de continuer en disant : << On monte au second trou, venez ! >>. Nous reprenons le sentier.

 

        Un quart d’heure de marche et voilà le second étang. Son cabanon avec le matériel à barbecue. Rien n’a bougé depuis samedi dernier. Anne-Marie pointe le trou dans la cloison. Cette fois les planches sont verticales. << Tu ne t’es jamais blessé avec une écharde ? >> me demande Nathalie qui tire sa caméra de sa pochette. << Non, notre randonneur entretient ses créations avec un zèle artistique digne des grands Maîtres de la Renaissance ! >> fait Anne-Marie. Nous en rigolons comme des bossus. Je suis prié de reprendre ma prestation. Cette fois sans le moindre embarras je quitte le cabanon pour passer à l’arrière. Il y a une échelle dans l’herbe au bas de la cloison. Je préfère la retirer. Je reproduis l’acte. Mon bassin collé contre les planches. Mon sexe dans l’orifice. Une érection naissante sollicitée par les caresses de doigts. Mais lesquels ? Je suis convaincu qu’elles s’amusent toutes les deux des interrogations qu’elles suscitent. La succion de cette douce ventouse reprend. Je mordille ma lèvre inférieure, je ferme les yeux.

 

         Je suis pris de vertige sous l’effet de l’indicible douceur. C’est extraordinaire. Cela cesse pour recommencer. Des éclats de rires. Des chuchotements à peine audibles mais incompréhensibles. Je donnerais cher pour voir ce qui se trame de l’autre côté. Je ne peux hélas que l’imaginer. Se partageraient-elles la “friandise“ ? Je me plais à le supposer. << Ça va comme tu veux ? >> fait Nathalie en apparaissant à l’angle de la cabane. Sa caméra en mains. Je réponds par un soupir de satisfaction. Nathalie ne demande plus et se remet à filmer. Le paradoxe révélé là, me submerge d’excitation. Cette jeune femme se montre là bien plus extravertie que la professeur des écoles que j’ai connu jusqu’à présent si réservée. Elle tourne autour de moi. Se rapproche, filme les expressions de mon visage sous quantité d’angles différents. Je suis en sueur, haletant de plaisir. Je n’ai plus aucune appréhension. Je gémis d’extase. Tout cesse. Cette sensation de fraîcheur sur mon sexe. Je reprends mes esprits en restant collé contre la cloison.

 

        Anne-Marie vient nous rejoindre. << Trois minutes et quatorze secondes ! >> lance Nathalie. Je me retire. Cette fois en laissant flotter l’objet du délire. En découvrant l’expression sur le visage de Nathalie je prends toute la mesure de l’allusion faite par Anne-Marie, dimanche soir. Oui. Je viens d’en avoir la confirmation. Nathalie s’avère une authentique voyeuse. Elle ne se contente pas seulement de regarder franchement mais surtout de scruter. Je remballe donc dans une sorte de mise en scène. Prenant tout mon temps pour bien faire durer sa satisfaction. << Le troisième étang ? >> lance Anne-Marie. << Le troisième étang ! >> répond Nathalie qui me jette un étrange regard. Sévère d’une certaine manière. Déroutant en tous cas. Nous reprenons le sentier. Il va être raide sur plusieurs centaines de mètres. À son débouché apparaît le dernier plan d’eau. Son cabanon soigneusement agencé de ses meubles et appareils d’un autre temps. C’est assis à la table que nous savourons nos fruits. En occultant les évènements vécus. Amusantes fausses pudeurs.

 

        Le calendrier des pompiers 2014 toujours relevé comme l’a placé Anne-Marie samedi dernier. Il laisse apparaître l’orifice parfaitement rond. Nathalie ne cesse de m’adresser de biens étranges regards. C’est un peu déstabilisant. Anne-Marie joue avec mes doigts. << On reprend ? Parce qu’il va être seize heures trente ! >> dit elle. Sans cesser de me fixer d’un regard inquisiteur, Nathalie se lève la première. Anne-Marie place sa chaise devant le calendrier. Elle s’y installe. Je me lève pour quitter l’endroit. Une nouvelle fois je contourne la cabane. Le bassin collé contre la cloison, les mains plaquées contre les planches. J’aimerais tellement comprendre ce qui se chuchote de l’autre côté. La cause de ces éclats de rires qui restent un mystère. Et soudain cette sensation d’être aspiré. Emporté dans l’extase inexplicable. La même interrogation. Se passent-elles ma virilité ? Sont-ce là les causes de ces murmures, de ces gloussements ? La cloison est légèrement inclinée. Ce qui est plus confortable. Je peux m’y appuyer sans efforts.

