L'ECRIT DE JOIE

L'ECRIT DE JOIE

Une étudiante BTS Tourisme me fait visiter la ville (4)

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Isabelle. Mon "Guide"
 
Je suis assis sur la chaise près de la fenêtre. Je contemple avec une certaine délectation ce spectacle. Isabelle est couchée au sol sur le côté. Etendue sur la moquette. Les bras attachés derrière le dos. Menottée aux poignets et aux chevilles. Une boule en caoutchouc dans la bouche maintenue par une sangle de cuir. Un gode à cul enfoncé dans l'anus. Le visage et les seins mouillés de salive. La nuit est tombée. Une fraîcheur toute relative fait place aux chaleurs de la journée.

 

La jeune fille me regarde. Son regard semble m'implorer. Isabelle me fixe avec insistance. Que veut t-elle ? Que désire t-elle ? Autant de mystères qui m'interrogent. Je reste ainsi longuement à confronter mon regard au sien. Nul doute que cette situation est un plaisir qui se rajoute encore aux autres. Isabelle écarte ses cuisses. Ses chevilles entravées empêchent toutes autres possibilités. Je regarde sa toison pubienne. Je vois ce filet de cyprine qui dégouline dans la raie culière.

 

Je me lève. Je m'approche. Je la saisis fermement par sa nuque pour la forcer à se relever. Isabelle est debout devant moi. Je passe ma main sur son sexe trempé. J'enfonce mon doigt. Le plus gros, le médius. Je saisis ses cheveux. Je tire sa tête en arrière. La jeune fille me regarde. Dans son regard il y a de la fierté,  de la défiance. Son port de tête est altier. J'imprime un mouvement régulier de mon doigt. Isabelle se cambre en avant. De la salive dégouline de sa bouche. La boule de caoutchouc est trempée.

 

Je maintiens fermement la jeune fille par ses cheveux. Je tire pour la forcer. Je donne un ordre : < A genoux ! Salope ! >. Isabelle s'exécute. Je joue avec ses cheveux. Je fais tourner sa tête de gauche à droite. Je me penche. Je lui crache au visage. La jeune fille tente de se soustraire à mes crachats. Je la tiens bien trop fort. La jeune fille, le visage maculé de salive, lève les yeux pour me fixer avec sévérité. Je me mets bien en face d'elle. Je place ma braguette à la hauteur de son visage.

 

Je me déboutonne de ma main libre. Je sors mon sexe. Je le lui présente en le faisant tourner sous ses narines. De mon autre main je lui tiens toujours les cheveux. Je lâche ma contrainte. Je me penche pour détacher la boucle de la sangle de cuir. Je sors la boule en caoutchouc de la bouche de la jeune fille. Isabelle, comme soulagée, respire de grandes bouffées d'air. Elle me fait un délicieux sourire.

 

Je me mets à genoux devant Isabelle. Je lèche sa salive. Sur son menton, entre ses seins. C'est un délice. Je l'embrasse avec fougue. Je fouille sa bouche de ma langue avide. Je veux en récupérer toutes les saveurs. Isabelle se laisse faire, lascive et gémissante. Je me relève après lui avoir craché une nouvelle fois au visage. A nouveau la jeune fille me lance ce regard sévère empli de dédain. Je suis debout. Je la saisis par ses cheveux. Je me masturbe devant sa bouche.

 

Isabelle me regarde me masturber devant son visage. Les yeux levés avec cette défiance qui m'excite. Son regard s'attarde à présent sur mon sexe. Le silence est lourd. De temps à autre une voiture passe dans la rue, en bas. Un petit courant d'air rafraîchis agréablement les lieux. Je cesse de me masturber. Mon sexe dégouline du trop plein de son liquide séminal. Je saisis le visage de la jeune fille sous le menton. Je le lève vers moi.

