L'ECRIT DE JOIE

L'ECRIT DE JOIE

Une étudiante BTS Tourisme me fait visiter la ville (3)

Avatar de Julien.jpg

 

                                                      Isabelle. Mon "Guide"

Le repas du soir est des plus agréables. Nous bavardons. Nous avons soudain tant de choses à nous dire. Au dessert, devant une coupe glacée géante, nous évoquons quelques unes de nos aventures sexuelles. Partageant les souvenirs des plus affriolantes que nous avons déjà vécu. Je suis de par mon âge le plus gratifié. Isabelle me raconte sa liaison avec un garçon de vingt quatre ans. C'est son "premier". Par contre l'imaginaire de la jeune fille semble empli de fantasmes des plus attractifs. Des plus inavouables aussi.

J'appelle la serveuse. Je paie la note. J'invite Isabelle à flâner un peu dans les rues du centre. Sur le chemin qui nous mène à l'hôtel. Parfois au détour d'un coin moins éclairé la jeune fille m'embrasse. A plusieurs reprises en me touchant le sexe. Il y a une vulgarité délibérée dans cet acte. Je lui touche l'entre-jambes. J'appuis ma main vers le haut à travers le tissus de sa jupe.

Isabelle se serre contre moi pour me chuchoter à l'oreille : < Nous passons à ma voiture. J'ai quelque chose à y récupérer ! > Nous arrivons au véhicule garé à deux rues de mon hôtel. Isabelle ouvre le coffre pour se saisir d'une petite valise violette. Elle me fait une bise en me disant : < Voilà ! >. Nous prenons le chemin de l'établissement. La jeune fille semble impatiente. Elle me tire par la main. Nous marchons vite.

Une fois dans la chambre, Isabelle pose cette petite valise sur le lit. Elle ouvre son couvercle. Je m'approche. Je la tiens pas la taille. Je me penche par dessus son épaule pour regarder. Dans les compartiments de mousse violette, il y a des articles très "spéciaux". A droite un gode couleur chair et de bonne taille. A côté un gode anal à la forme renflée. Il y a encore un œuf à vagin piloté par son boîtier à piles. Deux paires de menottes. Un collier gothique. Une laisse. Une boule à bouche en caoutchouc. La seule pointe de mauvais goût est sans doute le "livret explicatif" fixé dans le couvercle.

Je feuillette le livret en faisant remarquer mon sentiment quand au ridicule de ce fascicule. Nous rions de bon cœur. Isabelle retrouve soudain son sérieux. Elle se tourne vers moi pour me fixer dans les yeux. Ménageant son effet, d'une voix solennelle, la jeune fille me fait: < Je veux que tu sois un vrai salopard cette nuit ! Je suis prête à tout ! >. Isabelle articule chaque syllabe avec une conviction qui ébranle mes sens.

Nous en avons parlé au restaurant. Je sais que c'est la toute première expérience de ce genre pour la jeune fille. Je ne suis pas adepte de ce genre de choses. Mes expériences passées m'ont convaincu que je n'avais ni l'âme, ni la fibre d'un vrai "Maître. Il faut pourtant me montrer largement à la hauteur des espérances de la jeune fille. Je n'ai pas le droit de la décevoir. Après tout, je suis l'heureux privilégié choisi. L'élu de son désir. Isabelle s'est offert cette valise en se promettant de profiter de son contenu un jour.

Même si ce n'est pas vraiment dans ma nature, cette forme d'exercice n'est pas pour me déplaire. Il faut parfois savoir prendre sur soi et faire preuve d'altruisme. Je demande à Isabelle de se dévêtir. De ne garder que ses escarpins à talons. A mon tour je lui dit : < Je te veux terriblement salope cette nuit ! >. La jeune fille me fixe longuement avec un regard emprunt d'une certaine sévérité. Doucement, elle se déshabille. Je suis assis dans le fauteuil. Le menton posé sur mon poing fermé. Le coude posé sur l'accoudoir. J'observe en silence.