 

        << Tu t’éclates autant que nous ? >> demande Nathalie en me rejoignant. Que pourrais-je bien répondre ? Je me contente d’un long gémissement. Je bouge doucement. Un rythme régulier. Nathalie filme. Consciencieuse, appliquée. La capacité féminine de s’adapter à toutes les situations. Mêmes les plus délirantes. Cette fois son insistance sur les expressions de mon visage semblent rester son centre d’intérêt. C’est extrêmement troublant de sentir son souffle dans mon cou. Ce n’est pas seulement l’objectif de sa caméra qui me scrute aussi “scientifiquement“. Cela participe d’une excitation redoublée. Vertigineuse. Heureusement que la cloison reste un solide point d’appui. Et brutalement, inexorablement, tout cesse. La sensation de froid. Anne-Marie qui vient nous rejoindre. << Trois minutes et cinquante quatre secondes ! >> lance Nathalie. << Trois minutes et cinquante quatre secondes de pures extases immortalisées par l’image ! >> répète t-elle en riant. Je me retire. Une fois encore en m’offrant longuement à la vue de ma voyeuse.

 

        << Si on veut être de retour avant la nuit, il faudrait peut-être penser à y aller ! >> suggère Anne-Marie. Chacun se trouve un coin retiré pour faire ses besoins. Nous nous retrouvons aux marches de l’escalier. Le départ du sentier. Nous marchons d’un bon pas. J’écoute les conversations des deux jeunes femmes. En m’écriant : << Stop ! >> à chaque fois qu’elles abordent leurs activités professionnelles. Durant tout le temps de la descente pas une d’entre elles pour revenir sur les évènements de l’après-midi. Attitudes féminines qui suscitent mon admiration. J’aime tant la compagnie d'une femme qu’il serait préjudiciable de me priver de celles de toutes les autres. Mon principe de vie depuis la disparition de mon ancienne compagne. Il est dix huit heures quarante cinq quand nous revenons à la voiture. La fatigue se fait sentir lorsque nous sommes installés. Je suis vautré à l’arrière. Les coups d’œils furtifs et parfois les clins d’œil d’Anne-Marie dans le rétroviseur intérieur.

 

        Nathalie qui se retourne pour me demander : << Avec qui as-tu déjà utilisé tes trous et tes compétences ? >>. Je reste pantois. Ne sachant que répondre, je me contente d’un sourire énigmatique. C’est à mon tour de demander : << Tu me feras voir les films ? >>. Nathalie reste mutique. Anne-Marie m’adresse un nouveau clin d’œil. Il est dix neuf heures trente quand elles me déposent devant le portail. Trois bises à chacune. << Tu as été parfait ! >> me dit Anne-Marie. << C’est vrai, c’était génial ! >> rajoute Nathalie. Anne-Marie conclue : << On se voit en webcam tout à l’heure ! >>. Je regarde la voiture s’éloigner. Un dernier coucou. Je n’ai plus qu’une idée en tête, la douche. Je masse mes lombaires douloureuses avec le boulier. Ses boules en bois offrent un rapide soulagement. C’est en peignoir que je redescends. Je beurre les deux parties d’une baguette. J’y étale des tranches de bacon. De fines lamelles de gruyère. Des rondelles de tomates. Au micros ondes cinq minutes. Le temps de faire la vinaigrette d’un avocat.

 

        Je savoure ce repas en me sentant la fatigue me gagner. Il faut que je tienne jusqu’à vingt et une heures. Le rendez-vous webcam avec Anne-Marie. Nous nous retrouvons devant les écrans de nos ordinateurs. Une tisane fumante à côté des claviers. Mon amie revient sur nos aventures de l’après-midi. Elle répond en riant à mes interrogations. << Oui, Nathalie a joué avec moi ! >>. Ces aveux procure la dernière érection de cette journée "historique". Anne-Marie m’apporte toutes les précisions souhaitées. C’est la toute première fois qu’elles s’amusent ensemble de cette façon. << Je crois bien que ce ne sera pas la dernière. Nathalie m’a confié les émotions ressenties ! Je n’en dis pas plus ce soir ! >> rajoute t-elle. Nous terminons par une petite masturbation de circonstance sans nous emmener au bout. << C’était comment cet après-midi ? >> me demande encore mon amie avant que nous nous quittions. Je conclue : << C’était divin ! >>…

 

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20/12/2024

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