 

Nous restons ainsi à nous fixer longuement une nouvelle fois. Nous sommes des cérébraux. L'aspect psychologique a donc une importance prépondérante. Je passe mon sexe trempé sur le visage de la jeune fille. Isabelle tente de s'y soustraire. Je l'en empêche fermement. Je passe mon sexe sur les lèvres de sa bouche qu'elle garde ostensiblement fermée. Je fais ça longuement. Le visage de la jeune fille est trempé de sueur, de salive et de liquide séminal. Des cheveux mouillés collent sur ses joues, sur son front.

 

D'un coup sec, en forçant, j'introduis mon sexe dur dans sa bouche. Je reste sans bouger. Je reste parfaitement immobile. J'empêche tout mouvement de recul de la jeune fille. J'appuis à plusieurs reprises sur sa nuque pour m'enfoncer davantage. La contrainte est ferme. Isabelle pousse quelques râles profonds et graves. Je fais durer cette situation. Isabelle lutte. Elle tente de se dégager de mon étreinte.

 

Je me retire pour ne laisser que l'extrémité de ma turgescence entre les lèvres de la jeune fille. A présent, par contractions de mes muscles fessiers, je fais bouger mon sexe. Excité comme je le suis, je sens mon liquide s'écouler dans la bouche de la jeune fille. Isabelle reste immobile, sans sucer, sans pomper. Je lâche une infime giclée de pisse. Je tiens fermement la tête de la jeune fille par ses oreilles. Isabelle se met à tousser dans un spasme qui secoue tout son corps. Avec brutalité la jeune fille tente de retirer sa tête. Mon étreinte rend ses tentatives inutiles. Impossibles.

 

Isabelle, comme si elle n'avait d'autres choix, comme résignée, se met enfin à sucer. Je reste sans bouger. Je sens l'indicible caresse. La succion est extraordinaire. Je peux entendre Isabelle déglutir avec peine. De petits cris de ravissements ne laissent plus aucun doute quand au plaisir de la jeune fille. Les gargouillis caractéristiques d'une pipe juteuse résonnent d'une étrange façon. Je ne suis même plus obligé d'exercer une quelconque contrainte.

 

Une dizaine de minutes d'un véritable pompage se passent ainsi. Je commence à imprimer un mouvement régulier du bassin. Je me masturbe ainsi dans la bouche de la jeune étudiante. Je me saisis à nouveau de ses cheveux. Je lui maintiens la tête afin de la forcer à ingurgiter le maximum. J'ai l'impression que mon sexe n'arrête pas de se vider. Au bout de quelques minutes je cesse mon mouvement rythmique. Je fais déguster le fruit de mes efforts à la jeune fille qui glousse de plaisir. Isabelle déglutit en savourant. En gémissant.

 

Je retire mon sexe. Isabelle, surprise, tente de le garder encore en avançant son visage. Un long filament gluant et épais relie la bouche de la jeune fille à mon méat. Isabelle lève la tête. Elle me regarde en ouvrant sa bouche. L'intérieur est empli de mon jus gluant en visqueux. La jeune fille tente de déglutir avec difficulté. Sans y arriver. Au prix de plusieurs tentatives.

 

C'est presque dégueulasse ! Les traits délicats du visage de la jeune fille trahissent l'écœurement. Ils témoignent également de ses efforts pour avaler.

Un vrai "Face-fucking" ...

 

Je pose ma main sur sa nuque. Je la force à se relever. Les chevilles maintenues par les menottes,  Isabelle a du mal à marcher. Je l'oblige pourtant à avancer au rythme que j'impose. Je l'emmène dans la minuscule salle de bain. Je la tiens à la laisse que je tire par à coups. La jeune fille se laisse faire avec une étonnante docilité. Elle vit enfin son fantasme de soumission. Je fais de mon mieux. Son visage trahis un contentement évident.

 

Je ne me débrouille pas trop mal et avec une conviction non feinte.

 

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22/04/2012

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