Isabelle est nue. Lorsqu'elle reste ainsi immobile devant moi, je me lève. Je passe délicatement mes bras derrière son dos. Je la fais tourner. Elle me présente sa nuque. J'entends son souffle. Je saisis ses poignets. Je prends la paire de menottes pour immobiliser ses mains derrière son dos. Je tourne autour de la jeune fille. J'approche mon visage du sien. Je la scrute avec attention. Ses apnées successives témoignent de son trouble.

Je la saisis par ses cheveux. Fermement mais sans brutalité. Je lui fais faire le tour de la chambre à plusieurs reprises. J'appuis sur sa tête pour la forcer à s'accroupir puis à se mettre à genoux. Je lui dis, d'un ton péremptoire : < Allonge-toi sur la moquette ! >. Isabelle s'exécute. Je passe la seconde paire de menottes autour de ses chevilles. Je l'attrape à nouveau par ses cheveux. Je lui cambre la nuque vers moi. Son visage est si près du miens. J'éprouve un profond un frisson...

Je lèche lentement ses joues. La jeune fille est en sueur. Son goût est légèrement acide. Isabelle est couchée sur le côté. Menottée aux chevilles et aux poignets. Je la tiens fermement par la nuque. Je lèche son visage. Longuement. Le front. Sa bouche. La jeune fille émet de profonds soupirs entrecoupés de souffles puissants. Je lui ouvre la bouche avec mes doigts. Je laisse couler un filet de salive dans sa cavité buccale. Elle a un réflexe étrange.

Je la saisis sans ménagement par les poils de son sexe. J'imprime par la force un mouvement de va et vient à son bassin. Je lui touche le sexe avec vigueur. Avec vulgarité aussi. Le secouant vicieusement. Isabelle commence à gémir. Je m'empare de la boule de caoutchouc. Je l'introduis dans la bouche de la jeune fille. Je fixe la sangle de cuir derrière sa nuque. Je me redresse pour contempler cet étrange spectacle. Cette belle jeune fille, couchée là, à mes pieds, menottée, couchée sur le côté et qui me fixe de ses yeux implorants.

Je me mets à genoux. J'écarte les cuisses de la captive volontaire. J'avance ma tête. Je me mets à lécher son sexe. Sa vulve est suintante de cyprine. Je m'attarde longuement sur son clitoris turgescent. Une coulure blanchâtre s'échappe du vagin pour couler jusqu'à l'anus. Anus dans le quel j'enfonce mon index gauche. Isabelle a un réflexe. Je retire ma tête pour mettre mon visage tout près du sien. Elle me regarde avec un air de reconnaissance.

Je retourne à ma dégustation. La jeune fille, couchée sur le côté droit, la cuisse gauche en l'air, maintenue par mon bras droit, bouge au rythme de ma succion. Je lèche avec avidité. Avec gourmandise. Je ne veux par perdre une goutte de ce nectar délicat. Je veux me régaler de toutes les muqueuses de la jeune fille. C'est moi qui gémit à présent. Autant qu'elle. Un festin...

Je me redresse. Je m'empare du gode anal. Je le fais tourner devant les yeux de la jeune fille. Je crache sur le gode. Je l'enfonce doucement dans son anus. Je le fais tourner. Isabelle gémit. Je la force à se relever. Je lui passe le collier et j'y fixe la laisse. Je la promène ainsi dans la chambre. Autour du lit. Isabelle est à la fois si belle, semble si fragile, que mon cœur se rappelle à moi ! Je n'en montre rien ! Toutes manifestations de sentiments seraient inconvenantes en ces instants. Totalement déplacéee.

Enculée par le gode qui l'empêche de marcher correctement, Isabelle semble habitée d'un plaisir indicible. Je l'emmène par la laisse. D'un ton autoritaire, je lance : < A quatre pattes salope ! > Je sais que je suis peu convaincant dans un acte d'autorité. Isabelle toutefois s'exécute. Elle se met à quatre pattes. Je peux voir, sous la boule en caoutchouc qui maintient sa bouche ouverte, des filaments de salive. Salive qui lui coule sur le menton. C'est presque dégoûtant. Il y en a jusque sur ces petits seins.

Les yeux de la jeune fille sont brillants de vice de stupre et de luxure. Dire que hier encore, jamais je n'aurai imaginé avoir affaire à une telle salope. J'aime tant les salopes. Je m'ennuie tellement avec celles qui ne le sont pas ! Tant de filles apprécient la réciprocité. Lorsque le privilège de ce partage nous est offert par la vie, il faut savoir s'y précipiter. Sans inhibition stupide et inutile.

Je lui ordonne de s'accroupir. Là, entre les toilettes et la douche. D'une voix ferme, détachant chaque syllabe, j'ordonne : < Pisse ! Salope ! >. Isabelle reste ainsi quelques instants. Elle se concentre pour exécuter mon ordre. Je me mets à plat ventre pour bien admirer le spectacle. Je peux observer le mouvement spasmodique des lèvres de son vagin qui bougent doucement. Un mouvement léger. Au rythme de ces contractions. Le gode enfoncé dans le cul qui tente de s'échapper sans y parvenir. Isabelle a des apnées entrecoupées de souffles courts. Son excitation est suprême.

Quelques minutes s'écoulent ainsi. Isabelle lâche un premier jet. Court. Puis un second. Plus long. Enfin c'est un filet de pisse jaunâtre. Par intermittence. Isabelle cherche bien évidemment à jouir de chaque seconde de ce moment vicelard. Je la tiens par la laisse. Il y a au moins une dizaine de jets. Quelques uns plus puissants. La jeune fille arrive à présent à une maîtrise parfaite de son flot de pisse. Cela la fait jouir. Nul doute. Je peux le constater par l'apparition d'une petite coulure blanche. De la cyprine jaillit, comme éjectée de sa vulve. Offrant un deuxième jet. Une coulure.  Cette vision est sublime.

Il y a une flaque de pisse par terre. J'entraîne Isabelle devant la porte. Je la maintiens accroupie. Je me couche sur le dos. Je lui lèche le sexe comme un assoiffé. Je bouffe littéralement les nectars de la jeune fille ! Je suis enivré du goût de ses muqueuses, de ses substances. Je voudrais que cet instant dure toute ma vie. Isabelle se frotte le sexe sur mon visage. J'étouffe de bonheur et de plaisir. La salive qui s'échappe de sa bouche vient se rajouter. Isabelle vise juste.

La jeune fille gémit de plaisir. Je me redresse pour lui lécher le visage. Je veux recueillir cette salive douce et suave. Je prends soudain conscience de mon corps. Je suis dans un état d'érection. Une érection presque douloureuse tant mon excitation est démesurée. Je ne veux m'occuper que de la jeune fille. Moi, j'ai tout mon temps. Son plaisir est source du miens.

Je l'emmène à quatre pattes sur la moquette de la chambre. J'exige qu'elle se couche à plat ventre. Isabelle est ivre de plaisir. L'intérieur de ses cuisses est trempé de cyprine de pisse et de salive. Je lui lèche le dos, les fesses. Tout le corps de la jeune fille n'est plus qu'un prestigieux dessert. Je m'en pourlèche jusqu'à l'ivresse. Jusqu'aux limites de la folie peut-être. Je lui retire le gode du cul et j'introduis ma langue dans le trou encore béant. Je lèche. J'aspire. Je suce. Ma tête tourne. Je suis gagné par un écœurement qui m'excite follement. Comme Isabelle je suis habité des plus délicieux vertiges. Nous gémissions tous deux de concert. Comme des déments sans doute.

Par le passé, quelques rares fois, j'ai déjà joué à de tels jeux. Sans jamais vraiment me faire prendre en profondeur par l'un deux. C'était toujours pour faire plaisir. Mais là, à ces instants, je prends conscience de la réelle passion qui m'anime. Une passion jamais connue avec une telle ferveur. Jamais vécue avec une telle intensité partagée. Je fais une immense découverte...

 

____________________________

 © - 2014 - Tous droits réservés -

 

L'utilisation, toute ou partie, d'un texte, (ou photographie) sans le consentement de l'auteur, constitue une violation de la propriété intellectuelle.  Délit sanctionné par l'Article. L.335-2. du Code pénal.

La divulgation d'informations relatives à la vie privée, ou à l'identité, constitue un délit sanctionné par les articles 706-102-1 (Informatique) et 88-227 du code pénal.

 



22/04/2012

A découvrir aussi